Je suivis Louise par les caméras vaquer à ses occupations habituelles comme si de rien n’était.
J’en profitais alors pour visualiser le contenu des clés USB. La première était des vidéos sur leurs prouesses sexuelles de couple. La seconde contenait leurs ébats avec un autre couple que je ne connaissais pas.
La première vidéo de ce type, les montraient au bord de la piscine en tenue estivale. Le couple (Hugo et Estelle) était habillé en short blanc et polo crocodile pour lui, et une robe d’été à fleurs pour elle tenue par deux lanières fines montrant qu’elle n’avait rien d’autre dessous. Louise et mon père étaient en maillot de bain. Au début de la vidéo, mon père s’approcha d’Estelle. Il baissa sa caméra sur son entrejambe déjà tendu avant qu’elle ne lui baissa son maillot de bain. Puis elle saisit son membre et commença à le masturber de ses deux mains. En tournant la caméra, on voyait Louise déjà prodiguer une fellation à Hugo qui jouait avec les seins de la belle sous son maillot.
Quand la caméra revint sur Estelle, elle aussi pompait le sexe avec avidité. Elle devait très bien s’y prendre car mon père la fit reculer rapidement. Il l’enjoignit de se mettre à quatre pattes sur le transat avant de lui prodiguer un cuni après lui avoir écarté son string. Estelle partait dans les quarts de tour et mon père lui fourra deux doigts dans son vagin, quand elle se mit à se balancer au rythme de ces doigts, il lui en mit un troisième dans son anus ce qui acheva sa jouissance.
Mon père la remit en position avant de l’enfiler avec son sexe bandé à mort. Il tourna la caméra et on voyait Louise à califourchon sur Hugo qui lui prodiguait un coït à grande vitesse, entrant et sortant son membre au maximum de ses capacités en sachant qu’Hugo n’avait rien à envier à mon père. Celui-ci filma en gros plan ce sexe qui entrait et sortait rapidement, faisant lâcher des cris de plaisirs à Louise qui jouit au moins trois fois avant qu’Hugo ne se libère à l’intérieur de sa grotte. Cela du émoustiller mon père car il revint sur le cul d’Estelle qu’il était en train de défoncer pour se filmer déchargeant lui aussi à l’intérieur sous les cris de la femme.
Il revint sur la position de Louise qui s’était soulevée pour se libérer du membre d’Hugo et d’où un paquet de sperme s’écoula du sexe pour tomber sur le short qui n’avait pas été pris en peine d’être ôté. Quand il revint sur lui avec la caméra, il se retira doucement du sexe d’Estelle qui s’était effondré sur le transat, remontant ainsi son fessier et mon père filma en gros plan l’intérieur du vagin encore largement ouvert et d’où le sperme, par les contractions revint à la surface pour finir éjecter sur le transat. Il n’y avait rien à dire, mon père savait y faire avec une caméra.
Ensuite, les deux femmes se mirent sur le dos sur les transats et les deux hommes s’approchèrent leurs sexes encore tendus. Mon père commença à filmer Hugo se libérer en urinant sur Louise toujours en maillot puis commença lui aussi de la même façon sur Estelle toujours habillée de sa robe. Celle-ci s’assombrit au fur et à mesure que mon père lui faisait dessus puis Estelle s’approcha de la source pour le prendre en bouche et on la vit déglutir ce que mon père lui lâchait en bouche.
Louise elle se prenait une douche dorée en se faisant arroser sa chevelure qui lui colla à la peau alors que son maillot par transparence ne cachait plus grand-chose. Puis ils inversèrent les positions et les femmes montèrent sur les transats pour arroser les hommes. Mon père filmait en gros plan les sexes écartés et l’urine jaillissant de leurs petits trous. Si j’avais eu une petite culotte entre les mains, je l’aurais certainement remplie de mon foutre une troisième fois. Je ne connaissais pas l’urologie, mais je crois bien que mon père venait de m’y initier.
Ils continuèrent leurs ébats, sur la vidéo, revigorés par une fellation de leurs femmes respectives avant de terminer par une éjaculation anale dans celle de son voisin.
Les deux autres vidéos avec eux, ramenaient presque à la même chose hors urologie, vu que cela se passait dans la chambre d’à côté pour la seconde, et dans celle certainement d’Hugo et Estelle, pour la troisième.
La troisième clé abordait un autre genre. Il y avait aussi trois films dans laquelle Louise tenait le rôle principal entourée de plusieurs maux. Mon père lui ne faisait que filmer.
