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Descente au Paradis – Chapitre 4




Suzanne réussit un o-soto-gari : son adversaire, un grand gaillard d’un mètre quatre-vingt pour quatre-vingts kilos tombe au sol. En une fraction de seconde, elle se jette au sol et l’immobilise avec hon gesa gatame : la cage thoracique du pauvre homme est comprimée, sa tête bloquée contre la poitrine de la belle, qui ressort un peu de son haut blanc de sport à cause de la pression qu’elle exerce, débordant de son kimono. Malgré quelques tentatives pour se libérer de la prise, l’homme finit par taper sur l’épaule de la belle, acceptant sa défaite. Luc, un grand gaillard de deux mètres, ceinture noire troisième dan de Judo, sonne le « Mate » : l’exercice est terminé, et Suzanne est parvenue à immobiliser deux fois son adversaire, contre une, remportant le duel. La séance est terminée.

Au cours du Salut final, Suzanne ne peut s’empêcher de jeter un coup d’il à Luc : environ soixante-dix ans, bien conservé, très sportif malgré son âge. Le vieil homme lui jette un il et arbore un sourire complice : il s’agit de son vieux maître de Judo. Lors de son enfance, Suzanne avait passé la majorité de ses étés dans sa maison de campagne, et ce club était l’un des seuls à des kilomètres à la ronde. Naturellement, elle s’était rapidement tournée vers les sports de combat, profitant de chaque entraînement pour peaufiner ses techniques. Avec le temps et le travail, elle avait perdu l’habitude de pratiquer, mais elle arborait tout de même fièrement sa ceinture marron, abîmée par les années et les entraînements. Aujourd’hui, revenir en ce dojo où elle a passé la majorité de son enfance lui véhicule une forte nostalgie. Finalement, elle est bien contente d’être passée.

Le cours se termine : Suzanne se relève, et se dirige vers son ancien maître, non sans remarquer la grimace de son ancien adversaire, qui la dévisage durement. Elle l’ignore simplement. Suzanne ne reconnaît pas une des sept personnes Luc non compris qui sont présentes ce soir : des jeunes, des moins jeunes, mais personne de son enfance. Alors que les judokas se dirigent vers les vestiaires, Suzanne enlace Luc en souriant, non sans hésiter à cause de la sueur qu’elle a émise au cours des deux dernières heures.

Salut gamine ! Ça me fait plaisir de te voir !

Gamine, gamine… je ne le suis plus tant que ça ! Par contre, toi… Bah, tu as pris du poids !

Luc la dévisage d’un air sombre : Suzanne hausse un sourcil, et les deux vieilles connaissances éclatent de rire. Très rapidement, les liens se renouent : les souvenirs refont surface, et les deux passent plusieurs dizaines de minutes à se remémorer le bon vieux temps en rigolant. Suzanne lui explique les raisons de son retour dans la maison de ses parents, son divorce, les tribulations de son fils, et lui dévoile sa vie de couple, son dojo et ses aventures pendant toutes ces années. Le courant passe bien, comme s’il ne s’était jamais rompu, entre deux vieux amis.

Bon, gamine… Il se fait tard ! Quand est-ce que tu passes à la maison ? Lucie sera ravie de te revoir après tout ce temps. Bon après, les gamins seront pas là, ils bossent maintenant, mais on sera toujours bien heureux de t’accueillir.

En ce moment, j’ai tout mon temps libre. Mettons, demain soir ?

L’affaire est conclue. Les deux amis s’embrassent une dernière fois, et Suzanne se dirige vers les vestiaires des femmes.

Oh, hé, gamine ! Je vais fermer. Tu passeras par-dessus le portail, comme quand t’étais petite ?

Ça me va ! Je me débrouillerai.

Suzanne arrive dans le vestiaire : elle enlève son kimono, bas et haut. Elle retire son haut et son soutien-gorge, libérant sa poitrine, puis sa culotte de sport. Entièrement nue, elle se dirige vers les douches, où elle commence à se détendre. Elle a passé la journée entière à faire du sport, et sent que les courbatures commencent à pointer le bout de leur nez. Après être partie de chez Marcel, elle a filé chez elle pour prendre ses affaires et partir en randonnée. En revenant, après une petite sieste, elle s’est directement rendue au dojo, où elle a utilisé les vélos électriques pour courir une dizaine de kilomètres, avant de suivre le cours de Luc. Physiquement, elle se sent épuisée, mais cela en valait la peine. Suzanne grimace, puis sourit à l’idée de devoir enjamber le portail : il n’est pas très haut, mais c’est à ce moment qu’elle sentira les courbatures !

Tout le dojo est à présent plongé dans la pénombre, et seule une petite fenêtre laisse péniblement passer les rayons de la lune à l’intérieur du vestiaire. Suzanne arrête la douche, et sent les dernières gouttes d’eau perler le long de sa peau. Toute propre, elle se dirige vers son sac pour attraper sa serviette. Elle est projetée contre le mur, brutalement : sa tête cogne contre la paroi, et sa vue se brouille ; de petites étincelles parcellent les bords de son champ de vision, ses oreilles sifflent à tel point qu’elle n’entend plus rien, et elle peine à ressentir ce qui lui arrive. Son corps chute, et elle se retrouve rapidement sur le dos, les cuisses écartées. Une forme noire s’active au-dessus d’elle, et au bout de quelques secondes, elle sent quelque chose au niveau de sa poitrine.

Suzanne baisse difficilement la tête : deux mains s’activent sur sa poitrine. L’une malaxe son sein droit avec force tandis que la deuxième tire son téton gauche si fort que la douleur commence à se faire sentir. La belle prend conscience de son état : si elle se laisse faire, elle va se faire violer. L’adrénaline monte, plus vite que chez son agresseur : en une fraction de seconde, Suzanne riposte et envoie un énorme coup de pied dans le ventre de son agresseur. Difficilement, elle essaie de se relever, mais alors qu’elle se retrouve à genoux, l’individu est plus rapide : en un éclair, il saute en sa direction. Se rappelant des techniques qu’elle a acquises, elle réussit par simple réflexe à glisser son bras autour de son cou, et donnant un violent coup de bassin, projette son opposant à l’autre bout de la pièce.

