Cat me quitte 4

Par la fenêtre ouverte nous avons vue sur une pièce assez vaste. Une double porte nous fait face flanquée à gauche d’un bar auquel s’appuient trois hommes nus, un noir, un nord-africain et un blanc aux pieds desquels sont agenouillées trois femmes en soutien-gorge. Elles nous tournent le dos. Une blanche à la croupe somptueuse s’intéresse au paf du grand noir, le manipule à deux mains et souffle sur son extrémité. Le nord-africain est entretenu avec délicatesse par une asiatique debout mais pliée en deux, jambes désunies de manière à exhiber son abricot serré, un joli fruit à peine mûr dans un nid de poils noirs. Célibataire depuis quelques semaines, j’y fourrerais volontiers ma chose. Le blanc sirote une boisson et pose une main sur la chevelure frisée et courte d’une femme noire plus avancée dans la gâterie qu’elle dispense en avançant et reculant constamment la tête. Elle aussi est penchée, pliée en deux et expose sous sa croupe majestueuse très rebondie deux grosses lèvres d’une vulve enflée et sombre.

A droite de la porte un homme aux yeux bridés et aux cheveux lisses, assis dans un fauteuil profond pianote d’une main nonchalante dans le hérisson électrisé d’une seconde asiatique. Assise de biais sur un canapé, une beurette reçoit d’un deuxiéme asiatique de longues caresses de la langue sur sa craquette velue. Gaston me souffle:

Je comprends mieux la présence des cinq voitures. Deux couples avaient échappé à mon comptage. Ils étaient arrivés avant moi.

L’activité des occupants paraît être une distraction sans passion, une occupation provisoire. On passe le temps comme on peut, la seule distraction consiste à échanger les partenaires. Les hommes attendent, s’arrêtent, calment les entreprises trop excitantes des femmes. Celles-ci bougent, changent de partenaires de façon aléatoire. La blonde maintenant sert à boire elle est passée derrière le bar :, j’aperçois les culs des hommes debout tournés vers elle. Ce sont tous des athlètes musclés aux torses en V, aux fessiers apparents.

La double porte reste fermée, Où sont René et Cat ? Gaston se dirige vers la dernière fenêtre éclairée. Je le suis pour découvrir un petit salon vide dont la porte s’ouvre et je vois entrer René suivi des cinq hommes aperçus dans la grande salle. Ils prennent place et René les instruit:.

-J’ai pour vous ce soir deux superbes lots. La première est une jeune de dix-neuf ans pleine d’illusions, persuadée d’être née pour être aimée par une multitude d’hommes riches et célèbres. Elle est jolie, elle veut apprendre. J’ai consacré la dernière semaine à la dégrossir sexuellement, non sans peine malgré toute sa bonne volonté Son patron ne connaîtra aucune difficulté, c’est une blonde, une tête brûlée, Elle veut jouir le plus souvent possible, m’ a trouvé un peu trop fortement membré quand je l’ai foutue les premières fois, mais je l’ai élargie à force d’exercices : elle s’habituera vite à toutes les dimensions. Mise à prix :80 000 .

J’ai connu la seconde il y a quelques mois durant mes vacances. Sa plastique parfaite a attiré mon attention. Large de hanches, avec des seins en poires d’une grande fermeté, elle vous fait bander dès le premier regard sur ses formes voluptueuses. Je l’ai abordée sur une plage où elle attendait son mari. Quand je lui ai montré ma trompe après m’être assurée de sa discrétion, elle a ouvert de grands yeux avec un air stupéfait. Elle a crié à l’artifice, puis elle a ri. Je lui ai proposé de mieux voir et de toucher à l’hôtel dans la discrétion de ma chambre.Elle est venue, elle a vu, elle a touché, elle a cru. Il ne lui restait plus qu’à goûter. En bouche elle m’a trouvé ferme et velouté et de saveur poivrée. Elle a ensuite poussé des plaintes lorsque j’ai forcé l’entrée de son vagin. Mais l’orgasme fulgurant qui a suivi en a fait immédiatement une adoratrice de mon braquemard.

En deux semaines de vacances elle a réussi à me rejoindre encore cinq fois en faussant compagnie à son homme bien peu méfiant, le malheureux couillon ! Il y a des types qui ne connaissent pas leur chance, qui ne la méritent pas et c’est justice de les en punir en ravissant leur moitié. Elle devient folle quand mon gros calibre lui lime la boîte à gants. Ce qui est bon chez elle c’est la grande élasticité de son con. Vous la quittez et déjà son conduit serre les deux doigts que vous lui mettez pour relancer sa jouissance. Elle commence à apprécier la sodomie : une fois dans le circuit, elle assurera par derrière comme par devant, marchera comme on dit "à voile et à vapeur" N’était mon pressant besoin d’argent, je me la garderais Comme déjà dit, elle était mariée et vivait bien sagement avec un gentil petit mari. Je l’ai sortie de sa vie tranquille et j’ai complété son éducation sexuelle, j’en ai fait une baiseuse de talent, j’ai développé son potentiel, je lui enseigné toutes les pratiques communément admises dans les rapports entre homme et femme. Celui qui pourra l’acheter en fera une gagneuse d’excellent rendement.

