Dès le début de ma deuxième année scolaire, ma réputation d’enseignant était établie. Je recevais souvent des demandes de parents qui voulaient des leçons particulières pour leur enfant. J’essayais, dans la mesure du possible, de recommander mes collègues malgaches.
C’est surtout pendant les vacances scolaires que j’étais sollicité. Les enfants faisant des études à Tananarive et qui revenaient passer des vacances avaient souvent besoin de cours particuliers.
Un beau jour un couple de chinois accompagné de leur fille, vint me voir pour solliciter mes services. Il était exceptionnel que des chinois se déplacent pour ce genre de démarche. Ils venaient me demander des cours de mathématique pour leur petite Line.
Line devait avoir une vingtaine d’année, et n’était pas si petite que le diasient ses parents… Sa beauté me fit l’effet d’un coup de poing. Je fis de grands efforts pour ne pas accepter trop vite… Après avoir déterminé le prix de mes prestations, je proposais de commencer tout de suite la première leçon, surtout pour jauger ses connaissances et définir un calendrier pour les leçons suivantes.
Une fois les parents partis, elle s’assit à mon bureau, lui tendis une feuille de papier et commençais à lui poser des questions. Je l’observais pendant qu’elle noircissait le papier avec ses réponses. Bien sûr elle avait des yeux en amandes. Son visage était très régulier, et sa bouche étonnamment charnue. Elle portait une robe ample, qui dissimulait ses formes. Seuls ses genoux étaient visibles, ils étaient bien ronds et supportés par des mollets musculeux sans excès.
Une demi-heure plus tard, la feuille était remplie, et plutôt que de lui en donner une autre je lui proposais de faire le corrigé immédiatement. Debout à côté d’elle, je commençais à lire ses réponses. Très vite je la sentis gênée. Je m’accroupis pour être à sa hauteur et limiter l’emprise que ma position lui imposait. Elle sentait bon. J’avais envie de la toucher mais m’abstint de le faire…
Son niveau n’était pas fameux, elle avait pas mal de lacunes que j’attribuais rapidement à un manque de connaissance des définitions de base. Je lui dir mon intention de l’accepter comme élève et lui donc d’apprendre un ensemble de règles pour la prochaine leçon.
Le surlendemain je me rendis chez elle à l’heure convenue. Elle habitait assez loin, et il ne me fallut pas loin d’une demie-heure de marche pour y arriver.
Je me dis une fois de plus qu’il faudrait que je m’achète un vélo…
Elle avait appris la leçon que je lui avais demandée, mais elle hésitait encore. Je lui expliquai le pourquoi de ma demande et le reste de l’heure de cours fut consacré à des démonstrations détaillées de chaque règle.
Le moment de la séparation venu, je lui demandais de revoir les mêmes règles pour la fois suivante, c’est à dire une semaine plus tard.
Dans les jours précédant la nouvelle leçon, un cyclone passa un peu au nord de la ville, ce qui nous valu un déluge qui inonda en grande partie la ville. Le jour de la leçon il ne pleuvait pas, mais le ciel était bien chargé de nuages menaçants. Pour arriver chez elle, il me fallu traverser un véritable étang qui s’était formé dans un creux de la route. L’eau était tellement profonde que mon short fut mouillé presque jusqu’à la ceinture.
Me voir trempé comme je l’étais déclencha son hilarité. La vache ! pensais-je, je voudrais bien voir quelle tête elle ferait en pareil cas…
Surpris de ne pas voir ses parents, elle m’expliqua qu’ils étaient partis en brousse trois jours auparavant, et qu’ils devaient êtres bloqués par les pluies. Les employés étaient partis à la rescousse, et elle était seule pour garder la maison.
Elle me proposa de ne pas garder mes vêtements mouillés, et de me changer. Elle me fit entrer dans une chambre que je sus plus tard être celle de son frère, et me tendis un pagne destiné à remplacer mon short, et mon slip.
Je pris la pièce de tissu et attendis qu’elle sorte ou au moins qu’elle se retourne.
