Voilà, j’avais enfin réalisé un de mes fantasmes, et cela m’avait énormément plus. J’avais aimé me sentir femme dans ce moment, j’avais aimé subir, j’avais aimé donner du plaisir à un homme, j’avais aimé avoir le gout de son jus dans ma bouche, et je savais que je préférais les hommes plus âgés que moi. Bref je n’attendais qu’une chose c’était de pouvoir recommencer.
J’avais repérer une aire de repos à un quart de chez moi ce qui étais pratique, car je pouvais y aller pendant mes jours de repos en semaine. Je m’y rendais donc régulièrement et j’avais décidé d’observer un peu comment cela se passait, pour apprendre les codes de ces lieux de rencontres. Sur cette aire de repos il y avait donc les toilettes et un peu derrière un sous-bois, j’avais remarqué que les hommes allaient souvent dans les toilettes pour ensuite se diriger a deux vers les sous-bois. Ou bien ils ressortaient et remontaient chacun dans leur voiture et le premier à partir mettait ses feux de détresses en route une ou deux fois et le deuxième véhicule le suivait. Pour ceux qui se dirigeaient vers le sous-bois je ne me faisais aucune illusion sur ce qui se passait mais j’étais intrigué par ceux qui se suivaient en voiture, donc un après-midi après avoir attendu une bonne demi-heure, je vis deux hommes qui étaient rentré dans les toilettes l’instant d’avant ressortir, les deux avaient dans les quarante ans l’un de taille normal et de corpulence moyenne l’autre était très grands et costaud. Le plus costaud démarra et enclencha ses feux de détresse en partant et le deuxième se mit à le suivre, je démarrais à mon tour en laissant un peu de marge, arrivé sur la quatre voies il prirent la première sortis toujours en se suivant, arrivé à la sortie il prirent les petites routes sur trois ou quatre kilomètres, et après un virage ils avaient disparus plus personne devant moi on était à l’entrée d’une petite foret, je fis donc demi-tour pour revenir sur mes pas et le seul endroit où ils avaient pu tourner sans que je les vois c’était un petit chemin de terre, je m’engageais dessus j’avoue que j’étais stresser et bien exciter aussi. Le petit chemin continuait sur cinq cents mètres et arrivait dans une clairière, là les deux véhiculent étaient garés sans plus personne dedans, je me stoppais sur le côté et descendais de mon véhicule, pas de bruit impossible de savoir où ils étaient passé, jusqu’à ce que le plus petit des deux sortes du sous-bois pour remonter dans sa voiture et démarrer en trombe. Puis le plus costaud sortie du sous-bois :
Qu’est-ce que tu fou la tu lui as fait peur il s’est barré maintenant
Désolé j’étais juste curieux de savoir où tout le monde allait en se suivant
Ba maintenant tu le sais, on vient ici car c’est plus calme que sur l’aire de repos, on est tranquille sauf quand un con se met à nous suivre.
Encore désolé
Etre désole ça ne sert à rien, je bande comme un âne et maintenant c’est toi qui va t’y coller
Et là-dessus il sort sa queue de son pantalon, effectivement il bandait comme un âne, et il était monté comme un âne également. Je reste là comme un con à regarder sa queue qui m’hypnotise, il me prend par le bras et me fait mettre à genoux devant lui et me colle sa queue sur les lèvres, je n’ai pas résisté bien longtemps, j’ouvre la bouche pour venir lécher son gros gland. Je la saisis à la base pour la faire coulisser dans ma bouche, mais elle est énorme impossible de la prendre entièrement seul le gland et quelques centimètres rentre et j’avais déjà la bouche distendue. Il prend ma tête entre ses mains pour me la maintenir et il fait des aller retours dans ma bouche, ma salive coule le long de mon menton et de sa queue, je m’agrippe à ses fesses pour éviter de tomber tellement il me défonce la bouche. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il me relevé et me fait prendre appui sur un arbre, il descend mon pantalon et me met le cul a l’air. Il me fait écarter les jambes le plus possible avec mon pantalon, me mets deux bonne claques sur chaque fesse qui me font tressaillir. Il écarte mes fesses et crache dans ma raie, je sens sa salive chaude coulé jusqu’à mon petit trou, et un de ces doigts me masser la rondelle. Je prends peur car vu son calibre je ne vois pas comment il peut me prendre sans me déchirer, surtout que je suis encore puceau du cul et l’absence de gel n’arrangera pas les choses. Il me masse la rondelle et m’introduit son doigt ce qui a pour effet de me faire gémir immédiatement, sa bouche s’approche de mon oreille, je sens son souffle et me murmure :
T’es une bonne salope toi, tu aimes ça. Dis-le.
Et sur ces mots il me met un deuxième doigt.
Oui j’aime ça, ouiiii
Je gémis comme une femelle, et je sens sa queue se frotter sur mes fesses pendant qu’il me doigte avec vigueur. Il finit par retirer ses doigts, et recrache une nouvelle fois sur mon trou ouvert, il me prend par les hanches et présente son gland devant ma rondelle. Je le sens qui pousse lentement, ça bute.
-Non, non s’il te plait non tu es trop gros, ça va pas le faire et n’as pas mis de préservatif.
Je lui dis ça en me redressant et me remettant face a lui. Il a le regard noir :
-Ok et bien tu vas me finir avec ta bouche, allez à genoux salope
Je m’exécute, je me mets à genoux le pantalon sur les chevilles le cul et la queue a l’air, et je m’applique à le sucer du mieux que je peux en étant soulager que mon petit cul a été préserver de cette queue énorme. Il continu de me labourer la bouche, je sens ce petit gout salé arriver dans ma bouche annonçant une bonne rasade de jus, mais au lieu de ma la laisser dedans, il la sort immédiatement et me jouis en plein visage une quantité de foutre incroyable j’en ai partout dans les cheveux sur le front, le menton, les joues et un filet dégouline dans ma bouche je m’en délecte. Je me retrouve à moitié à poil, avec le visage recouvert de foutre, il essuie sa queue sur mon visage et remonte son pantalon. Au moment où j’essaye de me relever j’entends le bruit d’un téléphone prenant une photo, je relève les yeux et cet homme me prend en photo en souriant.
Mais qu’est-ce que tu fous ?
Ecoute moi tu n’as pas voulu me donner ton cul, donc je viens de m’assurer que l’on va se revoir et que cette fois tu me le donnera sans discuter.
Quoi tu veux me faire du chantage, et qu’est-ce que tu vas en faire on ne se connait même pas, tu connais pas mon nom.
Ba tu sais une fois que je l’aurais posté sur tous les réseaux ça arrivera forcement dans les mains de quelqu’un qui te connais. Après c’est comme tu veux.
Salaud, merde
Ta gueule vu ce que tu as sur la tronche salope t’es pas en état de discuté. Tiens voilà mon numéro tu as une semaine pour me proposer un rendez-vous.
Non mais tu n’as pas le droit .
Ah ouais regarde ta queue, elle dit le contraire de toi.
Effectivement en baissant les yeux je vois ma queue dresser et gonfler, en fait cela m’excitait bordel mais je suis fou ou quoi. Là-dessus il remonta en voiture, et démarra.
J’étais plus que seule, après avoir remonter mon pantalon, je suis allé à ma voiture pour prendre des mouchoirs et m’essuyer le visage tant bien que mal. Je suis bien resté vingt minutes à réfléchir à la situation dans laquelle je me retrouvais, quoi faire m’abandonner à ses ordres ou bien attendre et voir en croisant les doigts que personne de mes connaissances ne voient les photos. Ma queue était-elle toujours raide dans mon pantalon
Histoire réel
