La nuit qui suit, nous dormons à quelques kilomètres de notre point d’arrivée. Après la journée que je viens de passer avec Marion, nous sommes épuisés, et nous endormons très rapidement.
En me réveillant au milieu de la nuit, j’ai très envie de jouer à nouveau un peu avec elle mais, étant donné que le silence règne dans le camion, ce n’est pas une bonne idée, même si ce n’est pas l’envie qui manque. Du coup, je me rendors sans plus tarder.
Dès le lendemain matin, nous arrivons enfin à Grenade, la ville que ma mère rêvait de visiter. Après avoir garé le camion dans un parking qui coûte les yeux de la tête, nous passons donc la journée à vagabonder dans les rues de cette charmante ville, et nous en prenons plein les yeux tant c’est magnifique.
Le midi, nous mangeons des tapas dans un petit bar qui se trouve dans le centre-ville et, comme d’habitude, je ne peux pas me défaire de la beauté de Marion.
Aujourd’hui, elle est vêtue d’un chemisier à manches courtes transparent sous lequel apparaît un soutien-gorge noir, et elle a troqué son mini-short contre une petite jupe rouge. Elle est belle à tomber, et je suis sûr que les Espagnols aussi se rincent les yeux lorsqu’ils la croisent sur leur passage.
Bref, après avoir mangé, nous continuons la visite pendant une bonne partie de l’après-midi, faisons une pause pour manger une glace sur une grande place bordée d’arbres et de bosquets de fleurs puis, en fin d’après-midi, nous repartons rejoindre le camping que nous avions réservé depuis plusieurs mois.
Celui-ci se trouve à une dizaine de kilomètres de la ville, dans un endroit très calme et également très touristique. Après que mon père soit allé à l’accueil chercher son emplacement (je me demandais toujours comment il arrivait à s’exprimer en espagnol puisqu’il ne l’avait pas pratiqué depuis une quarantaine d’années), la gérante lui indique une place qui se trouve à l’autre bout du camping, dans un coin un peu isolé et ombragé. Le coin parfait, surtout avec ces températures aussi caniculaires !
Après avoir garé le camion, nous sortons une table de jardin et quatre chaises que nous disposons juste devant la porte principale du camion.
Nous y passons ainsi une bonne partie de la soirée, à parler, rire, jouer aux cartes, prendre l’apéritif, puis manger.
Une fois terminé, c’est l’heure des douches. Après avoir regardé sur un plan fourni par la gérante du camping, nous constatons donc que le bloc de sanitaires le plus proche se trouve à cinq minutes à pieds de notre emplacement.
J’enlève donc mon tee-shirt, attrape une paire de tongs que j’enfile puis, je me mets une serviette sur l’épaule et attrape ma trousse de toilette.
— Attends, je viens avec toi, me dit Marion.
Avec plaisir, ai-je envie de répondre, mais je m’abstiens par peur d’être entendu. Comme si de rien nétait, Marion se déshabille à son tour et, quelques secondes après, elle se retrouve en sous-vêtement juste à côté de moi, alors que les parents sont dehors, à quelques mètres, et qu’ils seraient bien surpris de la surprendre ainsi.
Moi, je ne peux m’empêcher de la reluquer à nouveau. Avec son soutien-gorge noir, et sa petite culotte rouge, elle est… miam miam !
— Je te plais ? Me demande-t-elle.
— J’ai envie de te bouffer, je lui réponds.
— Intéressant…
Elle attrape à son tour une serviette qu’elle enroule autour de sa taille ainsi que sa trousse de toilette, et hop, direction les douches.
Sur le chemin, nous croisons un groupe de quatre ou cinq nanas. Elles ont à peu près mon âge, et celle qui marche tout devant est magnifique : une jolie métisse aux longs cheveux noirs, assez grande, avec un visage de poupin à la peau dorée, et uniquement vêtue d’un maillot de bain une pièce rouge qui met bien en valeur ses jolies formes. Ses copines aussi sont jolies mais elle, elle sort du lot, clairement.
— Tu veux que je t’aide ?
Je me retourne vers Marion qui me regarde d’un air exaspéré.
— Quoi ?
— Tu crois que je ne tai pas vu mater la métisse ?
— Et alors ? C’est interdit ?
Elle ne me répond pas et reprend la marche. Aurais-je senti une pointe de jalousie dans ses propos ? Ça y ressemblait, clairement, et cela m’amuse un peu.
Lorsque nous arrivons devant les sanitaires et que nous trouvons les douches, Marion se dirige à gauche vers les filles, et moi à droite vers les garçons.
Il n’y a pas l’air d’y avoir grand monde à cette heure-ci. Je me glisse dans le premier box que je trouve et, alors que je m’apprête à fermer la porte, celle-ci s’ouvre en grand, laissant apparaître Marion.
— Qu’est-ce que tu fais ? Je demande.
