Histoires de sexe de vacoisins Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe travesti

Ma tante de 45 ans est sublime – Chapitre 12




Je la retrouvai en haut de l’escalier. 

Chantal m’attendait, mains posées sur les hanches avec sa robe de chambre sur les épaules.

Elle était belle comme une princesse. Elle avait remis ses escarpins, cela lui donna un style imposant.

— Alors mon neveu est satisfait ?

— Je crois que ma tante a mérité une récompense.

— Je meurs d’envie de savoir…

Je lui tendis la main et l’invitai à redescendre au salon. Je l’aidai, Chantal étant un peu chancelante. Ma cigarette et son Gin l’avait un peu sonnée. Je dégageai les quelques objets éparpillés sur la table basse. Ma tante surveilla mes gestes avec une pointe de curiosité.

— Voilà, c’est prêt ! lui dis-je en la débarrassant de sa robe de chambre et de ses escarpins.

— Et que veux-tu que je fasse mon bel étalon à moi ?

— Tu vas gentiment te mettre à quatre pattes sur la table.

— Toute nue ?

— Exactement, allez Tatie d’amour !

— OK grand chef. dit-elle en pouffant de rire.

— Je vais dans la cuisine et je reviens.

Ma tante s’interrogea davantage.          

Quand je revins, j’aperçus ma tante sur la table basse. Ce fut un choc. 

Voir ma tante à quatre pattes, totalement nue sur la table basse dépassait mes fantasmes. Elle avait posé ses avant-bras sur la table et se cambrait pour bien faire ressortir sa croupe parfaite. Ses belles fesses si douces à l’air libre furent une invitation au voyage.

Du fait qu’elle me tournait le dos, je ne vis que son formidable cul. Quand j’approchai, je me délectai du spectacle. Je tournai autour de la table pour observer ses formes.

Ma tante était resplendissante. Intérieurement, je me disais que j’étais un sacré veinard (!).

Je sortis un foulard et lui bandai les yeux en lui demandant sa permission. Elle ajouta qu’elle ne voulait pas de cochonneries. 

En rentrant samedi, je m’étais arrêté en chemin pour acheter un plumeau. J’avoue avoir toujours rêvé d’exciter ma tante avec ce genre d’objet. 

Elle était là, devant moi, immobile, belle. 

— Tu es prête ma Tatie ?

— J’attends mon neveu !

— J’ai l’intention de t’exciter au plus haut point.

— Je ne demande que ça !

— Ca va être doux, très doux.

Les plumes débutèrent leur valse sur le corps figé de ma tante. Un frisson doux parcourut Chantal, cette sorte de pinceau gigantesque se promena le long du dos pour finir dans la raie de ses fesses en forme de cur. Mon plumeau prit un chemin plus étroit en passant entre ses cuisses. Au passage, il effleura ses lèvres, lui caressa son ventre doux et vint mourir sur ses seins en prenant soin d’éviter leurs tétons. 

— Oh c’est bon, c’est excitant mon chéri, continue… 

— Tu vas t’allonger sur le dos maintenant.

— C’est froid !

— Je te mets une serviette, tu auras plus chaud.

— D’accord mais je ne vois rien.

J’aidai Chantal à se mettre dans la position convenue. Elle replia ses jambes, la table étant trop petite. L’envie de la caresser de mes propres mains me passa par la tête. La voir ainsi allongée, pour ne pas dire offerte ne fit qu’attiser mon enthousiasme. Je repris de plus belle cette expérience nouvelle pour nous deux. La promenade débuta sur les lèvres de Chantal, descendit le long de sa nuque et flâna sur sa poitrine savoureuse. Cette fois, les mamelons eurent droit à la sensation de l’extrême douceur des plumes. Chantal poussa un léger gémissement en écartant les jambes.

Elle avait ses mains en croix derrière la tête à ma demande, mais je devinai en elle le désir de se caresser. La flânerie à plumes dura un moment, le temps que ses seins se mettent en éveil. Je ne sus comment le soleil factice de la lampe de la cuisine s’en arrangea, mais j’aperçus ses mamelons se durcir, se développer. Mon animation sur sa poitrine flatteuse se poursuivit. 

Je m’en amusai follement, voyant ma tante commençant à se tortiller de plaisir, cintrer son bassin, afin de me présenter son sexe fabuleux. Les frôlements de mon plumeau accédèrent à son bas ventre.

Je me mis juste en face de l’intimité affriolante de ma tante chérie. 

Ma tante creusa son ventre, je vis ses côtes apparaitre. Dieu qu’elle fut désirable dans cet instant. La femme à l’état brut, celle que l’on boufferait une nuit entière (!).

Mon fameux plumeau se plut à dessiner de larges courbes à l’intérieure de ses cuisses. Le résultat fut immédiat. Son sexe reluisant dans cette ambiance feutrée se montra impatient comme sa maîtresse.

J’entamai cette partie délicate en laissant glisser les plumes sur ses lèvres intimes. Je partis vers le bas proche de son beau derrière pour remonter lentement sur sa vulve resplendissante. J’atteignis le point d’orgue en vagabondant ma plume autour de son clitoris. 

Chantal ne put se retenir. Elle ne fit que pousser de petits gémissements, dans l’attente de vraies caresses. Je lui retirai son foulard.

— Jean, je n’en peux plus…

— Je crois qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.

— Volontiers mon cher neveu !

Chantal se leva pour s’installer sur le canapé. Tout naturellement, elle écarta ses longues jambes pour m’offrir son intimité avide de ma présence. 

