Ma belle-sur Sylvie et son mari Raphaël m’avaient invité à passer quelques jours chez eux, dans la capitale. En échange, d’une certaine manière, je leur proposais des excursions à fortes thématiques culturelles ou historiques. En définitive, ils étaient tellement pris par leurs jobs respectifs, qu’ils n’avaient jamais eu le temps d’apprendre à connaître certains aspects de leur ville. Après deux jours de périples divers, j’avais acquis l’admiration de Sylvie pour mon érudition.
A chaque fois, elle ne pouvait s’empêcher de déprécier son mari, en faisant la comparaison entre nous deux. Raphaël travaillait comme simple employé de bureau chez Renault, il avait 51 ans, il n’avait jamais fait d’études. Ma belle-sur, elle, avait un Deug de droit qui lui avait permis de rentrer à la mairie de Paris, avec un grade de fonctionnaire de catégorie A. C’était donc une Sylvie, toujours habillée en style bourgeois urbain, tailleurs foncés, robes très chères, qui s’imposait dans le foyer face à un mari un peu faible de caractère, plutôt toujours mal fagoté, et manquant singulièrement de classe, alors que sa femme en avait à revendre…
De plus, Sylvie était une superbe blonde, aux yeux bleus et cheveux longs, de 55 ans avec encore énormément de sex appeal… Raphaël ne comprenait d’ailleurs toujours pas pourquoi elle s’était mariée avec lui !
Alors, au moment des repas, en se repassant les photos prises sur site, avec mes commentaires éclairés, ma belle-sur " fondait" littéralement devant mes connaissances. Elle était évidemment "sapiens-sexuelle", et, me parlant les yeux dans les yeux, se retournant de mauvaise grâce quand son mari s’exprimait, elle devait alors se demander ce qu’elle faisait avec ce "mec inculte" !
Et le pauvre homme supportait tout cela en silence.
Le troisième soir, n’arrivant pas à trouver le sommeil, car au cours de la journée, Sylvie m’avait carrément allumé devant son mari, j’avais une envie folle de sauter la femme mariée, fort peu scrupuleuse. Ce désir sexuel me tortura aussi rapidement qu’il avait pu m’apparaître. Il est vrai que j’avais toujours trouvé ma belle-sur plutôt bandante et sexy, avec ses tenues de bourgeoises, sous lesquelles j’imaginais toujours de la lingerie fine, genre porte-jarretelles…
Mais en définitive, le manque d’intensité sexuelle de son regard, ou le manque de féminité agressive et conquérante dans son être faisaient que je me désintéressais même de l’idée de la séduire.
Sylvie, c’était "bobonne à la maison", travaillant sous l’apparence d’une jolie bourgeoise élancée : tout dans le paraître, mais certainement rien au pieu… cela mon instinct de mâle me le criait à chaque fois que j’étais en face d’elle. Pourtant là, elle m’avait vraiment branché. Elle minaudait, me lançait des regards puissants, riait à chacune de mes vannes, un peu trop fort souvent. Elle essayait à chaque fois d’entrer en contact physique in-intentionnel , elle me prenait la main, me tapait sur l’épaule, se rattrapait à moi quand elle trébuchait, se serrait contre moi dès qu’elle le pouvait, sa cuisse avait même effleuré un peu trop longtemps la mienne, au restaurant. Et toujours cette habitude épuisante de me porter aux nues et de dévaloriser son mari devant nous deux ! Le pauvre ne devait plus en pouvoir.
Bref, j’avais la gaule, j’avais l’envie effarante d’entrer dans la chambre contiguë à la mienne, et de la baiser là, dans le lit conjugal, à côté du mari. Vu son état d’épuisement nerveux, j’étais quasiment certain qu’il n’y trouverait rien à redire. De toute façon, c’était sa femme qui commandait pour tout !
Alors, ne trouvant vraiment pas le sommeil, je me levai et me dirigeai vers le salon dans la pénombre, mon but était le petit meuble qui contenait les alcools… un bon cognac et au dodo. Un mouvement dans un fauteuil me fit sursauter :
Toi aussi, t’arrives pas à dormir ? Si tu veux un bon cognac, prends un verre en bas… on va trinquer ensemble. T’aurais pas du roulé ?
Excuse-moi ! Oui j’en ai, mais ta femme va râler… et on trinque à quoi ?
Ma femme, je lui pisse à la raie ; je mettrai la VMC à fond, j’ai trop envie d’une clope ! Et on trinque à mon désespoir sentimental… et à ma misère sexuelle !
