Sur la plage: aujourd’hui j’ai rencontré une femme d’une quarantaine d’année qui semblait chercher fortune auprès de messieurs comme moi. Elle ne portait qu’un string et je pouvais voir ses seins fermes. Assise sur une serviette de bain elle attendais que l’on s’intéresse à elle. Je m’approchais
et engageais la conversation. Je lui faisais d’abord des compliments sur ses seins. Elle me regardait droit dans les yeux et me demandait de lui enduire le dos de crème solaire. Je ne demandais pas mieux. Je lui frictionnais le dos puis le plus bas possible et je remontais vers ses épaules. Enfin, puisqu’elle montrait ses seins je me mettais à les frôler. Elle ne me disait rien sinon un petit encore. Malgré les gens autour de nous je lui caressait directement l’entière poitrine Elle fermait les yeux.
Je lui proposais d’aller derrière les dunes à 100 mètres à peine de la plage. Pour la convaincre je l’embrassais et passais une main sur ses fesses. Nous partions enlacés. A l’arrivée je l’enlaçais et nous nous retrouvions couchés l’un près de l’autre. Je recommençais à lui caresser la poitrine. Je descendais une main vers ses jambes et les faisais s’écarter. Elle enlevait son string et j’enlevais mon slip qui ne cachait pas mon érection. Ma main remontait lentement vers son sexe et elle tendais son con vers moi: il lui tardait de baiser. Je lui passais ma main sur sa fente. Je n’oubliais rien au passage: clitoris, con, lèvres et cul. Je m’attardais longuement sur son bouton. Je la branlais et elle gémissait. Elle se caressait la poitrine. Je l’embrassais jusqu’au moment où je la sentais jouir de ma caresse. A son tour elle voulait me branler.
Elle prenait ma bite dans sa main et elle descendait mon prépuce lentement avant de le remonter rapidement. Elle arrêtait puis recommençait. C’était une sacré femme pour la masturbation. Elle tardait tellement que je m’impatientais. Je voulais ,jouir de suite. Elle le sentait bien mais faisait l’inverse de ce que je voulais. Brusquement sa main se mit à aller plus vite que quand je me branle. Je giclais et mon sperme partait en gerbe qu’elle recueillait dans sa main pour l’étendre sur ses seins. Je débandais bien à cause du traitement qu’elle m’avait fait. Elle voulait que je bande encore. Le seul moyen qu’elle trouvait était de se branler devant moi. Elle écartait ses cuisses largement pour que je le vois bien. Elle se mettait deux doigts dans le con et avec l’autre main elle se caressait le clitoris. Elle arrivait à ses fins: je bandais comme elle le voulait et j’étais sur de pouvoir bander longtemps.
Elle se penchait et m’embrassait le bout de la bite. Je pensais qu’elle voulait me sucer, mais non.
C’était un simple remerciement. Elle posait un léger baiser sur la bouche et murmurait doucement à mon oreille: Baises moi s’il te plaît. Elle se couchait et s’offrait à ma bite. Je regardais se sexe humide qui s’ouvrait un peu. Je me couchais sur elle et l’enfilais. Je la baisais très lentement au début puis elle voulait que j’ailles plus vite. Elle jouissait un peu avant moi. Je lançais en elle de nouveaux jets de sperme.
Elle se retournait et venait pour faire un 69. En réalité ce n’était pas son but. Elle dirigeait ma langue vers son cul. Je dardais ma langue dans ce petit trou qui s’élargissait. Je pouvais y rentrer la moitié de ma langue. Malgré le peu de langue en elle elle jouissait. Elle s’arrêtait de me sucer, pourtant elle suçait très bien. Sa nouvelle demande: mets moi la au cul. J’aime beaucoup enculer les femmes qui le veulent. Je rentrait en elle sans problème. Ma bite était entièrement dans son cul. Elle se branlait aussi. Nous avons eu un jouissance rare.
Nous pensions être tranquilles pour niquer dans ce coin là, mais une ombre venait sur nous.
Une ombre plutôt curieuse. Pour moi ça méritais d’être vu quand je baise. Mais ma partenaire semblait gênée.
La jeune femme qui était là me semblait très appétissante avec ses fesses bien hautes. Sans dire un mot elle se déshabillait et venait se coucher contre moi. Il a bien fallu faire les présentations: c’était la fille de celle avec laquelle je baisais. je craignais une algarade: ce n’était qu’une chose normale. La mère et la fille échangeaient souvent leur amant. De plus il leur arrivaient de baiser ensemble, tout au moins en trio. Je venais de baiser la mère et je me demandais si la fille baisait aussi bien. J’en avait la preuve aussitôt: La fille venait m’embrasser et se collait contre moi. D’elle même elle se mettait la tête au pieds pour faire un 69. Nous étions donc ensemble prenant du plaisir.La mère de son coté en prenait aussi: elle se branlait devant nous sans honte, surtout devant sa fille. Elle disait que c’était elle qui lui avait appris à baiser et se branler. Quoiqu’il en soit, la fille suçait presque aussi bien que la mère: disons que la technique était différente. Sa langue s’enroulait autour du gland et ses lèvres servaient à maintenir mon sexe dans sa bouche. De mon coté, la seule différence était un goût un peu plus sucré de sa chatte. Je profitais de l’occasion pour lui mettre deux doigts dans le cul. Elle les acceptait. Elle jouissait et sa mère demandait à avoir aussi ma bite dans sa bouche. Nous étions en 69 quand j’eus la surprise de voir une main qui venait caresser le cul de ma partenaire: c’était la fille qui mettais également deux doigts dans le cul de sa mère. Elle jouissait encore. Heureusement que je bandais toujours, sinon je n’aurais pas pu baiser la fille sous les regards attentifs de sa mère.Je lui mettais, dans le con, ma bite. Elle accompagnait mes mouvements. Au moment de jouir elle poussait le cri de je jouiiiiiiiit. Sa mère la faisait taire en l’embrassant sur la bouche. Comme je jouissais également, la mère se jetait presque sur le con de sa fille pour récupérer le trop plein de sperme.
Nous avons beaucoup baiser cette après midi là. Demain nous devons nous revoir. Pourtant j’aimerai bien baiser la fille seule. Qui sait quand
La suite viendra bientôt