Histoires de sexe arabes Histoires de sexe gratuites

Ma visite médicale – Chapitre 1




Bonjour à toutes et tous !

Je voulais vous faire partager une petite aventure personnelle que j’ai déjà publiée sur un forum consacré aux personnes aimant ne pas porter de sous-vêtements. Un forum qui traite de cette pratique, étonnant, non ?

Venons-en à cette histoire :

Cela s’est passé au mois de mai dernier. Pour le travail, il m’a été donné l’occasion de réaliser un check-up complet de mon état de santé avec prise de sang, visite médicale… la totale !

Le moment crucial s’est déroulé l’après-midi de cette journée marathon, lors de la fatidique visite médicale.

Il était 13h30 à la pendule de la salle d’attente, le médecin, que je ne connaissais pas, ne tarderait plus. Tranquillement assise, je digérais mon déjeuner tout en me grattant le bras qui me démangeait depuis cette satanée prise de sang du matin.

Quand tout à coup, dans un flash de lucidité, je bondis pratiquement de ma chaise et pestai intérieurement :

’Merde ! j’ai oublié de mettre une culotte !’

Eh oui, j’ai gardé une certaine pudeur, et pour la visite médicale j’avais prévu d’en enfiler une en rentrant chez moi le midi. Hélas, j’avais totalement oublié !

J’étais donc là, en jupe blanche, plutôt ample, m’arrivant au-dessus des genoux avec un top noir moulant à bretelles, sans dessous et les joues rouges de honte.

Je faillis m’enfuir en courant mais le médecin apparut à la porte et avec un sourire rayonnant me convoqua :

— Aurore ?

— Oui.

— Allez, c’est à nous.

Je poussai un grand OUF de soulagement : il s’agissait d’une femme ! Vraiment ravissante en plus, je dois le reconnaître. La petite quarantaine, brune, élancée, des yeux malicieux et ce sourire qui, vraiment, ne semblait jamais s’effacer de son visage. Et ce ton dans la voix qui vous met à l’aise instantanément si comme moi, vous n’aimez pas trop vous livrer à ce genre d’examen. Sa démarche était gracieuse, et ses enjambées faisaient s’entrebâiller les voiles de sa blouse et de sa robe, laissant apparaître une paire de jambes exquises, gainées simplement d’un bronzage naturel.

Une fois enfermées dans son cabinet, elle installée à son bureau et moi sur le fauteuil d’en face, et après les questions d’usage sur ma santé, mon alimentation, les conseils pour arrêter de fumer, etc… vint l’auscultation. Toujours avec cette sympathie dans les yeux et dans la voix, elle m’invita à me débarrasser de mes vêtements et à m’allonger sur la table d’auscultation :

— Nous allons maintenant passer aux choses sérieuses : peux-tu s’il te plaît te mettre en petite tenue et t’installer sur la table, juste là, derrière toi ?

Je ne sais pas pourquoi elle me tutoyait. Malgré mes 22 ans, il est vrai que je fais un peu plus jeune.

Il n’y avait même pas de paravent alors ni une, ni deux, je m’empressai de me dévêtir. ’Plus tôt ce sera fait…’ me dis-je. Et finalement, je ne ressentais plus vraiment cette honte qui m’avait anéantie quelques minutes auparavant. J’étais en confiance désormais même si, je l’admets, je n’osais pas affronter le regard du médecin. Je me rappelle distinctement l’avoir entendue manipuler tout un tas de papier alors que je retirais mon top.

Malgré tout, j’avais l’étrange sensation que son regard se posait sur moi, sur mes formes. L’impression même qu’elle m’épiait derrière ses feuillages, en se tenant debout juste devant moi. Ma jupe glissa enfin le long de mes jambes.

Nue comme un ver, je m’allongeai sur la table (d’auscultation !).

Plus personne ne disait mot, je me demandai laquelle de nous deux était la plus gênée. Le médecin fit son travail. Très professionnelle. Les gestes précis. Jamais je ne sentais son regard s’attarder sur mes parties intimes. Le silence pesant s’acheva enfin quand elle me demanda de me redresser afin d’écouter mon c?ur. Le ton de sa voix avait légèrement changé, elle semblait concentrée dans sa tâche. Son stéthoscope qui parcourait ma poitrine puis mon dos me prodigua mille frissons. Elle laissa échapper un petit rire.

— Oui, désolée, c’est froid ! Allez respire en profondeur.

Puis :

— ?motive ?

Mon c?ur bâtait effectivement la chamade.

— Oui, répondis-je entre deux inspirations.

En réalité, peut-être l’avez-vous compris, c’était bien plus que de l’émotivité. Me retrouver nue, offerte même, en tête-à-tête avec une inconnue qui parcourait mon corps me transportait dans des états indescriptibles. Et lorsqu’elle me palpa l’abdomen, je me tordis sous ses mains douces. Toujours de son petit rire amusé :

— Ah, chatouilleuse aussi !

