Sacrée Soirée (3)

Plus loin, je m’arrête un moment devant la baie d’une chambre où un trio est en pleine baise : une dame mûre- mais superbement conservée – , aux cheveux teints se fait "ramoner l’abricot" en levrette par un garçon, plutôt quelconque, mais apparemment très gâté par la nature pendant que, derrière lui, un homme, la cinquantaine soignée, l’encule vigoureusement. En fait, je reconnais ce couple de quinqua’ : commerçants, ils tiennent, pas loin de chez nous, "Les caves de M…" magasin spécialisé dans les vins et alcools dont nous sommes clients… Je ne me doutais pas du tout qu’ils pratiquaient l’échangisme. Je continue mon chemin en me disant que cela peut nous ouvrir des perspectives.

Xavier :

Je me redresse entre les jambes de Maélys, je dirige ma bite vers sa vulve dont elle écarte les chairs à deux mains et je plonge en elle d’une seule poussée, elle gémit d’extase, d’autant que Mariange s’est mis à l’unisson : ses mains se baladent sur nos corps rassemblés, elles caressent les seins de la jeune métisse, en pincent les tétons dressés, passent ensuite sur mon dos, mes fesses, un doigt curieux me visite le cul puis ce sont mes couilles qui sont pressées et tripotées…Soudain, je sens le vagin de Maélys se resserrer, se contracter sur mon dard, ses muscles internes se relâchent puis se tendent à nouveau, ma pine est aspirée, branlée de l’intérieur, ce "casse-noisettes" diabolique m’oblige à me retirer d’elle sous peine de jouir trop vite. Elle n’a pas le temps d’exprimer sa déception que, aussitôt, Mariange fourre sa tête entre les cuisses grand ouvertes et lui fouille la moule d’une langue habile. Aux mouvements de sa chevelure, je devine qu’elle n’oublie pas de cajoler l’adorable cul de sa partenaire. Agenouillée tète-bèche sur le corps pantelant, la nouvelle venue m’offre ainsi la vue et l’accés à sa glabre intimité , je me mets en place, et la prenant par les hanches, je l’attire vers moi en même temps que je donne un coup de reins en avant pour me propulser au plus profond de son vagin…et je reprends ma chevauchée interrompue précédemment…Il est vrai que cette chatte épilée est d’une extrême douceur, mon pilon va et vient dans ce con onctueux, inondé de sa rosée, mais aussi, à coup sûr, du sperme de sa ou ses précédente(s) rencontre(s). Placée comme elle est, Maèlys a droit aux gros plans sur nos sexes mélés, elle en profite pour titiller le bourgeon congestionné qui est directement à sa portée…son corps se tend brutalement, elle arque ses reins en hurlant de plaisir… Je ralentis mon rythme et leur dis: "Si ces dames veulent bien, j’aimerais qu’elles se mettent côte à côte a genoux au bord du lit, j’ai très envie de vous prendre toutes les deux! — nous devons obéir à notre seigneur et maître! " reprend Mariange en riant.

Un instant plus tard j’ai leurs postérieurs face à moi, l’un couleur pain d’épices qui laisse deviner, à travers les poils crépus, les éclats humides, bruns et violets de sa caverne, l’autre, blanc rosé, laiteux, dont les grandes lèvres entrouvertes ne cachent rien des profondeurs qui s’offrent à moi! " Je suis sûre qu’il va nous enculer!" constate Maèlys, s’adressant à Mariange et celle-ci lui chuchote quelques mots que je n’entends pas… mais que je comprends très vite : chacune, en appui sur un bras, vient poser son autre main sur les fesses de l’autre, couvrant leurs vallées secrètes et leur anus : " Passage interdit sans autorisation des propriétaires! " glousse Maélys.

    " Cette insurrection mérite une punition! ". Des deux mains, je claque les deux fessiers, d’abord légèrement, puis avec davantage de vigueur… Les croupes ondulent sous la fessée, la peau blanche de l’une rosit puis rougit assez vite juqu’à l’écarlate… " My god, ça picote de partout, frappe plus fort, chéri! Mets nous le cul en feu… C’est divin…! " s’exclame Maélys.