Après avoir excité les maux par fellation et masturbations, Louise commença par se faire enfiler par les hommes les uns après les autres. Ce qui me surprit, c’est que ces hommes n’utilisaient pas de préservatifs. Connaissant mon père sur tout ce qui tient de la propreté et de l’hygiène, il avait dû leur demander de sacrées garanties pour les laisser agir de la sorte.
Ce qui m’interpella aussi, fut que ces Hommes déchargeaient dans le sexe de Louise et que le suivant trempait son sexe dans le foutre des précédents. Elle était en missionnaire au début et au bout du troisième homme, les sexes qui entraient et sortaient étaient maculés de blanc. Le sixième avait tellement de foutre à décharger, que le sperme gicla sur tous les côtés du sexe enfoncé jusqu’à la garde. Quand il se retira, Louise s’accroupit et une fontaine de foutre s’échappa de son vagin sur les draps filmé en gros plan par mon père. A peine le sperme écoulé, elle se mit en position levrette et les hommes continuèrent leur besogne en continuant de décharger dans le vagin.
Le dernier de la série (le onzième ou douzième de la soirée, je n’avais pas compté) était un black magnifiquement membré. Quand il s’introduisit; deux jets de spermes s’échappèrent sur les côtés ainsi qu’à chaque entrée de son sexe dans le vagin par le trop-plein qu’il remplissait. De noir, il était vite passé blanc et Louise qui n’avait visiblement pas beaucoup joui lors de cette soirée, était en train de se rattraper et prenait vraiment son pied par les mouvements et les cris qu’elle produisait. Le black endurant la tenait par les hanches. Plus rien ne sortait de son sexe hormis le membre disproportionné qui lui remplissait toute la cavité vaginale vide maintenant. Puis, dans un grognement, l’homme lâcha la purée. On voyait les soubresauts de son sexe qui envoyait le sperme au fond du vagin sous les cris de jouissance de Louise. Cela semblait interminable sous les gros plans de mon père. Il finit par se retirer laissant Louise pantoise. Elle se pencha en avant afin de venir avec ses mains écarter ses lèvres intimes afin que mon père puisse filmer les contractions vaginales expulser la dernière livraison de sperme.
Mon père filma les draps et un sacré volume de sperme venait d’être perdu à jamais. Jamais je n’en avais vu une telle quantité et Louise avait tout éjecté de son vagin.
La vidéo se terminait par mon père la remplissant à son tour alors que certains hommes inondaient son visage par une seconde giclée.
La seconde vidéo de cette clé montrait la même chose quasiment mais en anal avec plus de monde et la troisième avec toujours plus de monde montrait Louise bouche ouverte se prendre une heure de foutre en bouche qu’elle avalait tous les trois ou quatre bonhommes. Un jour, je les comptais et il y avait quarante-huit mecs qui lui avaient rempli la bouche.
Ainsi, je venais de découvrir que mon père et Louise avaient un esprit plus qu’ouvert sur le sexe. Mais là, je venais de toucher et de violer leur intimité. Je commençais à avoir des remords avant de me rappeler que c’est ce que je faisais depuis quelques jours avec les caméras. Mais ces films contenaient des personnes qui n’avaient rien à voir avec ce que j’entrevoyais avec Louise et mon père. J’entrepris alors de supprimer ces enregistrements que j’avais copiés même si je décidais de garder sur une clé USB le premier film que j’avais vu avec Estelle et Hugo afin de pouvoir remplir plus aisément les culottes de Louise.
Il se faisait tard maintenant. Je coupais tout pour aller manger quelque chose. Louise était dans la cuisine assise à table en train de boire un thé tout en lisant un magazine. J’entrepris de me faire réchauffer un reste de lasagnes aux micro-ondes sachant que Louise dinerait avec mon père. Une fois prêt, je me mis à table. J’avais pris aussi un téléjournal que je lisais en mangeant quand j’entendis une cuillère tombée. Je vis Louise gesticuler puis me demander si je pouvais bien la lui ramasser car elle était trop loin. Je passai ma tête sous la table et vis la cuillère en face de ma place sous l’autre chaise. Je passai donc entièrement sous la table pour aller la chercher quand je vis Louise écarter les jambes alors que je passais à son niveau. Je ne pus que constater ce qu’elle portait dessous et que je connaissais parfaitement. Mais comme elle jouait la provocation, faisons de même comme si de rien n’était. Je saisi mon portable le mit en position et activa la photo pour prendre son entrejambe. Le flash se déclencha comme je le souhaitais mais au lieu de fermer les jambes, Louise les laissa ainsi ouvertes. Je zoomais donc et pris une seconde photo avant de remettre l’appareil en poche et de ramasser cette foutue cuillère. Une fois redressé, je la lui tendis. Elle me dit juste merci sans lever son nez du magazine comme si elle n’avait rien vu. Le reste se déroula sans rien de particulier.
