Voici maintenant deux semaines qu’Anna est parmi nous. Notre entente
est toujours aussi parfaite. Nous sommes le dernier dimanche de son séjour
parmi nous. Pour le déjeuner, ma mère a préparé un repas de gala et mon père
a sorti une bouteille de bon vin.
A la fin du repas, nous sommes un peu gais, mais sans pour cela avoir perdu la
raison. Nous nous installons dans le salon et ma mère nous sert le café. Cela
me rappelle le premier dimanche qu’Anna a passé chez nous. Je passe
donc ma main sous la robe de ma mère et constate que comme souvent elle
n’a pas mis de slip. Elle continue pourtant à servir le café sans faire
attention à nos regards sur ses fesses. Comme nous sommes tous servis, elle se
rassoit. Je dis alors :
— Nous avons tous vu qu’aujourd’hui maman n’a
pas mis de culotte. Je pense que c’est une bonne initiative.
Qu’en penses-tu Anna ?
— Je suis d’accord avec toi, car moi non plus je n’en
ai pas mis. Je me doutais bien qu’aujourd’hui, il
n’en fallait pas.
Elle se lève, et relevant sa jupe, elle nous fait admirer son sexe blond. Elle se
réinstalle sur le canapé et me demande en me donnant un baiser :
— Et toi Aurélie chérie, as-tu une culotte ?
— Tu sais bien que non, aujourd’hui, je n’ai ni slip, ni
soutien-gorge.
— Je ne te crois pas, fais voir.
Je me lève à mon tour et retire complètement ma jupe, n’ayant plus sur
moi que mon chemisier transparent qui ne cache pratiquement rien. Mon père
intervient alors :
— Je vois que tout le monde est rempli de bonnes attentions. Aussi
je propose que nous buvions chacun notre café, et je vais sortir les
verres et nous allons goûter à un vieux Cognac.
Nous avalons donc tranquillement notre café que ma mère réussit toujours
excellemment. Mon père nous sert à tous un petit verre de Cognac et laisse la
bouteille sur la table pour que nous puissions nous resservir si nous le voulons.
La température érotique monte encore de quelques degrés. Anna se tourne
vers moi et déclare :
— Je trouve totalement indécent qu’Aurélie soit la seule à
nous montrer son intimité. Je demande que tout le monde fasse
comme elle.
Immédiatement, elle retire sa jupe et en profite pour faire passer son pull
par dessus la tête. Elle se montre nue devant nous et en prend à
l’évidence un énorme plaisir. Je retire à mon tour mon chemisier et je
viens me blottir contre mon amie pour que nous puissions nous caresser. Nous
nous embrassons à pleine bouche. Et ses mains se promènent sur ma poitrine.
Elle me repousse et dit :
— Christiane, tu n’as pas envie de nous montrer ton joli
corps ? Moi je meurs d’envie de pouvoir te contempler.
Ma mère ne répondant pas, Anna m’attire vers elle, et nous
commençons à la caresser. Anna déboutonne le haut de sa robe qui laisse
apparaître sa poitrine abondante qu’elle attrape immédiatement. Moi,
j’ai relevé le bas de sa robe et je découvre son sexe roux à
l’odeur si caractéristique. Je ne peux résister à l’envie de
l’embrasser et je pose mes lèvres sur son pubis. Je m’enivre de
son parfum. Elle écarte les jambes le plus possible et je vois ses lèvres
finement ourlées qui brillent de la liqueur qui commence à s’échapper.
Nous obligeons ma mère à se lever et nous lui retirons sa robe pour
qu’elle soit comme nous, à poils. Nous la faisons asseoir à nouveau dans
son fauteuil et Anna me demande :
— Aurélie, penses-tu que ce soit normal que seules les femmes
soient à l’aise. Je penses que les hommes doivent eux aussi
être libres de toute entrave.
— Tu as entièrement raison chérie. Tu t’occupes de David, je
m’occupe de mon père.
