Tous les noms et personnages ci-dessous sont fictifs. Toute ressemblance avec des faits et personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Bonjour à tous. Je mappelle Anthony, jai 45 ans, 1.80m, crâne dégarni, Une bedaine qui démontre que mon poids dépasse le quintal (100kg). Je suis gérant dune boutique franchisée dinformatique dans un coin paumé de la Sarthe. Aujourdhui je voulais vous raconter comment jai rencontré mon épouse.

Nous sommes 4 ans en arrière, très souvent je recevais des candidatures pour des postes de technicien réparateur dordinateur (emploi à 90% masculin) mais malheureusement je ne peux en avoir quun ou 2 éventuellement simultanément. Un matin je vois entrer dans la boutique, une charmante jeune femme de 25 ans, prénommée Sandra, joli visage, tailleur sombre par-dessus un pull en laine léger, pantalon noire, queue de cheval et talon plat. Bref une allure à la fois féminine mais professionnelle sans être provocante. Elle me laisse son CV, on parle du boulot quelle a déjà exercé mais je ne lui promets rien. Un matin, le technicien en place mannonce quil va faire une formation. Du coup, je ressors les CV et je choisi dappeler la demoiselle.

15 jours plus tard elle arrive. Elle prend ses marques et commence son boulot. Très pro et efficace, on commence à bien sentendre. Souvent elle se fait draguer par des clients mais elle sait les remettre gentiment à leur place. La voyant tous les jours elle commence à me plaire. Je la trouve de plus en plus mignonne. Un jour, alors quon préparait une grosse commande dun client dans latelier, on entendit une histoire, à la radio concernant un fait divers de coucherie dans une entreprise qui avait fait scandale.

— Tas entendu ça, le mec en plus dêtre marié avait sa secrétaire comme maitresse et avait 2 familles. Lui dis-je.

— Je ne me ferais jamais avoir avec ça personnellement. Je me refuse à toute relation avec mes collègues. Jai trop peur dun éventuel problème.

— Oui tas bien raison.

Elle venait sans le savoir de me mettre un vent en me faisant comprendre que je naurais aucune chance avec elle. Tant pis pour moi. Dommage on sentendait bien, elle me plait mais avec mon physique cest vrai que je nattirais pas vraiment lattention. Tant pis je nallais pas la virer pour ça dautant quelle était très bonne . Professionnellement parlant.

Un jour elle me demanda un détail technique.

— Dis moi tu ne saurais pas si cest possible de récupérer le contenu dun disque dur formaté par erreur ?

— Si bien sur que cest possible. Si rien na été écrit par dessus Jai les logiciels pour ça chez moi.

— Jai un ami qui à perdu tout un disque avec des documents de travail et il voudrait bien les récupérer. Ca lui sauverait la mise.

— Pas de soucis tu va le voir et tu me lamène. Je lui fais ça mais par contre ça peut prendre beaucoup de temps.

— Pas de soucis, il attendra. Sinon il doit tout refaire et ça va le mettre en retard pour ses clients.

— Ok jattends le disque.

— Tu laura lundi.

Lundi elle mamène le disque en question et je lance la récupération de données Sans me préoccuper du contenu. 3 jours plus tard, je lui annonce que cest fait. Du coup elle appelle son ami pour quil repasse le prendre. Je lui fais juste payer la main duvre. Le samedi suivant je vois arriver un grand gars à peu près du même gabarit que moi mais barbu.

— Salut cest vous Anthony ?

— Oui cest moi.

— Sandra ma dit que vous aviez récupéré mes données. Je viens pour les récupérer.

— Jai pu récupérer 300 Go sur votre disque de 500Go. Par éthique je ne peux pas en regarder le contenu donc vous allez vérifier par vous-même.

— OK, si jamais ça a marché vous devenez mon meilleur ami.

— Si vous voulez, je vous montre donc toutes vos données sont là. Je vous laisse.

Je le laisse vérifier pendant que je prépare la facture. Au bout de 10 minutes je le vois revenir.

— Vous avez fait un super boulot. Vous mavez même récupéré le contenu de la corbeille. Franchement bravo.

