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Le Grenier – Chapitre 3




"Qu’est-ce que c’était ?", demanda Kamini, "Pourquoi on n’y voit plus rien ?

— Je… ne sais pas…", Marine était essoufflée et profita de ce moment de répit pour tenter de se défaire de l’étreinte de Kamini, mais cette dernière tenait fermement ses cuisses et ne semblait pas vouloir les lâcher pour le moment.

"Ne bouge pas.", lança Kamini à Marine, "Je n’ai pas fini avec toi.

— Mais Kam, j’ai déjà joui, et puis il fait chaud, j’ai besoin de retirer mes fringues au moins.

— Je vais m’en occuper pour toi…"

Kamini reposa les cuisses de Marine sur le canapé et commença à embrasser chaque parcelle de peau de Marine qui respirait fort tant elle était excitée ; et alors qu’elle attrapait le débardeur de cette dernière pour le lui retirer, des bruits, comme si plein de petits animaux griffus courraient sur du parquet résonnèrent au-dessus d’elles.

Kamini s’arrêta : "Il y a quelque chose chez toi !

— On dirait…" dit Marine d’une voix tremblante, les bruits en questions ne pouvaient provenir de la créature qu’elle avait rencontrée la veille… "La veille", il fallait qu’elle accepte que les événements de la fois dernière ne s’étaient pas déroulés la veille mais la semaine dernière. Dans tous les cas, il semblait que quelque chose était au grenier…

"Il faudrait aller voir ce que c’est alors…" Kamini voulut se redresser mais elle n’en fit rien.

"C’est fou, cette odeur que tu dégages, ça me donne juste envie de m’occuper de toi on dirait. Le reste devient tellement secondaire…", elle se pencha sur Marine pour l’embrasser, et cette dernière l’accueillit en resserrant ses cuisses autour d’elle et en passant les mains derrière sa tête pour que ce baiser ne s’arrête pas.

Kamini se remit à caresser Marine et commença à la déshabiller, son débardeur et son soutien-gorge furent les premiers vêtements à partir et Kamini en profita pour attraper les seins de Marine et les malaxer. Elle approcha sa bouche et se mit à en lécher les tétons déjà durcis depuis un bon moment. Elle se mit à en mordiller un et à pincer l’autre, Marine plaqua la tête de Kamini contre elle en lâchant des râles de plaisir.

Les bruits qu’elles avaient entendus plus tôt résonnèrent à nouveau, cette fois on aurait dit qu’ils provenaient des escaliers du grenier. On entendit la porte trembler, comme si on tambourinait dessus et qu’on la griffait. Marine n’en était pas sûre, mais à cette distance, on aurait dit que l’on pouvait également entendre de petits grognements aigus. Cela n’avait pourtant pas refroidi Kamini qui avait maintenant totalement déshabillé Marine ; cette dernière était allongée sur le canapé, les cuisses écartées et Kamini se blottit contre elle et lui glissa deux doigts dans sa chatte tout inondée. Marine expulsa un râle de plaisir en serrant Kamini contre elle et se mit à pousser des petits cris au rythme des allers-retours des doigts de la belle jeune femme.

Le bassin de Marine ondulait et elle criait de plus en plus fort au fur et à mesure qu’un nouvel orgasme approchait, et alors qu’elle allait jouir, Kamini se dégagea de l’étreinte de Marine pour aller mordiller son clitoris en plaquant ses doigts contre la paroi du vagin de Marine. Elle agita frénétiquement les doigts en appuyant bien fort sur l’endroit où elle avait plaqué les doigts et aspirait le clitoris de Marine en même temps qu’elle le mordillait. Marine fut prise de spasmes et des jets de liquide sortirent de son intimité, jaillissant au visage de Kamini.

"Wow, je… je n’avais jamais joui de la sorte !", Marine était en sueur et respirait avec difficulté.

"Et tu n’as encore rien vu, la soirée n’est pas…"

Cette fois c’était à nouveau des bruits de pas lourds que l’on entendait et ils furent suivis par un grognement qui fit cesser les bruits à la porte du grenier.

