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Lubrifiée au beur – Chapitre 1




La soirée chez mon amie Vanessa s’étant révélée inintéressante, je décidai de rentrer chez moi avant que le métro ne ferme.

J’aurais bien voulu ne pas rentrer seule, mais les quelques garçons présents étaient tous pris. Ce n’était pourtant pas faute de m’être habillée sexy. Tant pis. J’allais me coucher seule et dormir. Le métro était désert à cette heure tardive; et il y avait plusieurs stations avant d’arriver. Je m’installai donc confortablement sur la banquette en allongeant les jambes. Je n’étais vraiment pas mal du tout ce soir-là. J’avais mis une petite jupe blanche très courte, jambes nues, et un haut bleu moulant par-dessus mon soutien-gorge. Mes cheveux noirs étaient ramenés en deux tresses qui encadraient mon visage aux yeux bleu profond.

Une ou deux stations plus tard, deux beurs montèrent dans la rame, habillés à la mode des banlieues. Après m’avoir dévisagée, ils s’assirent en face de moi. C’était clair, je les intéressais. Ce n’était pas vraiment mon genre de mecs, mais mon insuccès à la soirée et ma soif d’expériences nouvelles aidant, je me dis qu’après tout. pourquoi pas! Je commençai à rêver de viol. Pendant ce temps, ils me mataient avidement et s’excitaient. L’un d’eux prit la parole. Il me dit du tac au tac que j’étais bonne, et me demanda si j’avais un mec. Je lui dis que j’étais seule ce soir et lui demandai à son tour s’il avait une copine. De fait il en avait une, mais je le faisais bander plus qu’elle! Son copain me demanda si j’étais vierge. Evidemment non, mais cela ne les gênait pas! Finalement ils me proposèrent de finir la soirée avec eux. Je réfléchissai quelques instants. Je ne m’étais jamais faite baiser par deux ’lascars’, étant plutôt BCBG; je les avais carrément allumés, surtout que j’avais à demi replié ma jambe et qu’ils pouvaient voir ma culotte. Mais j’étais bien chaude moi aussi ce soir-là.

J’acceptai finalement de passer la nuit avec eux. En attendant de descendre, ils me demandèrent de leur montrer mes seins, ce que je fis de bonne grâce en soulevant mon haut. Ils poussèrent des sifflements d’admiration!