— Cest facile quand on a les logiciels pour.

A ce moment là, Sandra arrive dune de ses interventions.

— Anthony, je décharge les cartons pour prendre le matériel de M Moreaux Et jy retourne. Ah tiens Rodolphe. Tes là aussi ? alors ça a marché ?

— Oui jai tout récupéré. jai plus quà les mettre sur mon disque USB, payer la main duvre et cest bon.

Voyant que Sandra avait du mal à décharger son camion et à le recharger je me propose de laider sous le regard amusé de son ami Rodolphe. Une fois parti je le laisse récupérer ses données et lui imprime sa facture. Il me la paye et me rajoute même un pourboire pour service rendu. Puis on commence à parler de Sandra.

— Dites moi Anthony, elle vous plait la petite Sandra. Je lai vu dans vos yeux quand vous laidiez

— Je ne suis pas insensible à ses charmes je lavoue.

— Je vous comprends tout à fait. Même pour mes abonnés cest la meilleure des actrices.

— Abonnés ? Actrice ?

— Oups jai fait une boulette. Elle ne vous avait rien dit ?

— Non.

— Rien détonnant. Je ne lai jamais vu aussi épanouis depuis quelle bosse ici. Et elle ne veut pas perdre ce job.

— Honnêtement, si ce quelle fait de ses weekends ne détériore pas son travail de la semaine je men fous.

— Comme vous voulez. Mais si vous voulez avoir des réponses jai laissé sur le PC les données récupérées. Consultez-les si vous voulez. Et si vous voulez en savoir plus je suis joignable à ce numéro. Mais gardez à lesprit que ce quelle fait le Weekend cest juste pour le fun et parfaitement légal. Son vrai boulot cest ici et elle tient à y rester. Bon merci et Au revoir.

Ce quil mavait dit attisa ma curiosité. Je fis une copie des données et les effaçai juste après pour les consulter chez moi. Peu de temps avant la fermeture Sandra revint à la boutique son intervention avait été plus difficile que prévu.

— Salut, alors cest bon ? Rodolphe a tout récupéré ?

— Oui cest bon. Je lai laissé contrôler ce que le système avait trouvé. Nétant pas tenu de regarder les données client je lai laissé contrôler. Il était ravi. Il a copié ce quil voulait et effacé les données du PC ensuite.

— Tas pas regardé ce que tu récupérais ?

— Bah non. Vu que ça récupérait tout, même les fichiers effacés, je ne pouvais pas deviner quels fichiers étaient bons.

— AH OK fit-elle avec un sourire de soulagement.

— Bon on ferme à demain.

Je rentrais alors dare-dare chez moi pour voir ces données. Les réponses évasives de Rodolphe et lattitude de Sandra Attisaient ma curiosité. Des que je suis arrivé jai foncé sur mon PC, branché le disque USB et ouvrit le dossier nommé « Sandra ». Je découvris que durant ces weekends elle faisait des films amateurs pour adulte. Je découvris aussi son joli corps en intégralité. Elle est magnifique. En plus des vidéos il y avait des papiers administratif genre contrat de travail pour chaque vidéo. Et je compris alors en visionnant les rushs quelle était consentante que ces scènes correspondaient plus à des fantasmes populaires (la secrétaire sous le bureau, baise avec le facteur, etc. ) cétait plutôt bon enfant. Le lendemain je reçu un mail de Rodolphe me disant quil avait oublié des fichiers. Je lui dis quil pouvait revenir que javais tout encore. Une fois arrivé et après quil ait récupéré ses données, autour dun café on parla de ce que javais vu.

— Alors, vous avez regardé ?

— Oui je ne mattendais pas à ça.

— Elle est bien roulée la petite.

— Oh que oui.

— Elle vous plait vraiment alors ?

— Oui, Je ne vais pas mentir.

— Je peux peut-être arranger ça si vous voulez.

— Comment ça ?

