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J'ai envie de me gouiner – Chapitre 1




Je m’appelle Coralie, j’ai 20 ans, ans célibataire (mais pas vierge !) je suis vendeuse dans un grand magasin de vêtements et dernièrement, ma responsable, m’a affectée au rayon lingerie féminine. Je suis très satisfaite car j’aime la belle lingerie surtout quand elle est portée par des corps qui la mettent en valeur (ou le contraire peut-être).

A force de participer aux essayages et de donner des conseils, je me suis surprise à avoir envie de voir ces corps à moitié dénudés que je trouvais particulièrement excitants. Un homme dirait « bandants » He bien oui, à chaque fois je sentais mes tétons se dresser dans mon corsage et même il m’est arrivé d’éprouver quelques sensations surprenantes dans mon bas ventre.

Je ne suis pas gouine, je ne connais pas la soi-disant volupté qu’éprouvent deux femmes à se caresser et à coucher ensemble mais, curieuse, je me suis mise à mater des films érotiques de filles lesbiennes pour en arriver carrément aux films pornos avec toutes leurs activités.

A chaque fois je me masturbais intensément jusqu’à me faire jouir plusieurs fois à des fréquences de plus en plus rapprochées. Je m’étais équipée de multiples godes achetés directement dans un sexshop pas très loin de notre magasin près du Forum des Halles.

De plus en plus, j’avais envie de passer au réel. Mon lieu de travail m’en donnerait- t-il l’occasion ?

Si mes clientes me font envie comment leur faire comprendre ?

Il me vint une idée.

J’ai la chance d’avoir moi aussi un beau corps avec une jolie poitrine de 95 C avec laquelle je joue quand je me masturbe (J’ai d’ailleurs remarqué que les hommes flashaient souvent sur mes seins moulés par un pull près du corps ou bien visibles dans mes corsages décolletés).

Je dois préciser également que j’ai une chatte très touffue que je conserve même l’été sous mon maillot de bain car j’adore me caresser ces poils trempés de ma mouille à l’occasion.

Donc je me suis dit que dans le contexte du magasin, en bonne vendeuse et conseillère si j’arrivais à exciter une cliente, je pourrais tenter l’expérience.

Dorénavant, je m’habille toujours en mini-jupe très courte, bas noirs, porte-jarretelles assorti à mon soutien-gorge et corsage blanc légèrement ouvert ; talons hauts. C’est également la tenue que porte souvent ma patronne.

J’ai décidé de ne pas porter de string.

Ce samedi matin, 9h30 je suis à mon stand. Ma patronne est déjà là. Elle scanne les étiquettes pour enregistrer les nouveaux prix.

« Bonjour Coralie, vous avez abandonné les pantalons, cette tenue légère fait honneur à notre profession. Elle vous va très bien. Vous préparez le weekend ? »

Prise au dépourvu et un peu bloquée par mes pensées de chasseresse, je bredouille quelques mots sans vraiment répondre à sa question

« J’avais envie de changer Karine » (c’est son prénom)

D’ordinaire, je ne faisais pas particulièrement attention à sa tenue mais à la suite de sa réflexion, je la détaille un peu et la trouve particulièrement sexy.

Tailleur bleu marine strict mais également jupe très courte à mi-cuisses, jambes bien galbées gainées de bas bleus, veste du tailleur dilatée par une poitrine qui me semble généreuse sous un corsage bleu ciel largement ouvert laissant nettement apparaître la naissance de ses seins. Chevelure noire retenue par un chignon savamment travaillé. Légers piercings aux oreilles, maquillage discret et élégant.

« Voulez-vous un café Coralie en attendant nos premières clientes ? »

« Bien volontiers Karine »

En se dirigeant vers la machine à café, la fente arrière de sa jupe s’entrouvre me dévoilant légèrement le haut brodé de ses bas. Joli spectacle ! Mais il faut que je me ressaisisse, c’est ma patronne.

Karine revient avec les cafés.

« Asseyons-nous deux minutes. Comment trouvez-vous votre nouveau poste ? »

« Très agréable ! Moi qui aime les beaux habits, je suis servie et c’est très agréable de conseiller les clientes dont certaines sont très jolies et savent bien se mettre en valeur »

« Vous ne préféreriez pas être au rayon masculin ? »

« Non, pas vraiment »

« Vous avez raison, certaines femmes sont très belles, mais vous aussi vous êtes mignonne particulièrement dans cette tenue vous êtes bien à votre place »

« Vous me flattez Karine mais je vous retourne le compliment, j’ai remarqué que les hommes qui accompagnent leur femme dans le rayon lorsque vous êtes là, vous déshabillent du regard »

« Les hommes seulement ? Pas les femmes ?"

Nous partons toutes les deux dans un éclat de rire que nous contenons car la première cliente se présente.