— Je vais t’apprendre à regarder les autres filles !
Elle ferme la porte à clé derrière elle puis elle me plaque contre le mur et, sans que je naie le temps de rien dire, elle m’embrasse. Ma petite sur me roule une pelle, bordel, et pas une pelle de pacotille, non, une vraie pelle ! Nous nous embrassons donc pendant une bonne minute puis, Marion s’écarte de moi, dénoue sa serviette, et la pose à la porte, sur un crochet. Elle est donc devant moi en soutien-gorge, et petite culotte. Nom de dieu, je m’attendais à tout, sauf à ça !
— Faut qu’on fasse vite, me dit Marion. Sinon, les parents pourraient se poser des questions…
— Tu veux faire quoi ?
— À ton avis ?
Ni une ni deux, elle dégrafe son soutien-gorge et le pose sur sa serviette.
— Tu voulais voir ma chatte, nan ?
— C’est vrai…
— Alors tiens, mon chéri, le repas est servi…
Elle enlève aussitôt sa culotte, dévoilant ainsi un joli sexe rasé, et déjà humide, avec de jolies petites lèvres bien charnues. Je le fixe pendant de longues secondes, me retenant de me jeter dessus puis, elle s’approche de moi, et se colle à moi.
— T’aimes ça, sentir ma petite chatte contre ta grosse bite ?
Effectivement, j’ai la gaule, et elle a l’air de s’en être aperçu assez rapidement.
— C’est pas désagréable, oui…
— Dans ce cas-là, enlève ton short et ton boxer…
J’obéis aussitôt et pose mes affaires sur un autre crochet. Marion recule pour me contempler de haut en bas.
— Je te plais ? Me demande-t-elle.
— Oh que oui…
— Dans ce cas-là…
Elle me pousse sous la douche et active l’eau. Nous nous retrouvons donc tous les deux, sous l’eau, à nous embrasser et à nous tripoter, comme deux amoureux qui apprenaient à se découvrir et qui brûlaient d’envie de passer à l’acte. Mes mains glissent de sa poitrine à son ventre, puis à son sexe que je commence aussitôt à tripoter. Elle a l’air d’aimer ça puisqu’elle se cambre.
Je la plaque ensuite contre le mur et je prends ses seins en bouche. Je lui mordille les tétons, puis les suçote avant de les tirer dans tous les sens avec mes doigts. Sous l’effet du plaisir, elle m’embrasse fougueusement dans le cou, et attrape mon lobe d’oreille qu’elle mordille à son tour. Mon Dieu que c’est bon, putain !
Une fois qu’elle a terminé, elle me pousse à son tour contre le mur d’en face.
— Bouge pas, m’ordonne-t-elle.
Elle m’embrasse à nouveau, dévie sur la naissance de mon cou, descend plus bas jusqu’à mes tétons qu’elle lèche tendrement, puis jusqu’au nombril et, lorsqu’elle arrive à mon sexe, elle me regarde droit dans les yeux.
— Tu crois qu’elle te sucerait la bite aussi bien que moi, la métisse de tout à l’heure ?
Sans que j’aie le temps de répondre, Marion commence à me sucer. Mon Dieu qu’elle fait ça bien ! Elle commence par les couilles, puis remonte sur mon sexe et s’attarde sur mon gland qu’elle lèche dans tous les sens. Ensuite, elle enfourne ma bite dans sa bouche et effectue de longs va-et-vient, sans me lâcher du regard. Son visage ruisselant d’eau est magnifique, et encore, je ne parle pas de son corps avec lequel je meurs d’envie de jouer.
Régulièrement, je réenclenche l’eau de la douche afin de couvrir le bruit de nos ébats. Quant à Marion, elle continue de s’affairer sur mon sexe qu’elle prend un malin plaisir à sucer, tripoter, malaxer et embrasser.
Je sens que, pour la troisième fois de la journée, ma sur va me faire jouir. Je voudrais me retenir, mais cela va être compliqué, étant donné toute la vigueur qu’elle met dans ses gestes.
Puis, soudainement, alors que je m’apprête à cracher la purée, elle s’arrête d’un coup et me regarde.
— Tu crois quand même pas que je vais te finir alors que tu as regardé une autre fille que moi ? Me demande-t-elle en se relevant.
— Tu… tu vas t’arrêter là ?
— Oui, je te laisse terminer tout seul, ça t’apprendra !
Je n’en reviens pas de ce que je viens d’entendre. En fait, elle était vraiment jalouse, tout à l’heure, je ne m’étais pas trompé ! Et le pire, c’est qu’elle s’est vengée ! En me branlant comme elle l’a fait et en arrêtant juste avant que je jouisse, elle m’a bien eu, cette petite salope !
— Marion…
— Non, c’est trop tard ! Va demander à ta métisse de te terminer, si tu veux…
Je la vois ensuite remettre son soutien-gorge, renouer sa serviette autour de sa taille, puis reprendre sa trousse de toilette dans laquelle elle glisse sa culotte.
— À plus tard, me dit-elle en se dirigeant vers la porte.
Elle va vraiment me laisser comme ça, la bite à l’air dure comme du bois, en plein milieu de mon box de douche ? Alors là, ma jolie, pas question !
— Pas si vite !
Avant qu’elle n’atteigne la porte, je lui attrape le bras et la tire vers moi.
— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça ? Je demande.
Sans qu’elle ait le temps de répondre, mes lèvres se posent à nouveau sur les siennes, et je la plaque contre le mur le plus proche. Notre baiser est plein de fougue, d’envie, et surtout, de plaisir.
Ma main droite se dirige aussitôt vers son sexe, caché par sa serviette et, sans plus tarder, j’y glisse deux doigts que je me mets à agiter dans tous les sens, tout en faisant un va-et-vient qui va de plus en plus vite.
— T’aimes ça ?
— Oui, mais…
— Il y a pas de mais !
Je continue de lui tripoter le sexe sans la lâcher des yeux. Elle se cambre alors de plaisir et, alors qu’elle s’apprête à gémir, ma main gauche se pose sur sa bouche, afin d’étouffer tout le plaisir qu’elle a du mal à se retenir d’exprimer.
— Faut pas qu’on se fasse griller, je lui glisse à l’oreille.
Ma main droite continue de jouer avec son sexe que j’ai très envie de le prendre en bouche. Seulement, comme cela fait déjà dix bonnes minutes que nous sommes ici et que je n’ai pas envie que les parents se posent de questions, je décide de remettre cela à plus tard.
Du coup, j’accélère encore un peu mes gestes entre ses cuisses et, alors qu’elle se cambre à nouveau de plaisir, ma bouche se pose sur la naissance de son cou, que j’embrasse et lèche furieusement au rythme de mes doigts qui s’agitent dans son sexe.
— Arrête, sil te plaît…
— Pourquoi ?
— Parce que… parce que je… tu… tu vas me faire jouir !
— Je demande que ça !
Pour pouvoir arriver à mes fins rapidement, mes doigts sortent de son sexe, et s’amusent désormais avec son clitoris. Cette fois-ci, elle a du mal à se retenir de gémir, et une trentaine de secondes suffisent pour que la mouille coule abondamment entre ses cuisses, avant qu’elle se cambre de plaisir une dernière fois.
— Alors, c’était comment ?
— Très bon…
— C’est tout ?
— Non, c’était… wahou !
Un long silence s’impose pour qu’elle se remette de ses émotions puis elle reprend.
— Pourquoi t’as fait ça ?
— Pourquoi je t’ai fait ça, tu veux dire ?
— Oui…
— Pour te montrer que je suis pas rancunier, et que c’est toi que je veux baiser…
— Intéressant. Du coup, tu veux que…
— Que quoi ?
Sa main se pose aussitôt sur ma bite.
— Que je finisse ce que j’ai commencé tout à l’heure ?
— Non, les parents pourraient se poser des questions, donc il vaut mieux qu’on s’arrête là pour ce soir…
— Tu m’en veux ?
— Je m’en remettrais. Allez, file…
Je lui mets une tape sur les fesses puis ses lèvres se posent une dernière fois sur les miennes. Un baiser rapide, mais efficace.
— Merci, me dit-elle.
Elle reprend donc ses affaires, puis, elle ouvre doucement la porte, regarde à gauche à droite, et s’en va, avant que je referme à clé derrière elle.
Eh ben, cette douche restera également un très bon souvenir de vacances. Cependant, même si tous ces moments étaient bien agréables, j’ai hâte de passer à la vitesse supérieure avec Marion. Je ne sais pas encore quand cela va arriver, mais une chose est sûre : je serais prêt à lui en mettre plein la vue, et pas que dans la vue, j’espère…
Les jours qui suivirent furent vraiment classés sous le signe des vacances.
Lorsque nous ne faisions pas du tourisme pour découvrir la magnifique région de l’Andalousie, comme le rêvait ma mère, nous profitions du charme et des activités du camping dans lequel nous logions. Il y avait vraiment de quoi faire : piscine, billard, baby-foot, terrain de pétanque, plusieurs soirées par semaine, bref, c’était… le panard !
Avec Marion, nous n’avons jamais reparlé de ce qui s’était passé sous la douche le soir de notre arrivée, mais les regards que nous nous lancions de temps en temps en disaient long. J’avais qu’une hâte : passer à l’étape supérieure, et coucher avec ma sur, voire peut-être même la baiser ! Oui, c’est ça, je voulais la baiser, tout simplement !
Hélas, nous avions peu de moments d’intimité, à part la nuit quand nous nous retrouvions dans la capucine mais, avec les parents qui dormaient en bas, c’était difficile de faire quoi que ce soit avec elle. De temps en temps, pendant la nuit, ma main vagabondait tranquillement sur le duvet de Marion, voire même dans le duvet, mais elle savait me rappeler à l’ordre en me donnant une tape dessus, ce qui avait tendance à m’amuser.
J’ai recroisé plusieurs fois la jolie métisse qui avait rendu Marion jalouse. Je la voyais souvent à la piscine avec ses copines, ou alors pendant les soirées du camping et, à chaque fois que ma sur me voyait la regarder, je sentais qu’elle bouillait intérieurement. Décidément, jalousie, quand tu nous tiens ! J’avais très envie d’aller sympathiser avec elle et ses copines mais, comme je savais que cela énerverait ma sur, je me retenais, dommage.
Non, ce n’était pas dommage, c’était raisonnable. Si je voulais baiser ma sur, je ne pouvais pas me permettre d’aller voir ailleurs, surtout sous ses yeux ! Il fallait que je mette toutes mes chances de mon côté avec elle, point barre. Ce qui était dommage, c’était que je devais me priver de la compagnie de cette jolie métisse mais, pour baiser ma sur, j’étais prêt à faire n’importe quoi !
Un midi, alors que nous déjeunions au camping avec nos parents, notre père nous annonça une bonne nouvelle.
— Les enfants, cela fait aujourd’hui trente ans que votre mère et moi, nous nous sommes rencontrés…
Oups, j’avais évidemment complètement oublié la date. En même temps, c’est pas le genre d’événement important à revenir. Je me souviens des dates d’anniversaire, de fêtes et aussi de mariage, évidemment, mais les dates de rencontre, c’est trop pour moi !
— Du coup, poursuit mon père, nous voudrions passer la soirée en tête-à-tête ce soir en allant manger au restaurant, ça vous dérange ?
Aussitôt, plusieurs scénarios s’écrivent dans ma tête et, lorsque mon regard croise celui de Marion, je me rends compte qu’elle n’en pense pas moins.
— Moi, ça me dérange pas, vous avez bien raison d’arroser ça !
— Pareil, vous avez raison de marquer le coup, rajoute Marion.
— Super, vous aurez ce quil faut à manger dans le camion, donc…
Alors que les parents commencent à nous donner des consignes pour le bon déroulement de notre soirée, Marion et moi, nous ne les écoutons pas. On se regarde en pensant tous les deux à la même chose : ce soir, mon coco, c’est ton soir !
Bizarrement, suite à l’annonce de nos parents, la journée passe ensuite très lentement. Je compte les heures, les minutes, voire même les secondes qui me restent avant de pouvoir passer quelques heures avec ma sur. Et le pire, c’est que cette coquine en rajoute en sentant mon impatience !
Cet après-midi, nous allons profiter de la piscine du camping. Evidemment, elle est blindée de monde, et nous y allons tous les quatre. Coup de bol, nous réussissons à trouver des transats de libres, et nous déposons nos affaires dessus. Dès que c’est fait, mes parents vont se jeter à l’eau, tels deux adolescents qui aiment batifoler dans l’eau.
Une fois qu’ils ne font plus attention à nous, Marion se tourne vers moi, et m’adresse un clin d’il. Aussitôt, elle se lève et se débarrasse de sa serviette, dévoilant ainsi un maillot de bain rouge une pièce avec un joli décolleté. Elle reste ainsi comme ça face à moi pendant quelques secondes.
— Ça va, Quentin ? Tu transpires à grosses gouttes…
J’ai du mal à répondre face à autant de provocation.
— Tu ne payes rien pour attendre, finis-je par lui dire.
— C’est ce qu’on verra…
Elle se dirige alors vers la piscine en prenant son temps, m’offrant une belle vision sur son petit cul qu’elle tortille doucement puis, après m’avoir jeté un dernier regard, elle se jette à l’eau.
Quelle belle petite garce ! Je finis par aller la rejoindre dans la piscine mais, évidemment, avec mes parents à côté, elle fait la petite fille sage. S’ils savaient qui il était vraiment…
Après la piscine, nous allons chez le glacier pour nous désaltérer. Chacun choisit donc un cornet avec deux boules et, une fois de plus, Marion me provoque ! Alors que mes parents parlent entre eux, elle se tourne légèrement vers moi, et se met à lécher ses sorbets tout en me regardant. Elle m’énerve, elle me rend fou ! J’ai beaucoup de mal à me contenir.
Après la glace, nous retournons au camping-car, et Marion va aussitôt prendre sa douche. Je ne sais pas ce qui me retient d’y aller en même temps qu’elle et de la prendre sous la douche, comme nous avons failli le faire quelques jours auparavant. Ça lui apprendrait à faire la maline, à cette petite salope !
Mais non, je me retiens, de peur que nos parents trouvent ça suspect.
Quand Marion revient, elle est vêtue d’un débardeur blanc très échancré, derrière lequel se devine un soutien-gorge, et d’un mini-short blanc. Quant à ses cheveux, ils sont détachés, et encore humides, ce qui la rend encore plus belle. Bref, elle est… à tomber !
Après avoir choisi moi aussi des beaux vêtements, un polo et un bermuda, je vais prendre ma douche. Quand je reviens, ma sur est en pleine discussion avec ma mère, mais ça ne l’empêche pas de me reluquer des pieds à la tête en affichant un petit sourire. Visiblement, moi aussi je lui plais, et c’est tant mieux.
À dix-neuf heures trente, les parents décident enfin de partir. Après nous avoir donné des dernières consignes, mon père me donne les clés du camping-car puis, ils s’en vont tous les deux à pieds, main dans la main, puisque le restaurant dans lequel ils se rendent se trouve dans le village, à quinze minutes d’ici à pieds.
Dès qu’ils disparaissent de notre champ de vision, Marion et moi, nous nous regardons, puis nous grimpons dans le camping-car, et je referme la porte derrière moi à clé.
— Tu veux manger quoi ? Me demande Marion.
— Tu sais très bien ce que je veux manger…
— Charcuterie ? Taboulé ? Piémontaise ?
— Rien de tout ça, non…
— Carottes râpées ? Avocats ?
— Non plus…
— Sinon, il reste aussi du…
— Oh, tu m’énerves !
Sans qu’elle ait le temps de faire quoi que ce soit, je glisse une main sous ses jambes, une autre dans le dos, et je la prends dans mes bras.
— Je vais t’apprendre à me provoquer toute la journée !
Alors qu’elle éclate de rire, je l’emmène dans les chambres des parents, et la dépose sur le lit.
— Tu veux qu’on fasse ça ici, sur le lit des parents ?
— Je t’aurais bien prise directement sur la table, mais je trouvais le matelas plus confortable !
— T’es complètement fou ! Me lance-t-elle, amusée.
— Fou de toi, oui…
Je me laisse alors tomber sur elle et l’embrasse fougueusement. Elle répondit aussitôt à mon baiser, et passe ses bras derrière ma tête pour que nous soyons encore plus proches. Après quelques secondes, elle me repousse doucement.
— Et si les parents reviennent, et qu’ils nous voient comme ça ?
— J’ai fermé la porte, t’en fais pas…
— T’as pensé à tout !
— Oh que oui, pas question que tu m’échappes !
Je l’embrasse à nouveau puis, mes mains glissent sous son débardeur et palpent ses seins.
— Tu veux que…
— Non, laisse-moi faire !
Je me redresse aussitôt, déboutonne le short de Marion, lui arrache, et je le balance derrière moi, rejoint quelques secondes après par sa petite culotte.
— Depuis le temps que j’avais envie de te bouffer, je vais pas me gêner !
Marion éclate de rire puis, sans plus tarder, je me penche sur son sexe que je me mets à lécher dans tous les sens. Une fois de plus, il est rasé de frais, comme si la demoiselle l’avait rasé exprès pour moi. Cela me donne encore plus envie de lui manger, et je ne me gêne pas. J’écarte même ses jolies lèvres pour en faire de même avec son intérieur.
C’est la première chatte de ma vie que je bouffe, et pourtant, j’ai l’impression d’avoir fait ça toute ma vie, tant cela me plait.
Quant à Marion, elle a du mal à tenir en place, et se cambre en arrière, tout en poussant des petits gémissements. Du coup, je continue ma douce torture et, bientôt, deux doigts iront rejoindre ma langue dans sa fente, avant d’entamer des va-et-vient frénétiques.
— Ça te plait ?
— Oui… beaucoup, mais…
— T’as pas encore tout vu…
Je reprends donc son sexe en bouche, continue de le brouter et de le doigter, et deux doigts supplémentaires s’insèrent en son intérieur. Mon pouce étant mon seul doigt de libre, je m’en sers pour lui tripoter le clito, ce qui a pour effet d’agiter Marion encore plus ! Si je voulais, je suis sûr que je pourrais mettre la main en entier mais, comme je ne veux pas non plus en faire trop dès le début, je me retiens.
Je continue donc mes caresses et mon broutage pendant encore de longues minutes puis, alors que de plus en plus de son liquide coule dans ma bouche, ce qui n’est pas pour me déplaire, tout d’un coup, Marion me repousse gentiment la tête.
— À mon tour, me dit-elle, exténuée.
Elle se lève, la chatte ruisselante de mouille puis c’est à mon tour d’être poussé sur le lit, et elle se met ensuite à califourchon sur moi. De là où je suis, la vue est magnifique et, quand Marion enlève son débardeur et qu’elle se retrouve en soutien-gorge, je me croirais… au paradis !
— Tu les aimes mes seins, non ?
— C’est vrai…
Elle se met alors à les secouer de gauche à droite, tout en en me regardant comme une allumeuse puis, comme si ça ne suffisait pas, elle les tripote elle-même, tout en se mordant les lèvres avec provocation. Quand j’essaye de les prendre en main, elle me repousse.
— Bas les pattes, mon mignon, on touche avec les yeux, pas avec les mains !
Je rigole à mon tour et décide de me laisser faire. Une fois qu’elle a fini de m’allumer, elle remonte mon tee-shirt sur le torse, et me lèche du nombril jusqu’aux tétons, sans cesser de me regarder. Elle remonte ensuite à nouveau jusqu’à ma bouche sur laquelle elle dépose un rapide baiser, et redescend à nouveau jusqu’à mon nombril. Ses mains se posent ensuite sur la fermeture éclair de mon bermuda qu’elle descend jusqu’en bas puis, elle me l’enlève, et le balance sur le tas de vêtements formé par ses sous-vêtements à elle.
— Mais dis donc, c’est qu’il en forme, le jeune homme ! Constate-t-elle en voyant la bosse que forme mon boxer.
Elle m’enlève aussitôt ce dernier puis, sans perdre une seconde, elle commence à me sucer, en long, en large, et en travers. Cette fois-ci, c’est moi qui ai du mal à me retenir de ne pas gémir tant elle fait ça bien, surtout qu’elle ne cesse de me regarder d’un air plein de sensualité et d’érotisme. Tout en me léchant les couilles et le sexe, elle fait également des légers vas-et-vient sur mon membre avec sa main. Pourvu qu’elle n’accélère pas car, sinon, je risque de cracher la purée assez rapidement, or je n’ai pas envie que ce moment que je suis enfin en train de vivre s’arrête déjà.
Comme si cela ne suffisait pas, Marion s’arrête, et se redresse pour défaire son soutien-gorge. Quelques secondes après, ma sur est totalement nue devant moi, et je n’en loupe pas une miette.
Plutôt que de poursuivre sa fellation, elle place sa poitrine au niveau de mon sexe puis, elle le coince entre ses seins et commence une branlette espagnole, une fois de plus sans me lâcher des yeux.
— C’est agréable ?
— Oh que oui…
Je ferme les yeux et essaye de me concentrer pour ne pas qu’elle me termine entre ses seins. Au bout de quelques secondes, elle arrête, et continue de me sucer, cette fois-ci, sans me branler en même temps, comme si elle avait compris que je n’allais pas tarder à venir.
Après quelques minutes de gâterie, je prends ma sur par le bras, et l’attire vers moi pour pouvoir l’embrasser à nouveau. En sentant ses seins s’écraser sur ma poitrine, j’en ai la chair de poule. Nous nous embrassons donc pendant quelques secondes puis je la bascule sur le côté, et elle finit à nouveau sur le dos.
Aussitôt, je me jette sur ses seins que je malaxe, lèche et suçote l’un après l’autre, tout en lui caressant le sexe avec une de mes mains libres, et je la sens aussitôt se cambrer à nouveau. Ensuite, je m’attaque une nouvelle fois à son sexe que je dévore avec appétit, avant d’y rentrer deux doigts avec lesquels je la branle sans ménagement.
— Tu veux passer aux choses sérieuses ? Je demande.
— Et toi, t’es prêt à me baiser ?
— Je ne demande que ça…
— Alors qu’est-ce que t’attends ?
Aussitôt, je me redresse, prend mon sexe en main et, alors que je le dirige vers celui de Marion, je m’arrête.
— J’ai pas de capote…
— T’en fais pas pour ça, je gère. Allez, baise-moi ! M’ordonne-t-elle en écartant les jambes.
Devant tant de vulgarité, je ne peux qu’obéir et, quelques secondes après, mon sexe et celui de Marion ne font plus qu’un. Ça y est, je suis un homme : je connais enfin la délicieuse sensation que c’est de baiser une femme, et pas n’importe quelle femme, en plus !
Bref, après avoir rentré ma bite dans le sexe de Marion, j’entame des vas-et-vient d’abord lents, puis, après quelques secondes, j’accélère petit à petit. Mon Dieu que c’est bon, et Marion aussi a l’air d’apprécier vu les petits cris qu’elle pousse. Tout en la baisant, je lui tripote les seins, sans la lâcher des yeux, et j’accélère encore davantage mes coups de bite. Cette fois-ci, je vais vite, très vite, même, et ce rythme effréné n’a pas l’air de déranger ma sur.
En l’entendant crier, je me rappelle que nous sommes dans un camping-car, dans un camping, et que les voisins les plus proches doivent sûrement profiter du bruit de nos ébats, ce qui n’est pas très discret mais tant pis, je n’ai aucune envie de m’arrêter !
— Change… de… position, me demande ma sur, la voix saccadée.
— Comment tu veux qu’on se mette ?
Aussitôt, elle se redresse puis, elle me tourne le dos, et se met à quatre pattes. La vue qui s’offre à moi est une fois de plus magnifique.
— Prends-moi en levrette, sil te plaît…
— Ok…
Avant de passer à l’acte, je lui caresse les fesses, les embrasse fougueusement, et je les claque doucement, ce qui a l’air de plaire à Marion qui pousse un petit cri à chaque fois. Ça aussi, c’est bon à savoir !
Bref, quelques secondes après, je la prends donc en levrette, et je recommence à la baiser au même rythme que précédemment, cest-à-dire d’abord lentement, puis un peu plus vite, et enfin très rapidement.
Je n’en reviens pas de mon endurance. Ça fait bien quinze minutes que je suis en train de baiser ma sur, et pourtant, je ne me sens pas fatigué, et j’ai toujours une gaule d’enfer. Pour une première fois, je pense pouvoir dire que je suis fier de moi.
Après quelques secondes, sans ralentir mon rythme, voyant ses seins ballotter sous l’effet de mes coups de reins, je les prends à pleine main et joue avec. Je m’attarde sur ses tétons que je m’amuse à pincer, et à tirer dessus, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire.
— Alors, t’aimes ça ?
— Ou… ou… oui !
Soudain, je ne sais pas ce qui me prend, j’attrape les cheveux de Marion par la main gauche, et je tire légèrement dessus, tout en continuant de la baiser au même rythme frénétique. Visiblement, ce geste n’a pas l’air de la déranger puisqu’elle ne me fait aucune réflexion. Est-ce qu’un peu de brusquerie supplémentaire ne lui ferait pas peur ? C’est bon à savoir. Du coup, je lui claque à nouveau les fesses à plusieurs reprises, si bien qu’elles deviennent rapidement rouges, et je tire ensuite à nouveau sur ses tétons.
Après quelques secondes, je sens qu’elle essaye de se dégager de mon emprise. Je me retire de son sexe, et Marion se tourne aussitôt vers moi, le visage écarlate, le souffle court, mais très souriante malgré tout.
— Alors, coquin, tu veux faire une pause ?
— C’est toi qui as voulu que je m’arrête, je te signale…
— C’est vrai, il faut savoir varier les plaisirs…
Aussitôt, elle se met à genoux devant moi, et se met à me sucer à nouveau la bite, tout en me regardant avec appétit. Une fois de plus, j’ai envie d’essayer quelque chose de plus brutal avec elle.
Alors qu’elle me gobe le bout de la bite, je mets mes mains derrière sa tête, pousse doucement dessus et, alors qu’elle réussit à rentrer la moitié de mon sexe dans la bouche, je lui relâche la tête. J’effectue ce même geste à plusieurs reprises, puis Marion m’arrête.
— Dis donc, t’es de plus en plus entreprenant, frangin, remarque-t-elle, amusé.
— Ça te plait ?
— C’est étonnant, mais pas désagréable…
— Tu veux faire quoi, maintenant ?
— Tu proposes quoi ?
Ni une ni deux, je la soulève puis, sans la lâcher, je m’allonge sur le dos sur le lit, tout en l’embrassant. Une fois de plus, le contact de sa poitrine sur la mienne m’électrifie de plaisir. Une fois notre baiser fougueux terminé, elle se met à nouveau à califourchon sur moi, puis, elle prend mon sexe en main et s’empale dessus. Elle se met aussitôt à effectuer des mouvements de haut en bas, faisant balloter ses seins au rythme de la cadence. Elle s’agite sur mon sexe pendant quelques minutes, et j’en profite pour jouer avec ses tétons que je mords, pince, et que je m’amuse à tirer avec le bout de mes doigts.
— T’aimes ça quand je fais ça ?
— Oui, c’est… c’est pas dé… désagréable, répond-elle entre deux gémissements.
Je continue donc de jouer avec sa poitrine tout en la baisant puis mes mains se posent sur ses fesses nues que je malaxe et que je claque, ce qui provoque des petits cris de plaisir. Soudain, j’ai envie d’aller encore plus loin. Je me retire donc du sexe de ma sur puis je la fais se mettre sur le dos, et je plonge ma bouche entre ses cuisses. Je recommence à lui bouffer goulûment le minou, puis, ma langue descend encore plus bas, avant de s’attaquer à son petit trou.
Eh oui, je suis en train de bouffer le cul de ma sur, et cela n’a pas l’air de lui déplaire, puisqu’elle continue de gémir de plaisir. Je lui écarte légèrement les fesses pour lui ouvrir davantage l’orifice, et je plonge ma langue à l’intérieur. Si on m’avait dit un jour que je ferais ça, je n’y aurais jamais cru mais, avec ma sur, je suis capable de tout !
— T’aimes bien ?
— Oui, c’est… c’est bon !
— Tant mieux…
Je continue de lui lécher le cul puis, quelques secondes après, la première phalange de mon index remplace ma langue, et je lui doigte doucement l’orifice. Je regarde ma sur qui ferme les yeux de plaisir et qui se cambre. Est-ce que je lui fais mal ? J’en sais rien…
— T’as mal ?
— Non, mais c’est… bizarre !
Rassuré, je continue ma caresse en enfonçant davantage mon doigt, et en me servant de l’autre main pour lui caresser la chatte. Quand j’ai l’impression que son petit trou est assez large pour que je m’y insère, j’approche mon sexe de son cul.
— Attends…
Aussitôt, Marion se redresse, et s’agenouille devant mon sexe.
— Pas maintenant, sil te plaît…
— Pourquoi ?
— J’ai pas envie…
Avant que je n’ai le temps de protester, elle attrape ma bite avec les mains et l’enfonce dans sa bouche, avant de me prodiguer une nouvelle fellation, tout en me branlant. Cette fois-ci, c’est trop pour moi et j’ai l’impression que je vais bientôt venir. Elle y met tellement d’entrain qu’au bout de deux minutes à peine, j’éjacule dans la bouche de Marion qui n’en loupe pas une goutte.
— Désolé, j’ai pas eu le temps de te prévenir, et…
— Pas grave, ça me dérange pas, répond Marion en me léchant le bout du gland.
Je m’allonge quelques secondes sur le dos pour me remettre de mes émotions, et Marion en fait de même. Nous sommes donc tous les deux, totalement nus, côte à côte, sur le lit de nos parents.
— Je savais pas que tu me boufferais le cul, déclare Marion.
— Ça m’a pris comme ça, désolé…
— Pas grave, c’était pas… désagréable…
— Pourquoi t’as pas voulu aller plus loin, alors ?
— Je me sentais… pas prête !
— Dommage…
— Mais non, ce n’est que partie remise…
— J’espère !
Soudain, une question me taraude. Je me redresse pour la regarder dans les yeux.
— Mais au fait, t’as joui ?
— Non, pas complètement, mais…
— Ok, bouge pas !
Quelques secondes après, ma bouche retrouve le chemin de son sexe, et je recommence à lui manger avec appétit. Je me jette dessus comme s’il s’agit d’une glace à la vanille, j’adore ça ! Sentant Marion se cambrer un peu en arrière, deux doigts vont bientôt remplacer ma langue, suivis rapidement d’un troisième, et je me mets à la branler. D’abord lentement pour faire durer le plaisir puis, d’un coup, j’accélère la cadence, tout en lui caressant le clito avec ma main libre.
À elle aussi il ne lui faut que deux minutes à peine pour qu’elle jouisse sous l’assaut de mes doigts que je ressors trempé de son sexe, et qu’elle me prend aussitôt pour pouvoir les lécher un par un.
— Alors, c’était comment ? Je demande.
— C’était… wahou, merci !
— Je t’en prie…
Nous nous couchons à nouveau sur le dos puis, après quelques secondes, Marion reprend la parole.
— C’était vraiment super, frangin…
— Je suis d’accord avec toi !
— Je veux dire, c’était tellement super qu’il ne faut pas que ça devienne une habitude…
— C’est à dire ?
— C’est à dire qu’on ne pourra pas baiser tous les deux tous les jours, ce serait… ce serait malsain, voilà !
— C’est vrai…
— En plus, je suis sûre que les parents finiraient par se rendre compte de quelque chose…
— À moins qu’on leur demande de participer !
Marion se redresse aussitôt.
— Tu rigoles j’espère ?
— Evidemment !
J’éclate de rire et, voyant ma sur se remettre sur le dos et faire la grimace, je me redresse à mon tour et dépose un long baiser sur ses lèvres.
— C’était drôle, non ?
— Non, c’était nul, me répond-elle.
— Ah bon ?
Ma main se pose sur un de ses seins, et je me mets aussitôt à lui pincer un téton, tout en la regardant dans les yeux. Aussitôt, Marion se débarrasse de ma main, et esquisse un sourire.
— Bon ok, c’était un peu drôle, alors, admet-elle.
— J’aime mieux ça !
Il y a un nouveau silence puis Marion reprend la parole.
— Voilà ce que je te propose : on ne fait plus rien du tout pendant les vacances et sur la route du retour…
— On remet ça !
— Voilà, ça te va ?
Je n’ai pas à réfléchir longtemps avant de donner ma réponse, même s’il est vrai que baiser ma sur une fois par jour ne m’aurait pas déplu non plus.
— Ça me va…
— Tant mieux…
Un nouveau silence, puis.
— Tu vas tenir le coup ?
— Il faudra bien…