J’aime bien ma petite chatte. Déjà, j’aime bien le nom. Chatte. Je ne sais pas quel génie a eu l’idée de donner ce sobriquet félin à ce lieu de plaisir, mais quand je caresse son doux pelage dans l’intimité du noir de ma chambre, et plus encore quand elle me fait ronronner, je ne peux qu’être d’accord.

Elle est jolie, ma petite chatte. Les poils doux et bruns, naturellement peu envahissants, forment un écrin à deux grandes lèvres bien définies, bien jointives tout du long à moins qu’une mauvaise pensée ne me traverse l’esprit. Les hommes qui l’ont vue, il y en a quelques uns, m’ont toujours complimentée sur la beauté de ma chatte. C’est d’ailleurs cette qualité esthétique qui m’a valu l’aventure que je vais vous raconter ici.

Je suis à l’aise avec mon corps, des vacances en camping naturiste m’ayant sûrement aidée dans cette voie, et me montrer nue est non seulement naturel, mais aussi un grand plaisir. J’ai eu souvent l’occasion de discerner le trouble qu’engendre mon corps exposé dans le regard des hommes. J’ai donc saisi l’occasion qui se présenta à moi un jour de devenir modèle pour un cours de dessin. Un petit job d’étudiante affamée, et une occasion excitante de s’exhiber.

Lors de ce cours, par session de vingt minutes, je m’exposais sensuellement, nue, aux yeux d’un groupe majoritairement masculin. Après vingt minutes, une petite pause (vous n’imaginez pas comme c’est exigeant de tenir la pose) pour déambuler, toujours nue, au milieu de ces artistes débutants, aller voir et commenter leurs dessins. Après quelques sessions, je m’offrai une petite pause cigarette dehors, juste cachée d’un t-shirt trop court pour tout masquer, sur le palier de l’escalier de secours, desservi par une petite porte au fond du couloir.

Un autre fumeur vint me rejoindre. Un bel homme, la quarantaine en forme. Il alluma sa cigarette, et après quelques banalités d’usage, il me complimenta sur mon corps et me fit savoir qu’il était photographe professionnel. Il cherchait à apprendre le dessin pour s’améliorer dans son art.

— Votre corps m’inspire beaucoup, vous avez la morphologie qui correspond au travail que je suis en train de réaliser. Je n’ai jamais dit ça à aucune femme, mais votre sexe est d’une beauté remarquable.

— Ah oui ? Et c’est quoi ce travail ?

— Je fais une série sur le corps féminin et le regard. Des poses et des éclairages qui mettent en avant le regard du modèle, tout en attirant aussi l’attention sur leur corps. Faire naître un trouble dans le regard du spectateur, en somme. Avec vos yeux et votre sexe, tous trois si parfaits, j’ai très envie d’une séance en studio avec vous.

— Pourquoi pas, répondais-je, l’aventure me tente

Rendez-vous était donc pris. Les consignes étaient strictes : pas de maquillage, pas de vêtements moulants, ni de sous-vêtements, afin de ne pas faire ces marques qui prennent du temps à s’estomper. Me voilà donc habillée d’une robe légère, nue en dessous, pour traverser la ville et me rendre au studio. Les frissons causés par le vent caressant mes cuisses nues jusqu’en haut étaient démultipliés par la peur d’être entièrement dévoilée d’une rafale plus lubrique que les autres.

Arrivée à l’adresse, j’étais accueillie par le photographe. Il me présenta à son équipe, un maquilleur, deux assistants, un technicien. Le studio était impressionnant, grand, très bien équipé. Un grand fond déroulant, des flashes et des boîtes à lumière à ne plus pouvoir les compter, vraiment un studio professionnel. Il était très fier de préciser qu’il travaillait en argentique, et pas en numérique. Sans perdre de temps, en l’écoutant, je retirai ma robe pour m’habituer à la température du lieu. Un coup de maquillage, une petite retouche de coiffure, et me voilà au centre de tous les regards.

On essaya plusieurs poses. Chacune prenait un temps infini, de réglages de lumière, d’ajustements au millimètre. D’abord debout, l’air ingénue, puis allongée, langoureuse, l’artiste n’était pas très satisfait du rendu. Si avec ses précédents modèles il avait essayé de mettre en avant leurs seins, leur ventre, leurs fesses, j’étais la première à être là pour mon sexe.

Je proposais, en la montrant, une pose comme sur le tableau « L’origine du Monde », mais on se mit finalement d’accord pour une pose assise, par terre, les genoux jointifs, mais les chevilles éloignées pour laisser apparaître ma petite fente. Mes mains posées sur mes genoux soutenaient ma tête, légèrement penchée. Mon buste penché, mes seins s’écrasaient contre mes cuisses. Afin de parfaire le rendu, le maquilleur vint même me mettre un peu de fond de teint sur mes grandes lèvres. Très troublant d’exposer son intimité de la sorte pour se la faire poudrer, masser, par un professionnel qui ne montre aucun signe d’excitation Je reprenais la pose, travaillant le regard pour captiver le spectateur, tout en lui exposant sans mystère ma chatte, offerte à l’objectif. J’avais peur que mon excitation se voit, que l’humidité intime ne tache le fond de teint et trahisse mes envies les plus inavouables du moment.

