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Co-voiturage pour un week-end – Chapitre 1




Tout d’abord, je tiens à préciser que ce récit mélangera réalité et fiction.

Je me présente, je me nomme Raphaël, jeune homme brun de type méditerranéen de bientôt 35 ans, mesurant 1m80 et vivant dans le nord de la France. J’ai toujours eu un penchant important pour la sexualité même si je n’ai pas pu réellement « pratiquer » qu’assez tardivement (22 ans) par rapport à la moyenne. Ce n’est pourtant qu’à l’âge de 32 ans et après une longue relation que j’ai pu enfin m’épanouir en la matière, découvrir certains aspects de ma sexualité que je ne connaissais pas ou encore réaliser certains fantasmes.

Cela fait maintenant 2 mois que j’ai rencontré Laura, 23 ans, étudiante en droit. Jolie petite brune aux yeux verts de 1m65, ni trop maigre, ni trop grosse. Disons qu’elle a les formes qu’il faut là où il faut. Malgré une nature timide et sa petite obsession sur ce que peuvent penser les autres d’elle, nos ébats sont passionnés.

Depuis le départ de notre relation, je ne lui ai rien caché de mes expériences depuis 3 ans ni pour mon goût du voyeurisme et exhibitionnisme.

Notre relation se passe très bien et avance à un rythme qui nous convient.

Le pont de l’Ascension arrivant, nous avions décidé de partir 4 jours en région Parisienne, pour visiter Paris et ses alentours. Afin de réduire nos frais de route, nous avions proposé notre trajet sur une célèbre application de covoiturage. Notre voiture a été vite pleine !

Nous devions partir mercredi à 19h avec une première covoitureuse de 60 ans, Claudie. Puis récupérer un petit jeune de 18 ans à Lille (Léo), déposer Claudie à Roissy et terminer le trajet avec Léo.

Ce mercredi, il faisait très chaud et je n’avais pas eu le temps de me changer. J’étais habillé en jean et polo. Autant vous dire que j’avais très chaud. Laura quant à elle, avait prévu le coup et était habillée d’une robe fleurie à bretelles avec des tons rouges/orangés, qui lui arrivait mi-cuisses. Cela donnait déjà un parfum d’été et de vacances. Rien qu’à la voir, j’avais envie de l’embrasser, de la caresser et de lui faire l’amour.

Claudie arrive à l’heure au point de rendez-vous. Nous lui avions fait de la place pour qu’elle puisse mettre sa valise dans le coffre. Elle s’installa à l’arrière, côté conducteur. Laura quant à elle, prit place à côté de moi sur le siège passager.

Du fait de sa position assise, la robe de Laura remontait bien plus haut qu’à mi-cuisses sans pour autant dévoiler son tanga. Ce qui me frappa le plus, c’est la non-réaction de celle-ci face à ce petit « problème ». D’habitude, elle aurait passé la plupart du temps à la remettre en place. Or là, cela ne la dérangeait pas et elle continuait de discuter naturellement avec Claudie. Déjà qu’elle me faisait de l’effet dans sa tenue, ses cuisses presque nues m’excitaient encore plus.

Arrivés à la station essence, porte des Postes à Lille pour y récupérer Léo, nous sommes tous descendus de la voiture. Je ne pus m’empêcher de glisser à l’oreille de Laura « que j’avais envie d’elle ». Elle me déposa un petit baiser puis alla avec Claudie aux toilettes de la station. J’en profitais pour accueillir notre nouveau covoitureur. Les bagages installés dans la voiture et le retour des femmes marquèrent la reprise de notre trajet. Laura et Claudie avaient repris leurs places respectives et Léo s’installa à la place restante qui se trouvait derrière Laura.

Les conversations reprirent entre Laura et Claudie. Léo y participait de temps à autre. Pour ma part, je me concentrais sur la route et également sur les cuisses de nouveau très dénudées de Laura.

L’ambiance était détendue et joyeuse. Laura se retournait quelques fois vers Claudie pour mieux l’entendre. C’est à ce moment que je m’aperçus qu’il y avait quelque chose de changé au niveau de son décolleté. Je trouvais que l’on voyait plus sa poitrine que tout à l’heure.

Quand elle se remit droite dans son siège, je me suis tourné vers elle et constatais qu’elle ne portait plus son soutien-gorge rouge. Elle avait dû l’enlever lors de notre arrêt à Lille. Mon regard étonné et excité croisa le sien. Elle me répondit par un petit sourire coquin. A ce moment-là, j’ai compris qu’elle était excitée également et qu’elle voulait jouer. Elle continua de discuter comme si de rien n’était avec nos deux occupants.

Voulant être également acteur du petit jeu, j’ai prétexté avoir un peu trop chaud et demanda à tout le monde si je pouvais mettre un peu plus de climatisation. Claudie s’est empressée de répondre par l’affirmative, car elle avait elle aussi très chaud à cause de ses problèmes de thyroïde… Je baissai donc un peu plus la température et augmentai la ventilation. L’air frais que renvoyait la planche de bord eut un effet direct sur le corps de Laura. En effet, son 95D, complètement collé à sa robe et ses tétons bien dardés ne pouvait pas passer inaperçus. Elle me fit de gros yeux, mais pour ne pas éveiller les soupçons sur notre petit jeu, reprit la conversion avec Claudie.

Arrivés à 22h à notre seconde étape, Roissy, Laura et moi sortîmes de la voiture pour rendre les bagages à Claudie, lui dire au revoir. Elle nous remercia pour le trajet et nous dit qu’elle allait laisser une très bonne appréciation sur le site. Avant de remonter dans la voiture, j’en profitai pour embrasser Laura et lui dire que j’aimais beaucoup son petit jeu.

La nuit commençait à tomber, nous reprîmes la route. Léo toujours assis derrière Laura commençait à s’endormir. Avec un air totalement naturel, Laura remonta sa robe jusqu’en haut de ses cuisses et enleva son tanga. J’étais complètement dingue de savoir ma copine à moitié nue dans la voiture. Elle ne redescendit pas sa robe et ses mains commençaient à s’aventurer entre ses cuisses. Elle me regarda en se mordant la lèvre et fit tomber les deux bretelles de sa robe, dévoilant sa peau, sans discontinuer, de son cou jusqu’à la naissance de ses seins.

Je n’avais qu’une envie, aller dans sa nuque pour l’embrasser, la mordiller, descendre sur ses épaules, mais je devais garder mon sang-froid et faire attention à la route. Une de ses mains s’est glissée sous sa robe pour empoigner un de ses seins. Je jetai un coup d’il dans le rétroviseur et constatais que Léo s’était endormi. La pénombre étant beaucoup plus présente, elle se retourna pour voir si Léo s’était endormi puis de réinstalla. Elle fit alors glisser le haut de sa robe jusqu’à ses hanches.

Je n’en revenais pas. Elle qui semblait timide et discrète, elle était là, nue sur l’autoroute avec sa robe réduite à l’état de simple ceinture autour de ses hanches tout en ayant un inconnu derrière elle.

Elle n’avait plus de gêne et était désormais, les jambes écartées, en train de se caresser franchement d’une main et se pinçait les tétons de l’autre. Elle se retenait quand même de gémir pour ne pas attirer l’attention de Léo. Pour ma part, j’avais beaucoup de mal à trouver une position confortable vu la tension qu’il y avait dans mon jean.

Pour voir jusqu’où elle pouvait encore aller et puis au point où elle en était, ma main caressa sa cuisse puis remonta à la rencontre de sa robe. Je lui fis comprendre de l’enlever. Elle souleva alors ses fesses et fit glisser sa robe à ses pieds. Je n’en revenais pas, elle était entièrement nue dans la voiture.

N’en pouvant plus, ma main droite est allée à la rencontre de son sexe totalement trempé. Je caressais son clitoris complètement gonflé. Son bassin recherchait mes doigts. Je compris qu’elle voulait que je la pénètre, ce que je fis sans me faire prier. Tout en regardant la route, j’insérais trois doigts sans la prévenir. Ils n’ont rencontré aucune résistance, bien au contraire. Je me mis à faire des va-et-vient dans ce sexe totalement excité. Elle profitait de ses mains libres pour empoigner ses magnifiques seins. Ne voulant pas être entendue, elle était obligée de mordre sa ceinture. Je variais la vitesse des va-et-vient puis l’accéléra. Je sentis alors un jet de cyprine recouvrir mes doigts et compris, en la voyant se crisper, qu’elle venait d’avoir un orgasme. Ma main se calma et mes doigts sortirent doucement. Je les emmenai à ma bouche pour me délecter de sa jouissance.

Elle resta quelques instants, nue sans bouger, afin de reprendre ses esprits. Comme si le temps s’était arrêté pour elle, pendant que moi j’occupais toujours à regarder la route.

La sonnerie du portable de Léo sonna. Il se réveilla d’un seul coup dans un état qui donnait l’impression qu’il dormait profondément et répondit au téléphone. Laura, qui en avait presque oublié sa présence, se recroquevilla sur son siège comme pour se cacher. Pourtant au vu de sa position, Léo ne pouvait en aucun cas deviner que Laura était entièrement nue.

Maintenant que Léo était réveillé et la destination finale se rapprochant, elle se demandait comment elle allait faire pour se rhabiller sans éveiller les soupçons. Elle fit semblant de s’étirer en se penchant en avant pour attraper sa robe et réussit tant bien que mal à se faufiler dedans discrètement.

Nous arrivâmes à Versailles et déposâmes Léo à l’Hôtel de Ville. Ne sachant pas si Léo avait compris ce qu’il s’était passé durant le trajet, Laura évita son regard en lui disant au revoir. Une fois Léo parti, je m’empressai d’embrasser fougueusement Laura, ce qui la fit repartir dans un nouvel état d’excitation. Nous arrivâmes à l’hôtel. La nuit allait être torride…

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