Nous sombrons tous les deux dans un profond sommeil, main dans la main. Certains de nos rêves seront lubriques, d’autres seront sages, mais tous seront agréables.
Je me réveille vers neuf heures quinze, peu avant la fin du service du petit-déjeuner. Je me dépêche de descendre à la réception pour nous prendre un plateau à tous les deux. Quand je reviens dans la chambre, devant ta beauté, nue allongée sur le lit dans la lumière du matin, je ne peux m’empêcher de m’imprégner de ce tableau et de prendre quelques jolies photos que je te montrerai plus tard.
Je m’allonge à tes côtés et attends que tu te réveilles en lisant un peu, je vérifie notre temps de trajet jusque chez Pierre et Julia. A peine vingt minutes, parfait, pas de circulation prévue.
Lorsque tu ouvres les yeux, je me penche vers toi et dépose un doux baiser sur tes lèvres. J’ouvre les volets et installe le petit-déjeuner sur notre balcon privatif et isolé des regards extérieurs. Nous avons une magnifique vue sur l’océan au loin. Lorsque j’ai tout installé, tu me rejoins, toujours nue pour mon plus grand plaisir. Le soleil est déjà chaud… lui aussi !
Nous avalons les quelques viennoiseries et tartines, mais grâce à toi, je mange aussi avec mes yeux. Nous nous remémorons la nuit passée, et sommes impatients de l’après-midi à venir.
Après une petite douche, tu enfiles ta robe noire, et rien d’autres. Nous partons en promenade avant de déjeuner frugalement et de rejoindre nos partenaires de jeu.
Au bord de la plage, le vent soulève parfois ta robe, certains chanceux ont dû avoir leur journée illuminée par ta beauté intime.
Mais peu importe, ça n’est ni notre but ni notre envie. Ta tenue n’est destinée qu’à nous seuls. Nous prenons place sur une petite terrasse, commandons un petit apéritif frais, mais léger, puis un plat plutôt léger, de quoi nous remplir l’estomac sans nous surcharger. Nous voulons être en forme optimale.
Pendant que nous mangeons, tu m’exposes de temps en temps un de tes seins, ce qui m’excite encore un peu plus, je n’en avais pourtant pas besoin.
J’aimerais tant immortaliser cet instant, mais ça ne serait pas très discret…
Nous nous levons, tu me confies être tout excitée, le vent te caresse de temps en temps. Direction la voiture, il est l’heure de rejoindre nos camarades. L’air très coquin, sachant parfaitement que ta remarque n’en était pas vraiment une, tu me dis que tu as oublié de prendre nos maillots de bain… Un petit rire nous suffit, il est peu probable que nous en ayons besoin dans les heures qui viennent.
Je profite du trajet pour te prodiguer quelques subtiles caresses dès que la route nous le permet, je peux constater que ton excitation est effectivement très grande. Tes doigts effleurent également mon entrejambe, déjà très en forme !
Bien arrivés à l’adresse indiquée, nous sonnons. Un court instant après, Julia, vêtue seulement d’un léger et court peignoir en satin vient nous ouvrir. Effectivement, nos maillots ne nous manqueront pas.
Enfin vous voilà, nous étions impatients de vous voir arriver ! Venez, la piscine est déjà à température.
Nous traversons rapidement leur maison, charmante, mais nous y portons peu d’attention. Arrivés sur la terrasse, nous trouvons une belle piscine, sans vis-à-vis, Pierre les pieds dans l’eau, nu, profitant du soleil.
Nous voyant arriver, il se lève, t’embrasse et te mettant une main ferme sur les fesses, tu enchaînes avec Julia à qui nous n’avions que dit bonjour pour le moment. Elle vient ensuite m’embrasser une main sur mon sexe puis déclare :
Enlevez tout ça qu’on se mette tous à l’aise ! laissant tomber son peignoir à ses pieds.
Rapidement, nous sommes tous les quatre dans la même tenue, et Pierre revient de l’intérieur avec un apéritif frais, mais enivrant. Nos langues se délient, rapidement notre potentielle timidité n’est qu’un lointain souvenir.