Je m’accroupis en face d’elle. Elle me regarda brièvement et reposa la tête en fermant les yeux, certaine du plaisir que j’allai lui donner. 

Ma tante m’apparut comme conquise. Sa façon impudique de me montrer son sexe excita tous mes sens. 

Ma tante se donnait à moi, sans retenue, sans tabou. Elle était nue, allongée dans son canapé avec son neveu de 19 ans en face d’elle. Cette belle femme mûre m’offrait son intimité dont j’allais goûter la saveur exquise du haut de mes 19 ans. 

J’approchai ma bouche de ses lèvres mouillées. Pour créer un effet de surprise, je donnai un long coup de langue sur sa vulve toute entière. Elle eut un frisson. Elle se replia sur elle-même, se faisant toute câline. Elle me repoussa avec délicatesse en écartant volontairement ses jambes. Ma tante me montra de part cette position, sa volonté de se faire prendre par son jeune neveu.

— Viens maintenant Jean, je n’en peux plus.

— Ma tante adorée a envie de se faire baiser par son jeune neveu ?

— Ouiii j’ai envie de te sentir en moi !

Je regardais le sexe de ma tante. Tant épanoui qu’il me fallait la pénétrer au plus vite, assouvir ses pulsions données par mon jeu du plumeau. Je voulais un abandon total de Chantal, je voulais dans cette pénétration consentie que son vagin capture ma verge et non l’inverse. 

Voir ma tante jouir, c’était l’emmener vers une jouissance vaste et puissante, la voir dépasser ses limites du plaisir sexuel. La magie de la jouissance que je procurais à Chantal, résidait dans l’incessante fluctuation entre désir et plaisir, une sorte de bain de lumière. Son être tout entier se faisait englober, son imaginaire, son affect, ses sens, ses perceptions. Je savais qu’avec ma tante, un orgasme devenait une déferlante, contrairement à la jouissance caractérisée comme une lente et ample vague, une implosion lascive. Je voulais une déflagration en fait, une tempête orgastique bien préparée.

En toute humilité, je crois bien que ma tante avait joui avec différents partenaires mais atteindre l’explosion totale de son être, cela n’avait pas dû être au programme. J’avais pu le constater dans ses réactions violentes lors de nos ébats incestueux. C’était nouveau pour elle. 

Il me fallait y penser pour lui en parler plus tard ; histoire de la connaitre de manière plus intime.

Je glissai lentement mon sexe tant désiré dans le vagin accueillant de ma chère tante. Ma progression calme et imperturbable fit le bonheur de Chantal. Elle posa ses mains sur mes épaules pour mieux se laisser entrainer, portée par mon membre entrant dans ses profondeurs. Quelques gémissements se firent entendre quand j’arrivai au bout de son précieux orifice.

— Chantal, dis-moi ce que tu ressens de différent ?

— Que du plaisir avec toi, tu es doux, délicat et fort quand il le faut.

— Tu vas me dire quand tu commences à jouir.

— Oui mon chéri 

Je continuai mes va et vient dans le corps de ma tante. J’accélérai la cadence pour finir par de véritables coups de butoirs tout en lui en faisant des baisers dans le cou. Chantal me saisit les fesses comme pour mieux la pénétrer à fond. Sa respiration se fit dense. 

— Mon chéri, j’éprouve un plaisir extrême !

— Je t’aime Chantal

— Oh Ouiii moi aussi je t’aime tellement !!

— C’est bon ?

— J’adoooore…

— Retourne toi, je vais te prendre par derrière.

Aussitôt, ma tante se positionna m’offrant une vue infernale de son cul si parfait. L’envie de la sodomiser me traversa l’esprit. 

Ce fut plus fort que moi, je collai ma langue à son petit anus capricieux. Je le léchai abondamment en y déposant de ma salive. Chantal tortilla son petit derrière, preuve qu’elle s’impatientait.

Lorsque je la pénétrai une deuxième fois, ce fut une délivrance. Chantal cria dans toute la pièce, sans aucune retenue.

— Oh Ouiii !!! C’est bon !

— Tu préfères comme ça ?

— Continue de me faire jouir !

— Lâche-toi ma belle.

— Je me lâche totalement avec toi…

Bien cambrée, j’entrai profondément en elle. Ma tante se mit à gémir sans cesse. Je redoublai la cadence tel un animal abusant de sa femelle. Je baisai ma tante avec violence, mes mains tenant fermement ses hanches. J’imprimai mon rythme, Chantal subissant mes assauts. Puis je ralentis avec une lenteur qui la mit au supplice. Je sentis que Chantal dans ses râlements, éprouvait dorénavant un désir dévorant de s’abandonner à moi. 

— Je suis à toi mon chéri d’amour, tu me fais jouir, j’adore !

Mes mains savantes parcoururent le centre de sa féminité en dorlotant ses lèvres et clitoris en ébullition. Chantal ressentit dans mon mouvement lent la dureté de mon sexe. De mon côté, ma tante me contamina de sa chaleur intime. Je pressai mon corps contre le sien, Chantal se mit à se débattre, insinuant qu’elle voulait passer à un rythme plus soutenu, synonyme d’un orgasme latent.

Comme les immortels au cinéma, la foudre s’abattit sur moi. Je fus parcouru d’éclairs, ma tante ressentit aussitôt le départ de mon irruption en elle. Je la vis presser les coussins sous ses doigts fins, sa bouche s’entrouvrirent. Elle se retourna et me dit dans un souffle.

— Tu me fais atteindre les étoiles mon chéri…

— Ouiii et je viens en toi !

— Ooooh Ouiii…viens…viens…

J’abondai dans son sens…et dans son corps, dans ses fesses parfaites. Mes longs râles cessèrent dès lors que Chantal se mît à l’uvre. 

— Je jouis Jean ! Tu me fais jouir en ce moment !!

— Je le sens, tu te laisses complètement aller.

— Oui, je m’ouvre à toi, c’est trop bon, trop top !!!

Sans relâche, je continuai à pénétrer ma tante. Elle jouissait comme une folle, sans se soucier de moi.

Merveilleux de l’entendre.

— C’est bon, continue mon petit salaud ! Défonce-moi ! Baise-moi ! Oooh oui baise moi Jean…

Mes derniers assauts firent tressaillir ma belle Chantal. Je sentis les vagues d’extase explosées en elle jusqu’à l’épuisement. Il me fallut rester en elle, histoire de savourer le bonheur de baiser ma tante et de lui faire apprécier ma présence. Ni l’un ni l’autre ne consentit à dire un mot. 

La foudre s’était abattu sur nos corps unis et il nous fallut le temps pour nous remettre de nos émotions. Géant, grandiose, inimaginable furent les mots que nous échangeâmes dans nos pensées.

Je m’assis sur le canapé et Chantal se blottit contre moi. J’allumai une cigarette, quelque peu fier d’avoir fait jouir ma tante de cette manière.

— Ca va ma Tatie ? Lui dis-je.

— Tu vas m’emmener jusqu’où comme ça ? Dit-elle un brin taquin.

— Alors là, j’en sais rien du tout !

— Tu me donnes des frissons, tu me fais des trucs insensés.

Il me vint à l’esprit de lui parler de ses orgasmes avec moi.

— On dirait qu’avec moi tu atteins plus qu’une jouissance. Lui dis-je sans rajouter un mot de plus.

— Oui, tu me fais du bien, beaucoup de bien.

— Tu as déjà joui aussi fort avec un autre homme ?

 – Oh Jean, tu deviens indiscret.

— Je reformule, tu as déjà éprouvé autant de sensations avec un homme ?

— Alors dans ce cas, je te réponds non, je n’ai jamais eu ce genre de sensations avec un homme.

— Donc avec moi, tu atteins l’orgasme.

— Bah je crois bien et dire que je ne connaissais pas une jouissance aussi forte qui s’appelle l’orgasme !

— Eh bien heureusement que je suis là.

— Oui et dire que c’est mon propre neveu qui me donne des orgasmes, je n’arrive pas à le croire.

— Moi non plus, je ne pensais pas te donner des orgasmes aussi intenses mais, ça vient si naturellement avec toi, peut-être parce que tu es ma tante.

— Oh je suis ta tante mais quand tu commences à me baiser, tu oublies vite qui je suis !

— Non, juste une femme merveilleuse et ultra bandante.

Chantal ne put que m’adresser un sourire. Un large sourire de sous-entendus sur ce qui allait se passer dans notre futur.

Nous quittâmes le salon pour aller se coucher, sans oublier qu’Andrew serait présent dès demain.

Je pris une dernière fois Chantal dans mes bras pour lui faire un baiser sur le front.

Vendredi matin

Chantal avait pour habitude de se lever tôt, j’entendis la douche puis des pas dans l’escalier.

Je descendis pour la retrouver devant son café vers 6h30. Je pris une tasse et m’installai en face d’elle. Nous échangeâmes des regards complices, coquins. Ma tante dégageait le matin une grâce naturelle, était-ce le fait de voir ses longues jambes avec ses pieds fins et l’élégance de la voir boire sa tasse de café avec délicatesse ? Il est un fait, j’avais une grosse envie d’elle ce matin, ce dernier matin.

— Chantal, je vais prendre une douche et on monte s’habiller ?

— Oui je te suis.

Une fois en haut, ma tante fut dans sa chambre et enleva sa robe de chambre tout en gardant sa nuisette. Ma douche prise, je me rasai nu dans la salle de bain quand elle vint se maquiller. Je restai devant le miroir quand elle s’approcha de moi et me prit par la taille en me serrant contre elle. Elle avait besoin de tendresse, mon sexe pensait autrement (!).

— On est bien tous les deux, dommage… me dit ma tante

— Oui, c’est la vie !

Cette fois, je me retournai pour faire face à la sur de ma mère.

— Mais tu bandes comme un âne toi !

— Disons que tu me fais de l’effet.

Je vis le regard de fierté de ma tante. Heureuse de se rendre compte que malgré ses 45 ans, elle était encore capable de faire bander un jeune môme de 19 ans.

— Bon si je comprends bien, tu as envie de me baiser ce matin ?

— Exactement !

— Alors allons-y. me dit-elle en enlevant sa nuisette.

Sans s’en rendre compte, Chantal en enlevant cette fameuse nuisette m’offrit la vue de son buste, ses seins bien fermes du matin. Un joli programme s’annonçait.

Elle se mit au lit et recouvra le drap en esquissant un sourire embarrassé.

Il est vrai que ma tante n’y était pas allé par quatre chemins. 

Elle se rendit compte sur le moment qu’elle me proposait de la sauter en oubliant que j’étais son propre neveu (!). Nous étions en plein inceste et pour tout dire, la morale me passait au-dessus de la tête comme Chantal. Faire l’amour avec ma tante avait été un rêve, un fantasme. C’était devenu maintenant une réalité. Que ma tante me propose de faire l’amour après le petit-déjeuner, pourquoi pas ?

— Jean, je voulais te dire quelque chose.

— Je t’écoute.

— Ce que l’on fait ensemble, tu n’en parles à personne, si ta mère le savait…

— Oui, si ma mère savait que sa sur adore se faire baiser par son propre fils !

— Sois sérieux.

— Je le suis et c’est vrai que tu aimes te faire baiser par ton neveu.

— Oui, même si je suis ta tante, j’aime me faire sauter par toi, je dois l’avouer ; la façon dont tu me fais l’amour est carrément unique…

Je m’approchai en retirant le drap. Après un bref baiser, Chantal se cambra pour m’offrir son sein. Je caressai sa poitrine à la peau si claire et mes lèvres englobèrent son mamelon déjà en alerte. Je tétai son sein et lui mordillai son téton qui ne tarda pas à grossir. Ma tante passa sa main dans mes cheveux.

Tout en me délectant de ses beaux seins bien fermes, je frôlai son pubis. Quelques passages entre ses cuisses me firent comprendre que ma succion avait provoqué une forte excitation chez ma tante.

Ses longues jambes s’entrouvrirent majestueusement. Même si ça ne fut pas la première fois, cette façon qu’elle avait de me faire comprendre, qu’il était temps que je m’occupe de son intimité me donnait des frissons intérieurs. 

Je restai sur cette image de ma tante débarquant en bikini, en ce jour d’août dans la maison de mes parents. 

Désormais, elle était nue, m’offrant son corps sans pudeur faisant abstraction des liens du sang qui nous unissaient. Du haut de mes 19 ans, je restais en extase devant ma tante, pour tout ce qu’elle représentait à mes yeux ; la femme mûre hyper bien foutue, fantasme de l’adolescent que j’étais.

Je ne pus résister à me positionner en face de son sexe. Accroupi devant ma tante, j’observai son corps fabuleux, je ne me lassai point de regarder son visage apaisé et souriant, sa poitrine bien dressée, son ventre si doux et son intimité silencieuse prisonnière de ses jambes si fines. La voir ainsi, prête à faire l’amour, prête à me recevoir dépassa mon imagination. Je fermai brièvement les yeux tout en caressant ses cuisses, pour y voir au loin des étoiles silencieuses brillantes dans un ciel sans lune. Tout en gardant les yeux clos, mes mains s’attardèrent sur ce triangle intime où se déposèrent mes étoiles, telles des pierres précieuses dans leur écrin.

Il me sembla y déceler une source naissante dont l’eau si claire se fit tiède au contact de mes lèvres. Ma langue s’aventura dans de filon pour y gouter son contenu. J’entendis au loin la voix d’une femme désespérée, dévastée par la collation que j’avais entreprise. 

Elle me rejoignit en serrant ses mains contre les miennes. Ma source devint abondante, je la devinai rayonnante de m’apporter autant de liqueur tépide. Je revins à la réalité en posant mon regard sur cette source câline. Source capricieuse qui se referme à l’orée de l’ennui, ou qui s’ouvre à ne savoir qu’en faire, quand ma langue, géomètre de hasard flatte les profondeurs de son intimité abandonnée. Ma tante en fut ravie, l’entendant poussant de petits cris étouffés.

Je pratiquai un cunnilingus dans les règles à ma tante adorée. J’aspirai ses lèvres intimes tout en suçotant sa sublime liqueur.

— Tu sens bon ma tante.

— Je vois que tu te régales !

— Je suis gourmand de toi…

Chantal baissa ses paupières comme pour mieux apprécier le plaisir d’avoir son sexe dans ma bouche.

Sa rivière à diamants devint enchanteresse, je fus en transe.

Ses mains dans mes cheveux m’incitèrent à accentuer ma succion. Je quittai ses fabuleuses lèvres pour me redresser, face à ma tante. Un petit clin d’il taquin de sa part, me fit comprendre que Chantal attendait son neveu de pied ferme.

Elle avait son sexe ouvert, apte à me recevoir. Un bref mouvement de son bassin fut une invitation à venir la pénétrer. Je m’allongeai sur elle.

Chantal me saisit pour m’introduire en elle. Je progressai lentement dans son intimité tout en lui baisant le cou. Son souffle chaud devint haletant, ma tante croisa ses jambes dans mon dos. Elle voulut par ce geste me montrer qu’elle me recevait toute entière, profondément en elle. Mon rythme put s’apparenter à une sorte de boléro. Ma tante si proche sentit la puissance, le désir de lui faire l’amour monter en moi. Bien que le boléro se passe en trois temps, j’insistai sur le 1er pour en oublier le 2ème. Ma tante chercha mes lèvres pour un baiser passionné avec son neveu.

— Jean, que c’est bon de te sentir, te sentir en moi si fort.

— Je sais ma chérie, profitons-en.

Aussitôt, je passai enfin au 3ème temps ; ma tante décroisa ses longues jambes afin de se donner pleinement à moi. J’eus ce que je voulais ; ma tante se lâchait des pieds à la tête. Elle se mit à gémir de manière intempestive. Ses gémissements furent symboliques. Désormais, nul besoin de me dire sa jouissance, je devinai son relâchement total, sa libération durant l’acte. 

— Oh ouiii Jean, tu me fais jouir !

— Ca n’est pas fini…

Les 1ers violons puis les seconds, les cuivres, les percussions et enfin la clarinette résonnèrent dans ma tête. Chantal suivit ma cadence infernale. Durant cet instant avec ma tante, nous formâmes un binôme comme si nos corps ne furent qu’un seul et même bloc.

A vrai dire, je pilonnai le sublime corps de Chantal. Le terme n’est guère plaisant mais rend toute sa signification dans nos émotions du moment. 

Elle adorait ça, elle me murmura des mots crus que la morale me commande de ne point répéter.

Notre boléro se termina comme un boléro se termine : en apothéose.

Le corps de Chantal était en fusion. Je ne faisais que rentrer en elle en alternant quelques petites sorties.

Je sentis son corps trembler, suer, respirer ou aspirer ma chaleur. Ma tante fut en pleine jouissance quand elle ressentit la foudre s’abattre dans mon corps. Sa jouissance fit place à un orgasme dévastateur.

— Jean, je t’aime !!! Cria-t-elle.

J’attrapai ses lèvres, sa bouche toute entière. Mes spasmes atteignirent leurs apogées. Trempée de sueur, je continuai néanmoins de baiser ma divine Chantal.

— Tu aimes te faire baiser par moi ?

— Ooooh Ouiii mon neveu !!! Continue…

L’orifice de ma tante fut si ouvert qu’il me fut impossible de déceler chez elle la moindre contraction. Je donnai un dernier coup de reins en elle qui l’acheva dans sa profonde jouissance. Elle me serra sans bouger, appréciant ma présence et dégustant son plaisir intense. Elle me couvrit de baisers dans le cou, je la sentis fortement amoureuse et perturbée à la fois.

— Oh Jean, que me fais tu ?

— L’amour

— Non, c’est plus que de l’amour…avec toi c’est une renaissance.

— Eh bien, c’est beau ce que tu dis.

— Je le pense et c’est ce que je ressens avec toi.

— Alors c’est fabuleux.

— Non, magique mon amour de neveu !

Nos lèvres se rejoignirent pour un baiser de pure folie, comme ce que nous faisions depuis que j’étais arrivé. Pure folie de faire l’amour à ma tante.

Mais le temps passa inexorablement. Andrew devait rentrer le soir même.

Pour ce dernier jour de la semaine, ma tante fit son arrivée à 8h30 comme à son habitude. Je découvris ce qu’elle portait, étant parti de chez elle sans la voir habillée. Petite jupe me laissant deviner ses fesses désirables, chemisier fin faisant apercevoir sa poitrine tant désirée, ma tante fut sexy au diable avec un air radieux.

Nous nous vîmes à la cantine. Ma tante m’expliqua qu’elle avait reçu un coup de fil de son mari. Il serait bien présent ce soir comme pour le reste du week-end. Elle fit une tête dépitée, écurée de cette situation notamment avec cette jeune infirmière, ce qui eut le don de l’agacer fortement. Nous reprîmes nos activités l’après-midi. 

Vers 18 heures, les bureaux se faisant désert, je pris la direction de son bureau. Chantal se préparait à partir pour chercher Andrew, nous nous embrassâmes comme de vieux amants. De manière passionnée mais résolue face au retour de mon oncle. Elle avait mis une culotte, preuve que l’époque de nos bêtises était révolue.

Je passai un samedi et un dimanche insipide, pensant à ma tante.

Lundi arriva aussi vite que la pluie, invitée pour la journée. Septembre fit son entrée. Adieu les bains de soleil avec ma tante…

A midi, notre conversation se porta sur notre relation.

— Tu sais Jean, j’ai une envie pas possible de te voir.

— Oui moi aussi, mais pour l’instant, ça reste compliqué.

— Andrew passe ses journées devant la télé, le week-end fut si ennuyeux avec lui.

— Que veux-tu que je te dise ? avec un ton blasé.

— Tu me donneras ton linge sale.

— Oui je te l’apporterai.

— Non, je passerai te voir après le boulot dans ton studio.

— Oui et Andrew t’attend à quelle heure ?

— Oh qu’il se débrouille maintenant ! Il n’a qu’à appeler son infirmière…

A 18 heures, je quittai les bureaux. Un petit quart d’heure plus tard, ma tante sonna. En bon neveu, je lui donnai mon linge et Chantal, visiblement plus détendue m’accorda un de ses sourires dont elle avait le secret.

— Tu as le temps de boire quelque chose ?

— Oui je veux bien un coca, tu es bien ici.

— Ca va !

Je regardai ma tante buvant son verre avec ses longues jambes fines.

— Tu aimerais que je te masse tes jolis pieds ?

— Ah oui, ça me détend.

Aussitôt, je débarrassai ma tante de ses chaussures. Elle avait mis des bas, ce qui me gêna.

— Bon il faut que j’ôte mes bas et je suppose ma culotte ?

— C’est une idée.

Un peu surpris, j’assistai au déshabillage de ma tante. Elle se dandina pour ôter sa culotte tout en gardant sa jupe. Puis elle se remit assise et tendit un de ses pieds sur mon pantalon. Je commençai par de longues caresses sur ses orteils pour continuer sur ses mollets raffinés.

— Jean, c’est agréable mais il va falloir que j’y aille.

Connaissant fort bien ma tante, son petit côté allumeuse m’exaspéra au plus haut point. Évidemment, je n’avais qu’une idée en tête. J’enchainai d’une manière désinvolte.

— Oui tu as raison, Andrew va s’inquiéter.

— Tu parles, il s’en moque !

— Bon, tu es pressée, ne tardons pas, tu as mon linge.

— Mais tu me mets à la porte ? Me dit Chantal sur un ton exaspéré.

— Tu me dis qu’il faut que tu y ailles.

— Oui enfin j’ai le temps, faut pas exagérer.

Sur ce, Chantal posa son deuxième pied sur ma cuisse, de telle sorte que ses jambes furent allongées sur mes cuisses. Je lui caressai ses orteils fabuleux à mes yeux et sa voute plantaire. Elle ferma les yeux un instant, savourant le plaisir que je lui octroyai en choyant ses extrémités. Elle émit un long soupir. 

Je pris ses mains pour qu’elle se lève et la conviai à s’assoir sur mes genoux. Elle retira sa robe ne gardant que son chemisier dont le soutien-gorge avait disparu. Elle déboutonna son chemisier, laissant apparaitre sa poitrine gonflée par le désir de se laisser aller avec son neveu. 

Elle fut debout devant moi, explosive de sensualité. A mon tour, mon pantalon et le reste se firent vite oublier. Sans attendre, Chantal vint se mettre sur moi. Dans la foulée, elle s’empara de mon membre pour le glisser au fond de son intimité bouillante.

Quel plaisir de voir ma tante ainsi, voir disparaitre mon sexe en elle et ressentir sa chair. 

Je faisais l’amour à ma tante. Faire l’amour était un grand mot, il fallait plutôt parler d’accouplement sur le moment. Peu de place au romantisme, place à un coït animal, bestial. Chantal voulait sentir mon sexe en elle, moi sa chaleur, son corps brûlant. Nous étions pressés l’un et l’autre, nous avions faim de nos corps, du contact de nos lèvres.

— Ca fait du bien de te retrouver en moi Jean.

— Oui, tu es d’enfer ! lui murmurais-je à l’oreille.

Je soulevai ma tante pour l’allonger sur mon lit aux draps défaits. Cette fois, je pris le pouvoir pour la baiser comme il se doit. Point de mouvements lents, mon rythme fut endiablé dès le départ. Elle promena machinalement ses mains sur mon corps pour mieux me sentir la pénétrer. Je la sentis chaude, follement excitée par mes va et vient violents. Elle commença par gémir en s’agrippant à mes épaules pour hurler sa jouissance déferlante.

— Ouiii, encore… encore…

— Tu aimes ?

— A la folie !! hurla-t-elle dans toute la pièce.

Puis ce furent de longs gémissements, une fois son orgasme passé qui s’enchainèrent. De mon côté, la foudre tant retenue vint s’abattre en moi. Une violente secousse me transperça et me fit exploser ma cadence. 

Chantal n’eut pas le temps de s’émerveiller. Son souffle s’accéléra, accompagné du mien. Elle chercha mes lèvres, les trouva pour les coller aux siennes. Je fus dans un état second, ma tante aussi je crois bien. Mes secousses continuèrent pour le plus grand plaisir de ma tante. Nous fûmes encore une fois trempées de nos ébats respectifs. J’organisai la fin de sa jouissance ; à chaque coup de reins, Chantal émit un son lancinant. 

Je faisais ce que je voulais de ma tante, je pouvais encore accélérer, elle s’agrippait à moi. Un mouvement brusque et ma tante me serrait plus près d’elle. Elle avait cette envie folle que rien ne s’arrête, tout comme moi.

Il fallut mettre un terme, je me détachai de Chantal à son grand désespoir. Je la couvris de baisers, elle continua de se trémousser. Je caressai sa belle poitrine et par pure gourmandise, j’entamai une succion d’un de ses seins. Son mamelon déjà bien durci réclama son dû. Sa maitresse avait pour sa part largement reçu sa dose de plaisir. 

Instinctivement, Chantal colla sa poitrine contre ma tête afin que je l’englobe parfaitement. Avec ses mains fines, elle caressa mon membre, histoire de lui redonner de la vigueur. Je mordillai son téton, je l’aspirai pour mieux le lécher ; ma tante adorée continua à me stimuler de plus belle. Puis elle se mit à écarter les jambes tant en ondulant son fabuleux bassin.

A la voir, elle avait tout de la femelle en chaleur à la recherche d’un deuxième coït. Je ne m’en fis pas prier. J’abandonnai ce sein resplendissant pour m’aventurer vers le bas ventre de ma chère tante. Elle aussi ne se fit pas prier pour me recevoir entre ses cuisses. Je commençai à approcher de son sexe quand Chantal se retourna pour se mettre en position de levrette.

— Ce sera mieux comme ça. Me dit-elle

— Dis donc ma Tatie à moi, on aurait d’autres idées dans la tête ?

— A toi de voir mon si cher neveu ! rajouta-t-elle en tortillant son joli derrière.

Oh si j’aimai voir ma tante dans pareille posture. Ses si belles fesses offertes, son dos bien cambré, quelle fut désirable dans l’instant. 

Impossible de ne pas penser qu’elle fut ma tante, impossible de croire cette fois qu’elle me proposa son beau derrière apte à recevoir mon sexe. Durant de bonnes minutes, ce qui entre parenthèse procura un 2ème souffle pour ma virilité, je léchai à proprement parler le cul bien ferme de cette femme sublime, prénommée Chantal, sur de ma mère. Elle se laissa faire, toute douce, toute câline, toute immobile en se faisant introduire de manière habile, un de mes doigts dans son bel orifice réticent au départ.

Tout en progressant à la vitesse d’un escargot, une phrase célèbre me vint à l’esprit. "Un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité" du célèbre astronaute américain. J’ose déformer cette phrase culte, "Un petit pas dans l’intimité de ma tante, un grand pas pour posséder son cul de rêve", bien entendu, l’esprit n’est pas le même…

Je doigtai ce petit trou à grand renfort de notre liqueur répandue sur ses lèvres intimes. La patience fut de mise, il fallut familiariser ce bel orifice avec cet intrus s’aventurant avec délicatesse. 