« Bonjour madame, que puis-je pour vous ? »

« J’ai envie d’une parure complète soutien-gorge, slip, porte-jarretelles, nuisette dans les tons noir et rouge comme celle que vous avez en vitrine, je la trouve mignonne et assez sexy »

« Vous avez bon gout, cet ensemble plait beaucoup. Quelles sont vos mensurations ? »

« 90 C pour la poitrine et 40 pour les habits »

« Je vais chercher les articles et je reviens vers vous. Souhaiterez-vous essayer ?

« Oui bien sûr comme cela vous pourrez me conseiller »

« Passez au salon, je vous y rejoins »

A mon retour ma cliente est déjà déshabillée elle a juste gardé son slip. Je suis impressionnée par la beauté de son corps. Face à moi son imposante poitrine se dresse comme pour appeler mes mains.

« Voici, essayez d’abord le soutien-gorge c’est un balconnet, vous allez voir, il est très seyant. »

« Voulez-vous m’aider à l’agrafer s’il vous plait ? »

Je me place donc derrière elle pour rassembler les deux attaches. Mes doigts effleurent sa peau bronzée. J’ai une envie folle de la serrer contre moi.

« Je n’ai pas les mains trop froides ? »

« Non, pas du tout, je les sens à peine vous êtes très douce »

« Voilà, faites voir devant, les bonnets m’ont l’air bien en place, ils soulignent bien le galbe de votre poitrine »

En lui disant cela, je promène une main sur le tissu en regardant ma cliente droit dans les yeux.

« Décidément, vous êtes très douce, cet essayage est vraiment très agréable. Cet article me convient, vous pouvez me le détacher. »

Repassée derrière elle, je défais lentement les agrafes en passant bien mes mains sous le tissu pour une caresse furtive. En faisant glisser les bretelles, le soutien-gorge tombe à terre. Nous nous baissons toutes les deux pour le ramasser. C’est alors quun de ses seins frôle ma bouche en me relevant. Ce bref contact m’a tellement excité que j’ai senti un jet de cyprine le long de ma cuisse.

« Oh excusez-moi » me dit-elle

Je sens que c’est le moment de me dévoiler.

« Ce n’est pas grave, c’était même agréable »

« Que dites-vous ? »

« Je dis que j’aimerais recommencer »

« Ne me dites pas que je vous fais de l’effet ? »

« Si ! Votre corps est si excitant qu’i me fait fantasmer »

En m’écoutant ma cliente avait avancé une main vers ma jupe et commençait à me caresser. Je saisis cette main pour l’enfouir vers ma chatte littéralement trempée.

« Il vous arrive souvent de caresser vos clientes lors de leur essayage ? »

« Non, c’est la première fois, je voulais tenter une expérience et j’ai eu de la chance avec vous »

« Moi aussi vous me donnez envie je vais vous laisser ma carte et nous nous reverrons pour faire plus ample connaissance. Les autres éléments de la parure devraient m’aller puisque c’est ma taille vous pouvez tout emballer »

Après un rapide baiser sur la bouche, je retourne à mon stand pour préparer le paquet. Mon cur bat à 100 à l’heure. J’ai presque réussi mon projet.

C’est en payant ses achats que mon inconnue me laisse sa carte de visite en y inscrivant son numéro de portable.

Avant de me quitter, elle me fixe d’un regard insolent qui me déclenche un nouveau jet de cyprine. Heureusement malgré mon absence de slip rien ne paraît sous ma jupe.

« Au revoir mademoiselle me lance t’elle »

« Aurevoir madame, mon prénom est Coralie »

« He bien à la prochaine fois Coralie »

Après quelques ventes banales, sans essayage… la pause de midi arrive. Comme à l’accoutumée, je prends une salade composée à la cafétéria sans chercher à me joindre à mes collègues car je veux me refaire le film de la matinée et imaginer la suite.

Je cherche sa carte dans mon sac à main :

« Sophie LANGLET Infirmière diplômée d’Etat. Masseuse………..06……… » inscrit à la main et surprise, elle habite la même rue que moi.

Sophie, puisque c’est son prénom, m’a terriblement excitée aussi bien par la proximité de son corps que par le défi que je m’étais lancé : sauter le pas et faire l’amour avec une femme, la caresser, la sucer, me faire sucer, frotter nos chattes l’une contre l’autre utiliser des jouets sexuels comme dans les films que je mate pour m’initier et m’exciter.

N’y tenant plus, je fais son numéro de portable. La sonnerie paraît interminable et malheureusement je suis dirigée vers sa messagerie.

« Bonjour, vous êtes bien sur la messagerie perso de Sophie, je ne peux vous répondre actuellement mais surtout, laissez-moi un message. »

J’hésite mais il faut continuer mon projet.

« Bonjour c’est Coralie, la vendeuse. Merci de me rappeler »

13h, il est temps de revenir au magasin. Je prends soin de laisser mon téléphone allumé et pas sur vibreur.

Occupée à mettre de l’ordre dans l’étalage, je retrouve ma patronne qui fait le tour des rayons.

