REPRISE DES RÉVISIONS

La vie sorganise. Tous les soirs, le couple trouve dans la petite cuisine le repas promis. Annie est heureuse de dormir dans les bras de son bien aimé. Elle flotte sur un petit nuage rose. Philippe se charge de la ramener à terre. Il a une idée derrière la tête.

— Dis, tu laisses tomber tes révisions, cest pas bien.

— Tu es là pour maider!

— Oui, mais le jour du bac je ny serai pas! Tu mavais bien dis que tu révisais avec Martine, nest ce pas?

— Tu veux que jaille chez elle?

— Pourquoi elle viendrait pas ici?

— Chez nous?

— Oui. Il y aurait personne pour vous interrompre.

Annie soupire. Oui pour les révisions mais plus question de caresses maintenant quelle est presque mariée, ni de fricoter avec François, Philippe ne serait pas daccord.

— Oui, insiste-t-il. Vous pourrez réviser en paix et même vous amuser, ou plutôt, NOUS pourrons réviser et

— Nous caresser? Ensembles? sétonne Annie.

— Cest pas parce que je suis là que tout doit changer dans vos habitudes. Taimerais pas?

— Euh si.

— Demande leur de venir mercredi prochain.

— François aussi?

— Il ne participait pas? Si? Alors?

Annie soupire. Si François vient, il exigera de faire lamour avec elle, malgré Philippe. Saura-t-elle len empêcher?

— Ça te fera rien? Tu es sûr de bien vouloir?

— Jai envie de mieux les connaître moi aussi.

Elle ne se pose plus de question. Puisque son Philippe le désire, elle invitera Martine et son frère.

Celle ci hésite à venir troubler lintimité du couple. Ce sera différent davec Lucien. Il faut la persuasion de Philippe et François pour quelle accepte. Le mercredi, elle se présente seule à lappartement. Annie et son copain ont déplié une table qui prend presque toute la place au salon.

— François nest pas là? sétonne Philippe.

— Non, pas aujourdhui.

Cela contrarie les plans du jeune homme. Il comptait sur le garçon pour convaincre les filles à léchange. Bah, on verra!

La mise en route est laborieuse. Les filles sont intimidées, Martine par le nouvel environnement, Annie qui se demande comment se passera la suite. Avec laide de Philippe les révisions avancent grand train. Les filles se décontractent. Les chapitres succèdent aux chapitres.

— Je crois que nous avons bien travaillé, estime le jeune homme en refermant son livre.

— Oui, cétait nécessaire, admet Annie.

— Tu las dit! renchérit Martine satisfaite du travail effectué. Je sais pas la note que jaurai à la prochaine interro mais je peux affirmer que sans vous jaurai eu une bulle! Merci à vous deux.

— Cest Philippe quil faut remercier.

— Cest une idée mesdemoiselles! Jaccepte dêtre remercié et je peux vous indiquer comment!

— Précise! commande Annie qui croit deviner.

— Ben en vous caressant comme vous aviez lhabitude de faire

— Oh! sindigne Martine, tu lui as dit!

— Mais il ny a aucun mal, la rassure Philippe. Je suis curieux de vous admirer.

La jeune fille est vexée que leur secret soit dévoilé mais suit le couple dans la chambre. Annie lenlace et cherche ses lèvres. Martine voudrait résister mais nen a pas le courage. Elle a trop envie des baisers de son amie. Depuis linstallation de Philippe elle ny a plus goûté. Il est juste après tout quil leur accorde ce plaisir. Elle tique un peu lorsque quil tire la jupe mais la langue dAnnie dans sa bouche monopolise son énergie. Une partie de caresse à six mains commence. Martine emportée par le désir manipule la queue du jeune homme. Philippe regarde Annie. Elle comprend son envie. Un soupir Quil la prenne puisquil la désire. Non, Elle lui donne! Cest elle qui lui fait cette offrande! Elle lencourage dun sourire et accapare la bouche et la poitrine de Martine dont la main na pas lâché la verge. Philippe se contorsionne pour se placer entre les jambes. La main comme par hasard pousse la tige vers le bas, juste en face du sexe. Philippe savance. Les cuisses sécartent, le gland touche les lèvres du sexe. Martine gémit. Un mouvement du bassin, la queue quelle a lâchée senfonce.

— Mmmh! gémit elle en emprisonnant la figure dAnnie.

La possession est totale. Philippe donne des coups de rein auxquels Martine répond en avançant le bassin. Sa tête dodeline de part et dautre. Annie ne peut plus lembrasser et se venge en mordillant les tétons.

— Aaaaah!

Martine raidit, puis lance les jambes sur le coté. Elle tambourine des talons les fesses de Philippe qui amplifie ses mouvements.

