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Le récit de ma vie – Chapitre 16




Chapitre 11 Rencontre avec mon fantasme

Partie 3/3

Le lendemain j’ai été réveillé par un bruit répétitif, comme si on tapait sur quelque chose. Je me suis retourné dans mon duvet en me demandant ce qui pouvait bien faire un tel bruit quand celui ci s’est arrêté soudainement.

— Chut, il se réveille, attends.

Encore à demi endormi je me demandais à qui était cette voix de fille. Est ce que je rêvais ? L’esprit brumeux je suis resté comme ça quelques minutes, me réveillant lentement. Le bruit recommenca à nouveau, moins fort mais je l’entendais. J’ai tourné lentement la tête en direction du bruit. Les volets étaient encore fermés mais la clarté du jour à travers ceux ci me permettait de voir quand même ce qu’il se passait. Sur le lit, une silhouette, sans doute Thomas, dont les mouvements ne faisaient aucun doute sur ce qu’il faisait. Je voyais son bassin aller et venir entre une paire de jambes relevées. Je commençais à comprendre : le chanceux c’était fait réveiller par une des filles de la maison. Mais qui ? Ça ne pouvait pas être Elvina, elle était trop attachée à moi depuis son récent dépucelage. J’espérais que ce ne soit pas Emma non plus, je la désirais trop pour moi. Il ne restait que l’amie de Jordan, ou sa copine ?

Je le regardais prendre en missionnaire la petite salope en manque de sexe qui était venue le rejoindre, lorsqu’elle a commencé à ne plus pouvoir retenir son plaisir. Maintenant qu’elle gémissait, je reconnaissais sa voix. Putain, Elvina. Qu’est ce qu’elle faisait avec Thomas ? Elle savait que j’étais ici et pas dans le lit pourtant. Je ne comprenais plus. Je n’ai pas osé me lever pour intervenir. J’ai attendu qu’ils finissent ce qu’ils avaient commencés. Malgré moi, mon sexe durcissait sous mon ventre, mais je ne voulais pas me toucher et risquer de me faire prendre. Je voyais Thomas augmenter de plus en plus le rythme et la force de ses coups, et Elvina poussait de petits cris très excitants. Je distinguais maintenant dans la semi obscurité le sommet de ses seins, couronnés par ses petits mamelons durcis. J’avais maintenant envie de la prendre, de la garder pour moi, de la baiser chaque matin au réveil, et chaque soir en me couchant. Quand j’ai vu Thomas stopper net ses mouvements, j’ai entendu un soupir de soulagement venant des deux partenaires. Mon amie n’était plus aussi timide qu’il y a quelques semaines. Elle venait d’essayer une nouvelle queue.

J’ai fermé les yeux et j’ai attendu, jusqu’à ce que j’entende l’un d’eux se lever, s’habiller et sortir. Quand la porte s’est refermée, j’ai ouvert à nouveau les yeux pour découvrir Elvina, allongée sur le côté. Elle était entièrement nue sur le lit, et je distinguais parfaitement ses courbes : la ligne montante de sa cuisse, culminant au niveau d’une hanche parfaitement dessinée, dont la courbe s’infléchissait jusqu’à sa taille et remontait progressivement à son épaule. Imaginez le spectacle, qui ne l’aurai pas trouvé magnifique ? Thomas est ensuite revenu, m’obligeant à rejouer l’endormi.

— La salle de bain est libre, tu peux y aller, je vais en bas déjeuner, chuchota-t-il à Elvina.

— D’accord, merci Thomas, lui répondit-elle en l’embrassant.

Elle a prit ses affaires et ils sont partis tout les deux. Je suis resté là quelques minutes à me poser une multitude de questions, encore étonné par ce qu’il venait de se passer à côté de moi, puis je me suis levé et habillé. Je suis sorti dans le couloir avec l’intention de descendre manger quand j’ai regardé sans réfléchir la porte close de la salle de bain. Derrière elle me parvenait le bruit de l’eau qui coulait. Il y avait une sécurité à l’extérieure : la tige carrée de la serrure dépassait légèrement et était fendue. Je suis retourné dans ma chambre et j’ai retourné mon blouson jusqu’à trouver enfin l’objet voulu. Je suis retourné devant la porte de la salle de bain, et avec deux cartes format CB j’ai pu faire pivoter la tige de sécurité, et ainsi déverrouiller la porte.