Louise avait joué de nouveau la provoc pour bien me montrer qu’elle savait que je lui avais rempli ses culottes de sperme mais elle ne savait pas que je savais qu’elle en portait une de celles-ci. Il est vrai que cela ôtait un peu de piquant à la situation mais j’espérais que cela l’inciterait à aller plus loin.
Une fois mon dîner fini, je débarrassais la table et le plancher pour remonter dans la chambre. Je sortais les photos sur mon ordi. Elles étaient nettes et me firent bander malgré tout. Voir les jambes écartées sur une culotte souillée avec en gros plan sur la seconde le haut de ses lèvres intimes par transparences firent redresser mon mât de misaine. On arrivait aussi à voir que du sperme avait coulé et séché sur les côtés de ses jambes.
Je vis sur une des caméras Louise qui remontait dans la chambre. Elle alla vers sa table de nuit et l’ouvrit pour prendre un vibromasseur et s’installa sur le lit. Elle remonta sa jupe et commença à utiliser son sextoy sur son clito. Sa respiration commença à s’accélérer puis, au bout de deux minutes, elle ôta la culotte pour se frotter à vif. Elle ne mit pas longtemps à jouir et ses cris s’entendirent à travers le mur. Encore de la provocation. Une fois remise, elle alla ce coup-ci mettre sa culotte aux affaires salle puis redescendit dans le salon sans avoir remis quoi que ce soit.
Quand mon père rentra, elle joua l’aguicheuse mais mon père lui signifia qu’il passait son tour, visiblement fatigué. Mais une fois dans leur chambre, après avoir diné et regardé un film, Louise se rattrapa de sa soirée semi-ratée au vu des cris de jouissances que j’entendis mais que je ne vis qu’à moitié par infrarouge vu que cela se passait sous les draps.
Le lendemain, lassé d’être derrière mon ordi pour pas grand-chose, je décidais de sortir. J’allai au ciné puis voir des amis pour finir dans une boite de nuit avec eux.
Je rentrais tard et me coucha illico. A mon réveil, le soleil était déjà haut dans le ciel. En effet, on avoisinait les midis. Je descendis après une bonne douche revigorante pour me faire à manger. Louise n’était pas là visiblement. Elle rentra quand je finissais de débarrasser la table. Je lui proposais de lui faire à manger mais elle me signifia qu’elle avait déjà mangé. Elle portait un chemisier blanc quasi transparent. On voyait ses tétons en fonction du frottement du vêtement sur sa poitrine. Une jupe fendue relativement haut tenue par une petite ceinture où l’on voyait ses bas et un porte-jarretelle.
Elle avait dû faire retourner plus d’une tête si elle était sortie de cette manière et cela devait être le cas, car elle avait de nouveau deux sacs de course. Tout le temps où on était ensemble, elle chercha à m’aguicher. Je lui retournais la pareille en lui montrant que je n’étais pas insensible en lui laissant voir la bosse de mon pantalon. Je finis par m’éclipser dans ma chambre. J’allumais tout de suite mon écran. Louise était passée dans le salon. Je la vis saisir la télécommande de la chaîne et passer de la musique.
Elle resta ainsi debout quelques instants debout puis commença à battre la mesure. S’ensuivit un début de danse avec déhanchement lascif. Ses mains se mirent à caresser son corps doucement. Puis, ses caresses se firent de plus en plus poussées. Elles passaient régulièrement sur ses seins, ses hanches, remontaient dans sa chevelure avant de redescendre dans l’échancrure de sa poitrine. A la seconde chanson, elle se mit à tourner sur elle-même lentement en continuant ses caresses. Ses mains s’attardèrent de plus en plus sur sa poitrine finissant par libérer un bouton du chemisier. Une main parfois disparaissait entièrement dans le décolleté afin de se malaxer un téton durci par le plaisir naissant. S’ensuivit un second bouton qui permit de voir la quasi-intégralité de sa poitrine alors que les pointes empêchaient au chemisier de s’ouvrir plus amplement. Les mains baladeuses s’immisçaient aussi maintenant parfois sous la fente de la jupe.
