1- l’initiation

Béatrice est une femme sublime, elle a trente-sept ans, elle possède une poitrine généreuse et surtout une paire de fesses digne d’une Africaine. Elle vit avec un mari qui n’est que trop rarement à son domicile. Il est kinésithérapeute dans l’équipe de football professionnel de la ville, il suit les joueurs lors des déplacements, puis fait aussi des colloques santé auprès de ses collègues. Souhaitant, refaire sa condition physique suite à la naissance de son dernier enfant, elle est venue me demander si j’étais disponible pour devenir ce que l’on peut appeler maintenant une sorte de coach sportif. Lors de cette proposition, j’étais aux anges. Je dois avouer que j’avais le béguin pour Béatrice depuis longtemps. Par la suite, nous avons fait l’amour quelques fois, chez elle, dans un coin du bois et donc hier. Le fameux jour où j’ai découvert le plaisir de faire l’amour avec deux femmes en même temps, Sonia qui est sa meilleure amie, nous a fait découvrir une pratique que je n’avais jamais, fait la sodomie. Béatrice ne l’ayant jamais fait, m’avait refusé l’accès de son petit trou. Après une longue discussion, elle me proposa de l’initier à cette pratique. Aujourd’hui, j’en suis au quatrième jour de mes vacances de la Toussaint. Comme tous les matins, je me lève aux alentours de dix heures, je me prépare mon petit-déjeuner, je me douche et je prends le temps de regarder quelques clips musicaux sur la télévision du salon. Le temps passe, il est presque midi et la sonnette de la maison n’a toujours pas retentit. Pas forcément soucieux mais inquiet, je me demande ce qui provoque l’absence de Béatrice. Je regarde par la fenêtre et je vois la présence de la voiture de son mari. J’espère que ce n’est pas un jour de congé pour lui sinon je suis bon pour attendre jusqu’à demain afin de me retrouver dans les bras de ma tendre compagne. Je vais donc me consacrer aux révisions, mon esprit est toujours troublé, mais j’arrive quand même à me concentrer. Je parcours les livres de mathématiques, de Français et je révise mes cours de géographie. Lorsqu’aux alentours de quatorze heures trente, j’entends la sonnette de la maison retentir. Mon cur bat la chamade, je me dépêche d’aller à la porte, et surprise, c’est Béatrice qui est là. Je l’invite à rentrer, je l’embrasse avec passion puis lui propose de boire quelque chose. Elle est rayonnante aujourd’hui, elle porte une robe noire qui lui arrive à peine au dessous du genou, ainsi que d’un décolleté légèrement plongeant qui laisse paraître le haut de sa poitrine. Après être revenu sur terre, elle me propose de passer la nuit avec elle. Elle m’indique que son mari part pour Londres suivre une conférence pour améliorer ses compétences de kinésithérapeute et ses enfants sont chez ses parents. Je valide sa proposition, puis je pars dans ma chambre prendre quelques affaires de rechange le sourire aux lèvres. Nous voilà partis en direction de sa demeure. Nous entrons, puis nous commençons alors une sorte de vie à deux. Je veux profiter de chaque moment. Je suis avec une femme dont je suis petit à petit en train de tomber amoureux, je pense que c’est le bon mot. Même si hier, nous avons fait l’amour à trois, mes sentiments restent toujours identiques pour ma partenaire. Elle m’invite à rejoindre le salon que je connais bien maintenant, puis me propose de boire un rafraîchissement. Elle me signale qu’elle a des courbatures et qu’elle ne souhaite pas forcément faire de sport aujourd’hui. Dans un certain sens, cette proposition ne me dérange pas du tout. Nous pourrons vraiment profiter de chaque instant qui s’offre à nous. Je m’installe sur le canapé, Béatrice revient avec deux verres de jus de fruit, puis nous discutons des événements de la veille. Elle me dit que Sonia est une amie de longue date et que grâce à cette fille, elle avait appris la sensualité et le plaisir sexuel féminin. La douceur et la tendresse étaient un manque trop important dans sa vie de femme. Lorsque notre relation a débuté, elle a retrouvé ce plaisir venant de la part d’un homme. Ayant délaissé sa partenaire depuis plusieurs jours, elle souhaitait me tester afin d’avoir un autre avis sur mes talents au lit. Sonia lui a indiqué au téléphone hier soir qu’effectivement, j’étais quelqu’un de tendre, sensuel et que je pouvais être l’homme de la situation afin de lui faire découvrir d’autres plaisirs sexuels. Arrive donc le moment où Béatrice me parle de cette fameuse initiation à la sodomie. Elle a bien vu que son amie avait eu beaucoup de jouissances et elle veut aussi découvrir ce plaisir. La discussion prend des tournures de plus en plus érotiques, entre deux phrases, nous ne manquons pas de nous câliner ou de nous embrasser. Et de manière plutôt logique, je commence à ressentir une légère érection. Je prends l’initiative de poser une main sur sa cuisse encore vêtue du bas de sa robe noire, puis petit à petit, je la retrousse afin de toucher sa peau si douce. La réaction ne se fait pas attendre, un frisson électrise ma partenaire. Nous sommes côte à côte sur le canapé, je continue de la caresser