"Marine, je ne sais pas ce qu’il y a là-haut mais je ne suis pas sûre d’aimer ça…"

Marine se dit qu’il était peut-être plus que temps de parler de ce qu’elle avait vécu la dernière fois :

"Kam, écoute, quand j’ai emménagé, il s’est passé quelque chose… Tu vas me prendre pour une folle mais… quelque chose m’a attirée au grenier et… je ne sais pas comment expliquer ça mais je crois que cette chose a eu un rapport sexuel avec moi.

— Quoi ?! Comment ça une chose ?

— Et bien tout sest passé dans le noir et je ne pourrais pas vraiment la décrire, ce que je peux dire par contre c’est que ce n’était pas humain, et certainement pas un animal non plus. On aurait dit comme une énorme plante avec un… tentacule ?

— Tu es en train de me dire qu’il y a un monstre dans ton grenier qui t’a sauté dessus ?!

— Quelque chose dans ce genre, oui… La chose m’a attirée avec le même parfum que celui que j’émets malgré moi et je ne sais comment.

— Et tu crois que c’est cette chose qui fait tout ce raffut là-haut ?

— Non, écoute je ne sais pas ce qu’il y a là-haut mais clairement ça n’a pas l’air d’être la même chose, ce qu’il y a là-haut a clairement l’air d’être plus… bestial.

— Il faut que j’aille voir ça alors !

— Tu es folle ?!

— Non, je suis juste très excitée et tu me dis que là-haut il pourrait y avoir une créature qui ne demande qu’à me faire du bien, donc je demande à voir, allez, viens avec moi."

Kamini attrapa Marine par le poignet et la tira avec elle en direction du grenier. Marine avait les jambes tremblantes des violents spasmes qu’elle avait eus il y a quelques minutes et ne put opposer d’autre résistance que ses protestations :

"Arrête Kam, ce n’est pas drôle, il ne faut pas y aller, je ne sais pas ce qui nous attend là-haut, et en tout cas ce n’est pas humain !

— Et alors ? Ce ne serait pas ma première fois avec un partenaire non humain.

— Quoi ?!

— Je t’ai dit que je te monterai plus tard, suis-moi, allez !"

À tâtons, et grâce aux bruits qui venaient de derrière, Kamini et Marine arrivèrent devant la porte du grenier. Elle tremblait et on entendait très distinctement des petits cris aigus, des griffures sur la porte et la poignée était soumise à rude épreuve.

"Prête ?", demanda Kamini en approchant sa main de la poignée.

"Absolument pas !", mais la réponse de Marine arriva en même temps que le cliquetis indiquant que Kamini avait déverrouillé la porte. Le grincement qui suivit indiquait que la porte s’ouvrait et Kamini s’engouffra dans l’ouverture, entraînant Marine avec elle.

Elles n’eurent pas commencé à monter les escaliers que plein de petites mains griffues galopaient sur leur corps. Elles sentirent de petits êtres, qui devaient à peine leur arriver aux genoux, les escalader. Ils s’accrochaient à leurs bras, leurs jambes, leur tête, leurs cheveux. Les petites mains les exploraient : elles passaient sur leur corps pour essayer de distinguer qui étaient ces grands êtres qui venaient d’ouvrir la porte qui les séparait du reste du monde, et Marine et Kamini essayèrent de protester quand les mains passaient sur leurs yeux, leur bouche, mais le brouhaha que les petits êtres faisaient rendait leurs cris inaudibles.

Leurs griffes étaient larges et pas vraiment acérées mais elles provoquaient tout de même un contact assez douloureux lorsqu’ils appuyaient avec, surtout pour Marine qui avait suivi Kamini nue jusqu’ici et qui n’avait aucun vêtement pour la protéger. Au contact désagréable des griffes se mêlait celui de leur peau rugueuse et poussiéreuse. Ils semblaient nus comme des vers, car entre leurs membres postérieurs, des attributs mâles semblaient se balancer. Certains des petits êtres semblaient même les frotter vigoureusement contre la peau des jeunes femmes. L’odeur du parfum pouvait-elle les exciter aussi ?