— Aaaah!

— Ouiiii!

Les deux partenaires saffaissent. Annie les laisse respirer quelques secondes puis tire Philippe en arrière et lembrasse sur la bouche. Elle est heureuse du plaisir quils ont eu.

— Merci ma chérie, merci.

— Ce nest pas moi quil faut remercier, sourit elle.

— Si, car cest toi qui mas fait ce cadeau.

— Ça ta fait plaisir?

— Oh oui! Martine!

— Oui Philippe.

— Aide moi à redonner à Annie le bonheur quelle nous a procuré.

— Je vous ai rien procuré du tout.

— Tais toi et laisse nous faire.

Martine et lui se jettent sur Annie, la chatouillent, la caressent. Pendant que Martine rend les caresses sur la poitrine, Philippe qui a récupéré sa vigueur plante son dard dans le vagin qui lattendait. Annie lenserre dans ses bras. Les deux amants roulent sur la couverture. Martine ne peut quassister au déferlement de jouissance. Ses mains frôlent les corps toujours en mouvement. Dès quelle veut pratiquer une caresse précise, le couple change de position et elle doit rechercher un autre emplacement pour ses caresses. A la fin elle sécarte et regarde avec une pointe denvie la fin de létreinte.

— Vous étiez beau, dit elle à Annie dans la salle de bain où elles se sont réfugiées. On voit que vous vous aimez!

— Oui Philippe est un merveilleux amant. Jespère quil ta fait jouir.

— Oui, mais sûrement pas autant que toi.

Quand elles reviennent au salon, Philippe a servi à boire.

— Oui, il est temps que je men aille, admet Martine. Je vous remercie tous les deux de cette après midi.

— Demande à ton frère de venir la prochaine fois.

— Tu crois Philippe? Tas pas peur quil nous gêne?

— Pas du tout!

La porte refermée, Philippe enlace Annie.

— Laisse moi enfiler ma robe de chambre et remettre un peu dordre.

— Euh Jai envie de toi!

— Encore Oui, je vois, ajoute-t-elle en souriant à la vue de la verge qui se soulève toute seule.

Elle tend la main pour la caresser. Il la pousse sur le lit et sagenouille entre les cuisses quil écarte. Il pose la bouche sur les lèvres du sexe.

— Aaaah! Pourquoi tu menlèves mon jouet!

— Pardon ma chérie.

Il sallonge sur la couverture et Annie se place au dessus de lui,. Elle aime sucer cette queue, la mignarder la bisouter pour la remercier du plaisir quelle lui donne. Elle sapplique à varier les caresses pendant que Philippe samuse à introduire les doigts dans les deux orifices. Ils jouissent ensemble. Annie maintient la tête de son amant prisonnière entre ses cuisses pendant quelle avale la semence encore abondante malgré les deux étreintes.

— Pourquoi tu tiens à ce que François vienne? interroge-t-elle lorsque, un peu calmés, ils replient la table de travail.

— Ben, puisque jai fait lamour à Martine, il est bon que tu aies une consolation.

— Tu me suffis, tu sais.

— Puis euh

— Je parie que tas des visées sur ses fesses!

— Euh On peut rien te cacher, avoue-t-il.

— Ben! Tes un drôle de phénomène, toi!

— Tu regrettes?

— Pas du tout Laisse moi, se défend elle contre les mains qui soulèvent son déshabillé Tout à lheure Sil te plaît.

— Bon, jaccepte dattendre, mais pas longtemps.

— Tu es insatiable!

— Que veux tu, tes tellement bandante!

Le mercredi suivant, François accompagne Martine. Il est dhumeur morose. Il est jaloux de Philippe. Il a confessé sa sur qui lui a avoué le plaisir éprouvé la semaine précédente. Il veut se venger sur Annie, et devant le garçon, cela lui fera les pieds! Il maîtrise mal son impatience devant la longueur des révisions.

— Vous avez pas encore fini? demande-t-il en refermant son cahier.

— On voit bien que tas pas le bac en fin dannée toi! Laisse nous terminer cet exercice, le tance sa sur.

Où va se dérouler la partie récréative? Dans la petite chambre? Il regrette le salon de Julien et les canapés accueillants. Ici, il faut enlever la table si on veut avoir assez de place. Ah! Ils ont fini, cest pas trop tôt! Il savance pour enlacer Annie, mais la jeune fille se tourne vers Martine et lui présente les lèvres. Déception! Et en plus Philippe qui le dévisage dun air moqueur!

— Je crois quon ferait mieux daller dans la chambre, propose celui ci.