Bien sûr, la conversation tourne largement autour du sexe, nous ne sommes pas venus faire un scrabble.
Nous parlons chacun de nos expériences libertines, de nos envies, fantasmes, préférences.
Tous deux aiment le sexe débridé, les parties avec plusieurs hommes, les échanges sans limites. Julia adore jouer avec les femmes ou s’offrir à de nombreux hommes. Pierre aime enchaîner les partenaires, jouer, lécher, caresser, offrir sa compagne et tous deux aiment particulièrement les échanges à plusieurs couples dans lesquels on ne sait plus qui fait quoi, qui nous caresse, nous lèche ou nous suce.
Nous avons une pratique un peu plus soft, mais la nuit dernière nous a bien montré que nous savons parfaitement nous accorder. Nous préférons la douceur, la complicité d’échanges intimes. Mais parfois, quand les choses s’enflamment sous nos yeux, nous ne sommes pas contre de jouer à plus de quatre. Mais l’occasion se présente rarement.
Joignant les actes à la parole, Julia prend un glaçon en bouche et nous dit que ce qu’elle préfère c’est ça…
Elle vient s’agenouiller face à nous deux, te lèche et me suce tour à tour. Lorsqu’elle te lèche, sa main s’affaire sur moi, pendant qu’elle me suce, ses doigts glissent en toi.
Ce traitement est très agréable, mais prend rapidement fin. Une fois le glaçon fondu, elle se relève et nous propose d’aller nous baigner.
Nous entrons donc tous les quatre dans l’eau, doucement. Elle est très bonne, mais il fait déjà chaud, la différence de température saisie. Nous prenons place sur les marches et nous asseyons. Nous sommes immergés jusqu’aux épaules, presque comme dans le jacuzzi du sauna, la luminosité en plus. Pierre et moi sommes aux extrémités, Julia et toi êtes au centre.
Le silence se fait et tes lèvres sont irrésistiblement attirées vers celles de Julia, tout comme tes mains vers ses cuisses. Alors que vous vous embrassez et que vos caresses se précisent, j’échange ma place avec celle de Pierre.
Il vient s’asseoir près de toi, tu sens sa queue tendue contre ta cuisse, ça t’excite encore plus. Tu ouvres tes cuisses sous l’eau pour permettre à tes deux compères de te caresser plus librement. Pour ma part, Julia s’étant totalement tournée vers toi, elle m’offre sa croupe que j’embrasse, lèche et caresse de mes doigts. Elle tend sa main droite et me masturbe doucement alors que je vois sa main gauche explorer ton intimité.
Je me relève et me cale entre les fesses de ta bienfaitrice, j’y glisse doucement, elle se tend en arrière et ondule en rythme avec moi. Pierre s’est levé et a porté son gland gonflé à hauteur de ta bouche, tu le goûtes avec plaisir pendant que Julia effleure tes seins et ta chatte.
Vous décidez de vous remonter et de vous installer sur le rebord de la piscine, nous offrant ainsi chacune votre nectar à venir récolter. Nous ne nous faisons pas prier et plongeons immédiatement nos langues dans vos intimités délicieuses.
Une main sur nos têtes, l’autre sur la poitrine de votre partenaire, vous échangez un langoureux baiser pendant que nos bouchent s’affairent à vous donner un maximum de plaisir. C’est un délice, je goûte à notre miss complice, Pierre se délecte de ton jus, nous sommes tous les quatre très excités.
Nous migrons du bord de la piscine vers une partie ombragée de la terrasse sur laquelle nous installons les matelas de mousse pour rendre nos ébats plus confortables. Pierre a la délicatesse d’amener une boîte de préservatifs. Julia et toi vous allongez face à face sur le flanc, vous vous embrassez et vos mains caressent le corps de l’autre. Je me mets derrière Julia, me couvre et doucement me glisse en elle alors que ta main la caresse encore. Tu sens sous tes doigts ma queue dans son étui de latex qui glisse doucement en celle que tu embrasses et couvres de tes caresses. J’aime te sentir ainsi. Je vois Pierre qui te prodigue le même traitement, tu fermes les yeux pour mieux savourer la sensation de sa colonne de chair qui s’introduit en toi doucement. Tu choisis finalement d’abandonner ta compagne de jeu pour te concentrer sur ton partenaire masculin. Tu t’allonges sur le dos, relèves tes jambes et t’offres à sa pénétration profonde.
Il s’approche de toi, et toujours confortablement glissé en Julia, je l’observe attentivement te prendre, avec délicatesse, mais fougue.
Sa bouche se colle à tes seins et à tes lèvres pendant qu’il te donne de vifs coups de reins. J’aime te voir ainsi chahutée, d’autant plus quand je profite des douceurs du corps d’une autre femme. Mais j’aimerais venir m’approcher de toi, te caresser et t’embrasser quand tu prends du plaisir.
Je demande donc à Julia de venir s’allonger, sa tête à côté de la tienne, qu’elle puisse t’embrasser et que je puisse vous observer Pierre et toi pendant que je contenterai cette femme au mieux de mes possibilités. Je me regarde glisser en elle, mon gland disparaître entre ses lèvres intimes. Je lui embrasse les seins, les caresse pendant qu’elle tourne la tête pour joindre ses lèvres aux tiennes.
J’admire la scène, je prends cette femme qui est en train de t’embrasser alors que son compagnon te pénètre. Vous êtes toutes les deux agitées de soubresauts selon le rythme de nos assauts. Petit à petit, Julia et toi glissez pour que vos têtes se retrouvent au niveau du bassin de votre compagne.
C’est un réel délice que de vous prendre ainsi.
Chacune de vous peut caresser à souhait sa partenaire de jeu ou son conjoint. Nous échangeons des regards plus lubriques que coquins.
J’admire autant de voir ma queue pénétrer Julia que de voir Pierre te prendre et ton visage s’illuminer de plaisir.
Malheureusement, mon excitation physique et intellectuelle sont si grandes que je ne peux tenir plus longtemps. J’explose au fond de ma protection de latex alors que ton partenaire de jeu accélère le mouvement pour te faire monter jusqu’à la jouissance.
Presque ensemble, vous jouissez sous nos yeux, et nous nous allongeons tous les quatre sur les matelas au bord de la piscine.
Nos esprits repris, nous reprenons des discussions plus anodines autour d’une petite collation avant de retourner à l’eau, mais toujours nus.
Nos hôtes nous demandent si nous pouvons rester pour la soirée. Sans trop hésiter, nous acceptons évidemment.
La chaleur et l’absence de vis-à-vis le permettant, nous restons nus. Nonchalamment, Pierre te caresse parfois la poitrine ou les fesses, tout comme Julia. Nous ne nous privons pas de leur rendre leurs caresses, mais sans jamais entrer dans quelque chose de purement sexuel. Ce jeu permet de faire monter nos désirs à tous tout en laissant nos corps se reposer.
J’aime te voir coquine, empoigner la queue de Pierre, embrasser un sein de Julia, me regarder le sourire aux lèvres quand elle embrasse mon gland. C’est excitant.
La fin d’après-midi arrive, et nous nous retrouvons à nouveau autour d’un apéritif généreux. Pierre et Julia nous expliquent que, nous ayant invités au dernier moment, ils n’avaient rien prévu, il faudra donc se contenter d’un apéritif dînatoire.
Je lance que je crois que nous aurons tous bien d’autres choses à manger ce soir, ce qui vous fait sourire tous les trois. Au fil de nos bouchées et de nos rasades, le sexe revient au centre de nos préoccupations.
Sa coupe à la main, Julia s’approche de moi. Elle jette un coussin au sol, s’agenouille et commence à me lécher et me sucer. Pierre et toi nous regardez, mais sans vous lancer également. Vous appréciez simplement le spectacle. Je vois juste ta main se rapprocher de la queue de ton compère que tu caresses pour la faire grossir, mais sans aller plus loin. Vous vous rapprochez et il glisse sa main sur ton sein. Mais l’un comme l’autre, souhaitez nous regarder pour le moment.
Julia me lèche, boit une gorgée de son frais breuvage et vient coller sa langue froide sur mon gland. C’est une sensation très agréable. Ce traitement me met très en forme, j’ai très envie de lui rendre la pareille, mais elle ne l’entend pas de cette oreille.
Elle attrape un préservatif, me couvre et se tourne face à vous, dos à moi. Elle empoigne ma queue et s’assied sur moi. Vous ne perdez pas une miette du spectacle. Je te regarde nous observer, tu n’en perds pas une miette. Je vois ton regard se promener de la chatte de Julia pour observer ma queue s’y glisser doucement, à son visage puis au mien. Je te regarde également caresser doucement le sexe, maintenant bien dur, de Pierre. De mes mains, je caresse les seins de Julia, ils sont bandés d’excitation, j’aime les caresser, les titiller, les empoigner.
Son bassin oscille en rythme, elle glisse le long de ma queue, remonte jusque mon gland, s’enfonce vivement sur moi et recommence doucement. J’adore. Le fait de te voir regarder fait monter mon plaisir en flèche. Je l’entends gémir, elle se sert de moi comme d’un sex-toy. Heureusement que nous avons joué en début d’après-midi, sans quoi, je n’aurais jamais tenu tellement c’est bon.
Mais soudain, elle s’arrête, vient prendre place à côté de moi, pose une jambe sur la banquette pour nous offrir le spectacle de son fruit juteux, elle guide ma main vers ce dernier tout en ôtant mon imper de latex et en empoignant ma queue.
Moi aussi j’ai envie de vous regarder, je suis bien excitée là, et je crois que vous aussi.
C’est à Pierre et toi qu’elle s’adresse. Tu m’interroges du regard, je te fais signe de la tête et ne te laisse aucun doute sur le fait que l’idée de te regarder dans cette situation me plaît énormément.
A ton tour, tu t’agenouilles devant Pierre, et de ta bouche délicate, tu flattes son gland. Ta main droite glisse sur sa queue, de haut en bas, doucement. Tu y prends un grand plaisir, tu sens cette tige bien dure palpiter sous tes doigts. Tu glisses ta langue de la base jusqu’au bout, puis ce sont tes lèvres qui entourent cet engin que tu fais disparaître au fond de ta bouche.
Viens, allons observer de plus près ! me dit Julia.
Nous nous rapprochons de vous, posons les coussins pour être confortablement installés. Elle tend une main vers tes fesses, et glisse un doigt sur tes lèvres humides.
Je crois que ta chérie aime beaucoup ça ! me dit-elle en me donnant son doigt à lécher.
Mes papilles s’enchantent de ton parfum intime délicieux. Mes yeux se délectent de ton uvre, tu es si belle ainsi.
Finalement, nous migrons tous les quatre vers le matelas de nos précédents ébats. Julia et moi nous allongeons toujours face à vous, contemplant cette magnifique partie que vous offrez.
Cette fois, c’est Pierre qui prend les devants. Il t’allonge, s’agenouille devant toi, écarte bien tes jambes, puis tes lèvres, dévoilant la moiteur de ton excitation. Il glisse ses doigts. D’abord, sur toi, puis, lentement, son index glisse dans ton antre, phalange par phalange. Après quelques mouvements, il y joint son majeur pour ton plus grand plaisir. De son autre main, il flatte ton bouton magique. Je te vois fermer les yeux et relever le bassin. Ton plaisir est trop intense, tu veux en profiter à fond, tu t’abandonnes complètement sur les sensations.
Julia et moi avons les jambes entrelacées face à vous, elle me caresse toujours lentement, c’est très agréable, mais la seule vue de Pierre et toi suffirait à me garder droit et raide. Je lui caresse les lèvres, elle aussi semble bien apprécier votre spectacle.
Ton bienfaiteur se penche entre tes jambes pour enfin lécher ton jus de plaisir, ses doigts au plus profond de ton intimité. Tout en continuant à te lécher, il tourne son bassin face à nous, et Julia comprend le message. Elle l’habille de sa protection, non sans l’avoir léché juste avant.