Chantal ne moufta pas, se laissant caresser ses belles fesses désirables à souhait. Les renforts se firent naitre avec deux autres doigts. J’avoue que cette préparation fut loin de me déplaire.

Savoir que j’allais à nouveau sodomiser ma tante dépassait mes rêves les plus fous. J’ajouterai que le fait qu’elle n’y avait jamais vraiment goûté me donnait intérieurement une certaine fierté, fierté renforcée du fait que ma tante en redemandait (!).

— Viens Jean, je t’attends.

— Patience ma chère !

— Je n’en peux plus…

Il faut bien avouer que ma tante attendait désespérément mon arrivée, du fait de mes préparatifs admiratifs donc lents. Je rajoute que mon sexe se montra quelque peu impatient d’accéder à cet orifice tant désiré.

Chantal se cambra davantage, elle fit preuve d’une souplesse admirable. Elle n’en fut que plus désirable à prendre.

— Alors ma tante, prête à accueillir ton neveu entre ta belle paire de fesses ?

— J’attends mon cher neveu !

Comme une vieille habitude, je donnai un grand coup de langue sur toute son intimité en remontant pour lui lécher son anus si angélique. Chantal en frissonna et se tortilla pour m’exciter.

Mon gland toucha ses muqueuses et s’introduit majestueusement dans son orifice. Progression poussive à souhait sous les soupirs de ma tante. J’entrai dans son cul parfait sans fausse note, mon sexe parcourut cet étroit canal pour arriver au fond de cette cavité si intime. Chantal en poussa un cri de satisfaction, ce fut sa façon d’exprimer son ressenti, de me sentir au plus profond d’elle-même. 

— Oh la vache, c’est si bon Jean !

— Je suis dans tes profondeurs ma chérie.

— Oui tu peux le dire, tu le fais si bien avec moi.

— Je veux t’entendre jouir.

— Ca ne va pas tarder avec le rythme que tu as !

Je saisis ma tante bien fermement par les hanches en imposant une cadence soutenue. Chantal fut si cambrée que ce fut un réel plaisir de voir ma verge disparaitre dans son anus clairement accueillant. 

Puis ma tante prit le contrôle des opérations en simulant des sortes de vagues avec son bassin. Je restai immobile, subjugué par l’opération de charme institué par ma tante. Elle m’impressionna en imposant une cadence habile tout en lenteur, comme pour mieux apprécier ma verge en elle. 

Quelle était belle à regarder, belle à contempler, belle à la bouffer toute entière. Chantal n’était plus sur ses gardes avec moi, totalement relâchée.

— Ca te plaît mon chéri ?

— Ouiii ! Je ne vais plus tenir longtemps !

En effet, l’habilité diabolique de ma tante donna des impulsions à ma verge, hors de contrôle. 

Mon sexe ne m’appartenait plus, je sentis les contractions anales de ma tante. Elle en jouait fort bien.

Mon sexe en feu se déversa dans le cul sublime de ma tante. Je crispai mes mains sur ses hanches, reprenant le pouvoir. Chantal, la tête écrasée contre le drap et ressentant mon plaisir poussa de longs râles accompagnés des miens. Plus mes coups furent violents, plus les cris de ma tante se firent entendre !

— Tu aimes on dirait ? Dis-je à ma tante.

— Plus fort mon amour…plus fort…

Mon corps entier trembla des émotions reçues. Mes derniers coups de reins eurent raison du puissant orgasme de ma tante. Chantal hurla.

— Tu me fais jouir ! Je jouis avec toi si fort !!

— Ouii chérie.

— Tu es mon homme ! Mon amoureux ! Je t’aime mon neveu chéri !!!

J’eus droit à un véritable défoulement de sa part. Elle se mît à geindre non pas de douleur, mais du plaisir refoulé depuis tant d’années, du plaisir brut de se donner de la sorte face au jeune amant que je fus. Ce fut une pure merveille de la voir dans cet état.

Mes coups ralentirent de façon inexorable, l’idée d’abandonner son cul magistral me terrifia. Quelques contractions intérieures de ma tante m’indiquèrent la sortie la plus proche. Je caressai ses fesses à la peau claire une dernière fois et je me retirai, exténué. 

Chantal se retourna et nous nous mimes l’un en face de l’autre en échangeant un tendre baiser au passage. Ensuite, Chantal me regarda, contemplative.

— T’es un sacré toi !

— Je n’ai rien d’extraordinaire.

— Tu parles ! Tu me fais l’amour comme si on se connaissait depuis toujours.

— Mais tu me connais depuis le berceau !

— Oh oui et si j’avais pensé que le bambin que tu étais me baiserait de cette manière…

— J’ai fait sauter des barrières en toi. Lui dis-je pour l’amener vers des confidences intimes.

— Oui et je ne parle pas du fait que tu me prends par derrière, c’est autre chose avec toi, je me laisse complètement aller.

— Tu te libères avec moi ? Lui dis-je intrigué.

— Totalement !

— Et pour quelles raisons ? En insistant.

— Je t’avoue que ta manière de me faire l’amour est douce, brutale aussi et puis je suis en confiance avec toi.

— Tu jouis autrement ?

— Jean, tu sais très bien que tu me procures des orgasmes incroyables, jamais je n’aurais pensé ressentir autant de plaisir avec un homme.

