Lorsque Jennifer et moi avons conçu le plan d’avoir Claude, et faire l’amour ensemble, c’était juste un bon plan pour notre jeu du gode-ceinture. Nous n’avions jamais pensées être "découverts", ce genre de chose que nous avions pas prévu vient d’arriver par hasard. Malgré tout nos plans, cependant, quelque chose d’inattendu avait manifestement eu lieu ici, à la porte du salon, Jean, mon mari, le père de Claude, regarde son fils a quatre pattes, les jambes écartées avec sa copine devant sa bouche qui ce faisait sucer le gode, et sa mère derrière sont petit garçon qui lui prenais son le cul avec un long et épais gode ceinture. Je dois dire, je comprends le choc de sa voix et son visage.
"Le golf est tombée est a l’eau", c’était tout ce qui semblait venir à son esprit pour donner, une explication pour laquelle il était rentré si tôt a la maison, si elle n’est pas une explication pour l’incroyable spectacle que l’on voyait.
Je suppose que nous avions été tellement absorbée dans notre jeu, que nous n’avions pas remarquée la pluie, tout comme nous n’avions pas entendu sa clé dans la serrure ou ses pas dans le salon. Mais, il était déjà rentrer, nous avions été prise en flagrant délit et je ne savais pas quoi faire. J’étais habillée en bas et lingerie, mes seins qui pendent hors de mon soutien-gorge et ma culotte tiré sur le côté pour me permettre d’utiliser le gros gode-ceinture avec lequel j’enculais mon fils pendant qu’il aspirait le gode-ceinture analogue de sa petite amie. Ce n’ai pas avec cette situation que j’ai pu dire quelque chose donc je suis resté là, avec mon gode encore enfouis dans le cul de mon fils. Tout ce Claude fait, c’est de retiré le gode de Jennifer de sa bouche et se retourne pour regarder honteusement son père, tout en son montrant sa bite bien dur, qui restait la preuve de son excitation continue.
«Je ne crois pas ce que je vois ici!» S’exclame Jean «Je ne peux pas croire que vous faite des saloperie, de faire quelque chose comme ça."
«Nous prenons juste un peu de plaisir ensemble," dit Jennifer avec son sourire charmeur à mon mari, et reprend la parole rapidement, tandis que je suis reste bouche bée, "Peut-être vous souhaitez vous joindre à nous également. Voyez donc combien votre fils est heureux de ce divertissement. Cela pourrait vous faire aussi du bien? »
"Quoi?! Non, dit Jean avec colère:« Je n’ai aucune envie de me joindre a cette amusement dégoûtant, vous êtes des dépravées.
"Allez, ne nie pas toute cette scène t’excite, je connais trop bien les hommes pour qu’ils pensent autrement. Je peux l’entendre dans le son de ta voix», dit Jennifer, prenant un ton légèrement plus difficile. Ce n’était pas seulement la persuasion séduisante qu’elle pourrait gérer, elle pourrait être assez dur et tenace.
«Maintenant, vient ici,tu vas te joindre à nous, ajoutait-elle, ne laissant aucun doute qu’il s’agissait d’un ordre et pas une question, "Tu est un homme qui a envie de réaliser ses fantasme, tu aura du plaisir voir même du désirs."
Jennifer avait une telle façon de parler qu’il était très difficile pour quiconque de ne pas aller de pair avec ce qu’elle dit, et a ma grande surprise, en quelques instants, mon mari nous a rejoint dans le salon, plutôt que continuer sa colère comme je le prévoyais. Il semble que Jennifer est déterminée à faire ressortir le côté inceste de toute la famille. Mon fils et moi ont ne pouvait que regarder, toujours dans la même position, lui à quatre pattes et moi a faire entrer mon gode au fond de lui, admirant Jennifer qui a réussie sa magie sur mon mari, le père de Claude.
«Maintenant, bandes, lui a t elle ordonné et, chose remarquable, il se met complètement nu, jetant ses vêtements avec ceux de son fils et rejoint Claude.
Jean se mit à genoux nus sur le sol, en face de sa future belle-fille, a détailler le beau corps nu droit, sa petite armature, ses beaux seins et des mamelons ériger et le grand gode rose, plus grand que sa propre bite, qu’elle pointait devant son visage. En le voyant maintenant nu montrant comment il était encore en bonne forme pour un homme dans la quarantaine. Son corps était un peu plus musclé que son fils qui est à côté de lui, et sa bite un peu plus petite, mais il n’a pas l’air d’être trop mal du tout.
Pourtant, il avait l’air un peu intimidé par le beau corps nu de Jennifer, toujours à la floraison de sa vie, et armé d’une fausse bite qui mis la sienne un peu a la honte. Il ne pouvait pas détacher son regard sur Jennifer et qui lui a probablement contribué à lui faire faire exactement ce qu’elle voulait. J’ai devinée, ce fut sans doute comment elle avait d’abord convaincue mon fils de jouir en lui prenant le cul avec la bite de caoutchouc.
"OK, maintenant je veux que tu ouvre la bouche et commencent à sucer ma bite," lui dit Jennifer : «Montre-moi que tu peut me tailler une pipe aussi bien que ton fils."
