En me retournant sur ma jeunesse, à 80 printemps, comme on dit, jai souvenir de mes premières expériences. A mon époques nous, les filles étions tenues serrées, ignorantes des choses de lamour.
Jétais en pension dans un établissement tenu par des religieuses. Une seule de nous nétait plus vierge, elle trouvait son plaisir le soir, au lit en se touchant. Elle était fière de nous dire ensuite quelle venait de jouir. Bien sur nous étions étonnées.
Plus tard jallais passer quelques jours chez une copine pendant les vacances de lété. Le dernier soir, jétais seule dans la chambre quand le frère de la copine est venu me voir. Je lui plaisais beaucoup, il me voulait. Pour le prouver il membrassait sur la bouche. Cétait agréable, sans plus. Il insistait pour coucher avec moi ce que je refusais fermement. Il insistait tel point quil est venu dans le lit, tout près de moi pour me toucher. Javais beau dire que je ne voulais pas, il ma baisée. Il me faisait mal, trop mal :je lai rejeté. Malgré mon refus il mavait dépucelée.
Plus tard, javais presque 20 ans quand un garçon plus sage me faisait la cour comme ça se faisait à lépoque. Je naccordais que des baisers sur la bouche. Cétait agréable. Je lai laissé faire quand, assis sur un banc public il a mis sa main entre mes jambes. Jy prenais plaisir. Je ne me suis que mollement défendue quand il venait sur ma sage culotte. Nous nous aimions, nous devions nous marier dici deux mois.il ma supplié de me faire lamour.
Comme à lépoque, je faisais comme les autres fiancées : je me donnais à lui. Je regardais avec curiosité une queue grossie. Je voulais bien la prendre dans ma main, je nosais pas le faire. Quand il a enlevé ce qui protégeait mon sexe, je lai accepté. Il ma baisé cette première fois sans que je sente un plaisir quelconque. Ce nétait que pour lui faire plaisir.
Quelques temps après notre union devant le maire, il ma faite jouir pour la première fois. Je chavirais dans le plaisir. Jaimais me faire baiser, jaimais quil me branle pour me faire jouir. Un soit il ma forcé à me toucher pour que je me branle.
Je nosais pas toucher mon sexe devant lui et même seule. Il a pris ma main la posé sur ma chatte. Je touchais mon clitoris avec répugnance. Je nai commencé à bouger un doigt que sous sa pression. Jai senti le même plaisir quavec lui, avec un petit plus, je me caressais exactement comme il fallait. Jai joui ainsi, seule devant lui qui se caressait la queue comme je le lui faisais.
La sodomie quil mimposait plus tard devenait plus active de ma part. Jaimais quand il posait sa pine sur lanus, je me branlais. Ensuite je lui demandais de la mettre totalement dans le cul. Cétait réellement bon. Jaimais être sur le dos, lui sur le coté, ma main sur mon con, sa queue contre mon anus. Quand mon plaisir montait je lui demandais de ma la mettre. Que de jouissances folles.
Un jour, nous étions en vacances, quand je lui ai demandé dacheter un gode. Javais honte daller choisir ce que je voulais avec lui. Il est venu vers moi, dans la rue où jattendais pour me montrer rapidement les deux godes : un moyen et un gros. Le gros était destiné à me baiser et le moyen à menculer. Le salaud, il me donnait envie en pleine rue. Nous avons vite rejoint lhôtel.
Je me souviens encore de la folie que nous avions cet après midi là. Nous étions à peine dans la chambre que jétais nue, le ventre plein denvie. Je crois que je lai presque violé quand je lai déshabillé moi-même. Sa queue bandait, je le lui prenais pour la sucer. Elle avait un peu goût à lurine, pile comme jaime. Tranquillement il sortait ses achats du paquet. Et je mouillais, mouillais sans cesse. Il me faisait coucher, me donnait les deux godes. Jallais me baiser devant lui pour la première fois.
Le petit gode mattirait, jallais le mettre dans la vulve quand il me donnait lautre, un énorme que je pensais avoir des difficultés à entrer. Il se touchait la pine, commençait à se branler devant moi, comme jaimais. Je posais le bout sur mes lèvres qui sécartaient lentement. Je pouvais me baiser. Je commençais à jouir presque avant de la mettre. Je lenfonçais au fond, je la lâchais, elle revenait comme pour sortir seule, je la reprenais en main pour la mettre encore dans le ventre.
Daprès lui je criais fort. Je ne men souviens pas du tout. Par contre jai encore en mémoire lorgasme. Jen ai voulu encore. Il ma obligé à me baiser encore devant lui. Jallais jouir quand il a mit lautre gode juste sur lanus. Je mouvrais plus que les autres fois quand il menculait. Il me la mise dans lanus avec mon consentement. Les queues se croisaient dans mon ventre, cétait bon, je jouissais plusieurs fois de suite. Je lui ai demandé de me donner sa queue dans la bouche. Il venait sur moi, les cuisses écartées, Je sentais ses testicules sur mes seins. Il posait sa queue sur ma bouche, ses mains la guidaient pour que je la lèche à sa convenance. Je continuais à me baiser, javais pris lautre gode pour continuer à être enculée. Je menais ainsi les deux fausses queues et sa pine. Il jouissait dans ma bouche. Javalais tout ce quil me donnait.
Il est sorti de moi, je retirais les godes. Je les avais encore en main quand jai eu envie de mamuser avec son cul à lui. Il acceptait que je lui écarte les jambes. Je voyais lintérieur de ses fesses pour la première fois. Il était poilu vers son anus. Jy mettais un doigt, comme il me faisait. Je lentrais facilement. Je goûtais mon doigt, donc son cul. Pas rebutée jallais lenculer comme il mavait fait il y a un long moment.
Il ne voulait pas que jaille par là, cétait mal le connaître. Moi je le voulais. Et ce que femme veut. Je gagnais quand jenfonçais très lentement le gode. Je devais lui faire du bien puisquil bandait. Lamusant est que sa queue suivait les même va-et-vient que le gode. Je le lui enfonçais le plus possible quand il jouissait sur mon visage alors que je ne touchais pas du tout sa bite.
Nous allions au restaurant de létablissement. Javais « oublié » de mettre une culotte. Nous étions assis parmi les autres. ? Je lui disant que javais envie de me branler, là, dans la salle du restaurant. Il me regardait effrayé. Javais encore plus envie. Je passais ma main sous la nappe, la relevais un peu, écartais les cuisses avant darriver sur le clitoris. Un jeune me regardait rougissant. Je lui montrais ma chatte en entier que ma main me faisait du bien. Je sentais la nappe bouger près de moi : lui aussi avait sorti sa queue pour lastiquer. Nous avons joui ensemble, moi dans ma main, lui sur la nappe. Le jeune qui nous regardait avait tourné les yeux. Je crois bien quil se touchait aussi.
Cétait il y a 60 ans.
Je dois avoir les godes dans une malle au grenier. Il faudra que vois une dernière fois avant de …