« Alors Coralie, vous avez fait de bonnes affaires ce matin ? Avez-vous eu de belles clientes, agréables à conseiller et à regarder ? »

« Bof ! À part une assez distinguée dans votre genre, elle a acheté la parure en devanture, elle lui allait fort bien »

« Coralie, j’aurais besoin que vous veniez me voir pour terminer les commandes de la prochaine saison. Je vais dire à Juliette de vous remplacer un moment. Vous viendrez à mon bureau quand elle sera arrivée »

« Pensez-vous que ce sera long Karine car je n’ai pas terminé mon rangement ? »

« Non, juste quelques décisions à prendre sur catalogue. A tout de suite »

Juliette arrivée, je vais donc voir ma patronne.

Je pousse la porte entrouverte, Karine est assise devant son bureau penchée sur les catalogues

Sa position fait que sa jupe très courte s’est relevée jusqu’à la naissance du haut de ses bas et que son corsage dilaté fait entrevoir le galbe de ses seins. En se tournant vers moi elle m’offre au regard ses très belles jambes et pratiquement la moitié de ses cuisses.

Un éclair passe dans ma tête et je revois le corps nu de Sophie. J’ai hâte qu’elle m’appelle.

« Vous me semblez bien songeuse Coralie quelque chose ne va pas ? »

« Non madame Karine mais en vous voyant comme ça, vous me faites penser à ma cliente de ce matin. Distinguée comme je vous l’ai dit avec un beau corps que j’ai pu admirer. »

« Et elle vous a fait de l’effet ? »

« Oui, c’était troublant »

« Et moi ? »

« Comment vous ? »

« Est-ce que je te fais de l’effet ? »

Comme dans la discussion ce matin, nous partons dans un éclat de rire.

« Soyons sérieuses, prenez une chaise et venez à côté de moi, ces catalogues sont encombrants »

Au fur et à mesure que nous cochions les articles à commander, Karine, très près de moi, nos genoux se touchant de temps en temps, avait délicatement posé sa main libre sur ma cuisse dégagée par ma minijupe qui s’était remontée en m’asseyant.

Sa main esquissait de légères caresses.

Voyant que je ne réagissais pas, elle me fixa d’un regard inquisiteur.

« Vous aimez qu’une femme vous caresse ? »

« C’est une sensation que je ne connaissais pas mais c’est agréable »

Sa main se faisait de plus en plus insistante en remontant jusque sous ma jupe. Elle va se rendre compte que je n’ai pas de slip et je sens que je commence à mouiller. En approchant sa tête, elle colle sa bouche sur la mienne et le désir me prends d’introduire ma langue pour un baiser fougueux. Nos langues s’entrelacent et fouillent nos bouches respectives.

« Hum, c’est bon, je devinais que tu devais être une salope Coralie, je sens ta mouille sur tes poils. Mets-toi à genoux et fouille sous ma jupe pour me bouffer la chatte ».

Comme j’en mourais d’envie, je ne fais pas attention au tutoiement et aux mots crus qui ne font que m’exciter et lui remontant un peu plus sa jupe, j’atteins rapidement cette chatte désirée. Elle non plus n’a pas de culotte elle est aussi touffue que moi, j’adore. Elle est déjà trempe. Elle sent bon, elle se parfumer ses orifices.

« Suce-moi le clito, bouffe mon con, aspire, c’est sublime, continue, plus fort, je mouille, je vais jouir »

Karine m’attrape par les cheveux lorsque se déclenche en elle un orgasme qui fait trembler tout son corps

« Ah… c’est merveilleux comme tu es bonne Coralie »

Ses puissants jets de cyprine m’inondent la figure et je bois ce délicieux nectar en me branlant la chatte et en tirant sur mon clito. L’orgasme ne tarde pas pour moi non plus, j’ai envie de crier mais Myriam me met sa main sur la bouche pour étouffer le bruit.

« Arrêtons là Coralie, dans mon bureau, ce n’est pas prudent. »

« Mais Karine moi aussi j’ai envie de me faire sucer, j’aimerais tant caresser vos seins et sucer vos tétons qui doivent être dressés, vous m’avez trop excitée »

« Oui c’est vrai je bande des seins, touche. Je t’inviterai chez moi et puisque tu n’as pas l’habitude avec les femmes, je te ferai découvrir d’autres plaisirs. Va libérer Juliette à ton stand et peut être vas-tu voir d’autres belles clientes qui vont te donner envie. »

L’après-midi se termine calmement, pas d’excitation particulière mais je me prends à mater toutes les femmes qui passent à mon rayon en essayant de les déshabiller du regard.

Juste avant la fermeture ma patronne vient me dire au revoir.

« Au revoir Coralie passez une bonne soirée »

Puis elle me murmure à l’oreille :

« Petite salope, la prochaine fois je veux que tu me bouffes les seins et que tu me mettes tes doigts dans le cul. A plus…»

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