J’étais extrêmement étonné par son comportement, en train de se saouler dans le noir, fumer une cigarette dans le salon de sa femme ! Me montrer son désespoir et avouer qu’il avait envie de baiser à en crever, signe qu’il ne faisait plus rien avec sa femme … tout cela ne lui ressemblait pas ! Je décidai de creuser le sujet.
Houlla, ça va pas toi ! Tu t’es disputé avec ta femme ?
Non, mais j’ai commencé à la caresser, et elle m’a repoussé… comme toutes les autres fois depuis au moins un an, voire plus !
Bon, bah, tu réessaieras demain.
Que dalle ! C’est plus moi qu’elle veut cette salope… elle a toujours aimé les intellos. C’est ça qui la fait mouiller. Moi, elle me considère comme un gros nul !
Mais non Raphaël, ne te mets pas martel en tête.
Mais si, tu vois pas comme elle m’humilie devant toi ! Et en plus, t’as vu comment elle t’a ouvertement dragué, devant moi, son mari. Elle nen a rien à foutre de moi. Tiens, je suis sûr que tu irais dans la chambre, tu la sautes tout de suite !
Cette conversation surréaliste commençait à m’exciter grandement… il y avait un coup à jouer, là !
Mais non, tu exagères, tu es saoul, tu racontes n’importe quoi.
Et bien, vas-y ! Vas-y, va te coucher dans son lit, tu la tripotes en disant que c’est toi, tu verras, à toi elle ouvrira les cuisses.
Je commençais à bander sec, il était sérieux le type ? Il voulait que j’aille baiser sa femme ? Ça l’excitait ou quoi ? Un candauliste ?
Bon, Raphaël, faut pas dire des choses comme ça. Tu te rends compte, tu me demandes d’aller baiser ta femme à ta place ! Et si je disais oui, tu ferais quoi ? Tu regarderais ?
Au moins, je pourrais me branler en vous regardant ! Je suis sûr que ça la ferait mouiller à fond, ma salope de femme ! Elle adorerait ce genre de situation ! Baiser avec un autre mec, sous les yeux de son mari… traînée, va !
C’est vraiment ce que tu veux ? Attention, après il n’y a pas de retour en arrière !
Oui, vas-y baise-la, et je vous rejoins 5 minutes après, et je mate. Je veux que tu la souilles cette pute, que tu l’encules, que tu la traites comme une chienne, c’est tout ce qu’elle mérite… au moins tu me vengeras !
Je ne comprends pas, ce n’est pas le portrait que je me fais de ma belle-sur. Toujours une conduite impeccable, jamais de folies… tu es sûr qu’elle réagirait en femme soumise par moi ?
Putain, 30 ans de mariage. Je sais bien que c’est toujours missionnaire avec elle. Pas de pipes, pas de sodomie, pas de variétés… avec moi. Mais là, depuis trois jours, je vois qu’elle a changé. Tu vois pas qu’elle se dandine comme une midinette, quand elle marche à côté de toi. Les regards de braise qu’elle te lance, quand tu lui parles culture. Je suis sûr que toi, tu peux tout lui faire… tout ce que moi j’ai jamais réussi ! Elle te refuserait rien… tu pourrais en faire la pute de mes rêves ! Tu es mon contraire exact. Plus jeune, sportif, beau, très cultivé, tu sais parler aux femmes. Toi, elle te respecte.
Je ne peux pas coucher avec ma belle-sur comme ça ! Tu imagines ma femme après ?
Elle ne saura rien. L’autre salope ne lui dira rien. Elle tiendra trop à toi. Je te dis, tu en fais tout ce que tu veux ! Alors je veux que tu me venges. Tu vas en faire une dévergondée, une pute, une salope à bites… après peut-être que je pourrai l’utiliser aussi !
Sirotant mon cognac et fumant ma clope, je regardai le pauvre homme au bord des larmes et du désespoir. Si ça continuait comme ça, il était capable de faire une connerie. Sylvie l’avait dévirilisé depuis tant d’années. Et maintenant, elle lui donnait le coup de grâce. Un moment comme ça encore, et si elle était un peu plus entreprenante avec les hommes, le premier aventurier venu l’embarquerait. Tout compte fait, son plan n’était peut-être pas aussi con que cela. Il faisait la part du feu. Au moins, il gardait la main sur les événements et il avait confiance en moi. Bon alors que faire. Rien, et ça partirait au désastre, moi une fois revenu chez moi. Le mari me donnait les "clés de la chatte de sa femme" !
Après tout pourquoi pas ? Je n’avais rien à perdre. Si j’arrivais vraiment à en faire une salope pur jus, alors effectivement je pouvais la dresser, et la remettre entre les mains de son mari ensuite. Mais il fallait établir certaines règles.
Bon, écoute-moi bien. Tu veux que je baise ta femme et que je la transforme en putain. OK ! Par contre tu viendras pas pleurer après. Parce que si vraiment je la prends en main, elle va voir du pays ! Tu tiendras le choc ? Parce que tu verras tout !
Oui, je veux la voir se traîner dans la luxure !
Bon, j’en fais une femme publique, OK, je la dresse, et ensuite je la remets entre tes mains. Mais il faut que toi tu changes. Tu dois reprendre ta virilité en mains. Tu t’es trop laissé aller. Tu dois à nouveau porter le pantalon; il faut que ta femme te respecte à nouveau. Si je deviens son maître, tu dois être le maître auxiliaire à qui je remettrai sa soumise ensuite, et tu dois être fort, il faut qu’elle te respecte à nouveau, sinon j’aurai fait tout cela pour rien. Tu auras entre les mains une bombe sexuelle, que n’importe qui te ravira, si tu n’es pas capable de la garder. Tu me suis ?
Oui ! Bon alors, tu vas la baiser ?
Hop, hop, hop ! Ça ne se passe pas comme ça. Trop simple et pas efficace. Et si je la baise et qu’elle te dit que dorénavant tu dors dans la, chambre d’ami ? Tu obtempéreras et tu auras tout perdu ! Cela ne servira à rien, tu resteras son gentil petit toutou.
Non, il doit y avoir un rapport de force entre vous deux, et moi je serai l’arbitre. Alors voilà ce que tu vas faire.
Je vais lancer des lignes, comme à la pêche, et toi tu devras me contrecarrer, me contrarier, être contre moi à chaque fois. T’opposer en mari intègre aux demandes plus ou moins salaces, et finalement perverses que je vais lui faire. Si je la saisis bien, alors elle fera tout par défi envers toi. L’avantage, c’est que sans s’en rendre compte, elle te verra comme son adversaire, un mari qui veut reprendre sa femme en main, un empêcheur de baiser en rond, donc comme un esprit fort, et plus comme son petit toutou gentil qui dit oui pour tout à sa maîtresse.
Alors quand on arrivera dans le dur de sa soumission, elle exigera que tu sois là pour voir son degré de "liberté sexuelle… enfin ce qu’elle pensera être sa liberté de femme indépendante. En réalité, tu seras le témoin de ses perversions et de son avilissement, pour en devenir progressivement l’acteur. Alors elle sera devenue ton jouet à toi aussi !
Oui, oui, c’est exactement cela ! Tu ferais cela pour moi ? Je n’ai plus rien à perdre… et si tu refuses, il y a encore la Seine ou le chemin de fer …
Hoo ! Ne va pas te mettre des idées comme ça en tête ! J’y arriverai, j’y arrive toujours. Ce ne sera ni la première ni la dernière.
Ha bon, mais tu as déjà soumis des femmes ?
Plusieurs ; dont Cécile, la mienne …
Ah bon. Je ne m’en serais jamais douté. Et elle fait…
Tout ce que je lui demande. Oui en effet, et avec qui je veux. Tiens, je pourrais d’ailleurs la faire venir, si ça se passe bien avec ta femme. Bon, mais on n’en est pas encore là. Alors, voilà ce que tu vas faire demain…
Et je lui exposai mon plan d’attaque. Quand tout à coup, une Sylvie furibonde arriva dans le salon :
Merde, mais tu fumes Raphaël ? Je le crois pas ! Et tu te saoules aussi en plus ?
Sylvie parlait avec rage et dédain à son mari, elle ne m’avait pas aperçu dans l’autre fauteuil. Je pris la parole et décidai de mettre le plan à exécution :
Heu non, Sylvie, c’est ma faute, c’est moi qui lui ai donné une cigarette !
Sylvie se rasséréna et gentiment, me demanda si elle pouvait faire un brin de causette avec nous. Toute agressivité avait disparu instantanément, dès qu’elle m’avait vu. Cela confirmait les dires de ce pauvre Raphaël ! Quelle salope quand même ! Je tentais la première attaque.
Dis-moi, tu es superbe avec cette nuisette, elle est légèrement transparente, ce qui met ton corps divinement en valeur.
(Sylvie piqua un fard, me lança un sourire radieux et me demanda une cigarette. Ce qui était très étonnant pour une femme hygiéniste comme elle !) Oh merci, cela fait longtemps que l’on ne m’a pas fait un si beau compliment.