Je suis entré prestement et j’ai reverrouillé la porte derrière moi. Elvina était sous l’eau. Je n’arrivais pas à la distinguer à travers la buée et la fumée. Silencieusement, je me suis déshabillé et j’ai ouvert la porte de la douche. Le cri de surprise qu’elle a poussé m’a stoppé net.

— Merde Max, tu m’as fais peur, comment t’es rentré ? me dit-elle.

— Et toi tu m’as surpris ce matin avec Thomas, répondis-je.

— Tu nous as vu ? s’inquiéta-t-elle.

— Et entendu surtout, tu n’étais pas tellement discrète. Hier je t’ai vu aller vers le lit avant de venir me sucer, tu le savais n’est ce pas ? C’est Thomas que tu voulais voir ?

— Oui j’avoue ok, mais si tu nous as vu ce matin, pourquoi t’es pas intervenu ? Tu aurais pu te lever et on aurait arrêté, mais t’es resté couché à mater. T’étais excité hein ?

Elle en avait trop dit. Je l’ai plaqué contre le mur en agrippant ses petits seins. Elle mexcitait tant, la timide BCBG, maintenant devenue une belle salope sous ses airs innocents. Tout en la maintenant fermement, je l’ai dévorée du regard. Cette fille était sublime. La beauté de son corps était rehaussée par l’eau chaude qui glissait sur elle. Ses seins pointaient vers moi. Ah ces seins, ils feraient bander un mort ! Ses cheveux mouillés la transformaient en sirène. L’eau ruisselait jusqu’à son pubis épilé. En passant ma main sur sa vulve, j’ai senti ses lèvres chaudes encore ouvertes de son dernier rapport. J’ai tout de suite pu introduire deux doigts en elle. Je l’ai caressée comme ça, plaquée contre le mur de la douche, l’eau chaude se mélangeant à sa cyprine et la lavant perpétuellement. Assez rapidement son bassin s’est mit à onduler sous ma main. Elle en redemandait. Je l’ai embrassé avec fougue, cherchant sa langue. L’eau nous couvrait maintenant tous les deux. Nos corps glissaient l’un contre l’autre. Nous étions deux êtres cherchant à assouvir nos pulsions.

Mon sexe maintenant bandé la narguait en se frottant contre la peau de sa hanche. Elle n’a pas pu s’empêcher de le prendre en main, de le caresser, de palper mes bourses. Elle était devenue très chaude depuis qu’elle s’était offerte à moi. Mes doigts ont glissés jusqu’à son petit bouton. Il était très sensible, encore sous le coup des hormones de sa partie de jambes en l’air avec Thomas. En quelques minutes j’ai senti son corps se tendre contre moi, et ses jambes ont défaillit. Je l’ai accompagné dans sa descente, et elle s’est collée à moi.

Elle était maintenant à genou, la tête contre ma cuisse, ma verge érigée à quelques centimètres de son visage. J’avais envie d’elle. J’ai saisi ses cheveux pour placer sa tête délicatement en arrière, et j’ai pris ma verge à la base avec mon autre main. J’ai posé mon gland sur ses lèvres entrouvertes, et en bonne petite coquine, elle a aussitôt ouvert la bouche pour pouvoir le prendre. Je ne l’ai pas laissée faire, j’ai mis mon sexe hors de sa portée, avant de le reposer sur son visage. Elvina avait un si beau visage naturellement, et la voir à genou sous ma bite, le visage à moitié sous l’eau rendait le spectacle vraiment jouissif. Elle a sortie sa langue pour me lécher, les yeux fermés. Quel formidable réveil je vivais là. J’ai poussé mon gland sur son visage, de façon à lui présenter ses bourses, qu’elle s’est empressée de lécher également. Profitant de la situation, j’ai saisi ma bite pour la claquer sur sa joue. Le bruit de chaque coup était augmenté grâce à l’eau sur sa peau. Je l’ai frappé partout où j’ai pu, sur le nez, les joues, la gorge, les paupières. Je me suis lâché, trop excité de voir Elvina me laisser faire.

