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L'inconnue de la ligne 7 – Chapitre 1




Le bus n?7 me ramenait tranquillement chez moi après cette nouvelle journée de travail. Pas vraiment épuisante d?ailleurs, cette journée, plutôt ennuyeuse comme presque toutes les autres. Je travaillais pour la commune et passais des heures assis sur un fauteuil de bureau à pianoter sur un ordinateur en examinant des suites de statistiques stupides.

    Comme le bus approchait d?un arrêt, je remarquai seulement une jeune fille qui se tenait pourtant non loin de moi. Elle était d?une étrange beauté… non, en fait, pas vraiment belle, et pourtant quelque chose se dégageait d?elle, comme de l?aura. Elle pouvait avoir aux alentours de 20 ans, elle était blonde, les cheveux bouclés, courts, un peu ronde, sans être grosse (en tout cas selon moi). Elle portait des vêtements plutôt chic, une jupe qui s?arrêtait juste au-dessus du genou, des bas ou des collants noirs. Un petit pendentif en forme de coeur autour de son cou attira particulièrement mon attention sans que je sache pourquoi.

    Mais déjà, elle était descendue du bus, et je cessai de penser à elle, laissant mon esprit vagabonder au hasard du paysage urbain qui défilait par les vitres du bus. Je rentrai chez moi, comme tous les soirs, retrouvant la solitude de mon appartement de célibataire.

    Deux jours plus tard, je la vis à nouveau, dans ce même bus de la ligne 7, sur le chemin du retour après ma journée de travail. Je me surpris de cette coïncidence, et j?en profitai pour l?examiner à nouveau distraitement. Elle portait cette fois un ensemble veste-pantalon gris clair sur un chemisier blanc dont les premiers boutons ouverts laissaient entr?apercevoir la naissance de la poitrine. Et bien sûr, toujours ce même petit pendentif, très commun, et qui pourtant me marquait.

    Je me pris à l?imaginer travaillant dans un commerce peut-être, une boutique de vêtement par exemple, ce qui faisait qu?elle était si bien habillée. Comme moi, elle rentrait peut-être chez elle après sa journée ; comme moi peut-être elle retrouverait son appartement vide de célibataire. Elle ne portait pas d?alliance, mais de nos jours, cela ne veux plus rien dire, surtout lorsqu?on a 20 ans. Elle descendit au même arrêt que la dernière fois et le temps d?arriver chez moi, je l?avais déjà oubliée.

    Le reste de la semaine s?écoula normalement sans que je la revoie, jusqu?au vendredi. Cette fois, il était 8 heures du matin. Je partais au boulot et le soleil, levé avant moi, commençait à dissiper la brume matinale. Elle monta dans le bus à l?arrêt habituel. Une fois de plus, je la détaillai. Elle portait aujourd?hui une jupe plissée assez courte, mais cette fois, ces jambes étaient nues en dessous. Je me mis à les examiner, je ne connais pas grand? chose de plus beau que les jambes d?une femme. Les siennes n?offraient apparemment rien d?exceptionnelles, elles n?étaient ni longues, ni courtes, un peu grasse, mais plutôt harmonieuses, et je m?attardai un peu dessus. Décidément, je ne comprenais pas. Tout son être, toute sa personne était quelconque, et pourtant elle m?attirait. J?avais envie de me rapprocher d?elle, de sentir son corps contre le mien, même sans la toucher, de respirer son parfum.

    Elle sortit brusquement du bus. Avant même d?avoir réfléchi, j?étais dehors moi aussi et je la suivais. Pourquoi ? Une inspiration subite, une envie, une pulsion. Et le pire, c?est que je ne savais même pas ce que j?allais faire maintenant. Pendant combien de temps est-ce que j?allais rester là, sur ses talons. Je devais aller au boulot, et puis après tout, je n?avais rien à espérer de cette fille qui m?était totalement inconnue.

    Prenant à gauche, elle disparut un instant à ma vue. Le temps que j?arrive moi aussi au carrefour, je la vis s?engager dans un grand square. J?en arpentai les allées pendant plusieurs minutes, toujours derrière elle. Elle semblait marcher sans but, juste se balader. M?avait-elle repérée ? En tout cas, elle ne le montra pas. A aucun moment elle ne se retourna dans ma direction.

    Elle prit enfin une petite allée qui semblait mener vers la sortie. Si le parc, compte-tenu de l?heure encore matinale, était peu fréquenté, l?allée quant à elle était totalement déserte. Et puis la fille s?arrêta. Je fis de même, attentif. Elle se tourna lentement vers moi, oui, elle m?avait repéré, et peut-être même depuis un certain temps car elle ne manifesta pas de sentiment précis, comme si c?était naturel que je sois à quelques mètres derrière elle en train de la regarder attentivement. Elle me fit signe de m?approcher, et négligeant la pelouse, se perdit au milieu d?un épais buisson d?arbustes.