Sachant sa vie en danger, elle se rue du mieux qu’elle peut en sa direction, et finit par essayer de l’immobiliser : elle croise les deux bras de l’individu au-dessus de sa tête et les enlace avec ses bras en serrant du plus fort qu’elle peut, compressant sa poitrine contre le cou de son agresseur.

Malheureusement, la position n’est pas idéale : à cheval sur lui, alors qu’elle tente du mieux qu’elle peut de le serrer jusqu’à l’étouffement, elle sent une protubérance pointer vers son intimité, glisser sur sa vulve. En donnant des coups de hanches, l’agresseur essaie de la pénétrer, à l’aveugle. Suzanne s’y refuse : elle plaque l’individu sur le sol avec toute la force qui lui reste, et se dégage en bondissant à l’autre bout de la pièce. Encore dans les vapes, elle trébuche et tombe à la renverse : quand elle se redresse, il est trop tard, et l’individu a pris la fuite. Dans la pénombre, elle n’a pas vu son visage.

La belle quadragénaire prend quelques minutes, assise, pour remettre ses idées en place : elle a mal à la tête, et en glissant ses doigts dans ses cheveux, elle se rend compte qu’elle saigne. Au bout d’une dizaine de minutes, elle parvient à se lever, et se dirige vers ses affaires, toute cabossée. Très rapidement, ses yeux sortent de ses orbites : son sac n’est plus là. Suzanne jure : en fuyant, son agresseur a emporté son sac et ce qu’il contenait. Seul reste son haut de kimono, qu’elle n’a pas pris la peine de ranger pour ne pas salir ses affaires propres. Elle serre les dents : sa ceinture aussi a disparu, alors qu’elle est persuadée l’avoir laissée sur le haut de son sac.

Sale con. J’espère que tu as mal.

Suzanne enfile son haut : il lui arrive au bas des fesses, et sans ceinture, tombe en avant ; si ses seins sont cachés par l’épais tissu, sa foufoune est librement exposée. Mais à chaque temps ses priorités : ainsi dénudée, Suzanne se dirige vers le coin cuisine, à l’avant du bâtiment du dojo. Elle en sort une poche de glace, et va s’asseoir contre l’un des murs du dojo, tout en mousse, en s’appuyant la glace contre le crâne : si quelqu’un pointe le bout de son nez, elle pourra le voir arriver de loin. Avec les minutes qui passent, la peur de Suzanne s’efface : elle contrôle sa respiration et parvient à canaliser son stress, reprenant peu à peu le contrôle de la situation. Elle ferme les yeux, et retrouve son calme.

En rouvrant les yeux, Suzanne se sent revivre : une joie l’envahit, celle d’être passée outre une épreuve. Elle a utilisé les compétences qu’elle a longuement acquises, et ressort plus forte de ce combat. D’un coup, elle fronce les sourcils : quelque chose a craqué à l’autre bout du dojo, dans les vestiaires. Il se peut simplement que ce ne soit rien du tout, ou alors, son agresseur est toujours dans les parages.

Qui est là ?

Aucune réponse. Suzanne se lève, et une idée lui passe par la tête : elle enlève son kimono et le laisse tomber par terre, se révélant nue au beau milieu de la pièce. Elle grimace, avant de s’allonger sur le sol et d’écarter les cuisses : doucement, elle dirige sa main sur son intimité et glisse un doigt dans sa grotte, encore un peu mouillée de la douche de tantôt. Serrant les dents, elle s’active, et la situation n’est pas pour l’encourager : seule au milieu de cette grande pièce où s’entraînent quotidiennement des dizaines de personnes, la sensation de honte la prend à la gorge ; mais son intuition lui dicte qu’elle ne s’active pas pour rien. Rapidement, le plaisir monte : ses jambes sont en l’air, et tremblent de plaisir. La belle quadragénaire souffle fort, elle ne va pas tarder à venir, tous ses muscles sont contractés.

Au travers de son souffle et du bruit des petits flocs liés à ses va-et-vient, elle entend un minuscule, presque imperceptible petit bruit de rien du tout : d’un coup, tout son corps se tend, et elle se retrouve debout, en garde, de nouveau face à son agresseur. Pris de panique, il s’enfuit en courant.

Cette fois-ci, il est vraiment parti.

Suzanne croit le reconnaître : il fait la même taille que la personne contre qui elle s’est battue tout à l’heure, et à qui elle a mis une dérouillée. Reste à voir quelle tête il fera lorsqu’elle se trouvera de nouveau face à lui, au prochain entraînement.

Et si c’était lui ?

Essoufflée, la tête en feu, Suzanne enlève son chignon, et libère sa chevelure dorée. Pour ce soir, ce doit être fini. La belle quadragénaire se sent bizarre : entre les endorphines et l’adrénaline, le cocktail est explosif, et la belle se sent toute légère. Ses cuisses sont chaudes comme la braise, et de la mouille y coule même un peu : pour une mère de famille modèle, Suzanne pouffe de son attitude de gamine écervelée. Malgré tout, elle est contente de sa prestation. Pleine d’assurance, grande, belle, elle se dirige vers la grande baie vitrée du dojo, et jette un il au-dehors en s’offrant à la vue de quiconque passerait dehors. La vue donne sur une grande plaine séparant le dojo de la forêt, et les reflets de la lune éclairent parfaitement son corps dénudé : depuis la forêt, n’importe qui pourrait la voir sous toutes ses coutures.

