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Sam et son amant d'ébène – Chapitre 3




Stan et moi sommes allongés, lui sur le dos, mains derrière la tête, moi blottie contre lui, le caressant et l’embrassant tendrement, je traîne auprès de mon amant, réticente que je suis à le quitter et à retourner chez moi.

— Il faut que je me douche pour rentrer.

Stanislas secoue la tête sans rien dire.

— Non à la douche ou non je ne rentre pas ?

— Aux deux, j’en ai pas fini avec toi mon bébé !

— J’ai déjà trop tardé, mon mari va se douter de quelque chose, déjà que…

— Ne t’inquiète pas pour lui, un gars qui accepte que sa femme reprenne contact avec son ex sait très bien qu’elle va se faire baiser.

— Tu exagères, il me fait confiance c’est tout.

En finissant ma phrase je m’aperçois du ridicule de ce que je viens de dire, Stan ne relève pas.

Il me demande

— Il t’a vu sortir habillée comme ça ?

— Il m’a même aidé à mettre mes porte-jarretelles.

Mon amant pouffe de rire.

— Il t’a aidée à te préparer pour venir te faire baiser, j’adore.

— Je lui ai même demandé conseil pour mon string et ma robe.

— Il t’a demandé ou tu allais ?

— Non

Mon amant me regarde, ne dit rien, arbore un sourire qui en dit long.

— Tu crois vraiment ?

— Tu vas voir, on ne baisera pas longtemps à l’hôtel, bientôt je te baiserais dans ton lit.

— J’aimerais bien voir ça.

Je m’imagine en train d’accueillir mon amant dans le lit conjugal, j’avoue que cette idée m’excite au plus haut point.

Je me saisis de son membre qui est toujours en semi-érection et le masturbe doucement, j’adore voir son prépuce glisser sur son gland au rythme de mes caresses.

— Tu m’excites.

Sans rien dire, Stan se met à fouiller dans un sac posé au sol près du lit, il en sort un pot de lubrifiant, me le tend et me dit :

— Prépare-moi pour ton cul.

Je prends le pot, tout en l’ouvrant je lui dis:

— Salaud, tu as tout prévu !

Je prends une généreuse noix de lubrifiant, commence à en enduire le sexe de mon amant d’ébène qui durcit entre mes doigts,

Une fois son membre bien lubrifié Stanislas se lève, il me fait m’allonger sur le dos, sans cérémonie il attrape mes pieds et les relève à la hauteur de ma tête s’octroyant une vue parfaite sur mon anus, de son autre main il lubrifie généreusement mon petit trou avant de se positionner sur moi son corps prenant appui sur mes jambes relevées,

Je sens le sexe de mon amant qui se positionne à l’entrée de mon petit trou, je place mes mains sur ses fesses afin d’accompagner ses mouvements, mon anus commence à se dilater doucement sous la douce pression, une fois l’inconfort du gland qui me pénètre passé, Stanislas marque une pause afin de laisser mon anus s’habituer à son engin massif, il se remet à pousser afin de faire céder les dernières résistances de mon petit cul, soudain je sens le membre viril de mon chéri qui glisse en moi, je me sens pleine de lui, une vive douleur se mélange au plaisir d’être prise par mon étalon d’ébène.

— Mon cul, mon cul, mon cul, oh Stan !

Il reste bien au fond de moi le temps de me laisser m’habituer à son engin.

Après une petite pause mon chéri commence à me besogner lentement m’arrachant des gémissements, une fois accoutumée à la grosse bite de mon amant noir je l’encourage à me baiser plus fort.

— Vas-y, vas-y, vas-y Stan, vas-y, je suis à toi, prends-moi, prends-moi bien, prends mon cul.

— Il est à moi ce cul !

— Oh oui, rien qu’à toi mon chéri.

— Embrasse l’homme qui t’encule !

Je passe une main derrière la tête de mon chéri afin d’approcher ses lèvres des miennes, l’embrasse tendrement tout en gémissant pendant qu’il me ramone l’anus avec son braquemart, faisant claquer ses hanches contre mes fesses offertes au traitement qu’il me fait subir.

Stanislas se relève pour me surplomber il a encore ce sourire conquérant aux lèvres j’écarte les cuisses autant que possible pour l’accueillir en moi, il me baise en rythme, avec force, m’arrachant des râles de plaisir.

Je suis dans un hôtel en train de me faire enculer comme une traînée de bas étages, moi qui suis d’habitude si fière, le pire est que j’en adore chaque seconde et que je ne laisserais ma place pour rien au monde.

Stan accélère son rythme, je le sens au bord de la jouissance, je l’encourage :

— Oh oui Stan, oh oui mon chéri, fais-le, fais-le, oh oui !

— Tu veux que j’éjacule dans ton cul mon bébé ?

— Oh oui Stan, fais-le, il est à toi !

Le corps de mon amant d’ébène se tend alors qu’il râle de plaisir pendant que ses couilles se vident dans mon cul.

J’attire ses lèvres contre les miennes je l’embrasse avec fougue tout en gémissant de plaisir.

— Ohh merci mon chéri, merci, j’avais presque oublié ce que c’est de se faire baiser.

— Ne t’inquiète pas je vais bien m’occuper de toi maintenant.

— Quand tu veux, je suis à toi, toute à toi.

La queue de mon chéri finie par s’extraire d’entre mes fesses avec alors que Stan débande je reste néanmoins la, avec mon amant entre les cuisses affalé sur moi alors que je le caresse tendrement, j’aimerais que ce moment dure mais je sais bien que je dois rentrer retrouver ma lopette…

— Je dois filer, il faut que je prenne une douche et parte vite.

— Non pas de douche je tai dit.

— Ah et pourquoi donc ?

— Je veux que tu rentres retrouver ton mari avec mon odeur et pleine de mon sperme.

Je pouffe de rire.

— Pervers, tu es vraiment un salaud !

Je l’embrasse et lui dis :

— D’accord mon salaud chéri !

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