Bonjour je suis Elodie, j’ai 24a,bien roulée comme disent les garçons, 1M64 48kg 85b, étudiante en langues appliquées.
Sexuellement je me qualifie d’autonome, dans le sens ou je n’ai jamais eu de copains attitrés ce qui ne m’empêche pas d’avoir des aventures, et c’est une de celle ci que je vais vous raconter.
L’été pour gagner mon argent de poche de l’hiver je travaille dans un camping sur la cote atlantique, je fais office de traductrice à l’accueil et au restaurant.
Je me dois d’être trés disponible donc je suis logée sur place dans un mobile-home que je partages avec une autre saisonnière mathilde, une jolie jeune femme de 28a.
Un soir que nous étions toutes les deux au bar nous nous sonnes faites draguer par deux touristes allemand, la trentaine environ.
Nous avons passé la soirée ensemble à boire des verres et danser et tous naturellement à la fermeture,nous sommes partis finir la soirée à leur bungalow, Mathilde elle voulait aller se coucher mais je lui demandais de me suivre.
Les intentions des garçons étaient claires, ils avaient envie de se taper les deux françaises.
Moi j’avais aussi envie de finir cette soirée au lit avec Frantz, beau et bien foutu cela m’allait très bien.
On a bu un dernier verre sur leurs terrasse, j’avais franchi le premiers pas, nous nous embrassions goulûment et je me laissais caresser la poitrine sans faire attention aux deux autres.
Nous les avons abandonné pour filer dans la chambre, en deux seconde nous étions à poil, Frantz arborait une superbe érection, un beau membre épais, noeud lisse,comme j’aime.
Je me suis jeté dessus, le tenant dans la main et le branlant j’ai commencé par lui lécher les couilles les gobant parfois et jouant avec en bouche. Une fois qu’elles étaient bien humides je l’ai léché en remontant vers son gland, je passais ma langue sur son prépuce, bisouillant son gland, je faisais durer le moment ou j’allais l’avaler, le faisant languir.
Il était impatient de se sentir en moi, je sentais sa main essayer d’atteindre mon sexe mais il avait le bras trop court et je voulais bien m’occuper de lui avant que l’on inverse les rôles.
Lorsque je décidai qu’il était temps,je serrai bien fort sa bite et en le regardant dans les yeux j’ouvrais grand la bouche et faisait disparaître tout son sexe dans ma bouche collant mes lèvres à la base de sa bite, c’est une chose que je maîtrise et par expérience je sais que les mecs en raffole. Je renouvelais l’opération plusieurs fois ne quittant pas Frantz du regard, ses yeux brillaient, lorsque je compris qu’à ce rythme la il n’allait pas pouvoir se retenir j’arrêtais.
Il me bascula sur le lit m’écartant les jambes, je sentis son souffle chaud sur ma chatte humide, je descendais ma main et décalottais mon clitoris lui montrant l’endroit exacte que je souhaitais qu’il s’occupe.
Frantz m’écarta les lèvres et remonta jusqu’au clitoris le titillant de la pointe de sa langue, le plaisir monta en moi très vite, les yeux mi-clos j’enserrai mes seins à pleine mains étirant mes tétons pour diffuser l’onde.
Frantz s’avérait être un très bon amant et très joueur il devinait lorsque j’étais sur le point de jouir, à ce moment là il cessait ses caresses, m’arrachant des gémissements de frustration, mais que c’était bon.
Ce devait faire la troisième fois que Frantz avait repris son petit jeux auquel il avait rajouté dans ma chatte. Il venait tous juste de découvrir mon point G que l’on frappa à la porte. Frantz cessa tout pour aller ouvrir à son copain que Malthilde avait éconduit.
Moi bouillante je me masturbais, j’en pouvais plus d’attendre tellement il m’avait chauffé et je ne fus pas longue à jouir, pendant ce temps Frantz a fait renter son pote, Frantz enfila un préservatif tandis que son pote quittait son short, il saisit ma jambe, la cala sur son épaule et me pénétra de toute sa longueur je sentis son sexe taper le fond de mon vagin une main posée sur son ventre j’accompagnais ses va et vient, Nicolas son copain s’était rapproché et me caressait le ventre et la poitrine.
Lorsqu’il me présenta son sexe, je le suçais, je n’avais aucun mal à l’avaler car à la différence de Frantz il était bien plus court et moins épais.
c’est dans cette position qu’ils me firent jouir plusieurs fois.
Nicolas sur le point de jouir se retira et déversa son foutre épais et blanc sur ma poitrine, Frantz le suivit peu de temps après retirant sa capote il s’avança vers moi j’eus pas le temps de le prendre en bouche et il m’aspergea le visage, je suçais leurs dernières gouttes et leurs bites ramollissantes.
Je passais par les sanitaires prendre une douche avant de rejoindre Mathilde qui j’en suis sure faisait semblant de dormir en m’attendant.
A SUIVRE