Suzanne chauffe : la pointe de ses seins s’érige, et elle glisse de nouveau quelques doigts sur sa foufoune, avant de guider son majeur vers son clitoris.

La sensation est instantanée : son bas-ventre se contracte, et elle doit s’appuyer d’une main à la baie vitrée pour ne pas tomber à la renverse. Son corps est parcouru de petits spasmes de plaisirs, qui vont jusqu’à secouer sa tête réveillant au passage son mal de crâne dont la bouche grande ouverte semble s’élargir à chaque vague de plaisir. Essoufflée, perdue dans ses pensées et craignant intérieurement d’être observée, elle guide pourtant son doigt devant sa bouche, avant de se laisser tomber en arrière. A plat dos, les bras et les jambes écartées, elle reste immobile quelques instants.

J’ai vraiment une vie pourrie.

Suzanne sourit.

Mais je me défends pas mal.

Sa démonstration de force lui donne de l’assurance. Suzanne se lève, renfile son haut de kimono, et sans même chercher à en fermer les pans, se dirige nonchalamment vers la sortie. Arrivée dehors, l’air frisquet lui provoque la chair de poule ; passant entre ses cuisses et sur les dernières traces de sa mouille, un vent d’air froid lui fait serrer les dents. Mais bientôt, elle sourit : par terre, à quelques mètres du portail, une fine bandelette marron orne le sol.

C’est sa ceinture.

***

Arrivée devant chez elle, une demi-heure plus tard, Suzanne récupère sa clef sous un pot de fleur, non sans avoir regardé aux alentours, et entre chez elle. En fermant la porte, elle se stoppe, pendant de longues minutes : pas un bruit dans la maison. Doucement, elle fait le tour des pièces, vérifiant à chaque fois que les objets qu’elle a intentionnellement posés en désordre soient bien tous à leur place, tel qu’elle les a rangés. Tout est en ordre partout, et rien ne semble avoir été dérangé. Détendue, elle s’allume un peu de musique, mange, soigne sa plaie à la tête et part prendre une nouvelle douche, non sans passer en tenue d’Eve sous la caméra de son voisin lubrique.

Suzanne s’habille d’une petite nuisette satin en dentelle dont le décolleté plonge ; l’habit lui arrive ras-la-touffe, mais ses ovaires lui jouant des tours depuis quelques jours, Suzanne ne s’en plaint pas. Arrivée dans sa chambre, elle ouvre son tiroir à sous-vêtement et saisit un petit tanga blanc, avant de se stopper. Elle réfléchit : la belle a vécu tellement d’aventure au cours des derniers jours, où elle s’est retrouvée nue, sans culotte ou dans des situations improbables, qu’elle pourrait presque en écrire une histoire. A chaque fois, la belle quadragénaire s’est retrouvée toute gênée d’être dénudée, à tel point que le malaise et la peur ont paralysé ses réactions. Se lançant un petit défi, le sourire aux lèvres et confiante de sa précédente victoire sur son agresseur, Suzanne replace le tanga dans le tiroir et le referme, avant de s’en retourner dans le salon pour se poser devant la télévision.

Curieuse, la belle quadragénaire effectue quelques recherches sur Internet : est-ce que d’autres femmes se sont déjà adonnées à cette pratique ? Suzanne n’est pas naïve, elle sait que cette pratique existe, mais ne pensait pas qu’elle était aussi partagée. Mais ses vieilles habitudes reprennent vite le dessus : l’expérience est amusante, mais la finalité est souvent d’ordre sexuel, pour exciter un partenaire et pimenter une relation. Or Suzanne est seule, et n’est pas spécifiquement portée sur la chose. Etonnement, elle se surprend à ne pas s’en offusquer : il y a quelques années, elle n’aurait même pas envisagé de faire ces recherches, et encore moins d’essayer la chose. Pourtant, aujourd’hui, la belle quadragénaire se sent plus à l’aise dans son corps. Elle semble plus confiante.

La chose l’intrigue : Suzanne se lève, et marche dans la maison. Plus tôt, lorsqu’elle est rentrée du dojo, elle avait volontairement chassé de sa tête ces sensations qui lui étaient imposées : là, elle se les approprie. Elle court, danse et saute en l’air, soulevant sa nuisette et exposant sa foufoune et sa croupe lorsque le vêtement se relève. Elle se penche, se cambre, et chante même au son de la musique en fond, au point même que ses tétines s’érigent, excitées par le frottement. Sa tête se retourne d’un coup : elle vient d’entendre un bruit sourd frapper contre sa porte. Suzanne court dans le salon et éteint la chaîne hi-fi, avant de se figer : elle entend distinctement des pas se rapprocher de sa porte, mais avant qu’elle n’ait le temps de faire quoi que ce soit…

Hé casse-toi là ! Je vais appeler les flics, t’entends ? Ouais c’est ça, casse-toi petit con !

C’est la voix de Marcel !

Un frisson lui déchire alors l’échine : Marcel a également des visuels de sa maison, avec les caméras qu’il a installées dans la cuisine, le hall et le salon. Sans penser à rien, elle s’est probablement offerte à sa vue. La belle quadragénaire sent le rouge lui monter au visage et sa tête commencer à tanguer.

Il faut arrêter maintenant ! Il va vraiment finir par croire que j’essaie de le séduire… Oh non, maman…

Suzanne ! Hé petite !

Les battements du vieux voisin contre la porte la sortent de sa rêverie : elle court vers l’entrée, et lui ouvre, complètement paniquée. Marcel est trempé, et jette furtivement des regards vers le jardin, avant de rentrer. En se retournant, il ne peut s’empêcher de tressaillir : Suzanne est magnifique, avec un décolleté plongeant et pointant si fort qu’il pourrait presque attraper ses tétines au travers de sa nuisette ; nuisette qui lui arrive à peine à hauteur de fesse. Son visage quasi parfait, avec seulement quelques rides très légères dans le coin des yeux, des yeux bleus et son corps parfait, tous ces éléments frappent Marcel en plein visage, touchant quelque chose dans sa poitrine sans qu’il ne sache expliquer exactement quoi. Mais le pauvre bougre n’a pas le temps de mâter : la belle lui saute à la gorge.

