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" Et pourquoi pas? ou une histoire d'inceste ! " – Chapitre 9




Le narrateur est Adrien.

Suite à la sollicitude de ma mère Cécile de pratiquer le plaisir anal, je commence par passer un doigt sur la rondelle de ma mère. Celle-ci s’est penchée en avant, toujours pénétrée par ma verge, en position de la reine fière. Mais je ne suis pas très adroit, j’ai peur de lui faire mal.

Mon père s’approche alors de nous, et de façon incroyable, je le vois passer du gel lubrifiant sur le petit trou de ma mère, commencer à le titiller. Il me verse du lubrifiant sur les doigts et me donne des conseils. La scène est surréaliste, mon père m’encourage à sodomiser ma mère…

Pendant que je découvre cet endroit interdit, ma génitrice roule langoureusement du bassin très lentement pour entretenir notre plaisir à tous les deux. Moi j’ai stoppé mes mouvements, me concentrant sur cette pénétration anale de ma mère avec mes doigts. Ayant introduit mon index je découvre un conduit un peu serré mais pas trop. Ma mère se détend et une fois passés les muscles de l’anus, la pénétration devient aisée.

Mon père me dit d’y mettre un deuxième doigt et de commencer à la limer.

Ce que je fais ; ma mère se raidit un peu, reste immobile sur mon sexe, appréciant la pénétration honteuse. Elle semble plus qu’apprécier le limage de mes doigts.

Puis mon père me met un petit vibromasseur dans la main, et m’explique comment l’introduire, en faisant des mouvements rotatifs. La pénétration de l’engin vibrant est plus qu’aisée, en plus du lubrifiant, Cécile mouille énormément suite à la pénétration vaginale, et l’ambiance est très « aquatique ». L’engin est complètement inséré dans le petit trou de ma mère, et je lui imprime un mouvement de va-et-vient, attisant les gémissements de plaisir de ma génitrice.

Une fois installé, je reprends mes mouvements de bassin, alors que Cécile se contente de mouvements latéraux, de faible amplitude.

Je ressens à la fois l’excitation du rapport sexuel et les vibrations du sextoy, qui se transmettent à mon propre sexe… l’effet est « sidéral ».

Il faut très peu de temps pour que je sente les prémices de mon plaisir se diffuser du creux de mes reins à ma verge, et tandis que Cécile, elle aussi tombe en pâmoison, alors que ses cris de jouissance deviennent extatiques, je me lâche en un éblouissant orgasme.

Cécile fait de même et nous nous retrouvons à gémir et crier de concert.

Mon père semble avoir bien profité du spectacle et me congratule pour ma première fois. Il faut dire que ma mère a su bien gérer ses mouvements, m’instaurer des périodes de repos pour ne pas précipiter mon éjaculation.

C’est un peu essoufflé que je m’allonge à côté de ma mère pour reprendre mes esprits.

Mon père lui est de nouveau en forme, et ayant sollicité ma mère, qui est décidément insatiable, la fait disposer à quatre pattes, et l’ayant d’abord prise de façon traditionnelle, il la sodomise. Sa pénétration est facilitée par mon « travail de préparation », et m’étant rapproché sur un signe de mon père, je regarde avec fascination son membre viril s’enfoncer avec délectation dans le petit trou de ma mère. Il y rentre tout, très facilement, la lime en cadence et Cécile de nouveau, repart dans des orgasmes progressifs.

A un moment mon père s’arrête, il me regarde et demande à sa femme si elle veut expérimenter quelque chose d’extrêmement coquin. Ma mère qui n’est décidément pas la petite bourgeoise bien éduquée que j’avais imaginée a compris tout de suite et elle déclare se prêter au jeu.

Moi personnellement il faudra m’éclairer ma lanterne. Alors quand mon père me demande si je préfère prendre Cécile par le cul ou par la chatte, je comprends tout de suite.

Nous allons la partouzer tous les deux… un trio incestueux !

Vu la difficulté de l’exercice, je préfère faire au plus simple et le dit à mon père. Il me fait alors cocher sur le dos, je comprends que je vais avoir le rôle de « l’enculeur ».

