Émilie fut la première à se réveiller. Elle avait réussit à profiter un peu de Flocon après que Clara soit allée se coucher mais l’animal ayant été très sollicité, la vétérinaire n’avait pas put aller jusqu’au blocage avec lui. Elle l’avait allongé sur le dos et s’était empalée sur le caniche avant daccélérer sa cadence et de le libérer après avoir eut un faible orgasme. Le jardinier serait là dans cinq minutes et Émilie n’avait pas le temps de prendre une douche pour l’accueillir. Elle décida de garder entre ses cuisses le peu de semence dont Flocon l’avait honoré et de s’habiller pour souhaiter la bienvenue à son employé. La vétérinaire n’eut le temps que de mettre une jupe lorsqu’elle entendit la camionnette se garer devant chez elle.
— Bonjour madame Sérès.
— Bonjour Pablo, tu es venu t’occuper de mon petit jardin ?
— Si, ye vais travaillé torse nou si vous permettez.
— Hmmmmm… Avec grand plaisir !
Pablo était la caricature même du jardinier. D’origine mexicaine, c’était un jeune homme d’une vingtaine d’années taillée comme un strip-teaseur qui adorait se sentir désiré par ses patronnes. Il avait à son tableau de chasse toutes les femmes du quartier dont il s’occupait des jardins ou des piscines en ne refusant jamais de donner un peu de plaisir charnel. Il avait été embauché par l’ex-mari de Émilie qui espérait que sa femme le trompe aussi mais à cette époque la vétérinaire était bien trop amoureuse de son homme pour en regarder un autre. Quand elle s’est retrouvée toute seule dans sa grande maison, le jardinier fut le premier à profiter du corps attirant de cette femme fraîchement divorcée. Les amants ont fait l’amour durant plus de trois heures ce jour-là. Émilie prenant le dessus à chaque fois et retenant fermement entre ses cuisses son jeune partenaire. Lorsquelle vit les pectoraux saillant du jeune homme, la vétérinaire sentit une douce chaleur monter entre ses reins. Elle voulait que cet homme viril la débarrasse du sperme canin qui coulait encore en elle. Excitée par cette idée, elle proposa à Pablo de la rejoindre au salon.
— Pablo, il fait très chaud aujourd’hui, voulez-vous venir boire une verre à l’intérieur ?
— Oui madame Sérès, ye veux bien entrer.
Il ne fallut pas longtemps au jeune homme pour comprendre ce qu’attendait de lui sa patronne. Émilie avait déjà glissé ses doigts sous sa jupe et commençait à se caresser sans aucune gène devant son employé.
— Je veux que tu commence par me lécher la chatte.
— Bien madame Sérès.
— Et applique-toi ou tu es viré !
— B… Bien madame Sérès.
La vétérinaire posa le bord de ses fesses sur l’évier puis elle écarta les jambes en relevant sa jupe. Pablo s’agenouilla devant sa patronne puis il plaça son visage entre les cuisses de la jeune femme avant de poser sa langue contre les lèvres vaginales que lui offrait sa partenaire. Émilie gémissait de plaisir tout en jubilant de sa manuvre. Son jardinier si viril était en train de lécher du sperme de chien sans le savoir. Cela excitait d’autant plus la vétérinaire que l’animal qui l’avait honoré était allongé dans la pièce en regardant les ébats des deux amants. De son coté, Pablo sentit rapidement un liquide visqueux couler dans sa gorge. Intrigué, il se recula et demanda à sa patronne des explications.
— Madame Sérès, vous êtes oune femme merveilleuse mais ye ne veux pas mettre dans ma bouche le sperme d’oun homme.
— Ça tombe bien, c’est du sperme de chien que tu es en train d’avaler !