Qu’est-ce qu’il y a ? Vous avez vu quelqu’un ? Quelque chose ?

Ouais petite. J’étais devant la télé, et tu vois un peu comment c’est fait chez moi hein ? Bref, j’ai vu passer un mec sur la route, et du coup, j’ai eu un doute… Je l’ai suivi, et il traînait devant ta porte. La suite, tu la connais.

Mais vous avez vu qui c’est ? Son visage ? Quelque chose ?

Non ! Non, non… Il faisait trop noir, on voyait pas à deux pas et j’ai pas une très bonne vue, je sais pas, je…

Suzanne s’énerve : elle ferme la porte à clef et amène Marcel dans son salon, le fait s’asseoir sur le canapé avant de faire les cent pas. Cette histoire la préoccupe : après son aventure au dojo, elle pourrait être en droit d’être tranquille pendant au moins une nuit. Se pourrait-il que deux personnes ne soient pas les mêmes ? C’est impossible ! Elle ne peut pas être la cible de deux pervers en même temps ! Elle vient d’arriver ! Depuis à peine quelques jours ! Décidément, ses vacances n’ont rien de vacances, et ressemblent presque à un cauchemar. En attendant, Marcel profite du spectacle : elle va-et-vient, et sa nuisette se soulève à chaque tournant, dévoilant un peu plus de sa croupe, à tel point qu’il a du mal à cacher son érection.

La belle quadragénaire souffle : elle va s’asseoir sur le fauteuil en face de Marcel, et le regarde droit dans les yeux, les jambes légèrement, très légèrement écartées. Marcel a bien entrevu l’intérieur de ses cuisses, et la toison qui orne sa foufoune, et il doit faire des efforts inimaginables pour plonger son regard dans les yeux bleus de Suzanne, d’autant que son visage est plus dur que la pierre, et fier. La belle semble si déterminée qu’elle pourrait raser le village pour retrouver son persécuteur. Marcel déglutit : il va devoir la jouer finaud pour parvenir à ses fins, peut-être plus encore qu’il ne le pensait jusque-là.

Parce que oui ! Marcel n’a évidemment rien vu, rien entendu. Surveillant l’intérieur de la maison de Suzanne grâce aux petites caméras qu’il a placé à sa demande, il s’est masturbé trois fois dans la soirée devant les images de la belle quadragénaire, d’abord dans la salle de bain, puis remarquant qu’elle se donnait en spectacle. Dans la tête du vieux voisin de la belle, Suzanne s’est offerte : elle s’est mise à danser sous les caméras, s’exposant comme une dévergondée parfois dans des positions indécentes. Marcel a improvisé : il a cherché une excuse pendant quelques minutes avant de foncer venir profiter du spectacle en live. Mais à ne pas avoir réfléchi plus que cela à la question, le voilà contraint d’improviser, devant une femme qui ne loupera aucune de ses erreurs. La tension est palpable : la belle quadragénaire l’interroge de longues minutes sur les moindres détails, ce qu’il a vu, entendu, ce qu’il a fait.

Marcel, du mieux qu’il peut, improvise, bredouillant : des gouttes de sueur perlent même le long de son front. Au moment où il se les essuie, Suzanne se stoppe, prenant conscience de la pression qu’elle lui inflige.

Pardon… Je vous agresse avec mes questions, mais ce n’est pas vous le responsable. Vous restez dormir là cette nuit, c’est plus sûr que de vous laisser repartir maintenant : les volets sont fermés, les portes aussi, personne ne rentrera.

Marcel bredouille quelques mots, sans parvenir à dire quoi que ce soit de clairvoyant. Suzanne se rend dans la cuisine, et prend quelques minutes pour souffler un coup. Au fil du temps, la pression redescend, le stress disparaît. Une vingtaine de minutes sont passées, l’assaillant est sûrement déjà loin, et ne risque pas de revenir ce soir ; inutile d’appeler la police ; il a tout de même dû laisser des traces : elle ira vérifier demain que rien ne traîne dans le jardin. Elle revient avec deux verres d’eau : en la voyant arriver, Marcel rigole, plus de gêne qu’autre chose :

Ah ! Franchement, c’est plutôt du calva qui me faudrait pour me calmer là…

Suzanne sourit, et s’en va le chercher, avant de s’asseoir sur le canapé à côté de Marcel. Celui-ci s’en remplit un verre, qu’il boit cul sec, avant de s’en resservir un deuxième sous le regard à la fois stupéfait et amusé de la belle quadragénaire.

Ouais, sans déconner, il tape… Je sais pas ce que ton père mettait dedans, mais c’était pas que de l’eau…

Vous n’êtes pas obligé de le finir ce soir non plus…

Ouais fin t’es gentille, mais des aventures comme ça, il m’en arrive pas tous les jours, j’ai le cur qui tape à cent quatre-vingts.

Oh je ne vous en voudrai pas si vous finissez la bouteille, mais évitez de vomir sur mon canapé.

Te moque pas de moi gamine, la dernière fois, t’as failli mourir en le buvant à deux à l’heure !

Les deux voisins éclatent de rire, et l’atmosphère se détend un peu. Suzanne prend tout de même la mouche : par fierté, elle s’en sert un verre, et le vide d’une traite. Avec une lueur de défi, elle pose le verre vide sur la table et défie Marcel, dont les yeux sortent presque de son visage. Malgré son courage, elle ne tient pas et finit par tousser, la gorge irritée : l’habitude n’est pas de son côté, et une énorme sensation de chaleur s’empare de sa poitrine, érigeant plus encore ses tétons brunâtres contre sa nuisette. Marcel ne peut s’empêcher de commenter, mort de rire :

Tu fais pas le poids, gamine ! Tiens !

Marcel finit de nouveau le contenu de son verre, sans tousser, lui. Suzanne ne peut s’empêcher de rire, autant spontanément que pour libérer la pression qui s’accumule dans sa gorge. Plus qu’elle ne le croit, la situation est dangereuse pour elle : elle boit peu, et dans le contexte, son cerveau cherche à mettre de côté la pression et les éléments stressants de son existence : son divorce, le phallus en bois, son agression, la personne qui ne cesse de lui tourner autour, le monde entier semble se liguer contre elle, à l’exception de Marcel avec qui elle se sent, malgré ses premières réticences, en sécurité. Marcel se ressert un verre, avant de lever la bouteille dans sa direction :

Je te sers ?

Vous savez que je n’ai jamais pris qu’une seule cuite de toute ma vie ?

Tu sais pas ce que tu rates.

Je n’ai pas dit non.

Marcel a reposé la bouteille, mais étonné, il relève un sourcil en souriant. Suzanne rigole, et une lueur de défi apparaît de nouveau dans le bleu de ses yeux : elle se relève, et attrape la bouteille elle-même.

Vous n’êtes pas sans savoir que c’est mon père lui-même qui a rempli cette bouteille, non ?

Oh, mais tu fais ce que tu veux ! C’est pas moi qui vais te forcer.

Suzanne remplit son verre, le boit cul sec de nouveau, puis s’en remplit un troisième, avant d’attacher ses cheveux avec un chignon, relevant légèrement sa nuisette et laissant Marcel apercevoir l’orée de ses lèvres intimes. Si la belle quadragénaire se laisse aller, ce n’est pas non plus dans un laisser-faire total : elle a pardonné à Marcel pour le jacuzzi, la veille. Après tout, c’était sa faute si elle s’était retrouvée nue, et lui n’avait clairement pas profité de la situation. Qui plus est, son vieux voisin devient plus docile et semble moins pervers une fois ivre. Tout est calculé, et Suzanne pense pouvoir enfin relâcher la pression tranquillement. Elle retend la bouteille à Marcel.

Y a du progrès. Peut mieux faire, hein ! T’aurais pu pas grimacer, mais bon, faut pas trop en demander aux jeunes de nos jours.

Si c’est pour finir dans le même état que vous, hier soir… Ce n’est peut-être pas la peine.

Marcel explose de rire, avant de défaire le premier bouton de sa chemise, exhibant quelques poils.

Ah ça ! Je vais pas dire le contraire. J’ai fini ma nuit dans le jacuzzi. Au moins, maintenant, je suis propre !

Suzanne ne va pas dire le contraire, elle non plus, et les deux voisins s’échangent des piques à mesure que l’atmosphère se détend. Au bout d’une heure à peine, la bouteille a diminué de moitié, Marcel tient encore la route, bien que la tête commence à lui tourner, et Suzanne est complètement pompette. La belle quadragénaire a les joues toutes rouges, ne contrôle plus parfaitement ses mouvements, et est en sueur. Sa nuisette satin colle à sa peau, tellement que ses seins débordent presque de son haut : Marcel peut clairement percevoir un début de téton de toute façon clairement visible tant elle pointe sortir du vêtement. Au fil des discussions, et parfois des tranches de rires facilitées par son état, elle se trémousse sur le canapé, exhibant à intervalle régulier sa foufoune à la vue de son vieux voisin, dur comme de la pierre.

Marcel hésite à lui rentrer dedans et à la chevaucher là, sur le canapé. Mais il se retient : le vieux cochon ne cherche pas simplement à casser les fesses de la belle, il veut en faire sa chose, la soumettre à tous ses désirs les plus pervers. Mine de rien, quelque chose a évolué ; quelque chose dont Marcel ne se rend pas bien compte, mais qui l’empêche également de lui coller son membre entre les cuisses : une petite sensation inconnue. Mais il n’a pas le temps de s’attarder sur ce genre de détail :

Bon et alors… Vous, là… Marcel ! Les amours ?

Le moment est parfait ! Marcel n’aurait pas pu rêver meilleur moment pour jouer la comédie ! Et il s’en donne à cur joie :

Oh tu sais, moi j’suis avant tout un gars de la campagne gamine… J’ai passé la première partie de ma vie avec mes chèvres, et la deuxième à accueillir des p’tites familles un peu bourgeoises qui voulaient prendre du bon temps dans le… hic, dans le sud. J’ai pas pris beaucoup de vacances, et ici c’est pas le meilleur endroit pour rencontrer de jolies demoiselles. J’me suis fait à l’idée, hein ! Mais…

Marcel s’interrompt, et donne tout ce qu’il a : il est à peu près persuadé que Suzanne n’est pas encore au bord du coma éthylique – d’ailleurs, il ne souhaite pas qu’elle y soit et veut tout donner. En forçant un peu, le regard dans le vide, une petite larme coule le long de sa joue : pas totalement coupable, mais loin d’être innocent. La voix tremblotante, il continue alors que le silence se fait dans la maison :

Le… Le seul regret que j’ai… C’est juste que… J’aurais bien aimé avoir un p’tit gars à moi. Ou une p’tite, hein. Ouais… Ouais, ça m’aurait plu un p’tit gars qui gambade part… Ouais… Ça, ça m’aurait plu.

Sa voix se bloque ; Suzanne, prise par les sentiments, est émue : elle a les larmes aux yeux. Contrôlant à peine ses mouvements, elle se rapproche et enlace Marcel en lui frottant le dos, collant sa poitrine contre son épaule. Elle est si ivre qu’elle jurerait que sa tête bouge indépendamment de son corps. En se trémoussant, sa nuisette se retrouve coincée : sa bretelle tombe, et son sein gauche se retrouve libéré du tissu. Mais Marcel ne le voit pas encore, bien que le contact avec la poitrine de la belle quadragénaire et le spectacle qu’elle lui offre lui ait déjà donné une gaule en acier trempé. Suzanne aussi a du mal à s’exprimer, sous le coup de l’émotion :

Hé… Ce n’est pas trop tard, encore ! Vous… Bon, c’est sûr qu’à votre âge, ce ne sera pas évident, mais vous pouvez peut-être vous trouver… Je ne sais pas, je…

Marcel plonge sa tête dans ses mains, et laisse passer quelques secondes : de l’autre côté de son visage, un petit sourire en coin pourrait mettre la puce à l’oreille de Suzanne, mais la larme qui coule sur son autre joue est véritable. Marcel essuie ses yeux, se relève, et sourit à sa voisine, avant que sa mâchoire ne tombe devant le sein découvert de la jeune femme. La chance est de son côté : Suzanne ne pense pas une seconde que ses hésitations soient dues à sa tenue. Marcel doit faire des efforts inimaginables pour plonger son regard dans ses yeux bleus, d’autant qu’en tailleur, les cuisses écartées, il a une vue imprenable sur la foufoune de la belle. Du mieux qu’il peut, il lui offre son plus beau sourire.

Je… Oui, fin… Fin, c’est un peu tard maintenant. Mais… T’as raison, gamine, faut pas perdre espoir, j’imagine.

Cette fois, c’est Suzanne qui lui offre son plus beau sourire, à tel point qu’une lance lui transperce le cur. Cette fois, il n’arrive plus à résister, son corps prend les commandes : il faut qu’il la touche, il ne peut plus continuer ainsi. Voilà quelques jours qu’elle se retrouve à la portée de ses énormes paluches de vieil ours, Marcel ne peut plus.

Fais attention petite, t’es une Déesse, mais bon…

Il se mord la lèvre, la regarde droit dans les yeux, et rattrape sa bretelle avant de la remettre sur son épaule, cachant de nouveau son sein sous la nuisette, tirant sur le vêtement pour soulever un peu la poitrine de la belle : Suzanne prend à peine conscience de ce qui se passe, enivrée par l’alcool. Marcel relâche le vêtement, et la poitrine de la belle retombe : son auréole et clairement visible sous le tissu, et le désir du vieil homme prend le relais. Il attrape le téton érigé au travers du vêtement entre ces deux gros doigts, et le fait rouler. Rouge de honte, autant par son geste que par le fait de s’être exposée à sa vue à moins que ce ne soit l’alcool Suzanne baisse la tête et regarde dans le vide. Encouragé par son absence de réaction, il passe ses quatre doigts en dessous de son sein et le soulève, avant de rejouer du pouce pour faire de petits cercles autour de sa tétine, toute dure.

Comme s’il ne s’était rien passé au cours des dernières trente secondes, Suzanne se relève, tout sourire, s’arrachant à son étreinte. Elle se retourne.

Bon ! Allez, faut vous remonter le moral ! Où elle est, cette satanée télécommande ? Elle doit être sur la table.

Le salon de Suzanne est tout en longueur : à gauche du canapé, une petite commande permet de ranger les télécommandes de la télévision, des volets et de la chaîne hi-fi. Suzanne se retourne pour chercher la télécommande, se retrouvant à quatre pattes et bien cambrée devant les yeux de Marcel, dont la mâchoire serait tombée sur le sol si elle avait pu. S’il n’avait déjà pas besoin de quoi que ce soit pour se remonter le moral, c’est encore moins le cas maintenant : la petite chatte de Suzanne est parfaite, exhibant de belles grandes lèvres toutes humides, avec une jolie toison brunâtre en dessous. La vue est telle et la nuisette est tellement relevée que Marcel a même un aperçu de son petit trou, que personne n’est jamais parvenu à prendre.

La vue est telle, Marcel est si estomaqué qu’il ne pense même pas à bouger : la croupe de Suzanne, complètement offerte comme si elle s’était donnée à prendre, se dandine et se trémousse sous son nez alors que la belle galère à attraper la télécommande qu’elle souhaite, maugréant alors qu’elle lui échappe des mains. Au bout de quelques secondes, la main de Marcel se lève toute seule, et du dos de son doigt, il passe sur les grandes lèvres de la belle, toutes humides de cyprine ; Suzanne émet un petit gémissement à base de « hiii », avant d’avancer sa croupe, et attrape la télécommande au passage. Elle se relève, réajuste sa nuisette à tel point que ses seins débordent presque du haut, et allume la chaîne hi-fi. Une vieille musique des années 1980 démarre, tout en rythme, et Suzanne s’abandonne : elle sautille, en secouant la tête sans être dans le rythme au vu de la quantité d’alcool qu’elle a ingurgitée et lance une lueur de défi à Marcel :

Allez, papi ! Lève-toi et viens danser !

Marcel est bouche bée, et se retrouve complètement désemparé. Déjà, elle l’a tutoyé. Première chose encore impensable quelques heures plus tôt. Ensuite, elle pourrait être complètement nue que le résultat serait le même : ses seins ballottent tellement que c’est un miracle qu’ils tiennent encore dans le vêtement, et à chacun de ses sursauts, le vieux voisin a une vue imprenable sur la toison bien ordonnée de la belle. Il déglutit lentement, avant qu’une bouffée de chaleur ne monte : son pénis tient difficilement dans son short, et il est même sur le point d’exploser. Mais le meilleur reste à venir : Suzanne attrape le reste de la bouteille de calva, et avant que Marcel n’ait eu le temps de faire la moindre remarque, la belle boit cul sec de pleines gorgées d’alcool :

Allez ! Viens t’amuser, là ! Comment c’était à ton époque ?

Suzanne est intenable, l’alcool la fait délirer complètement. Elle lance la bouteille sur le canapé : le fond n’est pas suffisant pour qu’elle se renverse, et Marcel ne va pas se plaindre. Il sourit, attrape la bouteille et la termine, avant d’ouvrir tous les boutons de sa chemise, exhibant un beau ventre grassouillet, aux poils trempés de sueur.

Je vais t’engrosser.

Marcel se lève : s’il doit faire l’effort de quelques maladroits pas de danse pour la démonter, il ne va pas cracher dessus. Suzanne lui offre un sourire qui manque de le faire retomber sur le canapé : ses jambes vacillent, et alors qu’il essaie désespérément de se mettre dans le rythme, la pression monte. Son bas du corps est comme gelé, et ses mouvements sont mécaniques, il doit forcer pour que son corps lui obéisse, la bouche sèche. Les minutes passent, et Suzanne essaie désespérément bien qu’elle ne s’en rende presque plus compte d’impliquer Marcel dans les quelques pas de rock qui lui restent. Le rock étant essentiellement guidé par l’homme, elle ne parvient pas vraiment à ses fins, mais au bout du compte, elle n’en a même plus conscience.

Dans les dernières minutes, son regard se perd dans le vide. Marcel, trempé de sueur, enlève sa chemise, et Suzanne saute sans même réfléchir. Délicatement, au détour d’un mouvement, il lui enlève une bretelle, puis la deuxième : la belle quadragénaire continue de sauter dans tous les sens, et finalement sa nuisette tombe, se retrouvant en tenue d’Eve sous le regard lubrique de Marcel. Innocente, sans comprendre la situation, Suzanne regarde le tissu à ses pieds et relève la tête vers son vieux voisin : ses yeux bleus sont perdus dans le vague, elle a la bouche qui pend, et se stoppe dans ses mouvements.

Un sourire sardonique se prépare sur le visage de Marcel : il éteint la chaîne hi-fi, et se penche pour ramasser la nuisette : Suzanne soulève un pied, puis l’autre pour le laisser faire. Marcel la porte à son nez et renifle l’odeur de la belle quadragénaire : dans un geste très lent, il descend sa main droite et passe ses doigts sur la foufoune de la belle, grattant sa toison avant de glisser un doigt entre ses lèvres. Il se penche contre son cou et y dépose un baiser, avant de murmurer à l’oreille de la belle :

Je vais te mettre grosse. Tu vas bien me donner un p’tit gars, non ? Tu veux bien, petite ?

Délicatement, Marcel vient poser sa main sur le ventre de Suzanne, l’index trempé de la cyprine de la belle, appuyant légèrement, mais fermement sur l’endroit où se trouve son utérus.

Ou… Oui…

Concrètement, Marcel aurait pu lui demander un café que Suzanne aurait répondu la même chose, mais le vieil homme est au bord des nerfs. Il attrape la main de sa voisine et l’amène vers sa chambre, où il la fait s’allonger sur le dos, relevant ses cuisses. Marcel est en admiration : le style brésilien lui va à ravir. Le vieil homme ne perd pas une seconde, et plonge sa tête entre les cuisses de la belle quadragénaire, dévorant son clitoris et aspirant sa cyprine sous les gémissements démesurés de Suzanne, qui serre les cuisses autour de sa tête et passe la main dans ses cheveux. Il ne faut pas longtemps pour que la belle lui explose au visage : Marcel finit de faire jouir la belle en lapant sa foufoune comme un chien, avant de repartir vers le haut et de lui bouffer les seins, suçotant et mordillant ses tétons.

Marcel s’empresse comme une furie : il baisse son short, son caleçon et exhibe un beau vingt-cinq centimètres dur comme de la pierre, un monstre veineux dont la largeur est proportionnelle à la longueur, avec à sa base une forêt de poils noirs et blancs. Suzanne sourit, bêtement, sans même comprendre quoi que ce soit à ce qu’il se passe autour d’elle : elle relève les cuisses et s’attrape les jambes, prête à le recevoir, la tête bien penchée en avant pour le regarder faire. Marcel frotte son gland sur la toison de la belle, qui se dandine comme une dinde en attendant de se faire farcir. Il est à bout, mais alors qu’il attrape les hanches de la belle pour la ramener plus prêt du bord du lit, elle se relâche. La tête de Suzanne retombe, et elle ferme les yeux, les cuisses toujours grandes ouvertes.

Marcel se stoppe, et déglutit. Quelque chose le paralyse : il est sur le point de finaliser le rêve qu’il fantasme depuis près de trente ans, depuis que la gamine vient se dandiner en maillot dans sa piscine, et quelque chose d’indescriptible l’arrête. Sa gorge s’assèche, et s’il n’avait pas le corps d’Aphrodite sous les yeux, sa queue débanderait sûrement. Demain, que se passera-t-il ? Il peut la chevaucher, maintenant, et même la réveiller pour que ce soit elle qui le chevauche, mais demain sera un autre jour : qu’en pensera-t-elle ? Elle est avocate, et même si la criminologie n’est peut-être pas sa spécialité, elle pourrait avoir des relations, lui causer du tort, beaucoup de tort. Jusque-là, elle était plus ou moins consentante, beaucoup moins que plus c’est même indiscutable , mais Marcel ne l’a forcée à rien.