Le ’supplice’ terminé, je fus de nouveau allongée. Je sentis à ce moment une certaine humidité entre mes cuisses.

— Bien. Nous allons contrôler ta tension à présent, m’informa-t-elle.

Elle me semblait déjà plus à l’aise. Pendant que la pression se faisait autour de mon bras, et que la dame en blanc m’offrait sans le vouloir une vue imprenable sur un superbe décolleté, elle se décida enfin à rompre la glace :

— Je vois que tu ne portes pas de sous-vêtements ?

Comme si elle ne s’était rendue compte de rien, la menteuse !

— Non, pourquoi ?

— Eh bien, je trouve seulement que ce n’est pas très courant chez les jeunes femmes.

— Oh détrompez-vous.

— Bon… En tout cas, elles ne sont pas nombreuses à se faire ausculter dans cette tenue… Tu es bien courageuse !

— Vous trouvez cette pratique choquante ?

— Non ! Absolument pas ! Moi-même il m’arrive fréquemment de ne rien porter en dessous. Il est vrai que c’est fort agréable, surtout par cette chaleur, et…

Elle s’arrêta net, mais son sourire recommençait à illuminer son visage.

— Et tu n’en portes jamais ?

— Jamais ! Enfin, sauf quelques fois en période de règles ou lors d’une visite médicale par exemple… Sauf qu’aujourd’hui, pour le coup, j’ai complètement oublié… !

— Ah, ah ! Oui, je vois ça !

Et voilà que je rougis à nouveau !

— Ne sois pas intimidée, j’ai l’habitude de voir des corps dévêtus. Une jolie jeune femme en plus…

J’hésitai : devais-je répondre ’merci’ ?

Je me tus.

Pendant cette petite conversation, elle avait posé le bout des doigts de sa main inoccupée sur le haut de ma cuisse. Je mis plusieurs secondes avant de m’en apercevoir. Elle les promenait nonchalamment en m’effleurant simplement la peau, prenant de plus en plus de terrain sur mon ventre, sur mon pubis soigneusement épilé, remontant sur mes seins puis redescendant. Elle me regarda d’un air espiègle :

— Tu as une peau très douce.

À présent je n’en pouvais plus, le plaisir prit ma raison en otage lorsque je murmurai :

— Humm… n’arrêtez pas Docteur…

— Je vois bien que ça te plait, ton minou est tout mouillé.

Je n’en revenais pas ! D’une parce que cette femme médecin était maintenant en train de me masturber, de deux parce que j’écartais les cuisses et me laissais aller, les yeux clos. Elle posa ses lèvres délicates sur les miennes tandis que je jouissais sous ses doigts. Je me cambrai pour mieux me laisser submerger par cette vague de bonheur.

Après avoir repris mes esprits, je l’entendis m’annoncer :

— …13,7 de tension. C’est parfait mademoiselle ! Rhabille-toi et pendant ce temps je vais remplir ton dossier.

Avais-je donc rêvé ?

De nouveau, alors que j’enfilais mes affaires je sentis son regard sur moi. Sauf que cette fois-ci, elle ne s’en cachait plus. Et quand je glissai mes pieds dans mes escarpins, elle me lança :

— J’aime beaucoup tes chaussures ! Elles ne viendraient pas par hasard de la petite boutique rue M. ?

— Exactement !

— J’en étais sûre, c’est la boutique d’une amie, je m’y rends souvent.

— Ah oui ? Alors peut-être que nous nous y croiserons un de ces jours ?

— Ce sera avec plaisir, Aurore.

J’adorais quand elle prononçait mon prénom.

C’est ainsi qu’après quelques formalités et une poignée de main légèrement moite nous nous quittâmes, comme si de rien n’était, mais toutes deux souriantes :

— Bonne journée Aurore.

— Merci docteur. Au revoir.

Il y eut une certaine complicité dans nos regards à ce moment précis. Je savais qu’elle l’avait aussi sentie. Et malgré son professionnalisme à toute épreuve, la dame en blanc ne put rien cacher.

Après avoir lu cette histoire vous penserez peut-être que je suis attirée par les femmes. Je ne suis pas lesbienne mais je reste sensible aux charmes d’une femme et à l’ambiguïté que certaines situations provoquent.

J’espère que mon histoire vous a plu et qu’elle n’est pas trop mal racontée. Certes, elle est soft mais j’en garde un souvenir très marquant.

N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires.

Bisous

Aurore

Related posts

Chasseur de fantômes – Chapitre 2

historiesexe

Une épouse presque fidèle – Chapitre 2

historiesexe

Camille. – Chapitre 9

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .