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Union des générations – Chapitre 4




Chapitre IV : Communion

Je pris conscience que j’avais perdu contact avec la réalité pendant le récit d’Agathe. Quand mes esprits me revinrent, je remarquai qu’Agathe avait relevé sa jupe. Comme cette coquine ne portait pas de culotte, elle avait eu accès à sa chatte, et se caressait. J’allais lui faire une remarque, avant de réaliser que mes mains étaient sur mon chemisier, chacune me touchant un sein. Je m’étais encore caressée sans m’en rendre compte.

Sans arrêter de se caresser, Agathe m’adressa encore son sourire.

« Tu as envie Maman ? Tu as envie de découvrir le sexe entre femmes ? Tu as envie de découvrir l’inceste ? Tu as envie que je t’apprenne ce que Chloé m’a appris ? »

Comme Agathe dans son récit, j’étais partagée entre gêne et excitation. Et incapable de bouger.

Ma fille se leva du canapé. Elle me prit dans ses bras, délicatement, comme si j’étais une poupée de chiffon (encore que ça devait presque être le cas), et me déposa doucement sur le canapé. Elle me chevaucha. Son visage s’approcha du mien, et elle m’embrassa. Bien que totalement paralysée, je la laissai faire, et l’embrassai à mon tour. Sans arrêter de m’embrasser, elle entreprit de défaire mon chemisier. Un bouton à la fois. Elle me l’enleva ensuite. Puis elle passa ses mains dans mon dos, pour me retirer mon soutien-gorge.

Agathe commença à caresser mes seins, m’arrachant des soupirs d’aise. Elle sourit en voyant mon plaisir monter. Elle se pencha, et commença à embrassa ma poitrine, avant de lécher et sucer mes mamelons. Je posai mes mains sur la tête de ma fille, afin de les caresser les cheveux. Agathe sembla apprécier, car elle intensifia les mouvements de sa langue sur mes seins.

Je fis glisser mes mains sur son corps, jusqu’à atteindre le bas de son pull et de son t-shirt, et commençai à lui retirer son haut. Agathe s’écarta de moi afin de me faciliter les choses. Je m’attendais à tomber sur un soutien-gorge, mais fut face à son gros 90D. En fait, ça ne me surprit même pas.

« Chloé et moi ne portons quasiment jamais de dessous. Ça nous permet de nous peloter à peu près n’importe où et n’importe quand. Dans la voiture. Pendant que l’une est au téléphone. Sous la table. Et j’en passe. »

Cochonnes.

Cet aveu me fit cependant réaliser que, le jour où j’avais surpris Agathe sur le canapé, je n’avais découvert aucune culotte ni aucun soutien-gorge.

Agathe se pencha pour recommencer à embrasser mes seins. Mais je pris son visage entre mes mains pour suspendre son geste. Elle fut incrédule une seconde, jusqu’à ce que je dépose mes mains sur ses splendides seins. Je posai mes lèvres sur les siennes, et nous nous sommes embrassées une nouvelle fois. Je lui malaxais les seins. Je caressais ses tétons. Je les pinçais entre mes doigts. Arrachant des soupirs à ma fille, qui me rendit la pareille.

Intimement, j’étais presque fière d’être finalement plus active qu’Agathe lors de son premier rapport avec Chloé. Ceci dit, le contexte était aussi très différent.

« J’adore ce que tu me fais Maman.

— Je suis ravie que ça te plaise ma puce.

— Je t’aime Maman.

— Mais moi aussi ma chérie.

— Tu veux que je te lèche la chatte ?

— Non. J’ai envie de te masturber.

— Tu es une sacrée coquine, en fait. »

Agate m’embrassa, avant de se lever du canapé. Elle défit le bouton de sa jupe, qui tomba au sol, me dévoilant une nouvelle fois la chatte sombre de ma fille. Sauf que cette fois, la vue de ce sexe magnifiquement poilu ne me choqua pas du tout. Au contraire.

Je défis mon pantalon, et virai en même temps ma culotte, avant de me rasseoir sur le canapé.

À ma grande surprise, Agathe ne bougea pas.

« Quelque chose ne va pas ma chérie ?

— C’est juste que Je réalise que c’est la première fois que je te vois entièrement nue.

— Et ?

— Et tu me fais très envie. »

Elle rit, et prit place à ma gauche. Elle posa sa cuisse sur la mienne, de sorte que nos deux chattes étaient grandes ouvertes.

Je posai mes doigts à l’entrée de sa grotte. Elle fit de même. Ce qu’elle m’avait dit me revint en mémoire : « J’avais peur d’être maladroite, puis je me suis contentée de reproduire les gestes que je faisais pour moi. ». Je décidai donc de suivre son conseil, et commençais à caresser son clitoris. Elle se focalisait sur les parois de mon vagin. Je sentais le plaisir parcourir tout mon corps comme jamais. Il n’était pas rare que mon mari me masturbe. Mais le plaisir que je ressentais avec ma fille était beaucoup plus intense.

Je fis entrer un doigt dans sa chatte. Puis deux. Agathe faisait régulièrement entrer un doigt dans mon antre, pour me caresser le clito avec son doigt mouillé.

Ma main gauche masturbait ma fille. De ma main droite, je me caressais les seins. « Bonne idée », souligna Agathe en se mettant à se caresser elle aussi.

Notre petit manège dura quelques minutes, pendant lesquelles seuls nos soupirs et le bruit de notre mouille brisaient le silence.

« Maman… Je vais bientôt jouir

— Moi aussi mon bébé.

— M Maman Je veux Je veux jouir avec ta langue Je veux te lécher »

Je compris le message. J’arrêtais mes caresses et écarta sa main de ma chatte. Je me suis allongée sur le sol, et j’ai ouvert mes cuisses en grand.

Agathe s’est installée au-dessus de moi, tête bêche. Elle descendit vers moi. Je sentis alors une appréhension, mêlée à de l’excitation. Pour la première fois, j’allais lécher le sexe d’une autre femme. Pour la première fois, une autre femme allait me lécher le sexe. Et cette autre femme était ma propre fille.

C’est elle qui prit l’initiative. Elle commença par déposer des bisous sur ma touffe, puis mon clito, avant de se mettre à me lécher carrément. S’agissant de mon premier cunni, et voulant le faire bien, j’imitais ses gestes, en cherchant à être la plus délicate possible.

Toutes les deux très excitées par ce qui avait précédé, nous avons vu nos orgasmes approcher très vite. Nos gémissements respectifs trahissaient l’approche de l’orgasme.

Nous avons jouis presque en même temps, chacun inondant le visage de l’autre de sa mouille.

Satisfaites et heureuses, Agathe et moi nous sommes allongées, côté à côte, toujours tête bêche.

« Vous êtes deux grosses dégoutantes ! »

Surprises, nous avons presque bondi, pour nous assoir à même le sol.

Chloé était sur le pas de la porte. Tout sourire. Toute nue. Je pus ainsi remarquer ses seins, effectivement très mignons. Et son toison, en fait un ticket de métro flamboyant.

« Vous êtes sales, dit Chloé en s’approchant de nous, sans perdre son sourire. Avoir des relations entre femmes, ça n’est pas étonnant. Mais entre une mère et sa fille. Quelle horreur.

— C’était notre première fois. » Agathe et moi avions parlé en même temps, ce qui nous fit toutes les trois éclater de rire.

Tandis qu’Agathe et moi reprenions une place confortable sur le canapé, Agathe raconta tout à sa fille. Y compris quand je l’avais surprise à se masturber.

Chloé se mit à genoux devant nous, et nous caressa les cuisses.

« C’est bien mignon tout ça. Mais moi, j’ai été sage. Je n’ai rien fait de cochon avec ma copine. J’ai envie qu’on s’occupe de moi. Qui va s’occuper de moi ? Qui va me faire jouir ?

— Je ne suis plus toute jeune ma chérie, fis-je remarquer. Je viens de jouir comme ça ne m’étais pas arrivé depuis longtemps. Il faut que je récupère.

— J’ai compris, dit Agathe d’un ton faussement grognon. Je vais devoir m’y coller. »

Les deux filles rirent. Chloé se plaça entre les jambes de sa mère, et commença à lui lécher le sexe.

Encore une fois, j’étais comme déconnectée de la réalité. Je voyais ma fille et ma petite fille faire l’amour. Là. Devant moi. Mais pourtant, j’avais l’impression d’être loin.

Ça ne m’empêcha absolument pas de me sentir excitée.

« Chloé. Mamie a envie de lécher ta chatte. »

Le sein d’Agathe quitta la bouche de Chloé. « Mais avec plaisir Mamie. »

Je m’allongeais au sol. Agathe prit place sur un fauteuil, histoire de nous regarder.

Chloé chevaucha ma tête, plaçant sa chatte au-dessus de moi. Sans attendre, sans hésiter, je réitérais ce que j’avais fait avec ma fille, et léchais le sexe trempé de ma petite fille.

Chloé se triturait les seins. Elle regardait sa mère en train de se doigter. Elle regardait sa grand-mère qui la léchait.

Tout cela lui procura rapidement un orgasme qu’elle-même qualifia un peu plus tard de « phénoménal. »

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