Elle a un défaut, : elle croit qu’ elle m’aime ! . La séparation la traumatisera. Il faudra se montrer ferme pour réussir à la dresser, mais votre savoir faire n’est plus à démontrer . Je compte sur vous et sur son acquéreur pour lui montrer que le bonheur peut être ailleurs qu’ici avec moi. Je la recommande à celui d’entre vous qui a la queue la plus longue et la plus épaisse, de manière à l’éblouir et à me faire oublier. Elle a par ailleurs un gros avantage : elle aime les gros calibres. Certes qui peut le plus peut le moins, contente des plus gros, elle saura s’adapter à moins fort si nécessaire. Pourtant mon remplaçant la conquerra plus facilement s’il est aussi bien ou mieux membré que moi. A bientôt.

L’arabe se vexe :

-Depuis le temps on la connaît par coeur ta queue. Elle est grande et épaisse, d’accord, mais vois la mienne de diamètre inférieur mais bien plus longue. Si la fille me plaît, je me sens capable de l’enchanter. Et s’il faut la dresser, chez moi elle trouvera son maître. Le temps passe, amène ta merveille.

-Un dernier point : elle ne sait rien à propos des enchères. Elle croit coucher avec le plus offrant. La mise à prix étant de 75 mille euros, les offres augmenteront de cinq en cinq mille. Dans les annonces je dirai 75 et oublierai 3 zéros. Pour faire monter vous annoncerez 80, 85 ou 90 etc…commes’il s’agissait du tarif d’une passe.

— Allez, on a compris. Est-ce qu’on pourra y goûter avant d’enchérir ? demande le blanc.

-Mais je vous y encourage ! Dans une minute elle est à vous.

René revient dans la même pièce avec une mariée. Il adresse ses dernières recommandations à Catherine. Il est debout, collé à son dos et je remarque le mouvement de son bras droit. Il a relevé la longue robe de mariée, passé dessous une main qui va et vient sur l’entrejambe de ma femme. Sa caresse est facilitée par la pose de Cat dont le pied droit repose sur l’assise d’une chaise, son genou relevé retient le tissu blanc et la cuisse penche vers l’extérieur. Evidemment Cat, joues rouges, bouche entrouverte, penche sa tête contre celle de son maître et reçoit ses conseils en haletant. Elle fait oui de la tête et lorsqu’il lâche la prise elle l’embrasse follement, se colle à lui comme une sangsue.

-Eh ! C’est parfait. Je t’aime, ma belle. Tu es bien chaude, prête pour la suite. N’oublie pas que grâce à ta complaisance nous aurons de quoi vivre pendant des mois. Je compte sur toi, mon amour. Sois bonne avec ces amis, ils te veulent tous du bien. Je serai très heureux de te voir faire l’amour avec celui qui te distinguera. Mais pour choisir il faut connaître et ils voudront tous te découvrir de mille manières joyeuses.

-Oui, je ferai tout ce que tu me diras. on y va ?

-Attends-moi encore un peu. je vais te présenter à nos hôtes. René quitte la pièce.

Catherine arrange les plis de sa robe froissée par René. Gaston me tire vers la fenêtre de la grande salle; Tiens, on a poussé au milieu un lit étroit et de longueur normale. Les jeunes femmes ajustent un couvre-lit rouge sang, les hommes se masturbent avec nonchalance, un asiatique consulte son bracelet-montre très voyant de parvenu. La porte s’ouvre, René paraît souriant, sûr de lui suivi de mon ex femme

Gaston, le voyeur s’éloigne derrière les voitures. J’entends à peine des "psch" successifs. Ce type cherche des emmerdes, il ne faudra pas traîner dans les parages après la vente. Catherine entre dans la salle de réception, joue à la mariée heureuse. René la conduit à la fenêtre, lui fait exécuter un demi-tour et s’adresse à l’auditoire.

-N’est-elle pas splendide ma Catherine ? Mais quand vos compagnes lui auront retiré ses atours, sa beauté vous ravira davantage encore. Heureux l’homme chanceux qui aura la riche idée de la gagner. Mesdames, veuillez procéder comme à l’habitude.

