Une salle sombre dans laquelle on entend quelques murmures étouffés. Puis, une musique s’élève doucement. Celle d’un slow très sensuel dont le saxophone émet des plaintes qui ressemblent à des gémissements amoureux. Des projecteurs s’allument. Trois

projecteurs, qui illuminent, l’un après l’autre, une scène assez grande. Tu es au milieu de cette scène. Les trois faisceaux de lumières sont braqués sur toi. Le reste de la salle demeure dans l’ombre. Seulement toi, au milieu de cette scène. Un body de dentelle noire, d’une seule pièce, recouvre ton corps. En fait, plutôt que de le recouvrir il en souligne les lignes et les courbes. Tout les détailes affriolant de ton corps sont mis en avantages par la dentelle noire qui le moule. Ta poitrine provocante tend le tissus, et la pointe de tes mamelons perce au-travers les mailles de la dentelle. Le triangle de ta toison est perceptible par son renflement entre tes cuisses. Et tes fesses sont moulées de façon indécente. Tu commençe à bouger au son de la musique. Lentement. Tes jambes, puis tes hanches, se meuvent doucement, voluptueusement, répondant à l’invitation du

saxophone. Tu cambres les reins, tes mains se mettent à se balader tel des papillons sur ton corps. Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, les narines pinçées, tu caresses tes hanches, puis tes seins, et tout ton corps ondule. Tu perçois des frémissements dans la salles, tu entends des sons qui

ressemblent à des halètements, mais tu ne vois rien, tu devines à peine des yeux, des dizaines de yeux qui t’observent, fascinés. Lentement, tu tournes. Tu tournes ton corps ondoyant, en continuant à le caresser. Tu es dos à la salle, et tes mains descendent sur les côtés de ton corps, épousent

tes hanches, et glissent vers tes fesses. Tes mains caressent, et malaxent tes fesses, et les reins

cambrés tu tends ton cul à ce public invisible. Puis, tranquillement, tu t’étends par terre, sur le dos, et tes belles mains blanches continuent de courir sur tout ton corps. Là, allongée sur le dos, tu pétris tes seins emprisonnés par la dentelle, et tu pinçes tes tétons qui percent au-travers le tissus, en faisant rouler les pointes entre tes doigts. En même temps, tes jambes se plient jusqu’à atteindrent tes fesses, et tes cuisses s’écartent largement. C’est à ce moment qu’on distinguent comme un cliquetis, et que l’on remarque la chaîne. Une chaînes argent, fine mais solide, qui emprisonne une de tes chevilles, et serpente sur la scène jusqu’à un oeillet de métal, au milieu de la scène, auquel elle est attachée. Tu es enchaînée sur cette scène, comme la brebis que l’on offre en patûre au lion. Tes mains rampes le long de ton corps géréreusement offert, et se rejoignent entre tes cuisses. Tu commençe à caresser ton sexe au-travers le tissus, doucement, puis de plus en plus vigoureusement,

faisant littéralement l’amour avec la musique. Ta poitrine se soulève de façon saccadé, ta bouche,

grande ouverte, émet des feulements sensuels. Puis, d’un mouvement rapide et agile, tu te retournes sur le ventre, et te mets à quatre pattes, la croupe tendue vers la salle. La tête et les épaules au plancher, une de tes mains fouille ton entrejambe, et tes fesses ondulent de façon suggestive pendant que tu te branles ardement la chatte. À un moment tout ton corps est pris de convulsions, tu lâches de petits cris de bêtes blessée, et on peut aperçevoir que le tissus entre tes cuisses semble devenir

humide. Au-travers le son de la musique qui continue ses notes lancinantes, tu perçois nettement des

mouvements dans la salle. Des mouvements qui viennent de partout, des quatres coins de la salle, et qui convergent vers un même point. Vers la scène. Vers la scène où tu es. Vers toi…

Tu vois alors des gens monter sur scène, surtout des hommes, mais aussi des femmes. Ils sont nus, mais portes tous des cagoules noirs au-travers lesquels tu ne vois que les yeux et la bouche. Ils sont

une dizaine, une vingtaine, peut-être plus, tu n’as pas le temps de les compter. Tu as peur et en même temps tu es fascinée par tout ces corps nus dont les sexes bandés et les seins dressés luisent sous les projecteurs. Des mains se saisissent de toi, et t’arrachent littéralement le tissus

qui cache ton corps. Tu entends la dentelle qui craque, se déchire, et libère tes seins. Puis

les derniers lambeaux sont aussi arrachés et ton sexe , ainsi que ton cul sont livrés à la gourmandise de ces intrus. Une multitudes de mains palpent ton corps, te caressant partout, te pinçant partout. Et puis des bouches et des langues se promènent sur toi, léchant et suçant tes seins, tes fesses, ta chattes. Tu es rivée à ta chaine et tu ne peux rien faire pour te soustraire à ce déferlement de convoitise. D’ailleurs en as-tu vraiment le goût? N’est-tu pas ensorcelée par cette vague de désir de ton corps? N’est-tu pas terriblement excitée par ces mains qui te touchent,ces bouches qui te goûtent,ces yeux qui te dévorent? Toi aussi tu te mets à participer à cette folie collective. Tes mains

saisissent des queues dressées et les branlent, ta bouche engloutit des sexes bandés jusqu’au fond de la gorge, et ta langue voltige sur des fentes mouillées. Tu te retrouves bientôt avec des verges qui

s’enfonçent dans ta chatte dégoulinante de plaisir, dans ton cul largement offert, et dans ta bouche accueillante. Et tu entends tout ces halètements, et tout ces cris de jouissance qui se mélange aux

tiens. Et tu sens et goûtent tout ce foutre qui jaillit sur toi, dans toi, dans tout tes orifices, ton sexe,

ton cul et ta bouche. Et tu jouis comme tu n’as jamais jouis, saisissant tout ce qui passe à ta portée, homme ou femme. Suçant,léchant,mordant,tes doigts branlent une queue qui éjacule sur toi,pendant que les doigts de ton autre mains s’enfonçent dans un sexe chaud et humide de plaisir. Tu ne sais pas combien de temps cela dure, ni combien de personnes te possède tours à tours. Cela n’a pas de fin. Tu voudrais que cela n’ait pas de fin. Puis tout-à-coup une vague de jouissance d’une puissance que tu n’as jamais ressentis auparavant s’empare de toi et te secoue jusqu’au fond de ton âme. Comme un cataclysme, démentiel et…paradisiaque. Puis tu te réveilles. Seule dans ton lit. Seule et trempée. Trempée de sueur et de jouissance. Cela n’était-il qu’un rêve? Sûrement que cela n’était qu’un rêve. Mais il y a cette marque à ta cheville. La marque d’une chaîne…

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