— Vous pouvez essayer d’écarter un peu vos fesses avec vos talons ? J’ai besoin qu’on voit mieux.

Je m’exécutai, me contorsionnant dans une position de moins en moins confortable. Je me mettais un peu plus accroupie, et laissait mes talons écarter un peu ma peau, tirant légèrement sur mon sexe, séparant légèrement les grandes lèvres. Je me disais que là, ça devait vraiment luire sous les lumières. Ce que le photographe nota. Il glissa quelques mots au maquilleur, qui vint, en se penchant, éponger et poudrer encore un peu mes lèvres. Le contact, eût-il été un peu plus prononcé, m’aurait fait jouir en un éclair.

— OK, rajoute un peu de puissance sur le 4, merci ! Baisse un peu le ventilateur, Kevin. OK. Bon, on la tente comme ça. Attendez, bougez plus. Un peu plus de lumière sur l’entrejambe. Oui, le regard, vers moi. Baissez un peu la tête. Oui, bien. Regardez moi, comme si j’étais un pervers qui ne voit que votre sexe et que vous rabrouez. Très bien. Oui. Comme ça. Parfait. Le bras, un peu plus naturel. Oui. Très bien. Kevin, va lui remettre la mèche sur l’avant.

L’artiste était comme seul, distillant ses ordres, déclenchant avec parcimonie. Je sentais son regard professionnel sur mon corps offert à son art. J’espérais que le regard ne fut pas que professionnel, j’avais vraiment envie de lui plaire à ce moment-là. Peut-être un vieux réflexe d’allumeuse, peut-être une attirance sincère, mais il fallait que je me force à ne pas m’imaginer me faire prendre là, tout de suite, sans autre forme d’approche. Je ne m’offrais pas à son objectif, je m’offrais à son sexe que j’imaginais.

Puis à un moment, il décida que c’était suffisant. Il m’autorisa à me relever, j’en profitais pour faire quelques étirements, autant pour soulager mon corps que pour profiter une dernière fois d’être nue devant ces quasi inconnus. Enfin, je me saisissais d’une lotion de démaquillage, et j’en frottais abondamment ma vulve, le fond de teint à cet endroit là est vraiment désagréable. C’est alors que le photographe vint me remercier et discuter un peu avec moi, avant qu’il remballe son matériel. Je me rhabillais dans un coin du studio.

Troublée, excitée, mais épuisée, je repartais de cette séance avec l’impatience d’en voir le résultat. Il m’avait invitée au vernissage de l’exposition qu’il ferait pour cette série, je n’avais plus que deux mois à attendre.

Le soir du vernissage, j’arrivais en retard. La galerie était déjà bondée, ce photographe avait l’air connu, finalement. De loin, à travers la vitrine, je voyais une foule compacte, de mondaines endimanchées, de jeunes branchés dégingandés. Je rentrais discrètement, et faisais le tour de l’exposition sans me faire remarquer. Ses photos étaient magnifiques, expressives, talentueuses. L’éclairage était toujours parfait, ciselé avec une finesse remarquable. L’exigence du photographe se voyait dans chaque détail de ses images.

Il m’aperçut et se fraya un chemin à travers les visiteurs, prenant au passage une coupe de champagne à mon attention. Il m’embrassa et m’accueillit, puis, me prenant par la hanche, m’emmena dans une autre section de la galerie, séparée du reste par un paravent. La foule y était encore plus compacte. Approchant du mur, je me rendis soudain compte que c’était ma photographie qui attirait tant de curiosité. Je dévisageais l’image. Mes yeux, brillants, soulignés de reflets, fixaient quiconque se trouvait dans la pièce. Par un mouvement naturel du regard qui glisse le long de mes bras, on arrivait a suivre la courbe de mes hanches, larges, mes fesses posées à même le sol. Le regard du spectateur arrivé là, il pouvait se perdre dans le mystère de mon sexe, exposé là, souligné d’un trait de lumière. Ma jolie petite chatte offerte à la vue de tous, au désir des plus téméraires.

On voyait, comme si on la touchait, ma petite toison brune, vaguement ébouriffée. La naissance des grandes lèvres luisait, et on voyait poindre très légèrement mon clitoris, l’excitation que j’avais ressentie ce jour-là se trouvait fixée pour l’éternité. J’étais encore toute à l’exploration de ma propre minette imprimée en 1m par 1m, lorsque l’un des visiteurs me remarqua.

— C’est vous ?

Cette question me réveilla de ma rêverie, et me mis dans l’embarras.

— Euh, oui, c’est bien moi, glissais-je avec une pointe de fierté sous la forme d’un sourire peu assuré.

Peut-être avais-je répondu un peu fort, mais la trentaine de personnes qui admiraient la photographie ne regardèrent plus que moi. Tous ces gens, inconnus, qui connaissent le moindre recoin de mon intimité Cette impression, loin de m’intimider, m’excita délicieusement. J’avais l’impression d’être nue devant eux tous.

Ma chatte, que j’aime tant, maintenant était publique, appréciée des connaisseurs !

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