Fais chier, putain. Allez… Allez, quoi, juste un petit aller-retour, elle ne sen rendra même pas compte…

Finalement, Marcel succombe : il pointe son gland à l’entrée de la grotte de la belle, et pousse ses hanches en avant. Son geste est lent, se fait doucement, si doucement que plusieurs dizaines de secondes ne passent avant qu’il n’arrive au bout ; Suzanne est si étroite qu’il doit forcer pour la pénétrer. Son gland bute une première fois, et Suzanne grimace en tournant la tête, sans plus de réaction : il donne de tout petits à-coups, et réussit à rentrer son membre aux trois quarts dans le vagin de la belle quadragénaire, atteignant le nirvana. Il attrape un de ses tétons, et pelote l’autre sein, avant de s’immobiliser : il sent une giclée de sperme monter, et se retient du mieux qu’il peut, priant pour qu’elle ne franchisse pas son gland. Finalement, rien ne sort, et le vieil homme souffle. Marcel se stabilise, et profite de l’instant présent : le con de Suzanne est bouillant, mais surtout particulièrement serré.

Le vieil homme n’a pas énormément d’expertise sur la question, il a surtout foré des prostituées payées grassement pour leurs services, mais ni très jolies, ni très serrées.

Ici, il a l’impression de se faire traire la queue, et n’ose pas sortir de ce Paradis. Il sait qu’il doit en sortir, et ne plus y revenir, peut-être à jamais. Mais Marcel sait surtout qu’il ne peut pas continuer : il gratte une dernière fois la foufoune de Suzanne, et ressort lentement de son con, non sans entendre un petit gémissement venant de la belle endormie. A peine sorti, il se recule de quelques pas, et son membre explose : par chance, sa semence tombe toute par terre. Le vieil homme reste debout, à admirer la belle, cuisses grandes ouvertes, dans son sommeil ; son petit con se resserre de seconde en seconde, et finalement, il est content de ne pas être allé plus loin.

Il essuie ses méfaits, rhabille la belle et la couche confortablement dans son lit, avant de s’en aller en fermant la porte. Une idée brillante lui vient : il entre de nouveau dans la chambre, enlève la clef de la serrure et la pose sur la commode de la belle, puis ressort. Il farfouille quelques minutes dans le placard avant de trouver un tournevis, et ferme la porte de l’extérieur : pas de doute, Suzanne n’aura probablement aucun argument, et avec un peu de chance, aucun souvenir de ces quelques minutes. Le vieil homme s’installe sur le canapé, et finit par s’endormir.

Et la maison plonge dans le calme.

***

Elle se voit nue.

Elle baisse la tête alors que Marcel s’approche pour poser sa main sur son bas-ventre. Il lui chuchote à l’oreille :

Je vais te mettre grosse. Tu vas bien me donner un p’tit gars, non ? Tu veux bien, petite ?

Suzanne se voit lever la tête, et lui sourire en répondant, toute heureuse et toute chose.

Oui, Marcel.

Elle l’attrape par le bas et l’amène vers sa chambre, où elle s’allonge sur son lit en écartant les cuisses, s’offrant à Marcel dans un gémissement de plaisir. Le vieil homme ne se retient pas et plonge sa tête entre ses cuisses, la rendant folle et la faisant gémir. Elle atteint l’orgasme, et son bas-ventre se contracte plusieurs fois alors que la cyprine coule à flots de son vagin.

Marcel la tire vers elle, et exhibe un monstre de membre, la plus grosse queue que Suzanne n’ait jamais vue au cours de son existence. Il la regarde dans les yeux, alors qu’il pose son gland à l’entrée de sa grotte.

Je vais te mettre grosse. Tu vas bien me donner un p’tit gars, non ? Tu veux bien, petite ?

Suzanne se répète dans un soupir d’abandon :

Oui…

Pendant de longues secondes, Marcel s’enfonce dans son ventre, Suzanne se tord de plaisir alors qu’il la culbute comme un cochon, ses seins ballottant au fil des coups de burins qu’elle encaisse. Ses grosses paluches lui attrapent la poitrine et s’y accrochent désespérément alors que ses coups de hanches se font de plus en plus rapides. Il lève la tête, et la vue de Suzanne se brouille. Elle sent quelque chose dans son ventre : une sensation brûlante qui se répand en elle, comme de la semence chaude. Elle bave de plaisir…

***

Et se réveille.

Suzanne se relève, trempée de sueur, avant de se retrouver forcée de se rallonger : un mal de tête monstrueux la plaque sur son lit. Elle gémit, de douleur cette fois. Puis, prise de panique, elle glisse un doigt dans son entrejambe, se l’enfonce en grimaçant, et l’enlève : pas de trace de sperme a priori. Doucement cette fois, la belle quadragénaire se relève : elle est habillée, dans son lit et sous ses draps, mais ne se souvient de rien.

Enfin, si. Elle se souvient du canapé et des verres de calva : elle voit Marcel lui remettre sa bretelle de nuisette, et tirer sur son sein. Suzanne et déglutit et pose sa main sur sa poitrine. Après, tout devient flou : elle a attrapé la télécommande de la chaîne hi-fi et a démarré la musique, s’est levée pour danser, puis c’est le noir. Aucun souvenir. Elle lève la couette, et constate qu’elle ne porte toujours pas de culotte. Une fois de plus, elle déglutit : Marcel a dû voir pas mal de choses, et elle espère vraiment qu’il n’a pas profité de la situation. Si ! Elle se souvient l’avoir tutoyé, à un moment. En même temps, après toutes les aventures qu’ils ont passées ensemble, et après toute la gentillesse dont il a fait preuve à son égard, elle peut bien lui accorder ça. La belle quadragénaire finit par se lever, enfiler une culotte et une robe de chambre, et se dirige vers la porte.

La porte est fermée à clef. Suzanne ne comprend pas, et essaie de tourner la clef : la clef n’est pas là. La belle serre les dents, et jette un il sur le sol, puis dans la chambre : la clef est posée sur sa commode. Elle souffle, soulagée : la preuve est là. Peu importe ce qui se soit passé avant, Marcel n’est jamais venu dans sa chambre, et malgré son état, elle est tout de même rest&

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