Pendant qu’Anna se dirige vers mon frère, je m’approche de mon
père dont la bosse du pantalon ne cache pas l’effet que notre petite
scène lui procure. Je me blottis contre lui et je viens plaquer ma poitrine sur
la sienne. Je défais les boutons de sa chemise et caresse sa poitrine. Il
semble apprécier ma caresse et ferme les yeux pour mieux la déguster. Ma
bouche s’attarde sur ses mamelons qui bien que tout petits se dressent
fièrement comme chez les femmes. Je les mordille tour à tour et je les sens
durcir encore. Ma main sur son pantalon me confirme l’effet que je lui
procure. Je défais sa ceinture et fais glisser la fermeture éclair de sa
braguette. Son sexe est énorme et remplit complètement son slip.
Je pense que ma mère a de la chance d’avoir un mari si doué pour
l’amour. Je souhaite avoir la même chance plus tard. Je dégage le
membre paternel de son emballage et je commence à le caresser lentement.
Mon père nous dit alors contre toute attente :
— Nous devrions nous calmer quelques instants. Nous avons encore
toute l’après-midi devant nous. Dégustons chacun ce petit
Cognac, et vous me direz ce que vous en pensez.
Mon père a raison. Nous nous réinstallons confortablement. Comme
d’habitude, ma mère est dans un fauteuil, mon père dans un autre,
tandis qu’avec Anna et mon frère nous partageons le canapé. David est
entre Anna et moi pour pouvoir profiter de nous deux. Nous sommes
maintenant tous les cinq entièrement nus et n’en éprouvons aucune gêne.
Nous savons pertinemment comment va se dérouler dette demi-journée, et mon
père a raison, nous ne devons pas démarrer trop vite, il nous faut tenir la
distance. Mon père nous explique comment boire notre cognac pour en
profiter au mieux :
— Pour bien déguster ce Cognac, je vous conseille de faire comme
Christiane et moi. Vous prenez le verre à dégustation bien dans
votre main pour réchauffer le breuvage. Le cognac doit être
pratiquement à la température du corps. Quand il est bien à
température, vous passez le verre sous le nez pour profiter au
maximum de ses effluves. Puis, vous le buvez par petites gorgées
en le gardant bien en bouche. Ainsi vous pourrez apprécier au
maximum ce breuvage si délicat, son parfum, et son goût.
Je fais comme mon père vient de nous expliquer, et nous sommes tous les cinq
avec notre verre en main. Je le passe de temps en temps sous mon nez, et je
découvre cette douce odeur d’alcool. J’ai l’impression
que ce parfum éveille mes sens. Je vois mon père qui porte son verre à ses
lèvres et avale une petite gorgée de liquide ambré. Il me fait un signe de tête
d’acquiescement, et à mon tour je m’apprête à boire. Je pose le verre
sur mes lèvres et laisse couler une gorgée du précieux liquide dans ma bouche.
J’ai l’impression de boire du feu. Je manque de
m’étrangler, mais je garde le précieux nectar bien en bouche. Le
miracle se produit alors et je sens se développer dans ma gorge une variété
de parfums très délicats. Je bois enfin cette première gorgée.
Anna hésite à commencer son Cognac. Elle n’a certainement jamais
encore bu d’alcool fort. Je me penche donc vers elle par dessus mon
frère et viens l’embrasser. Elle peut goûter sur mes lèvres et sur ma
bouche les effluves du doux breuvage. Elle hésite encore et se décide à boire
la première gorgée de son verre. Je la vois sur le point de suffoquer comme
moi tout à l’heure. Ses yeux se mouillent, mais elle avale ce divin
Cognac.
Nous prenons un certain temps pour déguster chacun bien installé notre
Cognac. Je sens la tête qui me tourne légèrement, mais j’apprécie cette
douce ivresse. Je vois ma mère qui est maintenant devant accroupie devant
mon père et qui a pris son merveilleux sexe dans sa bouche. Elle le suce
calmement, et je sens entre eux toute la connivence pouvant exister dans un
couple de vieux amants. Elle ne pense qu’à son plaisir à lui. Elle veut
qu’il jouisse. Je continus donc mon apprentissage. Je sens une main qui
se pose sur ma cuisse et remonte vers mon minou. Je m’abandonne et ne
cherche pas à savoir à qui appartient cette main, Anna ou David.
J’apprécie cette caresse et cela me suffit. Je suis subjuguée par le
spectacle que m’offrent mes parents.
Mon père s’est maintenant allongé par terre et ma mère est en position
de 69 sur lui. Ma mère a pris à nouveau la verge paternelle entre ses lèvres
tandis que lui a collé ses lèvres sur celles plus intimes de ma mère. Ils sont
seuls au monde. Ils profitent l’un de l’autre sans se soucier de
ce qui se passe autour d’eux. Le spectacle est magnifique. J’ai
écarté les cuisses au maximum et la main qui farfouille dans mon sexe me fait
ruisseler abondamment. Je me penche vers mon frère qui embrasse ma
poitrine. Il me mordille légèrement les pointes et elles durcissent au
maximum. Je tourne la tête vers lui et je vois qu’Anna est en train de
le sucer et c’est elle qui accapare ma vulve. David, lui est plutôt
passif. Il se laisse sucer et se contente de mes seins.
Je trouve que nous ne sommes pas particulièrement bien installés, et je guide
tout le monde vers le tapis pour pouvoir prendre toutes les poses que nous
voudrons. J’en profite pour subtiliser le sexe de mon frère
qu’Anna avait dans la bouche et à mon tour, je lui fais une fellation.
Anna présente son sexe sur la bouche de David et celui-ci ne se fait pas prier
pour en commencer l’inventaire. Je fais aller et venir ma bouche sur le
verge de mon frère qui est plus petite que celle de mon père, mais est bien
vivante et commence à sécréter quelques gouttes de nectar par son petit trou.
Je titille ce méat avec ma langue en pointe. Il apprécie cette caresse et me le
fait savoir par des grognements bien explicites.
Moi, je me sens frustrée, car si j’apprécie d’avoir un sexe bien
dur dans la bouche, je déplore que personne ne s’occupe de ma chatte.
Je le dis et immédiatement Anna qui avait la bouche libre vient la plaquer sur
mes lèvres intimes à notre grand bonheur à toutes les deux. Je mouille
abondamment. Je la sens placer sa langue sur mon anus et tenter de pénétrer
mon petit trou. Cela me donne des idées et à mon tour, je vais chercher
l’anus de David. Il paraît surpris de cette initiative, mais ne
s’oppose pas à ma manoeuvre. Je mouille bien mon index avec de la
salive et crache en plus un petit peu sur son petit trou du cul. Je replace mon
index pendant que je reprends ma caresse buccale.
Je force légèrement à l’entrée arrière de mon frère et
progressivement, je fais entrer mon index dans son anus. Ma bouche a lâché sa
verge qui continue à tressauter pour s’intéresser de plus près à ses
testicules. Ma bouche glisse donc le long de son membre et arrive aux
bourses. Contrairement à celles de mon père qui sont bien lisses, les siennes
sont couvertes de petits poils. Cela m’excite de les embrasser.
J’en prends une dans ma bouche en faisant rouler l’autre entre
mes doigts. Son anus se crispe sur mon index, indiquant tout le plaisir
qu’il prend à ma double caresse. Pour ma part, je jouis dans la bouche
d’Anna qui me pénètre le cul de ses doigts tout en me mangeant la
chatte.
Je reprends le membre de David dans ma bouche et fait glisser mes lèvres de
haut en bas pour bien le faire se dresser. Je profite de son plaisir pour faire
entrer un deuxième doigt dans son anus. Il pousse un petit cri étouffé par la
chatte d’Anna qui ruisselle. Je maintiens ma pression et je sens son
petit trou se détendre et accepter mes deux doigts sans effort. Je commence
de petits mouvements de va-et-vient dans son anus et je le sens se crisper au
même rythme que sa queue que j’ai dans la bouche. Sa verge se gonfla
encore et je sens que bientôt, il va lâcher sa semence. J’accélère mes
mouvements, et quand je le sens prêt à exploser, j’enfonce un troisième
doigt dans son cul, déclenchant son flot de sperme que j’ai du mal à
avaler tellement il est abondant.
Au même moment, je suis secouée par un violent orgasme qui inonde le visage
d’Anna qui doit à son tour jouir abondamment dans la bouche de David.
Je suis secouée pendant encore quelques instants par les derniers spasmes de
ma jouissance et je reste inerte, la sexe de David dans ma bouche et les
doigts dans son anus. Anna garde également ses doigts dans mes entrailles et
j’en prends un plaisir immense. Nous entendons alors une série de râles
et en me tournant, je vois que maintenant, ma mère est assise sur mon père et
le chevauche comme une amazone. Nous pouvons voir le pieux paternel
s’enfoncer dans la chatte de ma mère au plus grand bonheur de tous les
deux. C’est ma mère qui mène la chevauchée. Ils sont au bord de la
jouissance. Ma mère accélère ses mouvements et tout à coup, je vois les
petites boules de mon père se crisper, mon père se cabrer et nous comprenons
qu’il éjacule au plus profond de ma mère.
Ma mère s’écroule sur mon père complètement anéantie par la
jouissance. Nous voyons le sexe de mon père se ramollir et commencer un
mouvement de retrait de la vulve. Aussitôt, Anna s’approche et pose
ses lèvres sur la chatte de ma mère et boit la totalité de la liqueur qui
s’en écoule, mélange de miel de ma mère et du sperme de mon père.
Nous restons ainsi alanguis pendant de longues minutes à reprendre nos
esprits. Nous avons besoin de reprendre notre souffle et pour ma part, je
désire faire le point sur tout ce qui se passe. Je me rends compte que quelle
que soit l’excitation de chacun de nous, personne n’a essayé
d’attenter à ma virginité, et je leur en suis reconnaissante.
Mon père est le premier à sortir de la douce euphorie qui nous absorbe. Il
nous propose alors :
— Nous devrions reprendre un nouveau Cognac. Vous verrez, les
saveurs de l’alcool mêlées à celles que nous avons maintenant
en bouche, cela est merveilleux.
Sans attendre notre réponse, il attrape la bouteille et remplit nos verres un
peu plus que la première fois. Nous chauffons notre alcool tout en discutant.
C’est le moment que je choisis pour poser une question.
— Maman, je peux te poser une question? Il y a une chose que je ne
comprends pas très bien.
— Bien sur ma chérie, si je peux te répondre, ce sera avec plaisir.
— Bien voilà. J’ai remarqué qu’en général les hommes
ont des poils sur les testicules ainsi que sur le bas de la verge, au
ras, du pubis. C’est le cas notamment pour David. Petit
frère fais nous voir….
David s’exécute et nous montre ses testicules recouverts de petits
poils, et je continue
— … or, j’ai également remarqué que les testicules de papa
n’ont pas ces poils et que son pénis est parfaitement lisse.
Sa pilosité s’arrête au pubis.
— Aurélie chérie, je suis contente que tu aies remarqué ce détail
qui pour moi a son importance. Je vais t’expliquer.
Mon père nous montre bien ses petites boules et ma mère écarte ses jambes à
l’extrême. Elle reprend donc :
— Tout d’abord, pour comprendre, regarde bien ma chatte.
Tu vois que les poils forment un triangle parfait. Si tu te regardes
ou que tu regarde Anna, tu peux remarquer que si vos chattes sont
très jolies, leurs pilosités sont moins parfaites que la mienne.
Quand j’ai connu ton père, la mienne était à peu près comme
la tienne. Mais lui a toujours aimé des pilosités impeccables. Pour
lui faire plaisir, j’ai accepté de m’épiler pour avoir
ce merveilleux triangle encore mis en valeur par sa couleur
naturelle. Mais en contre partie, je lui ai demandé de supprimer
tous les poils qui sont sur ses testicules et sur le bas de sa verge.
Ce n’est pas plus compliqué que cela.
— Mais cela doit faire mal de s’épiler à cet endroit.
— Non, l’un comme l’autre nous avons pratiqué
l’épilation électrique qui est pratiquement définitive, et
lorsque nous découvrons chez l’autre un poils qui ne devrait
pas y être, nous prenons la pince à épiler et nous le retirons. Mon
chéri, confirme nous que cela ne fait pas très mal.
— Lorsque ta mère me retire les quelques poils qui repoussent, cela
me fait u peu mal, mais c’est amplement supportable. Et cela
est tellement agréable de faire plaisir à la personne que
l’on aime.
Mes parents s’enlacent à nouveau et échangent un baiser qui
n’en finit pas. Je me tourne vers Anna et je lui demande :
— Anna qu’en penses-tu ?
— Je trouve cela formidable. C’est une magnifique preuve
d’amour, elle est marquée dans le corps de tes parents. Je
sais que pour plaire à leur compagnon, certaine femmes
s’épilent complètement, mais sans réciproque, je ne pense
pas que je le ferai. Par contre si mon compagnon se faisait épiler
complètement, pourquoi pas ? tu as vu l’autre jour, avec
Céline, cela est joli pour une femme.
Nous continuons à discuter tout en buvant notre Cognac. Mon père avait
raison, je trouve que ce deuxième verre a un goût différent. Il est mélangé
avec le sperme de David, et je dois avouer que ce n’est pas
désagréable.
Ma mère se lève et vient vers David pour lui demander :
— Fais moi voir les petits poils que tu as sur tes couilles. Je
n’y ai jamais fait vraiment attention.
Je vois ma mère se pencher vers mon frère et soulever son pénis qui
n’a pas encore repris toute sa vigueur. Elle le fait tourner dans tous
les sens et déclare :
— Ta soeur a raison. Je trouve que les couilles de ton père sont
plus agréables. J’ai pris l’habitude de voir des
testicules bien lisses, et cela me choque un peu. J’estime que
cela est plus propre.
— Mais maman, si tu me le demande vraiment, je me ferai épiler
comme papa.
— Mais non, ce n’est pas la peine, ce n’est pas pour
toi que j’ai redessiné mon pubis, mais pour lui. Alors attends
de trouver une compagne qui en vaille la peine.
Ma mère continue de tenir le pénis de mon frère et je le vois qui reprend
lentement de la vigueur. Elle commence un lent mouvement alternatif, et le
bâton d’amour de David se retrouve rapidement à la verticale. Ma
mère lui dit alors :
— Mais petit cochon, c’est que tu bandes de nouveau, laisse
moi te goûter.
Elle prend le sexe de mon frère dans sa bouche et commence une fellation. Je
m’approche de mon père, mais Anna m’a devancée. Elle a déjà
pris le sexe paternel dans sa bouche et lui redonne toute sa raideur. Je me
sens désoeuvrée et commence à me caresser toute seule. Anna qui a compris
ma frustration se place dans une position qui m’offre sa chatte tout en
me laissant la possibilité de donner la mienne à mon père. Je ne rate pas une
si belle occasion et je me retrouve le nez sur le sexe blond de mon amie. Mon
père s’empare du mien et sa langue s’attarde sur mon clitoris qui
attendait cette caresse. Je sens tout de suite beaucoup plus
d’expérience dans la langue de mon père que dans celle de mon frère.