Elle ne bougea pas, malgré mon regard insistant. Face à elle j’enlevai ma chemise. Elle me regardait, et à la vue de mon torse poilu elle prit un air sérieux. Puis j’enlevai mon short, son regard ne dévia pas d’un pouce. Elle doit vouloir se rincer l’oeil, me dis-je. J’enlevai mon slip et me présenta à elle dans une nudité intégrale. Je vis son regard baisser un peu, en direction de ma verge. J’avais un peu l’impression d’être un animal jaugé par un maquignon. Je restai un long moment le pagne à la main, pendant qu’elle poursuivait son examen.
Quand finalement elle daigna détourner son regard, je m’entourai du pagne, et lui demandai de regagner le bureau assigné pour les cours.
Je lui posais quelques questions, mais les réponses n’étaient pas satisfaisantes du tout. Je lui fis quelques remontrances.
’Mais enfin, je t’ai expliqué chaque élément la dernière fois. En plus ce sont des révisions…’
Elle ne répondait pas. Je m’assis sur une chaise, à côté d’elle pour lui expliquer une fois de plus. Du coin de l’oeil je voyais qu’elle ne suivait pas.
’A quoi penses-tu ?’
Elle ne répondit pas. Je lui donnais alors une petite tape sur l’épaule. Elle sursauta. ’Ou es-tu en ce moment ?’
Elle bredouilla quelque chose au sujet de ses parents…
Un peu excédé et énervé, je lui dis ma façon de penser, qu’elle perdait son temps, et me faisait perdre le mien…
Elle se mit à sangloter. J’essuyai ses larmes avec la paume de ma main en lui demandant d’excuser ma brutalité.
Au moment ou ma main allait s’écarter de son visage elle s’en saisit et l’appuya sur sa joue.
Puis sans lâcher ma main elle me força à la poser sur son sein. Elle s’assit sur mes genoux, et prit ma bouche. Le baiser, tendre au début, se fit très vite passionné. Son haleine était fraîche, et sa petite langue me paraissait très douce.
Tout en lui rendant son baiser, je caressais son sein. Ne voulant pas faire de jaloux, je pris son autre sein et entrepris de les masser.
Elle gémissait de plaisir, j’en faisais autant. Les stimulations dont j’étais l’objet eurent l’effet escompté (?), Je me mis à bander. Dès qu’elle en eut conscience elle se leva, en me demandant de la suivre.
Elle prit l’escalier montant à l’étage. Je la suivais en admirant ses jambes.
Son arrière train ondulait de façon suggestive.
Arrivés dans sa chambre, elle ferma la porte à clé et alla tirer les rideaux.
Puis elle s’assit sur le lit et me tendit ses bras.
Je m’approchai d’elle avec l’intention de m’asseoir.
Elle me demanda de rester debout.
D’un geste énergique elle enleva mon pagne. Ma verge bien raide était dressée devant elle.
’J’aime voir une verge. C’est beau !’ Dit-elle dans un souffle.
Elle se mit à la caresser. Je tentais de dégrafer son corsage, ’Non, je veux rester habillée.’
Décidément elle avait des fantasmes particuliers… Je me laissais faire.
Dans une telle situation il n’y a pas d’autre alternative.
Subitement elle prit ma bite dans sa bouche. Sans aucune préparation.
Elle se contenta d’abord du gland, mais bien vite elle enfouit la totalité dans sa bouche. Elle avait une expérience certaine de la chose. Elle parvint sans peine à me conduire au bord de l’orgasme. Sentant ma verge se durcir un peu plus elle arrêta de la lécher et serra l’embase de ma queue entre ses doigts.
L’envie d’éjaculer diminua instantanément et l’érection restait fabuleuse.
Elle maintint la pression pendant un petit moment en me disant : ’Comme cela tu vas en fabriquer plus…’, ’De quoi ?’ Demandais-je, ’Du liquide, voyons.’ ’Tu sais, je ne fais pas l’amour souvent. Il y en aura pas mal…’, ’Oui, mais comme cela il y en aura encore plus.’
Elle reprit ma bite en bouche, et relâchant la pression, elle se remit à la sucer. Très rapidement je me sentis près de l’éjaculation. Je le lui dis. Elle activa encore plus la succion sur ma bite et soudain, ce fut l’explosion. Au premier jet, elle ouvrit sa bouche en maintenant le gland à l’intérieur. Je pus voir mon sperme envahir sa bouche.
Elle referma ses lèvres sur ma queue, et elle avala tout ce qu’il y avait dans sa bouche.