Décidément cette soirée restera dans les annales, en à peine trois heures, j’aurai fait presque tout le tour des relations pornographiques. …

Ayant recouvré mon érection, ma mère vient se placer doucement au-dessus de moi et me guidant la verge de sa main, elle vient s’empaler très facilement sur mon sexe. Mes 19 centimètres y rentrent sans aucun problème.

Et voilà après l’avoir baisée, j’encule ma mère, ou plutôt elle vient s’enculer sur moi. Quelques mouvements de bassin de sa part, et elle commence déjà à reprendre son plaisir, moi je ne bouge pas, je sais que j’aurai la position presque statique.

Mon père prend possession de sa femme, après l’avoir embrassée, il la fait s’allonger sur moi et j’en profite pour prendre ses beaux seins à pleine main et les lui caresser.

Mon père s’introduit très facilement dans la chatte de Cécile, et commence ses mouvements de va-et-vient ; et il y va le bougre…

Peu de temps après il la « défonce » littéralement, je ressens les vibrations de ses poussées viriles et je peux sentir la déformation imprimée au vagin de ma mère au niveau de mon sexe dans son rectum. J’ai parfois l’impression qu’il va transpercer le conduit, tant il y va fort.

Ma mère est aux anges, elle a repris ses gémissements et ses ahanements et exprime parfois des phrases un peu bébêtes style :

« C’est trop bon ce que vous me faites tous les deux » ou, « prenaient moi, bourrez-moi comme la salope que je suis ! »

Après plusieurs minutes intenses et sportives, mon père se libère dans un grand râle de jouissance, et je sens ma mère avoir les soubresauts caractéristiques de son grand orgasme. Elle se lâche dans un grand cri de plaisir et ne pouvant plus retenir mon propre plaisir je me libère dans son rectum.

Cette fois, après toutes ces péripéties amoureuse et sportives, nous sommes épuisés et nous nous endormons très facilement, dans le même lit tous les trois. Avec le recul, je me dis que tout ce plaisir et toute cette perversité valaient bien une tentative de suicide …

Après les avoir vus à l’uvre devant moi tous les deux, mes chers parents, je comprends d’où me vient mon côté manipulateur et pervers… les chiens ne font pas des chats !

Epilogue :

Dans les mois qui ont suivi cette fameuse soirée, nous avons repris ces exercices de triolisme incestueux plusieurs fois, puis j’ai pu avoir aussi le plaisir, avec l’accord de mon père de faire l’amour avec ma mère de façon plus douce et plus passionnelle.

Et puis le fantasme assumé et digéré, je me suis tourné vers d’autres horizons.

Une fois dépucelé et de cette façon grandiose, je me sentais un homme nouveau, j’avais l’impression qu’il n’y avait plus aucune limite ni aucun obstacle, mais n’en est- il pas toujours ainsi ? Les barrières, ce sont nous-mêmes qui nous les mettons dans la tête !

Alors j’ai dragué des filles dans ma fac, puis dans les bars, la rue même, avec une prédilection pour les grandes surfaces.

Les rayons bio, vêtements féminins, (pas les sous-vêtements !) et le rayon bricolage, sont de beaux terrains, pour engager la conversation avec des femmes seules. J’ai un peu tout « testé » mais avec une prédilection pour les filles, ou les femmes plus matures, très vicieuses et bisexuelles, n’ayant pas froid aux yeux, et pouvant intégrer des scénarios sexuels très borderline… devinez quel est mon prochain défi fait à mes parents.

Quand j’en ai parlé à mon père, il m’a répondu: " Et pourquoi pas ?"

Un jour j’ai rencontré Sandrine, brune d’un mètre soixante-quinze, fine avec une belle poitrine, des yeux bleus magnifiques, un peu plus âgée que moi, elle a 25 ans et travaille; nous avons entamé une relation amoureuse avec des moments très libidineux et pervers.

Je la sens très chaude pour explorer de nouveaux fantasmes, et je m’apprête à lui confier mon défi.

Mais ce sera pour une autre histoire…

Fin.

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