André, un copain de régiment se réveille : il passe un cou de fil. Pourtant je ne donne pas souvent ce numéro. Enfin les choses sont comme ça. Ils me reviennent ses souvenirs dune bite magnifique quand il bandait dès le réveil. Je la regardais comme une erreur de la nature. Surmontant un pubis vachement poilu, sur des couilles énorme, trônait une longue bite. Sans gêne, il attrapait la queue à pleine main pour la caresser. Sa main allait et venait sans cesses, elle descendait le prépuce tout en bas pour le remonter. Il fermait les yeux, pris dans le plaisir. Il ne pouvait arrêter ce quil se faisait, jusquà lorgasme. Nous le regardions tous avec soit désir, soit avec envie : elle était belle.
Plus tard dans laprès midi, sil bandait à nouveau, il demandait à un camarade, son voisin de chambrée de lui prendre la queue pour le masturber. Lautre comme un con acceptait toujours. Dès quil faisait gicler André, à son tour il se masturbait : cétait devenu un rite.
Et aujourdhui André me téléphone !! Je ne sais comment il fait pour connaitre mes orientations. En tout cas, ou, jaime bien les queues, je les préfère aux vagins aussi mouillées soient-ils. Jai tourné casaque quand javais 30 ans, quun vieil ami de la famille, un jour ma « forcé » à me toucher devant lui. Plein de suffisance je sortais ma queue, je la caressais à peine, pour bander. Jétais étonné du résultat. Je ne pouvais faire autrement que me masturber. Je sentais mieux ma main, mon plaisir était plus fort. Et lui, le con, au lieu de me faire arrêter me regardait, me donnait des louanges. Je me suis laissé embarquer vers lautre plaisir entre hommes. Il ma demandé de regarder son anus. Il avait posé un doigt dessus. Il se massait le cul.
Son pantalon est tombé. Je voyais sa queue bien dressée. Le doigt seul sur son anus suffisait pour linstant. Il sest approché en me demandant une suite que je ne prévoyais jamais. Il fallait que je mette ma queue contre son anus. Poussé par limportance, par certaines tentations, jétais enclin à lui céder ma queue.
Il tendait ses fesses, ouvrait sa raie. Il me faisait envie, envie dun corps dhomme mur, dun cul usagé certainement. Je suis venu derrière lui : il nattendait que ça. Il a pris ma bite, la à peine branlé. Jai glissé dans sa raie. Je me suis un peu baissé. Le cul tombait pile à coté de mon gland. Le prépuce a reculé seul. Jétais peau à peau avec cet homme. Il se poussait vers moi. Je sentais ma queue se durcir encore et encore. Il a écarté un peu plus son entrée. Là jai pénétré un corps dhomme favorable. Celui dun habitué de la sodomie. Il ma surpris en se baissant complètement en levrette. Il avait sa queue qui bandait, ses couilles qui descendaient, son ventre un peu épais, celui dun cinquantenaire.
Jétais sorti de lui, il a fallut que je la lui remette encore une fois. Toujours aussi agréable à sodomiser je prenais mon pied dans ce cul usagé. Il savait louvrir, le fermer à volonté. Je pistonnais sans égard, je ne pensais quà mon plaisir qui arrivait. Son cul me servait dinstrument, comme ma main. Jai cru tomber à la renverse quand jai compris quil jouissait. Il avait des spasmes forts que les miens. Je lui ai tout donné, tout mon foutre. Quand je me suis retiré, il en coulait encore de son cul. Le sien était au sol gluant me semble-t-il
Et André dans tout ça ? Le lendemain il me rappelle pour me demander si jai bien enculé son copain. Bien sur, jai bien jouis en plus. Alors il me veut comme amant son prochain amant. Il plaisante sans doute, je ne suis pas un homme à homme. Il pense le contraire : quand il me voit, il me prend directement la queue dans la main. Je ne me débats même pas. Il sort mes bijoux de famille, avale la moitié de la bite. Je bande dans sa bouche, il fait descendre le prépuce, sortir le gland. Sa langue lèche le bout un tout petit moment. Il passe une main par derrière ; il me caresse de suite les fesses, puis pour finir le cul. La vache, il me fait du bien. Croyez moi cest honnête de se sentir ainsi attaquer. Je nai quun désir : jouir dans sa bouche.
Il me tourne, me tripote les seins, les hanches, le bas ventre. Jai envie quil vienne totalement dans mon anus. Enfin je sens sa grosse queue fouiller mes fesses. Il vient sans détour. Il la pose sur la pastille. Il force un peu : il est en moi. Je le sens dans le cul. Ma queue passe dans sa main. Il me branle doucement en cadence. Je ne sais comment me tenir. Je comprends ma sur qui dit aimer la sodomie, ce genre damour. Je suis une pute, je me donne à une bite formidablement puissante qui défonce mon cul qui me fait mal, et jaime ça.
Je suis son amant depuis de jour là.