Puis reprenant la succion, elle passa à nouveau sa langue sur ma bite, tout en aspirant très fort. Cela me faisait presque mal. Elle réussit à me faire jaillir une seconde fois dans sa bouche…
Elle relâcha ma verge et s’allongea sur le dos.
Elle était radieuse !
’Tu as aimé ?’ Demanda-t-elle.
’Oui, c’était super, mais je suis étonné que tu aies tout avalé…’
’Tu sais, j’ai l’habitude, et depuis longtemps.’
Je haussais les soucils d’étonnement : ’Comment ça depuis longtemps ?’
Elle sourit largement et me raconta son histoire.
’…/…
J’avais à peine dix ans quand mon père est venu un soir dans ma chambre.
Il me dit qu’il avait des choses importantes à me dire.
Il me parla longtemps des différences entre filles et garçons, de la conduite à avoir dans certaines circonstances etc.
Puis, comme je lui demandais des détails sur l’anatomie des garçons, il me présenta sa queue. Devant mon étonnement et ma curiosité, il me permit de la toucher. Elle était longue et fine. Très vite je la sentis grossir et vis ce bout de chair devenir plus gros, beaucoup plus long et très dur. Comme je lui demandais pourquoi, il me l’expliqua. Il me dit qu’il devenait dur pour pouvoir rentrer dans un trou que les femmes ont entre les jambes.
Il m’indiqua l’endroit précis du trou dont il parlait. Il y inséra un peu un doigt et cela me fit du bien.
Comme je lui demandais s’il pouvait mettre sa queue dans mon trou, il me dit que cela ne devait pas se faire entre père et fille.
La raison de cet interdit m’intriguait… Il m’expliqua que lorsque la queue d’un homme est dans le trou, et que l’homme la fait bouger, au bout d’un certain temps, l’homme fait sortir un liquide qui rentre au fond du trou, et ce liquide peut donner des enfants.
De plus en plus intriguée, je lui demandais s’il pouvait me montrer ce liquide. Il me dit que le seul moyen était pour moi de mettre sa queue dans ma bouche, et qu’il ferait comme si elle était dans le trou entre mes jambes…
La différence étant que je pourrais pas avoir d’enfants comme ça.
Je pris donc sa bite dans ma bouche. Ne sachant pas trop comment faire, il me dit d’imaginer que j’étais en train de sucer une glace. En suçant la bite de mon père, je sentais qu’elle tremblait un peu. Plus tard je la sentis devenir plus raide. Il me dit de mettre ma main ouverte près de ma bouche et soudain il sortit sa bite de ma bouche pour la déposer sur la paume de ma main, et je vis un liquide blanc jaillir de sa bite et coller dans ma main. Il me demanda de conserver ce liquide dans ma main et remit sa bite dans ma bouche en me demandant de continuer à sucer. Je sentis un autre jet sortir et remplir ma bouche. Je suffoquais un instant, faillis cracher, mais il me l’interdit. J’avalais tout le liquide qui avait un goût bizarre. Puis se retirant de ma bouche, il me demanda de lécher et d’avaler ce que j’avais dans la main.
Il me donna une bise sur la joue, et en me disant que j’étais une bonne et gentille fille, il me quitta pour retourner dans sa chambre.
Plusieurs jours plus tard, ma mère étant partie en voyage, à la fin du repas il me demanda si j’avais aimé ce qu’il m’avait fait découvrir. Entendant avec plaisir une réponse affirmative, il me demanda si je voulais recommencer. Je lui dis qu’oui.
Il prit un journal qui était sur la table, et me demanda de me mettre à genoux devant lui, mais sous la table. Il ouvrit sa braguette et me présenta son membre déjà durci pour que je le prenne. En même temps il commença à lire son journal, pour garder contenance au cas où un employé viendrait.
Sa bite avait un goût beaucoup plus fort que la première fois. Comme il n’avait pas pris sa douche, je compris que c’était le goût de l’urine…
Il éjecta dans ma bouche une quantité plus importante de liquide que la première fois. Je compris plus tard que, ma mère n’étant pas là depuis quelques jours, il vidait dans ma bouche ce qu’il ne pouvait vider avec maman.
Mais cette fois j’appréciai vraiment le goût de son liquide, qu’il me dit plus tard se nommer sperme.’
…/…’
Je lui fis remarquer que son histoire était croustillante, et qu’elle m’excitait beaucoup. Cela la fit sourire, et elle reprit son récit.
Petit a petit les pipes que je donnais à mon père devinrent une routine.
’…/…
J’aimais de plus en plus le goût de son sperme, à tel point que j’étais impatiente de me retrouver seule avec lui pour le goûter. Mon père, qui habituellement ne conduisait pas sa voiture, laissant ce soin au chauffeur, se remit au volant lorsqu’il m’emmenait en brousse pour visiter ses plantations.
Il arrêtait la voiture au bord de la piste pour que je lui fasse une fellation. Souvent il y en avait une à l’aller, et une autre au retour.
Une fois même, il me demanda de le sucer alors qu’il conduisait. Au moment ou il éjacula, il perdit le contrôle du véhicule, et la voiture finit sa course dans le fossé… Cela nous fait bien rire quand nous en reparlons.
Un soir, alors que je devais avoir douze ou treize ans, il invita des amis pour le repas, et la traditionnelle partie de mah-jong qui suivait. Les femmes allèrent au cinéma. Je montais dans ma chambre. Tout en lisant, j’entendais les bruits des dominos s’entre choquants. De temps en temps des éclats de voix troublaient ma lecture. Soudain des coups furent frappés à ma porte. Mon père entra. Il m’expliqua qu’il était en affaire avec ses amis, et que cela l’aiderait beaucoup si j’acceptais de leur faire à chacun une faveur… Je tentais de refuser mais il insista. Je donnai mon accord à la condition qu’ils aient la queue lavée avant que je les suce.
Mon père descendit en premier, je le suivis quelques instant plus tard.
Mon père était seul à table. Ses trois amis devaient être à la salle de bain.
Je n’eus pas à attendre longtemps. Il s’assirent, et je m’avançais à quatre pattes sous la table.
Le premier avait une queue très fine. Il me fallu assez longtemps pour le faire bander. Quand sa bite fut bien raide je la prit en bouche et il éjacula très vite en gloussant. Je fus étonnée de la vitesse avec laquelle il devint mou. Probablement était-ce dû à sa jeunesse…
Le deuxième, qui devait avoir la quarantaine, bandait déjà quand je m’approchais de lui. Il avait carrément baissé pantalon et slip, et je pouvais facilement prendre ses couilles dans mes mains pendant que prenais sa vcerge en bouche. Il fut le seul à parler, pour dire que mes mains étaient très douces et que ma bouche était comme du velours. Il éjacula au bout de cinq minutes environ. Son sperme était épais et copieux. Il grogna très fort et tenta de prendre ma tête pour l’appuyer contre son ventre, mais je réussis à l’en empêcher.
Le troisième, nettement plus âgé, avait une queue énorme et un gland rouge foncé fut plus long à venir. Son gland était tellement gros que j’avais du mal à l’enfourner. Au moment d’éjaculer, il se propulsa en avant. Ma tête heurta la table, et sa bite rentra au fond de ma gorge. Je n’eus pas à avaler, son liquide passa directement dans mon oesophage…
Je ne sus pas ce soir là si les amis aimèrent ma prestation. Par contre je fus comblée. En retournant me coucher j’avais l’impression d’être rassasiée. Seul mon pauvre papa n’eut pas droit à une pipe sous la table. Je me couchais et m’endormis.
Je me réveillais au milieu de la nuit. Papa était à califourchon au dessus de moi, il avait planté sa bite dans ma bouche, et elle allait et venait en cadence. Puis, je sentis qu’il enlevait ma culotte. Il la fit glisser sur mes talons. Me faisant replier mes jambes, il mit sa tête entre mes cuisses. Il arrêta de pistonner dans ma bouche, et posa la sienne sur mes poils. Puis, je sentis sa langue me pénétrer. Il fit des mouvements alternatifs dans mon trou, et reprit ses allées et venues dans ma bouche. C’était bon de sentir sa langue dans mon trou. Cela me chatouillait un peu, mais que c’était bon. Ma respiration était haletante. Plus il me caressait avec sa langue plus c’était bon.
Tout à coup je me mis à trembler. Mon corps se tendit comme un arc. Je vis des étoiles devant mes yeux. Comme je serrais fort sa tête entre mes cuisses, je sentis son sperme couler avec force dans ma bouche.
Une fois calmée, je lui demandais ce qui m’était arrivé. C’est ainsi que j’appris ce qu’est un orgasme.
…/…’
’Tu comprends pourquoi j’aime les bites, et pourquoi j’aime boire du sperme?’ ’Oui, je peux le comprendre.’
Je lui demandais si elle avait déjà reçu une bite dans son trou. Elle me répondit que non, parce que tous les ’vieux’ qui venaient à la maison préféraient se faire sucer, et que les jeunes avaient trop peur de son père pour tenter de la déflorer. Elle ajouta qu’elle aimerait bien découvrir l’impression que peut faire l’intromission d’une bite là où elle n’avait eu que la langue de son père.
Je n’avais pas besoin de cela pour avoir des idées…
’Mets-toi à quatre pattes sur le lit, et présentes-moi ta fente.’ Elle obtempéra. Je commençais à la lécher pour bien la faire mouiller. Puis, je mis un doigt dans son vagin. Bien vite je heurtais sa pastille. Elle était bien vierge. Me positionnant à genoux derrière elle, je mis ma bite à l’entrée de sa grotte. J’y entrais avec précaution. Arrivé en butée, elle gémit un petit peu.
’Ca fait mal ?’
’Non, pas trop…’
Je fis quelques mouvements de va et vient en ne forçant pas trop, juste pour l’habituer à la douleur de la pression de mon gland sur son hymen.
Elle commença à accompagner mes pénétrations de petits mouvements du bassin. Avec précautions, je sortais au maximum d’elle avant d’y rentrer à nouveau. Elle s’habitua à ces mouvements et elle commençait à me dire qu’elle aimait.
’Tu sens ma verge qui bute contre ta virginité ?’ Lui demandais-je.
’Oui je sens bien quand tu ne peux plus aller plus loin…’
’Tu veux vraiment que je te prenne ?’
’Oh oui, mais ne me fais pas mal…’
’Cela ne te fera pas mal très longtemps, mais tu verras comme cela sera bon après…’
Sans crier gare, je pris mon élan et j’enfonçai d’un coup brutal ma bite dans son vagin. L’hymen se rompit, me laissant entrer à fond. Elle n’eut pas le temps de réagir, et fut surprise de me sentir la posséder jusqu’à la garde. Je restais immobile, planté en elle, lui laissant le temps de s’accoutumer.
Regardant mon dard planté en elle, je vis un peu de sang sortir et couler le long de ses cuisses.
’Ca va ?’ Lui demandais-je.
’Oui, la douleur s’efface’.
Je lui demandai alors de se coucher sur le côté pour qu’elle ait une posture plus confortable. Elle replia spontanément ses jambes, de façon à me présenter ses fesses et me permettre de bien la posséder.
Très lentement je me mis à la baiser. Elle se mit à ronronner comme une chatte. Amplifiant ma pénétration, je sentis soudain mon gland atteindre le col de l’utérus. A chaque percussion je la voyais réagir. Elle aimait ça. Puis un véritable orage éclata. Elle se mit à trembler, alors que j’explosais en elle. Je déposais ma semence au plus profond possible dans son vagin. Elle hurlait son plaisir et sa jouissance.
Un peu plus tard elle me dit combien elle avait aimé se faire baiser. Elle ajouta qu’elle ressentait de drôles de contractions dans son ventre. Un peu comme quand le ventre gargouille de faim…
Je lui répondis que j’avais aussi aimé lui faire l’amour.
En caressant ses fesses, je tâtais son trou du cul en disant, par-là aussi c’est très bon… Elle ouvrit des yeux ronds d’étonnement. ’Mais pas aujourd’hui, la leçon est finie…’ Elle rigola.
Elle se leva pour aller se laver les jambes, les débarrasser des filets de sang séché qui y restaient. Je fis également un peu de toilette.
Il faisait maintenant presque nuit. La pluie s’était remis à tomber, mais sans commune mesure avec ce que nous avions eu toute la semaine.
Elle me demanda si j’avais de quoi manger à la maison. Je lui répondis que non, et que de toutes façons la popote étant fermée aujourd’hui, je prévoyais d’aller à l’hôtel. J’acceptais donc avec joie sa proposition de manger avec elle. Elle s’excusa, craignant de ne pas être une bonne cuisinière. Elle fit cuire des pâtes et deux morceaux de filet de boeuf. Je déclinais son offre de boire du vin et me contentais d’eau.
A la fin du repas, il pleuvait de plus belle. Elle m’assura que je ne pouvais plus rentrer chez moi maintenant. Il était trop tard, il pleuvait trop fort, mes vêtements n’étaient toujours pas secs, autant d’arguments auxquels je ne pouvais pas résister. Elle termina sa plaidoirie en me disant que la chambre d’amis était libre, et que son lit était doux et assez large pour deux. Je cessais donc de résister.
Installés au salon, nous bavardâmes un long moment. Elle me racontait l’ennui des longues soirées à l’internat de son lycée. Elle me parla de ses projets d’avenir. Elle comptait prendre la succession de l’affaire de son père. Son souci majeur concernait le garçon qu’elle épouserait et qui devrait l’aider dans cette tâche.
Je tiquais intérieurement, serais-je l’objet d’un lancé de filet ? Voulait-elle me mettre le grappin dessus, plus exactement voulaient-ils, ses parents et elle ?
Pour dangereux qu’il fut, je décidais, par jeu, de la laisser parler.
Elle m’expliquait en quoi consistaient les affaires de son père. Il achetait différents produits à des paysans, et les préparait en vue de leur exportation. Il cherchait à se lancer dans l’importation, mais il n’avait pas assez de fonds propres pour la mise initiale. Il cherchait donc des partenaires. Je compris le pourquoi des sessions sous la table, pour le plus grand bien des invités de son père…
Il s’intéressait au café, au girofle et surtout à la vanille. Ses affaires marchaient bien, malgré les incertitudes politiques de ce pays fraîchement indépendant.
Tout en parlant, elle s’était couchée sur le dos, mettant sa tête sur mes cuisses. D’une main je caressais ses cheveux, de l’autre je lutinais ses seins. Ils n’étaient pas très gros, mais ils étaient fermes et bien faits.
Bien sûr sous l’effet de mes caresses, les tétons étaient durs. Elle remonta ses jambes, sa jupe glissa le long de ses cuisses pour s’arrêter à l’aine de ses jambes. Je vis alors sa toison pubienne.
Partant de sa tête, ma main gauche se retrouva sur son sein, partant du sein, ma main droite atteint son entrejambe. Bientôt elle fut très excitée et demanda que l’on adopte la position du 69.
Elle enfourna ma bite dans sa bouche tandis que je commençais à lui sucer le pourtour de son vagin. Je cherchais son clitoris. Je ne le sentais presque pas.
Je me relevais pour voir plus commodément. Son clitoris restait engoncé dans son logement. Avec deux doigts je fis un léger massage. Il grossit un peu.
Posant mes lèvres sur le petit monticule, je réussis à le décalotter.
Elle poussa un petit cri de surprise. Je continuais de sucer et aspirer sa petite bite. Cela lui causait tellement de plaisir qu’elle en oubliait de sucer ma verge. Mais ses gémissements et ses contorsions m’excitaient.
Elle mouillait beaucoup et je buvais littéralement ses sucs.
Son orgasme fut ravageur. Des frissons la parcouraient des pieds à la tête.
Elle remuait la tête de droite à gauche. Soudain elle prit ma bite en bouche et aspira de toutes ses forces. J’éjaculais immédiatement, tout en continuant à aspirer son clitoris.
Elle finit par se calmer et resta sans bouger un long moment. ’Tu sais, mon père m’a souvent sucée, et jamais il ne m’a fait jouir autant que tu viens de le faire !’
Il était près de dix heures quand elle dit vouloir aller se coucher.
Quand je me réveillais le lendemain matin, elle était lovée contre moi.
Elle dormait encore profondément. Mon bras gauche lui servait d’oreiller, ma main droite de soutien-gorge. Je lui fis un petit baiser dans le cou et tentais de me dégager.
Comme je me soulevais légèrement, j’aperçus sa mère qui nous regardait. Je me levais d’un bond, sans même réaliser que j’étais tout nu. Line se réveilla en sursaut et, avant d’avoir le temps de dire quoi que ce soit, elle vit sa mère.
Sa mère se retourna et sortit de la chambre en disant qu’elle nous attendrait pour le petit déjeuner.