— Il y a une nouvelle tendance qui émerge en ce moment. Cest la mode du réalisme. Beaucoup damateur en ont mare de voir des mecs type Boys band bodybuildé aux attributs surdimensionnés et aimeraient voir des films avec des types du style « monsieur tout le monde », quil soit moche, gros, poilu ou pas ou tout ça à la fois.

— Oui et alors ?

— Ça ne vous dirait pas dessayer ?

— Vous mavez regardé ? Je suis obese et mes attributs sont loin datteindre les proportions des acteurs X.

— Cest justement lintérêt. Les gens veulent pouvoir sidentifier aux acteurs. Du style : « si ce gros moche arrive à se lever une petite jy arriverais aussi ». Jai moi-même fait mes 1ère vidéo dans ce style avec mon épouse et pourtant chui pas un apollon et ça cartonne. Dailleurs parmi tous les anonymes qui sy sont essayé, des couples se sont formé. Ça te laissera lopportunité de tenvoyer Sandra si tu veux et si elle veut. Je noblige personne.

— Je vais y réfléchir.

— Regarde mieux les vidéos tu en verras dedans. Bon moi jy vais et merci pour les fichiers.

Une fois chez moi, je vis effectivement que comparer à certains hommes vraiment moches, jétais plutôt bien foutu. Javais un air de gros bébé joufflu et de nounours débonnaire qui me rendait sympathique. Certains étaient vraiment très courts de lentrejambe. A coté javais laire dêtre bien monté. Du coup, le soir même, je lappelle au téléphone pour lui dire « OK, je tente le coup ». Il me donna rendez vous dans son bureau le lendemain soir. Son bureau était dans un appartement quil louait et qui servait aussi de studio, de décor pour les scènes et dentrepôt de matériel. Il me dit que pour commencer il avait une scène à me proposer. Celle dune fille qui a volontairement bouché son évier, pour appeler le plombier et se le taper dans la cuisine. Simple et efficace. Après avoir discuté, on se mit daccord pour la tourner le weekend suivant.

Le weekend est arrivé et jétais nerveux. Je ne savais même pas si jallais réussir à avoir une érection. Heureusement en cas de panne mécanique du viagra était prévu. Un jeune homme mouvrit la porte, se présentant comme lingénieur du son et je fis connaissance avec la petite équipe.

— Bonjour à tous. Bonjour Rodolphe.

— Salut Anthony. Donc les gars je vous présente Anthony notre nouvelle recrue qui a voulu sessayer au X amateur. Je compte sur vous pour le mettre à laise.

— Sandra nest pas arrivée ?

— Non, elle ma dit quelle allait avoir un peu de retard. Ah oui, vous tous jai oublié de précisé quAnthony est également, dans la vie, le patron de Sandra Et quelle ne sait pas que cest lui son partenaire aujourdhui.

Sen suivi un fou rire monumentale de la part de léquipe. Agrémenté de commentaire du genre « : « Cest la surprise du chef » ou encore « Cest la promotion canapé new génération ». Donc je lis mon contrat. Je suis payé 100 la scène et on mexplique comment tout se déroule. Je les voyais tous saffairer à tout préparer quand jentendis la porte souvrir. Cétait Sandra.

— Salut tout le monde ! Rodolphe tu mexcuseras du retard mais jai été pris dans des bouchons et . Anthony ? Mais quest ce que tu fous là.

— Salut Sandra. Je suis ton partenaire pour cette après midi.

— Cest une blague ?

Devant le désarroi de Sandra, Rodolphe est alors intervenu.

— Oui Cest avec lui que tu va tourner. Il a vu notre site et sest inscrit pour la rubrique « tentez votre chance ». Avec ce quil a fait pour nous en récupérant nos archives et les films en cours je lui devais bien ça

— Oui mais tu le sais je ne veux pas tout mélanger.

— Ça ne te dérangeait pas le mois dernier avec ton ancien prof dhistoire de lycée.

— Oui mais lui je ne le vois plus tous les jours.

Voyant que la situation senvenime je pris la parole.

— Ecoute, pour moi cest juste un essai comme ça pour voire. Tu bosses super bien et je nai pas lintention de te virer à cause de tes activités du weekend.