Les deux filles main dans la main le suivent. François emboîte le pas. Il se place derrière Annie et patouille la poitrine pendant quelle et sa sur sembrassent. Où est Philippe? Oh! Il est derrière lui! Mais, mais Il lui caresse le cul, déboucle la ceinture, dézippe la braguette. Cest un vrai PD ce mec!

— Aah!

Une main enveloppe la verge. Une voix murmure à son oreille:

— Ne crois pas que tu vas baiser ma meuf comme ça! Va falloir y passer toi aussi!

La main qui décalotte le gland lempêche de répondre. Annie lui fait face et sourit à la vue du sexe dégagé.

— Oh! On dirait que tu es pressé mon gros! Tu permets quil me baise? demande-t-elle à Martine. Tant quil naura pas tiré son coup, il ne nous laissera pas tranquille.

— Je te déshabille, propose celle ci.

— Mer

La bouche de François la bâillonne. Elle se laisse emporter par les caresses du frère et de la sur. Elle na pas honte comme lorsquelle était seule avec son père. Philippe est là, qui lui sourit!

François enjambe son pantalon et son slip descendus sur les chevilles. Il pousse Annie contre le lit.

— Martine sil te plaît!

Philippe présente sa queue aux lèvres de son amie.

— Enduits là bien de salive, je ne veux pas faire du mal à ton frère.

— Oh! Tu veux lenc

Elle nose pas achever.

— Pourquoi pas? Ça te gêne? En tout cas ça a pas lair de le perturber lui.

La jeune fille obéit. Elle prend la queue en main et la lèche sur toutes les faces. Elle veut la mettre en bouche, il se retire.

— Non, pas tout de suite, tout à lheure, je te promets.

Il se place derrière François qui a embroché Annie.

— Ecarte les fesses!

Martine se précipite. Ça lui plait de participer à la sodomie.

— Aaaah! gémit François quand la verge pénètre et le pousse contre Annie.

— Ouiii! crie celle ci. Jaime quand tu te fais enculer, tu baises mieux!

Le trio coordonne ses mouvements. Martine les contemple amusée. Elle nest pas jalouse, Philippe a promis que ce serait bientôt son tour. Ils ont le temps jusquà six heures du soir!

François succombe en premier laissant Annie sur les berges de la jouissance. Philippe se retire et présente sa queue raide à Martine.

— A ton tour.

— Une seconde.

Elle prend un mouchoir en papier et essuie les traces humides avant de la sucer. Il la laisse faire quelques secondes et se retire.

— Cest pas ta bouche que je veux mais ta chatte!

La jeune fille rampe à reculons sur le lit, sépare les cuisses et écarte les lèvres de son sexe. Philippe savance. La verge trouve sa place et senfonce dans le vagin trempé de sécrétions.

— Aaaah! sécrie Martine comblée.

Annie apporte ses caresses.

— Hein quil baise bien mon Philippe?

— Ouiii! Aah!

François sapproche. Il est vexé. Sa verge pend misérablement au contraire de lautre garçon qui fait braire sa sur! Il quémande une caresse à Annie. Bonne fille elle triture la limace souple. Cela fait du bien au jeune homme mais cest insuffisant pour lui rendre sa rigidité. Martine atteint les sommets de la jouissance.

— Ouiii! Aaah! Je jouis Aaaah! Cest trop bon!

Le plaisir de sa sur fait mal à François qui sisole aux toilettes. Là il se masturbe en vain.

— Quest ce que tu fais François? Viens me rejoindre dans la salle de bain, appelle Martine.

Les jumeaux se douchent ensemble et reviennent dans la chambre shabiller. Autant Martine est radieuse, autant son frère est morose. Pelotonnés lun contre lautre Philippe et Annie les contemple en souriant.

— A demain! lance Martine.

— A demain. Tu membrasses pas?

— Mais si grosse bête!

Les deux filles senlacent. François après une poignée de main à Philippe pelote Annie qui rit de bon cur avant de le pousser dehors.

— A demain garnement! A nous maintenant, dit elle en se jetant sur Philippe. Fais moi jouir! Jai été brimée, tu sais.

— François na pas été à la hauteur?

— Non! Il ma laissée en plan.

— Mon pauvre chou, heureusement que je suis là. Regarde ce que je te réserve, annonce-t-il en secouant sa verge qui pointe comme sil navait pas encore éjaculé.

— Oh oui! Viens ici au chaud ma toute belle!

Annie tire Philippe par la queue jusque dans la chambre. Sans la lâcher, elle recule sur le lit et se lenfonce dans le vagin.

— Aaaaah! Aah! Elle a rai Aah! raison Martine Aah! Cest trop Aah! trop bon!

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