Chantal s’approcha et me mît sa belle langue dans ma bouche. Notre baiser dura une éternité. 

— 21heures mon chéri ! Il faut que j’y aille.

— Ah cette fois, tu l’as dit.

Ma tante prit la poudre d’escampette avec des yeux remplis de regrets. Nous nous dîmes à demain…

Dans la minute où ma tante quitta la pièce, le téléphone retentit. C’était ma mère.

— Bonsoir maman.

— Bonsoir Jean, j’ai essayé de joindre Chantal et j’ai eu Andrew, il ne sait pas où elle est; enfin bref, comment ça va mon grand ?

— Super, je progresse en anglais, c’est dingue.

— J’ai une bonne nouvelle pour toi, l’école de commerce où tu avais postulé, tu es convoqué à un examen de préadmission pour vendredi !

— Ah ça s’est une bonne nouvelle… lui dis-je sans enthousiasme.

— Oui et je pensais que Chantal pourrait venir avec toi, depuis le temps qu’on ne s’est pas vu.

— Oui je vais lui en parler.

— Non, je l’appelle et le vendredi, elle devrait pouvoir se libérer.

— D’accord, je t’embrasse…

La déception était grande, mais dans le même temps, il s’agissait d’une opportunité unique. 

Je vis ma tante le lendemain, elle aussi accusa le coup et avait réservé deux billets de train pour vendredi. 

— Jean, je viens pour voir ta mère, mais de toute façon nous savions que ca ne pourrait pas durer entre nous.

— Ca marchait bien pourtant.

— Oui… Dit-elle dans un long soupir de sous-entendus.

La semaine s’écoula sans voir ma tante. 

C’était une sorte de fuite de sa part. 

Il est vrai que je l’avais baisée comme un malade depuis près de deux mois et qu’un sentiment de culpabilité l’envahissait à l’idée de voir sa sur.

Nous fûmes dans le train, côte à côte. Je caressai discrètement sa cuisse en remontant près de sa culotte. Ma tante fit semblant de lire. Je remontai vers son intimité bien humide, je ne fis que caresser ses lèvres et son clitoris avec lequel je commençai à m’amuser. Chantal repoussa ma main.

— Arrête Jean, tu me connais suffisamment !

— Quoi ? Tu as peur de jouir ? Lui dis-je en chuchotant.

— Ne dis pas n’importe quoi, tout ça, ce n’est que de l’histoire ancienne et n’y pense même plus ! Dit-elle autoritaire.

Bien, je gardai mon calme et nous arrivâmes Gare du Nord. Ma mère nous accueillit et nous déjeunâmes dans une brasserie affairant à la gare. Mon examen se déroula l’après-midi. Impeccable (!). J’avais réussi ce passage obligé.

Nous étions début septembre et la rentrée était prévue pour mi-octobre. Je rejoignis le domicile familial en métro le soir. Je vis mon père avec lequel nous échangeâmes des propos sur mon avenir. Futile. 

Ma mère avec ma tante rentrèrent d’un bon shopping et nous primes l’apéro.

Ma mère engagea la conversation sur mon séjour inachevé.

— Alors Chantal, il ne t’en a pas trop fait bavé ?

— Non, il a été très calme.

— Ca a dû y aller avec les petites anglaises ! Rajouta mon père.

Ma tante bredouilla qu’elle ne savait pas. Aussi, j’enchaînai immédiatement pour la sortir de ce pétrin.

— Oui surtout une jolie stagiaire dans la boîte. Dis-je attirant l’attention sur moi.

— Ah bon et c’est du sérieux ? Demanda ma mère.

— Bon, c’est un peu ma vie privée quand même ! Répondis-je.

Ensuite nous dinâmes tranquillement. Une soirée familiale ordinaire durant laquelle mon petit frère posa une question à ma tante. LA question qui tue.

— Tu regardes mon frère comme une amoureuse !

Chantal devint mal à l’aise et je partis dans un énorme fou rire improvisé.

— Mais oui, c’est Tatie la stagiaire !

Ma mère me suivit dans ma plaisanterie subtile et Chantal répliqua.

— Oui, plus sérieusement ta stagiaire est une très jolie fille !

— Ah mais tu es jalouse. Répondit ma mère.

— Tu sais, Jean est resté près de 2 mois, je lui lavais son linge et Mike me manque tellement alors du coup, j’ai reporté mon affection sur mon neveu, un peu comme mon fils…

— Ah je comprends, c’est un peu un déchirement mais tu le reverras ! Dis ma mère.

Pas mal joué de la part de ma tante. Un bref regard entre nous nous rendit plus proche sur le moment. Je vis dans ses yeux cette petite étincelle, signe je ne lui fus pas indifférent. Il se fit tard et nous rejoignîmes nos chambres respectives. Bien entendu, ma tante me fit un baiser sur la joue. 

Le lendemain, je discutai avec mes parents de la suite de mes études. Bien entendu, je devins ex-stagiaire dans la boîte de ma tante. Ma mère insista pour que je révise d’ici là. Je ne pus qu’approuver ce choix logique.

La perspective de ne plus voir Chantal me terrifia. 

La fin de notre relation fut close, il fallut prendre sur moi face à cette situation inédite. 

Dimanche, je raccompagnai ma tante à la gare. Nous trouvâmes un petit recoin pour nous embrasser une derni&e

Related posts

Sam et son amant d'ébène – Chapitre 3

historiesexe

Père nourricier – Chapitre 3

historiesexe

Un voyage instructif – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .