Présentation :
Marion, la mère, 37 ans.
Stephen, le fils aîné, 19 ans.
Stéphane, le deuxième fils, 18 ans.
Personnages secondaires :
Laurence, 40 ans.
Louis, Philippe et Michel, 18 ans.
Marion, professeur d’espagnol, dans un lycée de province.
Marion avait élevé ses deux enfants, toute seule avec l’aide de ses parents.
Son mari était décédé dix ans auparavant dans un accident de voiture.
Marion était une très belle femme, aux formes démentielles, de super belles jambes, de super belles fesses et des super gros seins.
Tous les hommes, ses collègues et ses élèves voulaient la baiser.
Stephen, le fils aîné, charmeur, grand, sportif et très beau qui ressemblait de plus en plus à son père.
Stéphane, timide en apparence, sportif et surtout un pervers. Marion, c’est que Stéphane la matait partout sous la douche ou quand elle se changeait.
Marion était très élégante, toujours habillée très sexy, savait qu’elle attirait beaucoup d’hommes et même certaines femmes. Elle aimait attirer le regard, elle était à la fois sexy et sévère.
Mais ce que personne ne savait, c’était que Marion n’avait jamais fait l’amour depuis la mort de son mari. Elle s’était consacrée à l’éducation de ses deux enfants.
Un matin, alors qu’elle sortait de la douche, Stéphane rentra dans la salle de bain, et vit Marion presque à poil.
Tu ne peux pas frapper avant d’entrer ?
Désolé, Maman, mais j’aurai loupé un super spectacle : tu es super bien foutue.
Comme si tu ne m’avais jamais vue nue quand tu t’amuses à me mater.
En même temps, maman, tu es super bonne.
Merci, c’est gentil. Je crois.
Marion enfila son peignoir et quitta la salle de bain. Marion alla dans la cuisine rejoindre son fils aîné Stephen.
Maman, qu’y a-t-il ?
Ton frère va me rendre folle : maintenant, il rentre sans frapper dans la salle de bain, il m’a vue presque à poil.
En même temps, maman, fais attention, ferme la porte derrière toi et fais attention quand tu t’habilles.
Pourquoi tu me dis ça ?
Parce qu’un de tes gros seins est sorti. J’avoue qu’ils sont très gros et très beaux.
Tu ne vas pas t’y mettre, toi aussi !
Ecoute, maman, on se pose la question : tu n’es jamais ressortie avec un homme depuis la mort de papa à moins que tu préfères les femmes.
Ne t’inquiète pas : je préfère les hommes.
Tu sais quoi ? Ce soir, Stéphane n’est pas là. Je t’invite au restaurant.
OK, mon chéri.
Marion partit en cours ainsi que ses deux fils.
La journée se passa. Marion déposa Stéphane à la gare. Il avait une compétition de karaté à 100 kilomètres de là. Il rentrait dans deux jours.
Marion dit à son fils :
Sois prudent, mon chéri.
Ne t’inquiète pas, maman.
Avant de partir, Stéphane embrassa sa mère sur la bouche (ça dura bien 10 secondes). Marion ne s’y attendait pas et ne dit rien. Stéphane partit en souriant.
Marion retourna chez elle se préparer pour le restaurant avec Stephen. Elle prit la douche, s’habilla mit une culotte, un porte-jarretelles, des bas, une minijupe et un haut très décolleté.
En descendant, Stephen la vit habillée comme ça et lui dit :
Tu vas faire tourner la tête aux hommes.
Hihi à toi aussi.
Bien sûr, j’espère que tu ne vas pas mal le prendre : tu es sexy, même bandante.
Merci, mon chéri.
Ils prirent la voiture et partirent dans le centre-ville.
Ils s’installèrent dans un restaurant. Tous les regards se portèrent sur Marion.
Ils mangèrent et Marion raconta à Stephen que Stéphane l’avait embrassée sur la bouche et Marion but beaucoup (trois apéros, deux bouteilles de vin et deux digestifs).
Marion paya et donna les clefs de la voiture.
Ils rentrèrent au pavillon familial. Marion était bourrée et, en rentrant, Marion lui dit :
Et toi, tu as envie aussi de m’embrasser ?
Maman, tous les hommes veulent t’embrasser.
Viens masser les épaules de ta maman.
Stephen massa les épaules de sa mère. Il ne put s’empêcher de dénuder les épaules de sa mère. Il descendit et détacha trois boutons du chemisier de Marion qui se laissa faire et commença à toucher les gros seins de sa mère.
Marion, complètement bourrée, allumait son fils.
T’as envie de baiser ta maman.
Oh oui, maman, j’en ai envie.
Viens me lécher la chatte, petit pervers.
Stephen lui arracha sa culotte, lui lécha la chatte et lui enfonça même jusqu’à quatre doigts.
Oh oui, continue, c’est trop bon.
Au bout de cinq minutes, Marion, complètement excitée, dit :
Sors ta bite et baise-moi. Oui, viens baiser ta maman salope.
Stephen n’en crut pas ses oreilles.
Putain, viens me baiser !
Stephen sortit sa verge et l’enfonça dans la chatte toute mouillée de sa mère, qui hurla de plaisir.
Putain, que c’est bon ! Ça m’avait manqué ! Oh oui, putain, qu’elle est grosse, ta bite ! Combien elle fait ?
25 centimètres, maman.
Vas-y, enfonce tout, donne-moi tout, lâche ta purée en moi.
Au bout de 15 minutes, Stephen éjacula dans la chatte de Marion.
Maman, je ne veux pas que tu tombes enceinte.
Ne t’inquiète pas, j’ai un implant.
Donne-moi ta bite, que je suce les dernières gouttes de ton merveilleux sperme.
Tiens, suce-moi bien.
Au bout de 15 minutes, Marion, toujours un peu bourrée dit :
Tu bandes encore. Viens, que je te suce.
Marion s’appliqua à lui tailler la meilleure pipe qu’elle n’avait jamais faite de sa vie. Elle joua avec sa langue sur le gland de la bite de son fils aîné, puis essaya d’avaler la grosse bite entièrement dans sa bouche. Elle suça rapidement puis ralentit et lui lécha les couilles.
Stephen n’en revenait pas après avoir baisé sa mère. À présent, cette dernière lui taillait une bite d’enfer et se remit à le sucer de plus belle.
Maman, je crois que je vais éjaculer.
Vas-y, lâche tout dans ma bouche.
Marion avala une grande quantité de sperme.
P. S. : et ce n’est que le début. Marion deviendra de plus en plus salope.