Elle poussa sa ceinture pourpre sur son visage et l’agita devant lui. Il tira la langue et se mit à le lécher, rougissant d’un rouge vif, mais dans sa nudité il n’y avait aucun moyen de cacher sa honte ou la façon dont il commençait à jouir d’être soumis aux ordres de la jeune femme. Sa bite était déjà frémissante et se raidissait quand il se mit à lécher la bite en caoutchouc avec plus d’acuité, il ouvrait enfin ses lèvres ce permet a Jennifer de pousser sont gode dans sa bouche comme n’importe quelle jeune fille avide avec sa première vrai bite.
«Goûte-moi ça?" ordonne Jennifer, debout,un peu plus grande que mon mari qui se mit a lui sucer le gode.
«Devine où vient ma bite? C’est le goût de ton fils que je te fais goûter, il vient sont cul. Ma bite en caoutchouc vient directement de sont cul et tu le prend dans ta bouche. Que pense tu de ça ?
"Oh mon Dieu, non! Jean eut le souffle coupé, crachant le gode rose, "c’est dégoutant."
"Ouais, ça a été jusqu’au fond du cul de ton fils et ira dans le tient dans une minute aussi, beau-papa," ricana Jennifer «Alors, tu ferais mieux de l’obtenir propre et humide en premier."
Avec cela, elle a poussée le godemiché de nouveau dans la bouche de mon mari et il se mit à lécher à nouveau, couvrir ce dernier de salive et, sans doute, prendre beaucoup de plaisir comme son fils tout a l’heure.
C’était assez chaud à regarder mon mari, vraiment je ne l’aurai jamais cru avoir des relations sexuelles inhabituelle, ce dévergondé pour sucer la prothèse du pénis de sa belle-fille.
C’était peut-être l’idée de se faire baiser le cul qui lui donne une érection bien dur, sans que personne n’y touche.
"Ouais, papa suce bien la bite de Jennifer», lui dit Claude avec un petit sourire, en regardant son père sucer le gode de sa copine avec un certain plaisir qui lui sont familiers ayant déjà été mise en place par lui avant son père.
"Mmmm, ne t’inquiète pas, dit-il en rassurant son père tu va aimer la sensation de celui-ci dans ton cul. C’est tellement bon de se faire baisée par une femme avec une bite "
"Oooh, ça t’excite, bébé, regarde je vais baiser ton père!" a répondu Jennifer,
"Tu es le petit garçon a sa maman, et qui veut qu’elle l’encule, et ta copine en profite pour enculer ton père!"
Ensuite, elle ordonne a Jean de rejoindre son fils, il se met juste à côté de Claude qui avais encore mon gode enfouis en lui. Ils étaient a quatre pattes de sorte que leurs visages étaient juste à côté de l’autre et Claude donne à son père un grand sourire, tandis que Jean lui sourit avec un peu plus d’hésitation. Jennifer se mit à genoux à côté de moi et écarte les jambes de mon mari. Son cul n’est pas aussi ferme et tonique comme notre fils, mais il me semblait très bien serré.
Jennifer laisse courir son doigt le long de la raie de mon mari, qui lui donne des picotements, je pouvais voir son corps frémir d’impatience, les nerfs et le plaisir. Lentement, elle a inséré un doigt en lui et a commencé à explorer son trou serré. Peu à peu, comme moi, et Claude qui suivons avec intérêt l’éveil de Jean, Jennifer réussi à insérer un second, puis un troisième doigt, prenant son temps pour bien dilater le cul de Jean de façon à ce qu’elle soit en mesure de lui labourer avec sa bite en caoutchouc.
Peu de temps après, Jennifer senti que mon mari était prêt pour elle, elle retira ses doigts, lui faisant sortir un soupir audible. Elle tenait son gode-ceinture sur ses fesses étroites, ouvrant son petit trou plissé vierge et commença à pousser lentement mais avec force en lui, poussant sans lui laisser aucune échappatoire avec sa petite force mais ferme. Un regard sur le visage de mon mari, il était dans une concentration intense. Il avais manifestement une petite douleur, mais en même temps du plaisir.
"Uhhhh," il eut le souffle coupé ’’Tu me déchire, Jennifer, tu m’a complètement empaler sur ton gode’’
Jennifer se mit à rire "Ouais et maintenant c’est moi qui fait l’homme,"«mon dieu, que est tu serré, mais tu aime ça, n’est-ce pas ? C’est avec plaisir que je peut rentrer dans ton petit trou petite vierge!"
«Oh, mmm, ouiiiii Jennifer,Vas-y baise le cul de mon père," gémit Claude, toujours à genoux à côté de Jean, et avec avec mon gode enfouies au fond de lui, «Montre-lui comment on se sent bien d’être à l’autre bout d’une bite bien dure! "
Alors, elle commence à lui ramoner le cul, tirant sa sangle sur le dos de quelques centimètres, puis en lui donnant des claques sur ses fesse et à nouveau lui rentrer son membre factice sur toute sa longueur. Voyant mon propre mari baisé par cette jolie jeune fille avec une grosse bite de caoutchouc ceinturé a sa fine taille, m’a rappelé que moi aussi j’appréciais cette sensation d’être un homme et je repris mes mouvements sur mon fils qui ce recula vers moi pour prendre mon gode lui aussi bien a fond. Je commence à me balancer d’avant en arrière, poussant mes hanches vers l’avant a fin de lui défoncer son cul. Bientôt,Jennifer et moi ont accélère le rythme de godage de mon mari et de mon fils, battre leurs deux culs virile et de rendre leur bites bien dures.