Nous devons former un joli tableau. Mo père qui connaît bien les goûts des
femmes vient titiller mon anus de sa langue. Je hurle de plaisir, mais ne veux
pas lui laisser l’initiative. Je dis alors à Anna ;
— Ma chérie, ce n’est pas une fellation que tu dois faire à
mon père, je veux qu’il te fasse l’amour devant nous
tous :
Elle hésite et demande par précaution :
— Christiane, tu me permets de faire l’amour avec ton mari ?
— Bien entendu, ce ne sera pas la première fois que je le verrai
faire l’amour avec une autre femme.
La réponse de ma mère a annihilé les dernières réticences d’Anna, et
elle oblige mon père à se mettre sur le dos. Immédiatement, elle
s’empale sur le pieux qu’il lui présente et l’absorbe dans
son entier. La bouche de mon père n’a pas quitté mon sexe et je
m’assois à mon tour sur son visage. Nous pouvons ainsi avec Anna nous
caresser et nous embrasser. C’est merveilleux, Anna presse sa poitrine
contre la mienne tout en se trémoussant sur le pénis de mon père. Celui-ci lui
donne le rythme qu’il désire en passant ses mains sous ses fesses. Sa
langue s’enfonce dans ma chatte et va y dénicher mon abondante
liqueur. Je frotte mon sexe sur son visage et sa langue ne peut pas toujours
être en moi. Il est obligé de lâcher les fesses d’Anna pour immobiliser
mon bassin et pouvoir s’occuper de moi comme il le désire. Il continue à
me fouiller la vulve pendant qu’il présente un doigt à l’entrée de
mon anus. Je me détends au maximum pour lui faciliter l’introduction.
Il sait que j’aime cette pénétration anale, la seule que je permette, et
rapidement il fait pénétrer un deuxième puis un troisième doigt.
Nous sommes tous les trois extrêmement excités. Nous nous donnons
totalement et sans retenue. Les seins de mon amie me font un plaisir fou et je
mouille de plus en plus dans la bouche de mon père. Ma mère qui regarde avec
attention nos ébats tout en continuant de sucer David me dit :
— Aurélie, on peut dire que tu mouille beaucoup. Ton père qui a
l’habitude n’arrive pas à tout boire et celui
dégouline le long de la bouche. Je ne pensais pas que tu pouvais
avoir encore autant de miel.
Cette appréciation m’excite encore plus et je ne me retiens plus. Je
vois Anna qui accélère ses mouvements sur le sexe de mon père et je sens
celui-ci se raidir. Il lance son ventre en l’air, et je vois qu’il
jouit dans mon amie. Il n’en finit pas de se vider et j’en profite
pour le gratifier d’un orgasme qui me fait hurler de plaisir. Anna jouit
également et me serre encore plus fort contre elle. J’entends alors ma
mère qui nous déclare :
— Vous avez été merveilleux. On voit que nous nous entendons bien.
Mais moi j’ai réussi à ne pas faire jouir David. Maintenant
vous allez pouvoir nous regarder, car je veux qu’il me baise.
Elle se met à quatre pattes et demande à mon frère de la prendre en levrette.
Il vient derrière elle, mais je vois qu’il hésite à pousser son pénis dans
la chatte de ma mère. Je m’approche et prenant son sexe dans ma main,
je le présente devant la fente de ma mère et celle-ci donnant un grand coup
en arrière se fait pénétrer jusqu’à la garde. Mon frère ne peut se
retenir et commence immédiatement ses mouvements de va-et-vient en tenant
ma mère par le hanches. Il est tellement excité qu’il ne fait que
quelques mouvements avant de se cambrer et d’éjaculer dans le ventre
qui l’a porté pendant neuf mois.
Nous sommes tous épuisés par cette séance et décidons d’aller prendre
chacun une douche avant de nous retrouver dans le séjour pour le dîner, car
cette petite partie nous a occupés tout l’après-midi.
(A suivre)
Aurélie