-Raphaël a beaucoup de chance de partager sa vie avec une si belle femme que toi ! (J’espérais que ledit mari allait saisir la balle au bond, et remonter la pente. Ce fut Sylvie qui répondit à sa place.)
Oui, mais je crois qu’il ne s’en rend pas compte !
Mais bien sûr que si, je m’en rends compte. Je suis quand même très étonné que tu viennes te dandiner dans cette tenue tout juste correcte, devant le mari de ta sur, Sylvie, et c’est quoi cette cigarette à ta bouche ? Tu fumes maintenant ?
Sylvie sembla avoir pris un seau d’eau glacé sur la tête. Elle n’avait jamais entendu son mari oser lui parler comme cela, avec cette inflexion d’autorité.
" Dis donc, je me balade comme je veux, devant qui je veux. Ce n’est pas toi qui vas me donner des ordres ! Et je fume si j’ai envie. Tiens, je vais me saouler aussi ! Paul verse moi un cognac si tu veux. Et regardez, elle n’est pas vulgaire cette nuisette, beaucoup d’hommes aimeraient avoir une femme telle que moi dans leur lit… n’est-ce pas Paul ?
En disant cette phrase, Sylvie m’envoya un regard très lubrique, le message était on ne peut plus clair. Raphaël avait raison, elle me voulait dans son lit à la place de son mari. Mais quelle pute ! Attends un peu, salope, j’en ai dressé des pires que toi ! Tu vas pas être déçue du voyage ! Pensais-je agressivement ! Tout scrupule m’abandonnait. Sylvie méritait vraiment sa soumission future !
Elle nous allumait tous les deux en s’étant levée, et en tournant sur elle-même, pour montrer sa nuisette légère sur son corps. Comme une lampe de chevet avait été allumée, je pouvais la déshabiller du regard, ce dont je ne me privai pas ! La nuisette lui arrivait au milieu de la cuisse, elle était très échancrée dans le dos, de couleur grise, en satin, avec un liseré bordeaux. Ma belle-sur avait des hanches un peu larges, un peu de ventre très léger, mais des seins superbes, au moins un 95 C, dont les pointes commençaient à se lever. Le tissu en était très fin, si bien qu’on apercevait assez bien la courbe des seins, ainsi que des aréoles plutôt brunes. Je fantasmais déjà à l’idée de sucer ces pointes… Je transformai l’essai …
Tiens, tu dors avec une culotte ? Ce n’est pas très bon pour la sudation entre les cuisses. Ma femme le faisait toujours, je l’en ai dissuadée. Maintenant, elle dort toujours nue !
Mais bon sang, Sylvie, arrête de t’exhiber comme cela ! On n’est pas chez Madame Claude, bordel ! Assieds-toi ! Ou mieux, retourne dormir.
Sylvie saisit son verre de cognac, le vida cul sec, et lançant un regard plein de haine envers son mari, dit :
Tu as raison ! Je reviens !
Et quand elle revint, 10 secondes plus tard, nous nous aperçûmes qu’elle ne portait plus de culotte sous sa nuisette. Il était très facile de distinguer un triangle de poils blonds au travers du tissu. Sylvie me fit la bise en posant sa main de façon désinvolte sur mon sexe en érection, et me glissa à l’oreille :
Tu n’as qu’un mot à dire, et je reviens complètement à poil… tu me prendras comme tu voudras ! Devant l’autre con !
Tu es vraiment charmante Sylvie, ta proposition ne manque pas de piquant, mais je suis un peu fatigué ce soir… un autre jour peut-être ? Retourne te coucher avec ton mari. (Elle s’en retourna, un peu déçu, je rajoutai). Sylvie ?
Oui ?
Tu es divine !
Elle me fit un grand sourire, en se retournant vers moi, elle savait qu’elle avait gagné. Puis, jetant un regard plein de morgue à son mari :
Et toi, bas les pattes, c’est pas parce que j’ai la chatte à l’air qu’il faut te croire tout permis ! Et elle retourna dans la chambre ; nous demeurâmes silencieux.
Alors, qu’en penses-tu, Raphaël ?
Tu crois que ça marchera ? En tout cas, c’est la première fois de sa vie qu’elle va dormir sans culotte… première victoire !
Il y en aura d’autres ! Oh, c’est encore mieux que ce que je croyais. Elle marche d’enfer. Elle ne comprend pas ce qui t’arrive. Elle jouera la salope rien que pour t’humilier devant moi. On en fera tout ce qu’on voudra. Je crois qu’elle n’a plus de limites !