Quand j’en ai eu assez, je lui ai représenté mon gland. Encore une fois ses lèvres se sont entre-ouvertes pour me laisser entrer, elle a prit mes fesses en main et a appuyé dessus pour m’inviter à m’enfoncer un peu plus. Je lui ai laissé le contrôle, et elle m’a sucé et léché comme elle me l’avait fait la veille. J’aimais ses pipes, car je sentais qu’elle prenait du plaisir à les faire. Je l’ai laissée me caresser avec ses mains et sa langue pendant plusieurs minutes, puis je l’ai relevée pour l’embrasser.

— Tourne toi, lui ai-je dit.

J’ai caressé ses fesses bien fermes, tout en réglant la pomme de douche sur son dos. Je me suis empressé de la pénétrer. C’est la seconde bite qu’elle se prenait en moins d’une heure, et elle avait l’air d’aimer ça.

— Petite salope t’es en manque de sexe, t’as découvert que t’adorais ça hein ?

— Oui j’aime ça, j’en ai pas honte, occupe toi de moi Max !

Nous avons fait l’amour ainsi, l’eau ruisselant entre nous. Nous faisions un vacarme pas possible, nos peaux mouillées claquaient l’une contre l’autre. Mes mains sagrippaient à ses hanches, son petit ventre ou ses beaux seins parfaitement formés. Elle se cambrait de plus en plus au fur et à mesure que les minutes passaient. Je voyais ses mains se crisper sur le carrelage de la douche. L’eau me paraissait froide à présent tellement j’étais brûlant. Autour de nous, l’air était saturé d’humidité, une vapeur dense avait envahie la pièce. Elvina gémissait sous mes assauts. Je voulais la faire jouir une dernière fois. Je l’ai pilonné, encore et encore, jusqu’à ce que la tête me tourne, jusqu’à ce que la pièce soit remplie de mes halètements et de ses cris de plaisir.

Quand je me suis retiré d’elle, je l’ai aidée à se mettre à genou, et je lui ai mit ma verge en bouche. Elle était comme droguée, dans le vague, le corps encore tremblant, soupirant son plaisir d’avoir été baisée une nouvelle fois ce matin. J’ai saisis sa tête entre mes mains, et j’ai recommencé des va-et-vient, de plus en plus vite. Elle commençait à émerger petit à petit et à se rendre compte de la situation. Elle se laissait faire, mais à nouveau je l’ai senti m’enfoncer une phalange dans le cul. S’en était trop. J’ai littéralement baisé sa bouche, jusqu’à jouir à grands flots au fond de sa gorge. Quand je me suis retiré, elle a craché un mélange de salive et de sperme.

— C’est comme ça que je traite les salopes, lui ai-je dis.

Elle n’a pas protesté à mon insulte .

Après ça nous nous sommes lavés, et je l’ai laissé aller déjeuner avec les autres. Je ne suis descendu qu’après pour ne pas que ça paraisse trop suspect. Bien évidement, elle s’était installée à côté de Thomas. Nous avons discutés un peu plus tard, et elle m’a dit vouloir sortir avec lui, que j’étais un très bon amant, mais que ses sentiments n’allaient pas dans mon sens. Elle m’a remercié pour les bons moments en me promettant qu’on resterai amis. J’étais heureux pour mon ami bien sûr. Mais en même temps j’avais réussi à baiser deux filles pendant cette soirée et j’étais toujours célibataire. Mélissa ne voulait pas de moi non plus. Tant pis, j’allais continuer les soirées pendant ma deuxième année de fac, si j’avais un peu plus de temps.

J’ai revu Emma avant qu’elle ne parte. C’était mort avec elle aussi, car c’est son petit copain qui est venu la chercher. Pourtant nous sommes restés proches depuis cette soirée. Depuis des années nous sommes des amis. Elle a finit par deviner que je la désirais, comme la majorité des amis masculins qu’elle se faisait, mais n’a pas rompu les liens pour autant. Elle est devenue l’objet de mes fantasmes, la magnifique Emma. je savais que jamais je ne pourrais la mettre dans mon lit, et pourtant mois après mois, années après années, je la désirais toujours. Si la motivation d’écrire ne me quitte pas, alors Emma réapparaîtra peut être quasiment à la fin du récit de ma vie, je ne vous en dirais pas plus, c’est dans de très nombreux chapitres. En attendant pour en savoir un peu plus sur elle, rendez vous chapitre 13.

Mais maintenant place au chapitre 12, il est temps de se remettre au sport…

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