Clara était réveillée et comptait bien clarifier la situation. Elle venait d’apporter une précision au jardinier qui resta tétanisé devant cette affirmation. Il était encore face à sa patronne et n’avait pas vu la petite femme aux cheveux noirs qui se tenait complètement nue derrière lui. Émilie se servit de ses jambes pour coller à nouveau le visage de son partenaire entre ses cuisses puis elle fulmina contre son invitée.
— Tu peux pas la fermer toi ?!
— C’est bon, il va s’y faire lui aussi ! Je suis sûre qu’il serait ravi de te voir en pleine action avec un chien.
— Mais tais-toi !
Utilisant sa force, Pablo réussi à se libérer des cuisses de sa patronne puis il se releva pour faire face aux deux femmes.
— Vous m’avez fait avalé le sperme d’oun chien ?! Vous êtes oune…
le jardinier avait beau être en colère, il ne put terminer sa phrase. Avec une incroyable rapidité, Clara s’était jetée sur le jeune homme et lui avait déboutonné le pantalon avant de lui baisser le caleçon et de poser sa bouche sur le sexe de Pablo. La petite femme était maintenant en train de prodiguer une fellation au jardinier qui ne faisait plus que gémir. Agacée de se faire une fois de plus voler son amant, Émilie s’agenouilla à son tour et joua des coudes avec Clara pour poser sa langue sur l’attribut virile de son employé. Pablo ayant complètement oublié sa colère, il avait posé ses mains sur la tête de chacune de ses partenaires dont il caressait les cheveux. Pour plus de confort, le jeune homme recula lentement vers le canapé où il sassit pendant que les deux femmes continuaient à lui parcourir le sexe à l’aide de leurs langues. Elles étaient accoudée sur les cuisses du jardinier et se tenaient à quatre pattes en plein milieu du salon. Il n’en fallut pas plus à Tango et Flocon pour comprendre l’appel de leur maîtresses respectives et prendre place comme ils y ont étés habitués. Pablo vit les deux chiens prendre place sur le dos des femmes qui étaient en train de lui prodiguer une fellation et ne put se retenir plus longtemps lorsqu’elles se firent pénétrer par leurs animaux de compagnie. Le jardinier éjacula une quantité colossale de sperme que Clara et Émilie s’empressèrent de lécher, joignant leurs langues sur le corps du jeune homme tout en se faisant saillir par des chiens. Flocon fit rapidement passer son nud entre les fesses de sa maîtresse mais n’y resta planté que quelques seconde avant de se libérer de l’orifice maintenant habitué à ce traitement. La jeune fille se releva et chevaucha Pablo dont le sexe n’était plus en érection mais conservait tout de même une taille respectable. Appuyant son dos contre le torse du jardinier, Clara utilisa sa main pour guider l’attribut viril devenu flasque vers l’entrée de son intimité puis elle le fit glisser en elle avant de le faire ressortir et de le tendre vers la bouche de Émilie.
— Tiens, une sucette qui à le goût de ma chatte !
La vétérinaire ayant encore entre les fesses le nud de son chien et ne pouvant pas se déplacer accepta volontiers de prendre en bouche ce morceau de chair qu’avait imprégnée Clara de son plaisir. La scène était surréaliste. Pablo avait posée ses mains sur la poitrine de sa partenaire pendant que cette dernière orientait l’attribut viril pour qu’il passe du sexe de la jeune femme à la bouche de la vétérinaire. Après une bonne vingtaine d’échanges, le jardinier était de nouveau en érection et Clara décida de profiter seule de son amant. Elle se releva suffisamment pour guider son partenaire entre ses fesses puis elle envoya un violant coup de reins vers le bas pour profiter d’une pénétration anale. Pendant ce temps-là, Émilie avait été libérée par Tango et s’était précipitée vers son caméscope pour filmer la nouvelle performance sexuelle de son invitée. Clara avait réussi à allonger son partenaire sur le dos et écartait largement les cuisses pendant que Pablo la sodomisait. Tango étant habitué à cette invitation, il plaça sa truffe près du sexe qui s’offrait à lui et y passa de nombreux coups de langue en incluant les testicules du jardinier.
— Madame Sérès, votre chien est en train de me lécher les couilles !
— Et visiblement il veux que tu partage avec lui…
— Oun homme et oun chien sour la même femme ?!
Lorsque le jardinier fini sa phrase, il se rendit compte que l’animal était déjà prêt à saillir sa femelle. Les pattes du rottweiler étaient cramponnées aux hanches de Clara qui sentait la pointe du sexe canin commencer à sintroduire en elle.
— Hmmmmm ! Que c’est bon ! La bite d’un mec dans le cul et celle d’un chien dans la chatte !
— Tu as déjà essayé la même chose en forêt non ?
— C’était le contraire ! Là je suis plus serrées alors je sens mieux la forme de la bite du chien.
Entre deux gémissements, Clara avait réussit à exprimer son bonheur à Émilie. Pablo était choqué par cette double pénétration qu’il partageait avec un animal mais il était en même temps très excité de sentir un autre sexe s’activer sur la jeune fille.
— Mademoiselle, vous êtes oune…
— Ta gueule le mexicain ! Contente-toi de me casser le cul et surtout d’y envoyer ta purée ! J’ai juste besoin de ta bite, pas de ton accent.
Refroidit par les insultes de sa partenaire, le jardinier Fit en sorte de finir rapidement son coït et éjacula profondément entre les fesses de Clara puis il tenta de se libérer mais sa position ne l’aidant pas, il laissa son sexe redevenu flasque dans l’orifice de la jeune fille qui continuait à subir les assauts de Tango. Après plusieurs minutes à rester sans bouger, ne servant littéralement que de bouche-trou, Pablo réussit enfin à se libérer. Il était debout à coté de Émilie et contemplait la jeune fille qui s’offrait à un nouveau partenaire canin. Clara était à quatre pattes dans le salon, invitant ardemment Mambo à venir la saillir à son tour.
— Madame Sérès, qui est votre amie ?
— Elle vient de te sucer, tu l’as enculée et tu ne connais même pas son nom ?
— Ye n’ai pas pou lui demander avant qu’elle se jette sour ma bite
— Elle sappelle Clara. Elle se fait baiser par des chiens depuis hier seulement, mais elle aime le sexe.
— Ye m’en souis rendu compte ! Ye peux outiliser votre salle de bain ?
— Oui, vas au premier nettoyer ta queue, ensuite tu reviendra ici pour me baiser.
— Bien madame Sérès.
Émilie n’avait pu que prendre son jardinier en bouche mais elle comptait bien se rattraper dès qu’il redescendrait. Mambo était un chien plutôt bien dressé, même s’il était moins fougueux que Tango. C’était un Danois beige qu’avait adopté la vétérinaire depuis que son ancienne maîtresse avait emménagé dans un appartement sans jardin où il aurait été trop malheureux. L’ancienne propriétaire du chien venait lui rendre visite de temps en temps pour s’occuper de lui mais surtout pour que lui s’occupe d’elle. Mambo avait déjà sailli plus d’une vingtaine de femmes différentes mais il n’avait jamais sodomisé ses partenaires. Clara ayant pris goût à cette pratique, elle fut la première à qui le Danois honora les fesses. Installée en levrette devant l’animal, la jeune fille se fit monter puis elle guida le sexe canin pour qu’il entre là où avait éjaculé le jardinier. Hurlant de plaisir, Clara se laissa docilement sodomiser pendant plus de vingt minutes sans que son partenaire réussisse à introduire son nud. Lorsque le chien se retira, la jeune fille sallongeât sur le sol prouvant ainsi qu’elle était enfin satisfaite. Il lui fallut tout de même se faire sodomiser par deux chiens et un homme avant de trouver le plaisir anal qu’elle recherchait sans compter l’accouplement avec Tango qu’elle voulait surtout expérimenter en double pénétration.
À suivre…