Deux asiatiques, une noire, une beurette et la blonde du bar s’approchent, mènent la mariée vers le lit et la dépouillent lentement. La robe est foulée au pied, les jarretelles sont détachées, la guépière disparaît. Je ne distingue pas qui fait quoi, Cat se retrouve nue face aux acquéreurs. et René fait l’article, vante les seins bien attachés, les hanches larges qui "attisent le désir des mâles", les jambes parfaites. Il invite les filles à allonger la magnifique créature sur le lit, à lui retirer les bas et à séparer les jambes: ainsi ces messieurs découvriront le sexe objet de convoitise.

-Vous, chère amie, ouvrez cette chatte, faites la bâiller. Messieurs, admirez la couleur de l’intérieur. Approchez. l’un de vous veut-il éprouver la fermeté et l’élasticité de ce vagin. Oui, monsieur Shan, faites, introduisez un doigt. Un deuxième trouve place. lisez le plaisir dans les yeux de cette jeune femme. Vous aussi Monsieur Liu,

-Et par derrière, la dame est-elle réceptive? demande le nord africain à la longue lance.

-Veuillez vérifier vous-même, répond le vendeur. Deux filles tirent les pieds vers le plafond. Ali suce son index et va le visser dans le rond serré de l’anus avant de se déclarer satisfait: Il commente :

-C’est parfait, très praticable et la porte se referme d’elle-même. C’est un joli cul, odorant et qui enthousiasmerait bien des hommes.

Le noir veut savoir si la dame suce bien, longuement, sans se plaindre de douleurs dans les mâchoires. René dispose les hommes en bordure de lit, et demande très gentiment à sa chérie de procéder à une démonstration en faisant le tour de l’honorable compagnie. Il insiste sur le bon caractère de son aimée qui attaque avec le sourire le seul blanc de la troupe, en dehors de René. Ce Luc est monté comme un âne. Cat ne dissimule pas sa joie de pouvoir se remplir aussi complètement la bouche, comme avec René confie-t-elle à son séducteur pendant la courte pose. Après une petite hésitation elle va lécher la cramouille grasse de la blonde, s’y reprend à plusieurs reprises,nez enfoncé dns la large fente perdue entre des grandes lèvres gonflées. La mince verge dure du premier homme jaune lui plaît aussi. Les autres femmes palpent les seins ou l’entrejambe de Catherine pour l’exciter. Mais en a -t-elle besoin ? Elle s’est appliquée sur cinq verges et chaque mâle l’a complimentée.

-Est-ce qu’on peut faire un essai du sexe demande l’un ?

-Nous accordons deux minutes à chacun d’entre vous pour explorer la grotte de madame, n’est-ce pas Catherine?

-Mais oui, mon chéri, puisque tu le demandes si gentiment, réplique la femme à vendre si bien dressée et toujours persuadée deplaire à son René.

Chacun impose une position différente, du missionnaire, à la cuillère, au papillon, à l’inévitable levrette ou pour terminer à une double pénétration exigée par les deux asiatiques. Le noir obtient les cris les plus perçants de la femelle soumise à ce contrôle de qualité exceptionnel pour elle, mais tout à fait banal pour les auteurs de ces intromissions rapides dont l’accumulation envoie une Catherine enthousiaste et hurlante au septième ciel. René précipite la vente :

Cette nuit, Catherine appartiendra au plus généreux d’entre vous. Commence les enchères. Le blanc emporte le lot, se dit pressé d’aller en tirer le plaisir attendu. La mariée est rhabillée sur le champ et accompagne son nouveau propriétaire. Arrivée à la limousine, devant la portière ouverte elle réalise enfin qu’elle va quitter le manoir et René. Les paroles de Gaston ont laissé une trace:

-Non, il n’est pas question que je parte. Je ne veux pas faire la putain. René tu es un pourri.

Une bonne claque la fait taire. La méthode me révolte. J’ai admis qu’on use d’elle puisqu’elle l’acceptait et semblait s’en accommoder et même y prendre son pied. Mais moi qui ne l’ai jamais frappée, je ne tolère pas qu’un maquereau la batte. Un hurlement de rage spontané m’échappe lorsque Catherine s’écrie

-Jean, au secours ! Jean……..!

Je n’ai rien calculé, ma réponse fuse :

-Salaud, je vais te casser la gueule.

Le type se retourne menaçant. Je vais dérouiller. A côté de moi Gaston souffle dans un sifflet. De l’obscurité jaillissent des ombres. J’entends crier:

-Police, ne bougez plus. Des hommes courent aux voitures, veulent s’enfuir mais sont bloqués par un pneu crevé. Le filet se resserre. Gaston faisait le guet, le prétendu voyeur est un policier. J’ai par mon cri inattendu précipité l’intervention policière et je devrai témoigner. Hommes et femmes sont embarqués.

Le lendemain au poste on me demande :

-Que faisons-nous de votre épouse ? Elle souhaite retourner vivre avec vous . Acceptez-vous de la reprendre ?

C’est moi qu’elle a appelé au moment du désespoir. J’oublie le reste.

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