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Mes premiers ébats avec ma mère – Chapitre 3




Des mois avaient passé, mais maman et moi faisions constamment l’amour. L’envie était parfois tellement pressante que nous l’avons fait alors que mon père était à la maison.

C’était en pleine semaine, un mardi si ma mémoire ne me trompe pas, il était 20h. Ma mère était en train de se déshabiller à la salle de bain, se démaquillait, elle se brossait les dents. Quant à moi, j’étais sur mon ordinateur en train de lire une histoire incestueuse. L’auteur écrivait vraiment bien, il réussit à me donner une trique d’enfer et une envie de baise hors-norme. Je ne pouvais pas attendre, demain. Et la masturbation ne me suffirait pas. J’ai donc pris la décision d’aller rejoindre ma mère dans la salle de bain. Elle était en petite nuisette, et elle se démaquillait. Je me mis derrière elle, et lui touchai les fesses, pour tout doucement glisser entre ses cuisses. Je pouvais voir dans le miroir ses magnifiques seins à travers le léger vêtement.

— Qu’est-ce que tu fais me dit-elle ?

— J’ai envie de toi, maman

— On ne peut pas le faire, me dit-elle, ton père est en bas !

— Oh, s’il te plait, j’en ai tellement envie

Tout en disant cela, je lui frottais le sexe. Et cela fonctionnait à merveille, puisqu’elle commençait déjà à mouiller.

— Apparemment, toi aussi, tu en as envie.

— Mais Haleta-t-elle, si ton père nous découvre ?

— Il ne nous entendra même pas.

Mon père était à ce moment là devant la télé, il s’endormait souvent devant celle-ci. Nous n’avions pas besoin de préliminaires, je pense, vu le niveau de notre excitation. Je soulevai donc un peu la nuisette de ma mère jusqu’en haut de ses fesses, et commençai à la pénétrer. On soupira de plaisir quasi en même temps.

— Maman Je n’aurais jamais assez de somptueuse chatte.

— Pareil pour ta queue, mon chéri

— On dirait qu’on a été fait pour s’emboîter parfaitement.

J’accélérais mes va-et-vient, ma mère se tenait au lavabo. Sa mouille coulait le long de ses jambes.

— Tu as l’air d’aimer ça, ma chère maman.

Elle ne me répondit pas, mais sa respiration le faisait pour elle : Elle adorait ça ! Son cul était légèrement cambré, c’était très sexy. Je n’arrêtais pas de le reluquer. Je n’avais qu’une envie, c’était de lui ramoner. Je sortis donc mon engin de son vagin, et fit mine d’aller en direction de son anus. Mais ma mère m’arrêta :

— Testons une autre position, veux-tu ?

— Pas de problème, tu veux laquelle ?

— Attends, me dit-elle.

Puis elle prit deux serviettes, elle mit l’un par terre et l’autre sur le bord de la baignoire. Elle se coucha par terre, et mit son postérieur sur le bord de la baignoire. Je n’avais jamais fait cette position avec ma mère. Mais elle avait l’air excellente. Je ne perdis pas une seconde, je me mis au-dessus, et entra mon sexe. Ma mère lâcha un "hum !" orgasmique, puis mit vite ses mains devant sa bouche. Nos regards se croisèrent, on rigola de la situation. Après quelques mouvements d’un intense plaisir, je sentais ma bite devenir plus sensible. Toutefois, je continuais mes pénétrations au plus profond de son intestin. C’était serré, mais qu’est-ce que c’était bon ! Autant pour elle que pour moi !

— Je vais bientôt tout lâcher !

— Non, attends. Retire-toi.

Je m’exécutai. Elle me fit me coucher sur la serviette. Elle commença à me branler, tout en me suçant la bite et les couilles. Mon gland était déjà rouge, mais avec les mouvements frénétiques de ma mère, il le devint encore plus. Elle fit de vifs mouvements avec sa langue sur le bout de mon gland, elle me goba les testicules. Le plaisir montait et montait ! J’essayais de retenir mon éjaculation au maximum. Quant à maman, elle était décidée à me faire jouir du plus fort qu’elle pouvait, et là elle fit quelque chose qu’on n’avait jamais essayé auparavant. Elle introduisit son doigt dans mon anus puis joua avec ma prostate : soit elle tournait tout en massant, soit elle tapotait dessus. Je peux vous dire que cette stimulation de ma prostate fit son effet. Mon éjaculation monta, sans que je puisse faire quoique ce soit.

— Je peux plus me retenir !

A l’entente de ces mots, ma mère accéléra autant sa masturbation que son massage de la prostate. J’éjaculai comme jamais, je pensais que ça n’allait jamais s’arrêter. Il y en avait partout : sur moi, sur ma mère, par terre. On s’étonna même de retrouver une trace sur le miroir. Ma mère essaya de me sucer pour me nettoyer l’engin, mais il fut si sensible, que j’eu des mouvements reflexes.

— On dirait que ça t’a plu, mon chéri

— Oh oui, maman ! Pourquoi on ne l’a pas fait plus tôt ?

— J’avais peur que tu n’aimes pas.

— J’ai adoré ! C’était excellent.

— On le refera alors.

Elle me sourit, et je ne pus m’empêcher de l’embrasser. Ensuite, elle me fit aller dans ma chambre, pendant qu’elle nettoyait les traces de notre ébat. Ma mère ne m’avait donc pas encore tout montré, il restait plein de choses à faire avec elle ! Ca promet !

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