    Je restai interdit un instant, sans trop savoir que faire (c?est compréhensible). Finalement, tout en jetant un regard autour, n?apercevant personne, je m?engouffrai à sa suite dans le buisson, et la surprise me laissa un instant sans réaction.

    La fille était tout simplement accroupie face à moi, une culotte de dentelle blanche enroulée autour des cuisses, une main retenant sa jupe et l?autre posée par terre derrière elle afin de garder son équilibre. La fille était tout simplement en train d?uriner, sous mes yeux, en m?adressant un grand sourire.

    D?où j?étais, je voyais parfaitement toute son intimité. Son sexe était comme un bijou précieux dans l?écrin formé de ses cuisses. Elle était intégralement épilée, et je voyais distinctement le haut de ses lèvres, je croyais même deviner son clitoris. Et ce que je voyais surtout, c?était ce filet de liquide doré qui s?écoulait dans un petit sifflement, formant une flaque sous ses jambes. Elle était en train de se vider impunément devant moi. D?abord surpris, je fus vite gêné de la voir ainsi dans son intimité, même si je savais qu?elle se dévoilait à moi en toute connaissance de cause. Pourtant, malgré ma gêne, je n?arrivais pas à détourner le regard de ce jet doré qui semblait ne jamais vouloir s?arrêter.

    Jusqu?à présent, je n?avais jamais éprouvé le moindre attrait pour les jeux de pipi, trouvant cela plutôt dégoûtant, mais là, dans ces conditions, je sentais mon sexe se tendre progressivement. Elle remarqua sûrement la bosse de mon pantalon, car je vis son sourire s?élargir, comme si elle n?avait attendu que cela.

    Une fois son besoin terminé, elle se releva sans dire un mot, remonta sa culotte, laissa retomber sa jupe, et me prit par la main, m?entraînant à sa suite. Je voulus dire quelque chose, mais les mots refusèrent de sortir en bon ordre de ma bouche et je ne pus que bégayer. Elle me fit signe de me taire et me tira à l?intérieur d?un petit bâtiment servant de toilette abrité derrière un groupe d?arbre.

    Sans même prendre le soin de vérifier si les lieux étaient déserts (je pense qu?ils l?étaient), elle me poussa dans une cabine de la partie réservée aux femmes. Sans que je n?aie pu faire entendre la moindre phrase cohérente, elle m?assit sur la cuvette des toilettes et baissa brusquement mon pantalon d?un geste autoritaire. Mon sexe raide pointait droit vers le plafond. Elle plaça sa main gauche à la base de ma verge et tout en écartant simplement sa culotte de sa main libre, elle s?empala très doucement sur moi. Je sentis une forte humidité autour de mon sexe, elle était visiblement très excitée par la situation (au moins autant que moi), et puis je me rappelai qu?elle venait juste d?uriner et je ressentis un peu de dégoût, juste un peu. De plus, étant donné que nous étions dans des toilettes publiques, l?odeur de l?eau de javel ne suffisait pas à masquer une fragrance plus forte d?urine fermentée.

    Mais finalement, ce dégoût se transformait peu à peu en plaisir au fur et à mesure que mes barrières tombaient. Je me mis même à me découvrir un attrait sexuel pour la crasse, comme une bête tapie au fond de moi et qui n?attendait que ce moment pour sortir de sa tanière. La situation me stimula tellement que je faillit éjaculer trop tôt. Elle s?en aperçut heureusement et arrêta un instant ses mouvements le temps que la tension baisse un peu dans mon sexe.

    Nous nous fixâmes un instant dans les yeux. Les siens étaient d?un vert profond, beau, que je n?avais même pas remarquer dans le bus. Tous les deux essoufflés, échevelés, transpirant, nous restâmes ainsi quelques instants (magiques selon moi) à se regarder dans les yeux. Puis, je fis un signe de tête, et elle reprit ses mouvements, se laissant glisser sur mon pénis, puis remontant pour mieux se laisser glisser ensuite. Elle avait passé ses mains autour de mon cou, sur mes épaules, et je sentais tout son poids sur moi, je respirais son parfum, j?appréciais la chaleur de son corps. Ses mains se crispèrent sur ma nuque et elle jouit dans un petit cri de femme heureuse. Je ne tardai pas à la suivre et éjaculai dans son ventre en poussant un râle.

    Elle déposa un petit baiser au coin de mes lèvres, et sans même attendre de reprendre son souffle, elle se leva, rajusta ses vêtements et sortit comme si rien ne s?était passé, ce qui me frustra un peu. Je me rhabillai à mon tour, un peu honteux, sans savoir pourquoi, de ce qui s?était passé. Et puis je me souvins que nous étions dans les toilettes pour dame, et je priai pour qu?il n?y ai pas une femme dans le couloir lorsque je sortirai.

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