J’attendais ainsi posée comme sexto parmi les sex-toys. Offerte comme objet de plaisir pour des jeux érotiques à venir. L’attente faisait partie intégrante du jeu et dura quelque temps qui me semblèrent une éternité. Enfin, mon Maître et Madame entrèrent dans la pièce avec deux autres hommes, c’est du moins le nombre de voix que j’identifiais. Je les sentis proches, mais avec la cagoule de cuir et le masque, je ne pouvais pas les voir. Les commentaires fusèrent.

Quelle belle salope.

Oui, bien foutue.

Vous allez pouvoir vous amuser totalement.

Totalement ?

Oui, cette jolie chienne rêve de dépasser ses limites, n’est-ce pas ?

La question m’était adressée et j’avais reconnu la voix de mon Maître: Je répondis: »Oui Maître ». Je dois reconnaître que cette notion de limite eut un double effet sur moi: Inquiétude et excitation. Inquiétude, car nous avions des rapports bdsm qui étaient déjà très durs et j’avais goûté aux joies de la zoophilie, plusieurs fois maintenant. Il était donc prévu d’aller « au-delà »? C’est ce « dépassement » qui faisait naître en moi cette excitation. Qu’allait-il se passer ? Était-ce mes limites ou les limites de l’imagination de mon Maître ? De Madame ? Des deux inconnus ? Bien sûr, je savais que la seule qui avait la totale maîtrise de la situation, c’était moi. Un mot, rouge, le fameux safeword, et tout cessait. Mais avec le temps, j’avais pris cette habitude de ne plus le prononcer, de laisser douleur et plaisir m’envahir sans peur, d’aller vers cet au-delà inimaginable avant ma rencontre avec mon Maître. Qu’en serait-il cette fois ? Mon orgueil me dirait-il de ne pas le prononcer ?

Car au plaisir qui se mêlait à la douleur de ces jeux, il y avait aussi la part d’orgueil à ne pas céder, à aller toujours plus loin.

Qu’en serait-il cette fois ?

Je fus soulevée de la table de présentation et attachée sur une structure que j’avais vue en entrant dans la pièce: Un H horizontal. Je fus mise à genoux dessus, attachée par les chevilles étau sommet des mollets. Sur la barre transversale, deux godemichets de taille déraisonnable furent fixés, dont les têtes touchaient l’entrée de mon anus et de mon sexe. Une large ceinture passée à ma taille et tirée vers l’avant m’obligea à me cambrer alors que mes poignets étaient tirés vers l’arrière. J’étais ainsi offert, seins en avant, cuisses ouvertes. Si je me baissais, les deux godes pénétreraient en moi. Je me souvenais de la taille de ces objets qui m’avaient été présentés: chacun devait faire au moins 6 centimètres de diamètre, ce qui représenterait une double pénétration extrême.

Madame caressa ma vulve, pinça mon clitoris, l’étira entre ses doigts.

Mettez les pinces.

Je sens les doigts étirer mes grandes lèvres puis deux pinces les serrer chacune.

Les poids maintenant: 1 kilo par pince.

A chaque pince des poids sont fixés. Ils sont lourds, étirant ma vulve. J’ai donc 2 kilos qui tirent chacune de mes lèvres. La douleur est intense, immédiate. J’imagine la vue sur mon sexe ainsi martyrisé, une belle vulve de chienne allongée par les poids. Madame s’approche, me caresse les seins, le ventre, descend entre mes lèvres, touche encore mon clitoris, provocant une envie de jouir fulgurante chez moi. Elle le sent, joue encore avec mon bouton.

Tu sais que tu ne dois pas jouir sans autorisation ?

J’opine du chef, mais elle s’acharne sur mon sexe, roule mon clito entre ses doigts, joue avec une malice démoniaque avec. Je ne vais pas pouvoir résister longtemps et elle continue. C’est un combat intérieur. Je suis tellement excitée que peu à peu, je descends sur les godemichets qui ouvrent mon anus et mon sexe, les pénètre. Je commence un va-et-vient sur les dildo durs qui m’ouvrent. Je perds la maîtrise des choses, je suis prise par cette envie de jouir, d’être pénétrée par ces pieux, les entrer en moi, me dilater le cul et la chatte comme une petite chienne. Le plaisir monte, je le contrôle encore, un peu. Mais l’inéluctable va se produire si je continue. J’arrête mes mouvements de bassin, mais deux mains fermes se posent sur mes épaules et m’appuient sur les deux godes alors que Madame étire encore on clitoris. Je ne tiens plus, j’explose dans un râle profond, je jouis.

Cette chienne ne sait pas se contrôler. Cela mérite correction. Prenez les fouets.

Un silence se fait, je sens à nouveau cette présence autour de moi puis un lourd martinet vient claquer sur mes seins. Puis une autre. Les hommes flagellent ma poitrine, mon ventre. Les coups tombent fort, sans retenue. Je reprends mon va-et-vient sur les godes, mêlant la douleur des pinces et des fouets au plaisir de cette pénétration et la joie de cette exhibition. Car je me vois très bien en train de me défoncer devant ce public, pute masochiste se donnant du plaisir sous leurs regards admiratifs. Sans doute bandent-ils tout en me fouettant. J’imagine leurs queues dures, leurs regards lubriques, le plaisir qu’ils prennent à me voir ainsi me donner comme une chienne. Mon Maître bande-t-il aussi ? Et Madame, que fait-elle ? Ce sont les hommes qui me fouettent, je le sais à leurs bruits à chaque coup, ces « han » qu’ils poussent, car ils fouettent de toutes leurs forces. Pas elle. Peut-être se caresse-t-elle en me regardant ainsi ? Soudain elle arrête le bal des fouets sur mon corps.

Le masque qui protégeait mes yeux est ôté.

Je vois alors les deux hommes, queues tendues près de moi, martinet en main. De lourds chats à neuf queues en cuir tressé qui ont laissé sur ma peau des marques rouges. Et puis je vois mon Maître qui baise Madame. Il est assis dans un fauteuil, nu et elle est face à moi avec sa belle queue enfoncée en elle.

Regarde petite pute comme ton Maître me baise bien, me donne du plaisir pendant que tu souffres.

Suis-je jalouse ? Non. Par défi, je continue mon va-et-vient sur les godes, je jouis aussi sans retenue, par défi, pour jouir avant elle, mieux qu’elle, plus fort. Elle a beau être belle, prendre la verge de mon Maître dans son sexe, c’est bien moi qui le fait bander, moi qui l’excite là, attachée, offerte, la vulve étirée et le corps zébré par les fouets, enfonçant profondément les deux godes dans mon sexe et mon anus, dilatant mes trous et giclant en femme fontaine. Mon Maître ordonne que des pinces soient posées sur mes tétons, tant mieux, il n’en bandera que plus. Des poids ? Allez-y, des lourds, 1 kilo par mamelle, je prends et je défie Madame du regard, un regard lubrique pour qu’elle m’envie, qu’elle veuille prendre ma place. Elle le sait, elle voudrait à cet instant être moi et elle jouit elle aussi maintenant du plaisir de me voir me donner totalement. Car la Maîtresse absolue du jeu, ici, attachée et offerte, c’est moi.

Les deux hommes qui m’ont fouettée comme des brutes ne s’y trompent pas.

C’est vers moi que leurs regards se tournent, leurs regards fous de désir. Ils se branlent près de mon visage, éjaculent sur mes lèvres ouvertes sans même se soucier de mon Maître ou Madame en train de jouir là-bas, si loin, si près de moi.

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