Il se relève et approche son bassin du tien. Tu ne peux t’empêcher d’empoigner sa queue pour le guider vers ton plaisir.
Julia et moi vous observons, à quelques dizaines de centimètres seulement, son gland écarte tes grandes lèvres, lentement. Il glisse de haut en bas. Puis il pousse un tout petit peu plus, ce sont maintenant tes petites lèvres qui cèdent à la pression et s’écartent, offrant un écrin de bonheur à son gland explorateur.
Il positionne ses mains sur tes genoux, ce qui lui permet de te relever les jambes en les écartant, il s’ouvre le chemin vers le puits de ton plaisir, humide et impatient de le recevoir.
Il continue de te faire languir, en se glissant sur ta petite chatte luisante, de haut en bas, de bas en haut. Enfin, son bassin avance vers le tien, et doucement, nous voyons sa queue disparaître en toi.
Tu gémis de plaisir, mais rapidement ton gémissement se transforme en véritable cri de jouissance. Ce qui est en train de se dérouler, Pierre que fait monter ton plaisir de ses caresses expertes, Julia et moi qui te regardons avec attention, est en train de décupler ton plaisir.
Je le vois qui avance en toi, lentement, constamment. Une fois son bassin collé au tien, il recule avec autant de précautions qu’il avançait.
Pour notre plus grand plaisir à tous, il procède ainsi peut-être trois ou quatre fois. L’instant d’après, c’est d’un coup de reins sec et précis qu’il prend possession de ta chatte. Ses mouvements s’accélèrent.
La douceur et la délicatesse d’il y a encore quelques secondes laissent maintenant place à une bestialité sexuelle intense. Il te pénètre de ses coups de boutoir, agrippe tes seins de ses mains pour te posséder plus encore.
Ce traitement a vite fait de te faire monter jusqu’à l’extase, tes cris s’intensifient, ton plaisir est manifeste, ta jouissance est douce à nos oreilles. Pierre également, dans la douceur de ton écrin, finit par exploser de plaisir.
Aussitôt, Julia se tourne vers moi.
A nous maintenant !
Elle m’appuie sur le torse et me fait m’allonger sur le dos. Elle me couvre à nouveau, et toujours dos à moi et face à vous, elle s’empale sur mon sexe.
Elle se penche en avant, les mains posées sur mes jambes, j’observe sa croupe onduler sur ma queue.
Tu t’approches d’elle, tout juste remise de tes émotions. Vous vous embrassez à pleine bouche, Pierre se contentant de nous regarder.
Elle t’attire à elle, et se penche en arrière, t’offrant ainsi une vue imprenable sur sa chatte pleine de mon sexe. Tu t’approches et l’envie de la lécher devient trop grande pour que tu y résistes. D’une main, tu écartes ses lèvres, ta langue vient alors titiller son clitoris. Tu la glisses à l’entrée de son intimité, descends jusque sur mes bourses. Tu recommences ainsi quelques fois. C’est un pur délice.
Mais je n’en peux plus, je fais mettre Julia à genoux et me glisse en elle en levrette. J’agrippe ses hanches et intensifie mes coups de reins pour faire monter son plaisir en même temps que le mien.
Elle jouit en premier, et je la suis de près. Nous nous affalons à notre tour sur le matelas au sol.
Tu t’approches de moi et m’enlaces dans tes bras. Il n’y a pas d’endroit où je me sens mieux. Nous restons ainsi un petit instant, puis reprenons nos esprits pour terminer notre dîner / apéritif.
Encore excités, mais épuisés par cet après-midi et le début de soirée, nous prenons congé de nos hôtes, non sans échanger nos coordonnées. Après une telle complicité, il serait dommage de ne pas faire en sorte de se revoir tôt ou tard.
Notre trajet retour est bien silencieux, nous sommes tous les deux baignés dans nos souvenirs, érotiques, lubriques, obscènes parfois, mais toujours agréables. Arrivés à l’hôtel, nous prenons une douche ensemble, douce délicate, pleine de complicité et de douceur. Puis nous nous enlaçons avant de nous abandonner au sommeil.