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La naufragée de la route – Chapitre 3




GERMAIN

Elyne est à ma merci. Je le sais.

Sous une emprise qui la dépasse, elle reste là, devant moi, les yeux baissés.

— Relevez la tête, et regardez-moi, lui redis-je sur un ton dur.

Elle lève brièvement vers moi ses adorables yeux verts, au bord desquels perlent des larmes. La honte sans doute. Incapable de soutenir mon regard, elle rebaisse la tête, déclenchant ma colère.

— Vous ne m’obéissez pas, Elyne ! Je vous avais prévenue !

Je saisis une cravache qui traînait sur un meuble, et je lève le bras.

— Non, je ferai ce que vous voudrez, supplie Elyne.

— Trop tard. Je ne répète jamais un ordre.

— Non, pitié Germain !

— Sachez, Elyne, que "pitié" est un mot qui n’a pas cours ici.

La cravache s’abat en sifflant, et dans un claquement sec, cingle le joli cul cambré de ma soumise. Elle crie, de douleur et de surprise, et une trace rouge apparaît sur ses fesses.

Elle peine à reprendre son souffle, mais déjà, la cravache se lève à nouveau, et vient frapper avec force les deux globes fermes, et délicieusement hâlés.

— Pour une première punition, nous en resterons là, lui dis-je. Que cela vous serve de leçon, et maintenant, mettez-vous à genoux.

Vaincue, Elyne s’agenouille sur le carrelage de pierre, froid et dur. Elle frissonne, et me fixe maintenant avec une expression implorante, pendant que je dégrafe le ceinturon de mon pantalon de cuir.

— Je veux voir si vous savez sucer correctement. C’est la première chose que j’exige que mes soumises sachent faire, mais il y en a beaucoup d’autres, vous verrez.

Après avoir été fouettée, Elyne semble un peu rassurée par ce nouvel ordre, et elle esquisse presque un sourire.

Je m’approche d’elle, et avec des gestes doux, elle fait glisser la fermeture de mon pantalon. Lentement, elle le baisse, en même temps que mon boxer, découvrant mon sexe qui commence à gonfler et durcir.

ELYNE

Mais dans quoi me suis-je embarquée ?

C’est la première fois que mes fesses subissent un tel traitement ! J’ai les fesses en feu mais ce qui est encore plus bizarre… C’est que j’éprouve une nouvelle sensation jusque-là inconnue pour moi… je mouille de plaisir suite à ces coups puissants de cravache !

Mon sexe est trempé ! Je sens ma cyprine couler le long de ma cuisse…

Je pense que cet homme… ou devrais-je peut-être dire maintenant mon maître, a dû s’apercevoir de mon état d’excitation !

Et me voilà en train de lui baisser son pantalon et son boxer !

Oh….. son sexe a jailli devant moi… il n’est pas encore dans son état maximum… mais… oh mon Dieu, mon maître possède un atout hors norme !

La taille de son sexe doit mesurer environ 20 centimètres et sa largeur… comment dire… est INCROYABLE ! Je n’ai jamais encore vu un sexe aussi… "étonnant" !

Quand il m’a ordonné de lui faire une fellation, j’ai souri naturellement… car c’est une chose que j’aime bien pratiquer… mais maintenant quand je vois ce sexe… je ne suis plus sûre de moi !

Je ne suis pas experte en la matière, mais aucun homme ne s’est jamais plaint de mes talents de suceuse… mais là… je ne pourrai dire si je pourrai mettre sa longue tige entièrement entre mes lèvres…

Alors tout doucement, encore un peu tremblante, j’approche ma langue sur cette longue tige et je viens la lécher de bas en haut jusqu’à venir effleurer son énorme gland gorgé. Je sens sa tige gonfler doucement sous ma langue et je me décide à engloutir de mes lèvres ce gland… Hummm… son goût est vraiment différent des autres hommes que j’ai pu sucer… un mélange de musc et de salé ! Un goût étonnamment agréable !

Alors je me mets à le sucer et à l’aspirer de plus en plus vite en jouant avec ma langue sur son frein… et je m’aperçois qu’il apprécie car son sexe grossit… grossit…

Je m’arrête quelques secondes et admire ce sexe en érection maximum !

Je lève les yeux vers mon maître… mais ce que je vois me fait peur !

Il me fixe d’un regard perçant et menaçant !

GERMAIN

La main d’Elyne tremble, mais elle n’hésite pas à approcher sa langue de ma queue.

Elle commence à la lécher doucement, sur toute sa longueur, à faire des allers et retours avec sa langue, douce et un peu râpeuse, comme celle d’une petite chatte. Elle s’y prend bien, et je commence à bander vraiment.

Elle ne paraît pas effrayée par la taille de mon sexe… Un bon point pour elle ! Car la nature m’a fait cadeau d’un engin aux dimensions très supérieures à la moyenne !

Au contraire, Elyne fait courir maintenant la pointe de sa langue tout autour de mon gland, qui gonfle un peu plus. Sans doute est-ce le résultat des coups de cravache – elle le prend dans sa bouche. Elle l’aspire… Elle suce divinement bien, cette petite salope ! Je suis certain que ça lui vaudra un grand succès, dans mes soirées…

Ses lèvres sont distendues par mon gland, qui déforme ses joues, et frappe au fond de sa gorge. Sa main continue ses va-et-vient le long de ma hampe et mon phallus a atteint le maximum de son érection. Elle étouffe, elle hoquette, et elle doit reprendre son souffle.

Elle se recule un peu, jette un regard affolé vers ma queue, et lève les yeux vers moi.

— Eh bien, qu’y a-t-il, Elyne ?

— Oh Germain…

— Appelle-moi Maître, dorénavant ! dis-je en la fixant sévèrement.

— Maître… Je n’ai jamais été prise par un sexe de cette taille !

— Il faudra t’y faire ! Dès maintenant !

— Non ! Je ne pourrai pas !

— Tu refuses ? Tu sais que je vais te punir ?

Je saisis Elyne par les cheveux, et je la fais se relever. Je tourne une des pinces qui enserrent les pointes de ses seins, et elle pousse un cri aigu.

Toujours en la tenant par les cheveux, je la conduis jusqu’à une longue table de bois, sur laquelle je la fais s’allonger.

— Replie tes jambes, et ouvre-les. Montre-moi ta chatte.

Elyne, tétanisée, obéit, et pose ses pieds sur le bord de la table. J’ai une vue en gros plan sur son petit coquillage, d’un rose nacré, sur les bords duquel perlent quelques gouttes de cyprine.

— Mais tu mouilles, ma parole. Tu aimes t’exhiber, n’est-ce pas ?

— Oui, Maître, répond Elyne, qui ne se risque plus à me contredire.

— Alors, ouvre grand ta fente, avec tes doigts.

Elle descend ses mains entre ses cuisses, et du bout des doigts, écarte ses petites lèvres. De son minou béant, coulent maintenant des gouttes de mouille.

Je m’approche d’elle, et je passe mon doigt à l’entrée de sa grotte. Je le remonte doucement vers son petit bouton, qui darde fièrement. Je me mets à le caresser, d’abord avec des gestes tendres, puis quand Elyne s’abandonne, je le pince durement.

A nouveau, elle crie. Je plonge alors deux doigts dans son intimité. Elle est encore plus ouverte et trempée que je l’espérais !

Bientôt, ce sont trois doigts que je fais coulisser dans sa jolie chatte toute lisse, chacun de mes mouvements accompagnés d’un joli bruit de succion, qui trahit son excitation. Alors, je présente devant sa bouche, mes doigts, luisants de sa sève.

— Goûte à ta cyprine, petite salope… Tu aimes ça ?

— Oui, mon Maître.

— Alors, tu es prête à ce que je défonce ton adorable petit minou ?

— Mon Maître… Votre sexe est si gros…

— Ce n’est pas ce que je te demande ! dis-je d’une voix forte, en pinçant brutalement son clito, et en le tournant entre mes doigts serrés.

— Ooooh !… J’ai compris… Oui Maître. Prenez-moi.

Sans attendre, je prends mon pieu à pleine main, et je le guide vers le petit abricot juteux d’Elyne. Je pousse contre ses petites lèvres, qui s’écartent, puis contre l’entrée de son antre d’amour. Mon gland force le passage, et Elyne pousse un hurlement, lorsque je la pénètre. Bon sang, ce qu’elle est étroite !

Mais je m’enfonce en elle, sans tenir compte de ses plaintes. Lorsque mon gland est passé, ma longue tige suit le même chemin, avec moins de difficultés. Mais il me faut un long moment, pour pénétrer Elyne entièrement.

— Tu me sens bien au fond de ta chatte, ma jolie petite chienne ?

ELYNE

Mon Dieu, son énorme sexe est rentré en moi… je le sens… il a distendu mes parois et la douleur est présente ! Mais le fait d’être remplie de la sorte est comme… comment dire… un bien-être ! Jamais je n’aurais pensé dire ça un jour !

Je suis à sa merci et il faut dire que j’aime ça… mon excitation est pratiquement au maximum !

Jamais un homme ne m’avait parlé aussi durement que lui.

Jamais un homme ne m’avait dicté des ordres aussi déplacés que les siens.

Jamais un homme ne m’avait amené si haut dans l’excitation.

Moi, Elyne, la petite fille de province écartant en grand ses lèvres avec mes doigts devant le regard sévère d’un homme que je ne connais pas….. et dont le pieu si énorme est venu engloutir ma petite chatte étroite…

Mais que suis-je en train de faire !?

— Monsieur, arrêtez s’il vous plaît, laissez-moi partir. Je ne peux rester ici avec vous…

Hannnnnn… mon clito est à nouveau pincé fortement et une nouvelle vague de chaleur envahit mon corps…

Je tremble… pas de peur mais de Plaisir…

— Elyne tu es désormais mienne, tu vas apprendre à dépasser tes limites avec moi et tu ne voudras plus repartir… J’en suis sûr !

Il est si sûr de lui… et cette drogue qui agit encore sur moi me fait entièrement lâcher prise.

Mon corps réagit… je mouille comme une petite Salope… et si ça continue, il va découvrir bientôt que je suis femme fontaine ! Personne ne connaît mon secret car personne ne m’a jamais encore amenée au si loin dans l’excitation !

Il faut dire que j’ai connu peu d’hommes jusqu’à maintenant… peut-être une dizaine… mais avec eux, c’était toujours la même chose !

FELLATION – MISSIONNAIRE- LEVRETTE ! Et moi, je restai plusieurs mois voire plusieurs années avec eux. Une belle petite fille bien sage !

J’essaie de me débattre pour pouvoir m’échapper de son étreinte. Je bouge mon bassin, remue les jambes… relève mon buste…

Hélas, il vient de comprendre mes intentions et lorsque je lève mes yeux vers son regard… là je tremble… Mais cette fois-ci… c’est la peur qui a pris le dessus…

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