avec passion, je sais qu’elle adore ce jeu de la sensualité avant d’aller plus loin. Je remonte encore un peu, je lui touche l’aine. Elle penche la tête en arrière, puis ferme ses yeux. J’en profite pour me mettre à genou, entre ses jambes. Je lui fais des bisous en partant des mollets jusqu’à sa vulve, je répète plusieurs fois cette activité, puis je vois apparaître sur son string bleu une petite tâche humide. Celle-ci ne vient pas que de moi, mais aussi du plaisir que Béatrice est en train de prendre. J’en profite pour passer un puis deux doigts à travers le tissu, ce qui ne manque pas de la faire sursauter. Je vois qu’elle soulève légèrement son fessier, je lui enlève son sous-vêtement et je plonge la tête la première en direction de ce petit abricot. Je savoure avec bonheur le jus de son nectar. Je titille son clitoris, je la doigte avec douceur au début puis plus la cyprine coule plus j’accélère la cadence. Des gémissements sortent de sa bouche, plusieurs jets de mouille inondent ma main, et je la sens partir dans une jouissance extrême. Je continue mes préliminaires en glissant lentement ma langue en direction de l’orifice qui jusqu’à aujourd’hui m’était interdit. Visiblement, la chaleur de ma langue ne dérange pas Béatrice. Je titille ce petit trou, puis une fois bien trempe, je tente une pénétration douce avec mon index. Mon doigt rentre sans aucune difficulté, ce qui n’empêche pas ma partenaire de sursauter une nouvelle fois et qui accidentellement accélère la pénétration. Je continue de jouer avec son anus un petit moment. Elle mord ses lèvres, puis ouvre les yeux, elle soulève ma tête avec ses mains puis me dirige vers sa bouche et m’embrasse. Je suis le mouvement et je me lève. Mon sexe est tellement dur que j’en ai presque mal. Je me déshabille complètement, j’enlève aussi les bretelles de la robe et du soutien-gorge de ma belle, puis je me mets debout sur le canapé à hauteur de ses seins. Elle saisit ma verge, commence à me masturber puis rapidement commence une fellation. Avec ses mains, elle me caresse les bourses, ce qui ne manque pas de me faire à mon tour frissonné de plaisir. Mon liquide séminal commence à faire son apparition, c’est alors qu’elle dirige mon membre vers ses seins. Je débute une branlette espagnole, je suis en extase, sa poitrine est douce. Après quelques instants de pur bonheur, je descends petit à petit en direction de sa vulve. Je la soulève un peu afin de lui faire quitter sa robe, lui écarte les jambes, et pénètre son puits d’amour. Les va-et-vient sont à la fois lents et rapides, j’aime la sensation d’être en elle, je me crois au paradis à chaque fois. Quand tout à-coup, elle me demande de m’asseoir, puis se met à califourchon au dessus de mon membre. S’ensuit une chevauchée remarquable, je ne manque pas de saisir à la fois ses seins ou ses fesses pour accentuer le mouvement. Ses fesses claquent sur mes cuisses. Je lui propose de se mettre en levrette, une position qu’elle aime énormément. J’ai la vision de ce petit trou sous les yeux. J’en bave presque d’être le premier à pénétrer son anus. Mais en attendant, je pilonne son abricot, j’aime cette sensation, celle d’être un peu dominateur. Je continue mes va-et-vient, puis avec mon index, je récupère un peu de mouille afin de l’étaler sur son petit trou. Aucun geste venant de sa part m’interdit de continuer. Je la prépare au maximum, son anus brille, je pense qu’il est temps de passer à l’acte. Comme un jeune puceau, je prends le temps de rentrer dans son orifice, d’abord le gland qui entre sans difficulté puis ma verge qui disparaît petit à petit avant d’en enfiler la totalité. Je reste dans cette position quelques secondes, je commence alors de léger va et vient. Aucune réaction de la part de Béatrice mis à part des gémissements beaucoup plus rauque que d’habitude. J’accélère le mouvement, puis finis par la pilonner. Ses cris sont, de plus, en rapide et l’intensité de la scène accentue la pression sur ma verge. Je sens gonfler mon sexe, puis dans un cri commun, je jouis dans les entrailles de ma partenaire. Du sperme sort de son anus et coule le long de ses jambes. Elle se retourne face à moi, me regarde dans les yeux, je crains le pire, puis finalement, j’entends un merci à peine audible sortir de sa bouche. Je m’assois à ses côtés, la prends sur mon épaule, son souffle est encore saccadé. Je vais nous chercher deux verres d’eau, puis nous discutons de l’événement qui vient de se produire. Timidement, je lui demande si tout va bien, si je ne lui ai pas fait mal. Elle me répond que non et que c’est un plaisir qu’elle souhaite reproduire avec moi. Il est presque dix-sept heures, le téléphone sonne, Béatrice met le haut-parleur, c’est sa meilleure amie qui l’appelle. Le sujet prioritaire est bien entendu le dépucelage anal de ma compagne. Puis celle-ci lui propose de fêter cet événement autour d’un petit dîner ce soir. Elle accepte l’invitation, moi aussi. Je sens qu’au cours de ce repas, l’ambiance risque d’être un peu, comment dire chaude et érotique.

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