En m’habillant, je me demandais ce qui allait se passer…
Sa mère commença par me demander si j’avais fait l’amour avec sa fille.
Puis elle me demanda si je l’avais déflorée. Enfin elle demanda à sa fille si j’avais bien fait les choses. La mère parut satisfaite de nos réponses.
Elle finit par me dire que ce problème me concernait, pas elle. Elle m’assura qu’elle ne dirait rien à son mari, et que c’était à moi de décider ce que je devrais faire. Bien sûr elle insistait sur le fait que sa fille devrait être d’accord. Elle ajouta encore que son mari considérait que celui qui ferait perdre sa virginité à sa fille devrait l’épouser…
Je lui donnai encore trois leçons après ce jour là. Elle resta ’sage’ au cours des trois.
Le soir de la dernière leçon, elle fit quelques pas avec moi, pour me raccompagner. Quatre cent mètres après sa maison, la route n’était pas éclairée. De plus des bosquets d’arbres épais étaient susceptibles de bien cacher quelqu’un s’y abritant. Elle m’y entraina et se jetta à mon cou pour m’embrasser.
’Je crois que je t’aime beaucoup’ Dit-elle dans un souffle. Et toi ?’
Ma réponse fut celle d’un pleutre : ’Je ne sais pas…’
Certainement pour se rassurer elle me dit que cela viendrait peut-être avec le temps, Après tout je ne la connaissais que depuis une quinzaine de jours…
S’écartant légèrement de moi, elle retira sa culotte. ’Fais moi l’amour, ici, tout de suite.’ Elle s’attaqua à ma braguette pour en faire sortir ma queue. Elle me masturba un peu, puis elle se retourna et se pencha en avant, les mains sur les genoux. Elle me présentait son entrejambe en une invite irrésistible. Je la pénétrais d’un coup, à fond. Je me mis à la baiser, cherchant à profiter au maximum de cette aubaine, sachant que je ne pourrais plus le faire avant longtemps. A grands coups de reins, je la culbutais, enfonçant ma bite chaque fois plus loin en elle. Un court instant avant moi, elle se mit à jouir. Ma semence fusa en elle comme un jet d’eau. J’eu l’impression de n’avoir jamais éjaculé une telle quantité… Nous restâmes sans bouger jusqu’à ce que le bruit d’un moteur de voiture arrivant sur la route nous fit nous séparer.
Elle remit sa culotte pendant que je reprenais une tenue décente. Je la pris dans mes bras pour l’embrasser encore. ’Mon ventre recommence comme l’autre jour. Je sens de petites contractions, c’est bon…’
Elle serra sa tête contre mon cou. Je ne pus m’empêcher de caresser ses seins. ’Arrête, tu me redonne envie… Il est tard, il faut que je rentre.’ Elle partit vers chez elle et je la regardais jusqu’à ce qu’elle disparaisse de ma vue.
Les vacances terminées, Line retourna à Tanarive pour le trimestre.
Le jour de la sortie des classes, elle eut la chance d’avoir la dernière place disponible dans le DC4 qui partait pour la ville ou vivaient ses parents, et moi.
En montant dans l’appareil Line était tout heureuse, elle allait bientôt revoir ses parents, elle allait me dire qu’elle était enceinte, et en plus elle avait bénéficié d’une place assise en première classe, tout à l’avant de l’appareil pour le prix d’un billet normal…
Le DC4 s’écrasa dans une rizière en bout de piste, juste après le décollage.
De tous les passagers, il n’y eut que quelques survivants, des passagers se trouvant dans la queue de l’avion. Au moment du choc, l’avant de l’appareil s’enfonça dans l’eau et la boue, la queue se cassa et se mit à la verticale. Les passagers qui ne furent pas tués par le choc se noyèrent avant l’arrivée des secours. Seuls les passagers de l’arrière, suspendus par leur ceinture, restèrent hors de l’eau et furent sauvés.
Trente ans plus tard je fis, par hasard, la connaissance d’une rescapée de l’accident de ce DC4. C’est elle qui me dit que Line lui avait confié être enceinte d’un français. Elle avait aussi confié à la rescapée qu’elle espérait bien pouvoir se marier avec ce français, son père en tous cas ne s’y opposerait pas.