L’effet est moins visible sur ses fesses, j’ai cependant l’impression que son énorme clito’ grossit encore, plus cramoisi et plus bandé que jamais, je le roule entre mes doigts, le tire, le pince et elle roucoule de plaisir…C’est dans sa corolle étoilée que je m’introduis en premier, tout en branlant le cul de sa compagne… "Ouuuuccchhh! ça y est, il m’emmanche, le salaud! Je te l’avais dit!!! " La blonde ne répond pas, occupée qu’elle est à rouler des fesses pour mieux sentir mes doigts dans son anneau écartelé… Quelques aller-retours dans ce trou velouté et, me déplaçant à gauche, j ’ investis la très accueillante fleur brune et rose de Mariange et j’alterne mes poussées, quittant l’une pour mieux défoncer l’autre… provocant ainsi des cris de plaisir ou des soupirs de déception! Chacune à son tour se propulse d’avant en arrière et les chairs claquent en rythme! Lorsque je sens monter ma jouissance, je décule pour glisser ma bite dans le con de Maélys, son art du "casse-noisettes" est vraiment trop bon pour que je m’en prive! A nouveau, ma queue est prise dans cet étau de chairs chaudes et de muscles , et quelques mouvements suffisent pour que mon foutre jaillisse puissamment, elle-même exprimant bruyamment son orgasme! Aussitôt, je me retire de son antre velu et je viens achever d’éjaculer dans la chatte rasée de Mariange dont les hululements de jouissance se mèlent aux cris de sa compagne… Au moment même où je me retire, Maélys se relève, pousse Mariange pour qu’elle s’étende sur le lit et, se couchant sur elle en lui écartant largement les cuisses, elle lappe le sperme qui coule du vagin encore grand ouvert; Mariange, séduite par cette initiative, se met alors à lui rendre la pareille…et toutes deux, étroitement mélées, m’offrent ainsi le plus délectable des "shows érotiques" . Lèvres et langues serpentent dans les entrecuisses… chacune cueillant chez l’autre le foutre débordant!

Sophie :

Les boissons du repas et le champagne ont gonflé ma vessie, qui en est presque douloureuse, je ne peux pas contenir davantage mon envie et me dirige vers les toilettes. Face à l’entrée, dans l’une des cabines sans porte, une brune aux cheveux courts, est agenouillée, nue sur le carrelelage de la partie douche, deux hommes, dans la quarantaine, debout devant elle, sont très occupés à lui pisser dessus, chacun dirigeant de la main son jet doré vers toutes les parties du corps de la jeune femme qui gémit, apparemment en pleine extase,! Dans une autre cabine, ouverte également, un bel homme, d’une blondeur rare, assis sur les toilettes se branle lentement, il est entièrement rasé… je croise son regard clair et, dans un sourire, il me fait signe d’approcher…

" Envie ? " me demande-t-il. "

— Une énooorrrme envie! dis-je, le champagne fait son effet!

— Accepteriez-vous de vous soulager sur moi? Je suis, comme la dame d’à côté, très amateur!"

  Amusée, mais aussi très excitée par sa demande, je m’avance vers lui, me place jambes écartées au-dessus de son ventre et de son sexe puis une contraction du bas-ventre suffit à faire jaillir les premières gouttes dorées avant les jets plus drus qui viennent s’écraser sur sa queue désormais complètement déployée… Avec deux doigts, je dirige le flot de ses cuisses, de son visage au dard fièrement dressé. Sa pilosité s’orne peu à peu de milliers de gouttes dorées.

" Aaaahhh ! C’est chaud, c’est bon, elle est si douce votre pisse sur moi, et elle a le goût du champagne! Oh oui…continuez! pissez- moi partout! Voyez comme vous me faites bander! Regardez comme elle se dresse pour vous, ma pique…!!! " dit-il tout en se masturbant… Voilà un homme bien poli, pensè-je, qui me dit "vous" pendant que je lui pisse dessus! ".

  J’urine longuement, tant j’en avais besoin; notre voisine hurle son plaisir alors que ma miction diminue, devient un maigre filet qui lui coule sur la pine et les couilles de mon partenaire…Son gland grossit encore, passe du rouge au pourpre; écartant sa main branleuse, je saisis cette queue raide et je me laisse carrément tomber sur lui si bien que le membre bandé me pénètre d’un seul coup jusqu’au col de l’utérus. Il soulève ses fesses de la cuvette pour mieux me prendre, j’apprécie ce bel organe qui me comble, et je le lui dis!

Je le chevauche ainsi un moment, lorsqu’il me soulève par les hanches et sa bite abandonne un vagin totalement béant:

"Souhaitez-vous que je vous rende la pareille? – Dois-je comprendre que vous voulez uriner en moi? Si c’est le cas, vous m’en voyez ravie!…" Sans un mot, il me tient toujours au-dessus de lui, je le vois débander légèrement puis il lâche quelques gouttes avant un jaillissement plus conséquent qui m’asperge la vulve et il me laisse alors retomber sur son membre…Je ressens ce double plaisir: sentir sa queue grossir en moi et m’inonder le vagin jusqu’aux plus secrètes de mes chairs. Je reprends ma chevauchée interrompue, le mène d’abord au trot puis au galop et quelques minutes suffisent pour que je pressente que le moment est venu pour lui d’exploser et de méler ses geysers de foutre à l’urine qui baigne encore ma grotte, plus si secrète… J’éclate alors moi-même et, sous l’effet d’une jouissance extrème, je l’arrose de mon propre foutre en criant mon bonheur……. Quelques instants encore, je joue avec sa queue et ses couilles imberbes mais il se met à parler de lui, trop à mon goût, et je l’abandonne là, après quelques mots gentils sur le plaisir qu’ il m’a donné…

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