Marine voulu appeler Kamini mais à peine avait-elle ouvert la bouche qu’une petite main s’y engouffra, se retira et laissa la place à une tige de chair à l’extrémité pointue et dont le relief, que seules la langue et les lèvres de Marine lui permettaient de deviner, semblait parsemé de petits creux et de petites bosses. Elle était suffisamment large pour que Marine ait à ouvrir complètement la bouche, et suffisamment longue pour aller lui chatouiller la gorge. Le petit être, qui se faisait vraisemblablement sucer, avait pris appui sur les épaules de Marine et se cramponnait à l’arrière de sa tête, il commença à donner quelques mouvements de reins. À peine cette tige avait-elle fait quelques va-et-vient qu’un liquide en sortit par saccades. Surprise, Marine manqua de s’étouffer et toussa violemment alors que le petit être sauta d’elle en émettant un grognement qui couvrit le brouhaha des autres.

Marine et Kamini furent prises d’assaut par encore plus de petits êtres tant et si bien quel leur poids cumulé les fit tomber à terre. Elles se sentirent ensuite soulevées et les petits êtres leur firent grimper les marches du grenier en les portant.

Aussi étrange que cela pouvait lui paraître, Marine n’était pas paniquée. Elle se doutait de ce qui allait se passer, qu’elle ne courrait aucun danger. De plus, l’odeur du parfum qu’elle émettait l’excitait, la chaleur de la dernière fois avait envahi son corps qui ne demandait qu’à jouir jusqu’à n’en plus pouvoir. Elle espérait juste que Kamini soit dans le même état d’esprit. Elle qui pensait savoir à quoi s’attendre, elle devait être bien surprise de ce qui était en train de se passer.

Une fois arrivés en haut des escaliers, les petits êtres déposèrent les deux jeunes femmes au sol et recommencèrent ce qu’ils avaient entrepris plus bas. Marine était allongée sur le dos, et un premier petit être, sur la droite de sa tête, la tourna dans sa direction et lui enfila son membre dans la bouche. Il éjacula après quelques aller-retours et s’en alla aussitôt, mais fut remplacé instantanément par un autre. Marine se laissa aller et desserra ses jambes, offrant ainsi sa chatte à ceux qui en voudront. Ils furent très rapides à comprendre ce qu’elle leur offrait et ils se mirent à la prendre à tour de rôle, venant aussi vite dans son petit minou que dans sa bouche. Certains étaient même montés sur elle pour se branler entre ses seins, lui couvrant le visage de leur semence et se relayant à une rapidité incroyable. Marine était dans un état de transe, encore une fois. Bien que ces petites choses jouissaient très vite en elle, comme elles se relayaient à une vitesse folle, cela n’avait quasiment aucun impact pour elle, et ils lui procuraient beaucoup de plaisir. Son corps en demandait plus, toujours plus, car le plaisir montait mais l’orgasme ne semblait pas arriver. Machinalement, elle avait attrapé des petits êtres par leur membre, un dans chaque main et avait commencé à les branler.

Marine avait perdu le compte des petits êtres qui étaient venus en elle. Elle ne savait plus combien elle en avait sucé et branlé, mais elle n’était toujours pas pleinement satisfaite. Elle parvint néanmoins à se retourner et se mettre à quatre pattes en espérant qu’ils comprendraient ce qu’elle attendait d’eux. Un premier s’agrippa à elle, lui griffant les cuisses et les hanches et la prit en levrette. Elle n’eut pas le temps de lui changer le membre de trou qu’il avait déjà joui et se sauva. Lorsque le deuxième arriva, elle avait la main devant sa chatte et guida son membre vers son petit trou. Le petit être enfila son membre d’un coup sec, ce qui fit lâcher à Marine un râle de plaisir. Le petit être qui lui prenait les fesses lâcha un cri aigu et jouit. Il fut remplacé par un autre, et tandis qu’ils avaient commencé à se relayer pour s’occuper de ses fesses, d’autres se faufilèrent en dessous d’elle, s’agrippant à ses côtes et posant leur talon sur ses fesses pour se suspendre à elle et la prendre en double pénétration. Elle sentit même de petits crocs pointus lui mordiller les tétons. Leurs crocs et leurs griffes lui faisaient mal, mais comparé au plaisir qu’elle ressentait, la douleur n’était rien, elle faisait même partie du plaisir.

Voilà, ils avaient compris ! Marine espérait que l’orgasme n’allait plus tarder maintenant, mais son corps semblait toujours en demander encore plus ! Que lui faudrait-il donc pour pouvoir jouir à nouveau ? Est-ce que Kamini arrivait à prendre autant de plaisir qu’elle ? Un petit être sauta sur son visage, posant les pieds sur ses épaules et s’agrippant à sa tête. Marine ouvrit la bouche pour accueillir le petit être. Impossible de dire qu’ils étaient réellement une infinité à lui passer dessus, ou s’ils venaient plusieurs fois. Impossible également de dire combien de temps elle fut prise par ces petites choses, mais il était clair que cela durait depuis un bon moment.

À force de recevoir leur semence en elle, elle sentait presque qu’elle en débordait : Elle sentait la semence couler de ses fesses, de sa chatte et elle n’arrivait plus à avaler celle qu’elle recevait dans sa bouche. Et cet orgasme qui ne venait toujours pas…

Il y eut un énorme rugissement, et cela ne semblait pas venir des petits êtres mais de quelque chose de bien plus gros. Aussitôt, les petits êtres s’écartèrent et filèrent à toute allure loin des deux femmes. Le silence était retombé et Marine en profita pour voir si son amie allait bien.

"Kam ?

— Marine ?" Kamini semblait essoufflée.

"Tu vas bien ?

— Oh non alors, figure toi qu’ils m’ont arraché mes fringues, prise par tous les orifices, et que je n’ai pas réussi à jouir une seule fois ! Je veux jouir Marine, et ces petits cons se sont barrés !

— Je suis dans le même état figure toi."

Marine essayait de se rapprocher de Kamini en suivant sa voix, et elle finit par sentir la main de cette dernière. Au moment où elle l’avait saisie, elle lui glissa aussitôt des doigts comme si Kamini l’avait retirée brusquement en hurlant :

"Woooow !

— Mais enfin Kam, ce n’est que moi.

— Nan, quelque chose m’a attrapée je… Wow, mollo mon grand, c’est un peu gros ça, tu vas me déchirer ! Non non non non non… Arrête, tu… Ah ! AAAAAAAAAAAAAAAAAH !

— Kam ?! Kam !!!

— Marine !… ça… ça va… c’est… AAAAaaaaahhh…"

Le premier cri avait semblé être un cri de douleur, mais les suivants semblaient indiquer que Kamini était dans une situation plutôt agréable. Et il ne fallut pas longtemps avant que Kamini crie comme si elle avait enfin eu son orgasme. Serait-ce donc à son tour ?

"Kam ? Kam ?"

Pas de réponse. Il y eut un bruit sourd, et avant que Marine ne puisse comprendre ce dont il s’agissait, elle sentit deux énormes mains la saisir et la soulever du sol. Elles étaient calleuses et assez larges pour couvrir tout son ventre.

Elle sentit qu’elle approchait d’un grand visage et entendit un reniflement. Cette chose sentait-elle le parfum ?

Une gigantesque langue lui lécha l’entrejambe, et les jambes par la même occasion tant elle était large, puis Marine sentit que la chose la descendait un peu et elle sentit entre ses cuisses une énorme tige de chair, dont le diamètre semblait aussi large qu’elle. Impossible que cette chose puisse rentrer !

Marine comprit ce que Kamini voulait dire quand elle dit qu’elle allait se faire déchirer, et essaya de se défaire de l’emprise de la créature qui la tenait, mais rien à faire. Cette dernière appuyait Marine contre son membre. L’extrémité était très fine comme s’il y avait une sorte de petite pointe de chair au bout, et se faufila sans problème en Marine qui commençait à respirer vite et fort d’appréhension. La tige s’élargit au fur et à mesure que Marine descendait et à son grand étonnement, Marine s’étirait. Elle se sentait s’étirer sous la pression du membre qui grossissait en elle encore et encore. Elle avait lâché un cri de surprise, puis, lorsque le membre ne sembla plus grossir, la créature commença à lui faire faire des allers-retours.

Non seulement Marine sétirait en largueur, mais le membre de la créature, aussi large que long, tapait dans ses entrailles et il lui étirait le ventre en essayant de s’engouffrer en Marine le plus loin possible.

Cette sensation était tout juste incroyable et Marine se demandait comment cela était possible. La créature lui fit faire des allers-retours de plus en plus rapides et Marine laissait échapper des râles de plaisir machinalement. Elle ne se contrôlait plus et elle ne contrôlait plus la situation. Soudain, l’orgasme arriva, et elle cria à s’en vider les poumons, tandis qu’en même temps, la créature qui la prenait se déchargeait en elle d’une quantité incroyable de semence. Elle sentit son ventre se gonfler sous la pression, ainsi qu’une bonne quantité lui couler le long des cuisses en même temps que la créature se retirait. Et puis plus rien. Le néant.

Marine se réveilla dans le grenier. Elle avait mal au ventre et était sur le dos, et ne sachant pourquoi, ne pouvait se relever. Des petits êtres étaient partout sur elle, copulant frénétiquement avec elle alors qu’elle était à demi-inconsciente. Puis une violente douleur en bas de son ventre et de nouveau plus rien.

Les rayons du soleil éclairaient et réchauffaient sa chambre et le contact de la peau chaude de Kamini contre la sienne était agréable et réconfortant. Elle se blottit un peu plus contre son amie avant de se réveiller et de constater qu’elle partageait son lit avec la jeune femme.

Elle s’assura qu’elle respirait bien, et quand elle constata que c’était le cas, elle lui caressa tendrement les cheveux pour la réveiller en douceur, tout en déposant de petits baisers sur son front. Kamini finit par s’étirer en ouvrant les yeux.

"Bonjour, lui murmura Marine.

— Bonjour toi, Kamini l’embrassa. Il est quelle heure ?"

Marine attrapa son téléphone portable et regarda la date avant l’heure : cette fois on était bien le lendemain et non des jours après les événements de la veille.

"9h30.

— Quoi ?! Dit Kamini en se redressant d’un bond. Mais je suis complètement à la bourre pour le boulot !"

Elle se rua du lit, nue, à la recherche de ses vêtements. Marine s’étira avant de se relever et d’enfiler sa robe de chambre pour rejoindre Kamini au salon. Elle la retrouva immobile, ses vêtements en lambeau dans les mains.

"Kamini ? Tout va bien ?

— Alors… Je n’ai pas rêvé ? Tout s’est réellement passé ? Ces bestioles et… Cet énorme truc ? Ils existent vraiment ?

— J’en ai bien l’impression, Marine regardait le sol, n’osant pas affronter le regard de Kamini.

— Bon, il faut que j’aille au taf… Tu… pourrais me prêter des fringues ?

— Bien sûr, on va retourner dans la chambre voir ce qui pourrait te convenir."

Lorsque Kamini fut habillée, elle redescendit les escaliers précipitamment et s’avança à grandes foulées vers la porte de la sortie. Marine l’avait suivie et crut qu’elle voyait Kamini pour la dernière fois. Mais cette dernière s’arrêta net, fit demi-tour et déposa un baiser passionné sur les lèvres de Marine.

"Tu ne chercherais pas une colocataire des fois ?"

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