Je me demande qui est la plus salope, me femme ou notre amante. Les deux sans doute. Outre le fait de baiser à trois, à deux si je ne peux plus les suivre, elles ont une nouvelle idée en tête. Une voisine leur semble une proie tentante. Il faut dire qu’il ne me déplairait pas de passer un long moment avec elle. Sous une apparence de jeune femme bien sage, trop sage à mes yeux elle doit cacher un sacré tempérament. C’est bien connu, plus une fille est sage, plus elle en veut. Après une baise particulièrement réussie, j’en parle à mes deux partenaires. Elles pensent aussi qu’elles aimeraient bien se payer son abricot. Les connaissant comme je les connais, je sais qu’elles sauront bien la lever pour elles d’abord, pour moi ensuite.
Je les laisse agir comme elles veulent. Mon épouse me tient au courant de leurs manuvres ou plutôt des siennes. Elle me dit qu’elle l’a invité pour un thé demain. Pour que tout marche, il faut qu’elles soient seules. Pour la laisser libre d’agir, nous allons avec notre amante chez elle dans le but de pour une fois de baiser seuls. Mon épouse l’accepte d’avance. Chez notre amie, nous ne perdons pas de temps à flirter: nous passons la case touche pipi. Nous sommes dans son lit, nus près à baiser. Je ne me souviens pas d’avoir été seul une fois avec elle. Nous allons nous en mettre plein les sexes, elle avec mon sperme, moi avec sa cyprine. Pour une fois nous n’aurons pas à partager avec une autre. Elle ne va pas se dépêcher de me faire jouir, au contraire. Elle entend prendre son temps pour redevenir hétérosexuelle. Nous commençons par un long baiser, bien serrés contre l’autre. Je lui caresse lentement les seins, je descends ma main vers son ventre pour arriver sur son clitoris que je décalotte avant de le branler. Elle a bien écarté les jambes pour cette caresse. Elle ferme les yeux, gémit doucement; il faut dire que je la masturbe à peu près comme fait ma femme. Je fait durer son plaisir au maximum: elle jouit plusieurs fois sans que je m’arrête un seul instant. Je n’enlève mes doigts que pour les mettre dans son con: je pose mon pouce sur son clitoris: Je le lui caresse encore tout en la doigtant. Elle me demande de surtout continuer, de la faire jouir, encore jouir.
Elle me prend la queue rien que pour la tenir, ainsi elle tient l’homme en entier. A force de m’exciter je ne peux plus tenir: je la couche bien comme il faut sur le dos. Je m’installe entre ses jambes: je la lui mets à fond dans ce con plein de cyprine. Il ne me faut pas longtemps pour la faire jouir. Je la tourne sur le ventre et sans préparation je l’encule, presque à sec. Elle se plaint un moment avant de jouir encore. Cette fois les crispations de son sphincter me font également jouir.
Pour elle il est temps d’aller chez moi pour voir où en est ma femme.
Nous arrivons sans crier gare, sans faire de bruit pour le cas où.Nous faisons bien, nous n’entendons que des soupirs venant de la chambre. Nous savons ce qui s’y passe, enfin nous le pensons. Nous faisons une très grosse erreur.
Nous pensions trouver ma femme baisant la voisine: c’est l’inverse. La voisine a un tempérament de dominatrice. Elle a couché ma femme sur le dos, la suce, l’encule avec le godemiché. Elle se masturbe en même temps. Nous la regardons nue: elle est plus que bien faite, elle est sexy, donne même envie à mon amante d’aller se soumettre au désir de la tribade. J’avoue que moi-même j’aimerai bien me plier à ses désirs.
Nous sommes tous nus. Je bande, mon amante me souffle dans l’oreille qu’elle va se mêler aux deux filles qui baisent. Je me contente pour le moment de me branler doucement. Notre amante vient se mêler aux jeux érotiques. Elle est bien accueillie par les deux baiseuses. Surtout par la voisine qui lui demande déjà de la sucer. Elle se met de telle façon que si sa langue est sur le clitoris de la voisine, son sexe est près des mains de ma femme qui sen empare. Le trio est formé: les trois filles s’envoient en l’air sans scrupule. Pourtant elles m’ont bien vu. Je sais qu’il faut que j’attende qu’elles finissent de jouir, alors je m’en vais dans le séjour pour regarder la télévision afin de penser à autre chose. Je tombe sur les "chiffres et les lettres". Je m’intéresse au déroulement du jeu. J’en suis presque à la fin quand arrive la voisine nue qui a envie de moi. Je suis prêt. Elle vient s’asseoir juste à coté de moi. Je ne sais même pas son nom: peu importe elle me colle un de ces baisers dont on se souvient longtemps. Sa langue est une des plus agile que je n’ai jamais connue. Elle fouille ma bouche partout. Avant la fin de ce baiser je bande déjà. Être embrassé par une jolie femme nue est très excitant surtout quand on ne la connaît pas. Elle voit bien que je bande. Elle sort ma pine du pantalon, se penche dessus, me suce juste pour me goûter: je sens encore la cyprine de notre amante, elle en reconnaît le goût. Ce n’est pas pour lui déplaire. Elle me quitte pour me branler un peu, pas longtemps, juste e qu’il faut pour bien mesurer la dureté de ma bite. Il faut croire que c’est bon pour elle comme pour moi: elle vient devant moi, me tourne le dos, s’assoit vers moi. Je ne sais où elle veut se la mettre. Je suis fixé quand après s’être bien mouillé la cul elle s’y enferre d’elle-même. Nous nous baisons de cette façon: elle jouit plusieurs fois. Heureusement que j’ai déjà bien joui cet après midi. Je tiens bien le coup. Après deux ou trois orgasmes, elle se lève m’embrasse encore avec le même baiser ravageur. Cette fois elle se couche à mes cotés: baises moi.
Que répondre sinon de lui obéir, ce n’est pas désagréable surtout de baiser une jolie fille, comme celle là, qui de plus avec les filles, est douce avec moi. Je la lui mets d’un seul coup dans l’abricot. Elle pousse un grand oui. Elle jouit encore plusieurs fois. Je tiens le coup. J’arrête de la baiser. Je lui ordonne de me faire jouir par sa bouche. Je me mets en 69 pour lui rendre la pareille. Nous voilà enfin les sexe de l’un sur ou dans le sexe de l’autre. J’aspire son clitoris pour simplement le lécher, elle m’a prit la bite dans la bouche: c’est bien mieux que dans son con. Je la fait jouir: elle s’arrange pour me faire jouir en même temps. Elle avale presque tout mon sperme: le reste est pour moi.
Nous avons ainsi une nouvelle maîtresse.