— Bon ok mais je me sens pas à laise du coup.

— Cest juste un One shot ten fait pas.

Après ça, Rodolphe nous repris.

— Bon si vous avez réussi à vous mettre daccord. On va peut être y aller. Jai 2 autres scènes à faire aujourdhui et ce serait mieux de ne pas prendre de retard. Allez-vous changer au vestiaire. On commence quand vous êtes prêts.

Nous partîmes nous changer. Elle shabillât dune charmante nuisette rose qui donnait limpression dêtre transparente. Moi, en plombier jétais affublé dune salopette de travail dun vieux T-shirt gris avec des taches dhuile, dune casquette à leffigie de léquipe de Foot locale et dune vieille caisse à outil un peu rouillée. Quand elle me vit habillé comme ça elle éclata de rire. Il faut dire quelle me voyait chaque jour avec mon pantalon en toile, une chemise blanche manche courte repassée et une cravate au couleur de la franchise, obligatoire dans le dress-code de la franchise pour tout responsable de boutique. Cest sur ça fait un choc. Chacun se mit en place et on commença la scène.

— Bonjour, mademoiselle, je viens pour votre problème de tuyauterie.

— Oui suivez moi. Je ne comprends pas. Plus rien ne sécoule dans le tuyau.

— Vous avez essayé de défaire le siphon ?

— Le quoi ?

— Je vois. Je vais regarder. Vous avez une bassine ?

— Oui voila.

Après avoir pris mon temps sur le siphon je me relevai de dessous lévier.

— Voila ça va sécouler. Il était vraiment bouché.

— Je ne sais pas comment vous remercier.

— Moi je sais lui dis-je en retirant mas casquette et en la prenant par la taille pour lamener jusquà moi.

Elle passa ses bras autour de mon cou et membrassa à pleine bouche, une vrai bonne galoche comme jen rêvais.

— Je manquerai à tous mes devoirs si, en temps que plombier je ne faisais pas un contrôle de lensemble de votre tuyauterie.

— Mais fêtes donc.

Je lallongeais sur le dos, sur la table, lui retira sa nuisette, puis lui lécha lentrejambe tout en lui massant ses seins qui me donnaient envie depuis que je lavais vu nue dans ses vidéos. Elle poussait des gémissements de jouissance à chaque coup de langue. Pensant quelle sur jouait je la regardais puis la relevait : moi debout devant elle, et elle assise à la bonne hauteur. Elle défit la fermeture éclaire de la salopette, qui avait été rajoutée et cousue exprès pour la scène, sorti ma verge déjà bien gonflée et commença une délicieuse fellation dont je me souviens encore. Alors que je savourais ce moment exquis, devant moi, derrière léquipe de tournage je vis Rodolphe qui me regardait avec un grand sourire satisfait. Il me fit le signe du point tendu, pouce levé comme pour me dire « ça y est mon pote tu las, profites en ». Et je suivi son conseil. Je retirai alors ma salopette, la laissant glisser par terre le long des jambes, rapprochai lentrejambe de ma jolie employée près de mon sexe et la pris sauvagement sur la table. Elle mouillait abondamment en poussant des cris me demandant de continuer plus fort. Même si cétait surement du fake pour la caméra, je me pris au jeu en lui labourant joyeusement sa fente en lui disant « ça cest pour la main duvre. On va passer au règlement pour les frais de déplacement ». Je la retournai, ventre sur la table, pour la sodomiser avec ardeur. Elle en redemandait. Ne pouvant plus tenir et sentant que jallais lâcher la purée, je sortis de son cul, retirais le préservatif (même pour du X en amateur, cest rapport protégé obligatoire), et lui déversa ma sauce sur son visage. Après ça je vis Rodolphe prendre le clap et crier : « coupez, elle est bonne » sous les applaudissements de léquipe. Pour une 1ère fois je men étais visiblement bien sorti.

— Alors là bravo. Du grand art, tout y était. Même les dialogues improvisés étaient géniaux.

— Merci, faut dire quavec une partenaire aussi belle, ça motive.