La station arriva et nous descendîmes. Ils me guidèrent vers leur immeuble, tout en me racontant leurs histoires de cul. Moi, je marchais avec mon déhanchement le plus provoquant. Ils m’avaient mis la main aux fesses quand nous entrâmes dans le hall. Ils se dirigèrent vers les caves. Je commençai à éprouver ce délicieux trouble de l’inconnu dans le bas-ventre. Après quelques détours, ils me firent entrer dans une des caves. Il n’y avait là qu’une ampoule au plafond, quelques matelas par terre et une sono bricolée. C’était le lieu de leurs débauches; on allait être tranquilles. ’Personne ne m’entendrait crier’. Ces mots qui auraient pu m’effrayer, m’excitèrent encore plus. Je voulais du vice, du sexe, c’est tout. Je commençai à me déshabiller. Ils me mataient en se caressant la queue par-dessus leur pantalon. J’enlevai lentement mon haut, puis mon soutien-gorge. Le bas vint ensuite, je leur jetai enfin ma petite culotte déjà trempée. Je m’allongeai alors sur le matelas; et ils se déshabillèrent à leur tour. Ils avaient des corps beaux et nerveux, bronzés, et surtout ils possédaient chacun un membre de très belle taille! je les évaluai l’un à une vingtaine de long sur cinq de large, l’autre aussi long mais plus large encore! Calibre magnum donc. j’allais déguster. Je n’attendai pas plus longtemps et me collai à l’un pour l’embrasser à pleine langue. L’autre se plaqua sue mon dos en frottant sa bite entre mes fesses. J’avais la vulve en fièvre et n’avais pas besoin de préliminaires supplémentaires. Je me mis à quatre pattes, en levrette. Celui de derrière (la bite la moins large heureusement) commença à pousser sur mon anus, sans aucune lubrification autre que ma mouille. J’adorai ça. Il me faisait mal, mais je m’ouvris pour laisser son membre puissant s’engouffrer en moi. Il me déchirait littéralement! Il poussa jusqu’au bout, me laissant pantelante, puis se mit à aller et venir en proférant des obscénités et en me traitant de salope, ce que j’étais, je voulais qu’ils jouissent de moi, qu’ils me remplissent de foutre, qu’ils me dominent. Je me mis à sucer l’autre. Je léchais le pourtour du gland, et ensuite je l’avalai en entier. C’était quelque chose!!!! Nous étions tous les trois en rythme, l’un m’enculant pendant que j e suçais l’autre. Et comme je suis experte à donner du plaisir aux mecs, ils ne mirent pas longtemps à jouir. Je sentis d’abord la bite dans mon cul gonfler, se dilater à m’en faire exploser; les battement étaient très nets: il explosa en effet dans une dernière poussée à me défoncer l’anus. Il m’emplit de son jus chaud que je sentais ruisseler sur mes parois intimes. Il n’avait pas fini quand l’autre vint à son tour, dans ma gorge, tout aussi puissamment. Il débordait, j’avais la bouche pleine. J’en laissai un peu couler sur sa bite, avalai, puis léchai son chibre pour recueillir le foutre, plusieurs fois de suite. Ce ne fut pas suffisant, il semblait intarissable et couvrit mon visage et mes seins. L’autre s’était dégagé et m’embrassait le dos. Il se mit à caresser ma poitrine en frottant mes tétons avec le sperme de son copain. Je pris conscience que je n’avais pour l’instant joui que du plaisir que je leur avais donné. Après avoir essuyé et avalé le dernière goutte de sperme sur mon visage, je m’allongeai sur le ventre. Celui qui m’avait enculée s’assit sur mes fesses et se mit à me masser le dos très gentiment. Je frissonnai de bonheur. L’autre fit de même avec mes jambes, mes longues jambes fines et lisses. Ils alternaient caresses et baisers avec une délicatesse que je n’eus pas imaginée. Et, en même temps que mon désir atteignait des sommets, je sentais leur queue se raffermir à mesure qu’ils s’activaient sur mon corps dénudé. Je finis par me retourner sur le dos, cuisses écartées, sexe offert à leur bouche. Ils comprirent et, tandis que l’un s’emparait de mes seins et m’embrassait, l’autre se mit à ma masturber. Ces deux stimulations, le plaisir de ces doigts sur mes tétons roses dressés, et ces langues sur mes lèvres, me portaient sur des vagues de plaisir. Il avait trouvé mon point G et le stimulait du doigt tout en suçant mon clitoris. Je râlais de luxure, mon excitation montait.Son doigt était trempé de mouille. L’autre me tétait toujours pendant que je le caressais, serré contre moi. Je ne résistai pas bien longtemps. L’orgasme fut violent, après une montée vertigineuse, presque douloureux. Je ne pus m’empêcher de crier. Je gémissai de plaisir, je transpirai la jouissance. L’autre buvait ma mouille comme j’avais bu son sperme. Je me cambrai, j’étais dominée et subjuguée par ces deux mâles qui me donnaient du plaisir, je devenais leur esclave, leur salope! Je les suppliai de me prendre tous les deux. Leur bite à tous deux était prête, dardée à nouveau. Ils me mirent entre eux et me pénétrèrent chacun de son côté. Je sentais ces deux bites en moi me labourer au plus profond, en alternance. Je les embrassais à tour de rôle, prise sous leurs caresses appuyées sur mes seins, mes hanches, mes reins, mes épaules. pendant une demi-heure paradisiaque au cours de laquelle j’oubliai tout le reste, Vanessa et la soirée, les mecs qui ne voulaient pas de moi. Je ne connaissais que ces deux lascars et les grosses bites qu’ils avaient. Je les sentis enfin battre en moi et gicler des jets de foutre brûlant. Ils coulaient dans mon cul et dans ma chatte, les inondaient de jus de mec.

Et je jouis encore, comme une folle, cuisses écartelées, offerte, en gémissant ma soumission et ma reconnaissance de petite bourgeoise blanche à ces deux lascars, les rois du sexe, mes seigneurs.

César Valentin [email protected]

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