Elle arrivait à faire cela avec une telle sensualité que je bandais comme un taureau à voir ce spectacle. A la troisième chanson, un nouveau bouton céda et la poitrine de Louise apparut dans toute sa splendeur. Les extrémités tendues n’appelaient que des mains pour les titiller. Louise se déhanchait de plus en plus et jouait maintenant avec la ceinture de la jupe. Elle finit par la retirer à la quatrième chanson et la fit tournoyer au-dessus de sa tête comme un lasso. Deux autres boutons sautèrent également libérant sa poitrine généreuse dans sa quasi-totalité. Les pans du chemisier restant malgré tout pris dans les plis de la jupe. Je trouvais son cinéma malgré tout étrange. Sa façon de danser et de se déhancher était comme pour se montrer pile comme si la caméra était pour elle la salle de spectacle. Elle posa ses mains sur le canapé et commença à onduler son corps m’exposant son postérieur encore dissimulé par la jupe. Ses seins pendaient et se balançaient en fonction de son ondulation. Elle se redressa immobile et au début de la cinquième chanson, fit glisser lentement le zip de sa jupe.
Celle-ci, libérée, commença doucement à tomber sous le poids de la gravité empêchée seulement par les mains de Louise qui jouait encore avec. Elle finit par atterrir au sol et elle la jeta du pied sur le fauteuil à côté. Son postérieur était maintenant dissimulé par le chemiser grandement ouvert et elle passait ses mains sur sa généreuse poitrine. Ses jambes gainées dans les bas faisaient de petits pas de danse. Elle se remit dans la même position que tout à l’heure en prenant appui sur le canapé et en ondulant son corps. Seule la base de son fessier était alors visible. A peine devinait-on la couleur de son string par la transparence du chemisier. Louise se redressa une nouvelle fois puis se retourna face à la caméra en continuant sa dance lascive. Elle fit sauter le dernier bouton avant enfin d’enlever son chemisier et de le jeter au sol au loin.
Elle se retrouvait ainsi quasi nue en string et en bas et porte jarretelle face à la caméra. Ses mains caressaient tout son corps, s’attardant dans sa chevelure, sur sa poitrine et maintenant sur son sexe. Je n’écoutais même plus la musique, subjugué par le spectacle qu’elle m’offrait. Elle finit par s’assoir sur le canapé jambe écartée m’offrant son entrejambe alors qu’elle se malaxait ses seins puis elle ouvrit les yeux en regardant la caméra. Je reçus ce regard comme un électrochoc. Il n’avait pas duré plus d’une demi-seconde mais ce fut comme si elle m’avait regardé directement dans les yeux. Ses mains continuèrent leurs manèges sur son corps avant de s’attarder de plus en plus longtemps sur le devant de son string mimant parfois une masturbation. A un moment, elle passa franchement la main en dessous du vêtement et se mit à la remuer sur son clito. Sa respiration visiblement s’accéléra. Et alors qu’elle introduisit deux doigts dans son vagin elle rouvrit les yeux en regardant fixement la caméra cette fois-ci et elle tendit son autre main dans sa direction et fit le geste « viens ici » avec son index. Ce coup-ci, il n’y avait plus de doute : J’étais grillé. Que faire ? Y aller franchement ou alors la queue basse ?? Il n’y avait pas trente- six solutions et malheureusement, mon corps ne voulait pas que j’y aille la queue basse justement. Alors je pris mon courage à deux mains et descendit.
Elle était toujours assise sur le canapé et continuait sa masturbation. Quand elle m’entendit arriver, elle ouvrit juste les yeux sans s’arrêter. Elle me fixait droit dans les yeux et continuait ses vas et viens sous son string. Alors, voulant répondre à sa provocation, je baissais mon pantalon puis mon boxer pour lui présenter mon sexe au garde-à-vous que je m’empressai de polir doucement. A ce qu’elle voyait, elle retira elle aussi son string et m’offrit sa masturbation. Nous étions là, l’un en face de l’autre à se donner un plaisir mutuel en se regardant droit dans les yeux. Ses doigts sortaient parfois pour caresser le clitoris qui apparaissait sous son petit étui avant de replonger dans son antre. Sa seconde main finit par passer sous son fessier et elle titilla son anus avec un doigt avant de le faire entrer dans le petit trou. C’est alors qu’elle partit en premier en criant sa jouissance à travers toute la maison. Je ne pus que la suivre tant le spectacle était grandiose en lâchant de grandes giclées de perme sur son opulente poitrine. Louise était visiblement exténuée de sa jouissance car elle ne bougeait plus à part le rythme de sa respiration élevée et avait gardé ses doigts dans ses trous ouverts. Elle avait les yeux fermés. Alors je sortis mon portable pour prendre une photo tant que je le pouvais sans le flash de Louise affalée ainsi, les doigts bien plantés et recouverte de sperme.
Je remontais mon boxer et mon pantalon et quitta la pièce pour rejoindre ma chambre.
À suivre