— Bon on passe dans mon bureau, je te paye et ce sera bon.

Je me rhabille, je prends ma paye et jattends Sandra à la sortie. Elle sort et du coup on sassoie prendre un verre dans un bistro.

— Alors Tu as été surprise ?

— Oui tu étais très performant malgré ta corpulence. Tu mas bien fait jouir.

— Merci . Mais je parlais plutôt de ma présence.

— Ah oui cest vrai que je ne my attendais pas.. Mais finalement ce nétait pas si mal.

— Je dois te lavouer tu me plais et jen ai un peu profité pour tavoir au moins une fois.

— Je men doutais un peu. Jai remarqué comment tu me regardais. Mais je ne récents pas la même chose pour toi.

— Cest pas grave. Au moins cest clair.

— Malgré tout je ne serais pas contre refaire des scènes avec toi.

— Ah oui ? Et bien écoute je vais y réfléchir.

— Bon aller moi je vais rentrer.

— Oui moi aussi, à lundi au boulot.

On venait à peine de se quitter que je pris mon téléphone pour envoyer à Rodolphe un SMS. « Finalement je suis près à recommencer ». Du coup, toutes les 2 ou 3 semaines je fus convoqué au studio pour une scène et à chaque fois avec Sandra qui en était ravi. On sest vraiment amusé à faire des scènes du genre : jeune étudiante qui séduit le proviseur pour pas se faire virer de lécole, une locataire qui paie son loyer en nature à son propriétaire et même une employé qui couche avec son patron pour pas être au chômage (tourné dans larrière boutique de notre lieu de travail). Du coup même au boulot lambiance était plus détendue. On sétait peu à peu rapproché et un jour en fermant la boutique, après une petite bise pour dire au revoir, elle menlaça en membrassa timidement.

— Et bien ! quest ce qui tarrive ? je croyais que je ne te plaisais pas.

— Ya que les imbéciles qui ne changent pas davis.

— Ça, faut pas me le dire 2 fois. Lui dis-je en lui rendant son baiser.

— Et quest ce qui tas fait changer davis ?

— Tes performances lors de nos tournages et puis jai appris à te connaitre sous un autre jour.

— Et bien sache que tu nas quà demander pour y avoir droit quand tu veux et ou tu veux.

— Cest bon à savoir. Dommage que je doive rentrer durgence.

— Oui tant pis. A demain.

On ne du pas attendre bien longtemps pour sorganiser une soirée romantique. Je linvitai, un samedi soir, après un après-midi tournage, chez moi, mis sur mon 31, elle en robe du soir, décolleté profond, dos échancré, diné aux chandelles, bref javais fait les choses en grand. Après avoir dégusté le repas que javais préparé avec amour, je masseyais sur le canapé ou elle me fit un strip tease de toute beauté avant de venir entre mes cuisses pour me sucer la queue. Ensuite, allongés sur le divan, elle se positionna sur moi afin de profiter de ma langue lors dun 69 mémorable. Nos vêtements commençaient à voler partout dans la pièce. Une fois nus tous les 2 elle sempala sur mon membre, sur moi et se déhancha avec plaisir me laissant admirer le magnifique panorama de sa poitrine que je caressais avec douceur. Ensuite, elle se retira pour sallonger sur le ventre, les fesses cambrée afin de profiter dune sodomie quelle attendait avec impatience.

Le lendemain fut douloureux, au niveau des fesses pour elle et moi javais limpression davoir un orchestre de mariachi qui faisait la nouba dans mon crane. Après une douche crapuleuse et un petit déjeuné vite expédié. Je la raccompagnais à sa voiture en lui disant au revoir. Il ne lui fallu pas 3 mois pour venir habiter chez moi (le temps de son préavis en fait). Et moi il me fallu 2 ans pour lui demandé sa main lors dun repas avec sa famille. Aujourdhui nous faisons du lèche vitrine dans les boutiques premier âge. Son gros ventre commence à se voir, Nous voyons toujours Rodolphe mais pas pour les mêmes raisons. En tant que future parrain il est très présent. Il aurait du se faire appeler Cupidon.

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