Deux semaines de ce traitement ont suffi à créer de bonnes habitudes entre ma chienne et moi. Lorsqu’elle me voyait par exemple m’asseoir sur le canapé, je constatais qu’elle me regardait fixement, les oreilles dressées, comme attendant que je l’appelle.

Nous avons passé un bon moment à pratiquer la levrette. Position à la fois naturelle pour la chienne et reposante pour moi, car je me contentais de rester assis et à moduler le rythme, en faisant aller et venir sa croupe sur ma queue. Mais lorsque j’étais vraiment excité, je lui donnais aussi de bons coups de reins, jusqu’à même oser parfois épouser son dos avec mon buste. Le haut de mon corps reposait alors sur la brave chienne, car mes doigts trouvaient à peine appui sur le sol. Mais la jouissance en valait la peine !

Quand je relâchais mon étreinte, ma femelle se retournait pour lécher le membre qui l’avait saillie, encore palpitant et écumant de sperme. Je livrais alors le reste de mon plaisir à sa langue gourmande, insultant gentiment ma chienne tout en la gratifiant de caresses:

— Hmm ! Tu aimes ça, ma fifille ! Mais oui, c’est une bonne chienne ! Une bonne salope que je baise selon mes envies. Et ça te plaît hein ?! Ca te plaît de satisfaire ton mâle ! Tu ressens l’honneur que je te fais, quand je prends ton cul d’animal ! Mais oui je sais, régale-toi. Tu las bien mérité!

Sa langue vigoureuse nettoyait consciencieusement mon membre épuisé, alors que moi-même je m’affalais sur le canapé.

La douceur dont je faisais preuve, lui donnait assurément du plaisir. Sinon, comment expliquer qu’elle remuait la queue, lorsque je lui montrais la mienne ? Se léchant d’avance les babines. Elle assimilait désormais le sexe de son mâle, à de bons souvenirs. Et bien que sa condition animale la rendît inapte à la réflexion, cela ne l’empêchait certainement pas d’être réceptive aux sensations. Je me plaisais à l’idée que ma femelle puisse ressentir le bien-être qui émanait de moi, lorsque je jouissais et espérais que cela soit suffisamment communicatif pour qu’elle en éprouve à son tour.

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Et puis, peu à peu je me décidais à affranchir la bête de sa condition naturelle, en l’humanisant un peu. Et quoi de plus symbolique dans ce contexte, que la position du missionnaire ?! C’est pourquoi quelques fois, je la faisais se coucher sur le dos, usant de caresses et de patience. Et lorsqu’elle se décidait à enfin rester dans la bonne position, je la pénétrai franchement. Ses mamelles avaient gardé un volume agréable au toucher et les voir se ballotter au gré de mes mouvements, était tout simplement jouissif. Je ne pouvais pas me retenir plus d’une dizaine de minutes à chaque fois, tant j’étais excité. Je regrettais alors de ne pas être de son espèce. Cela m’aurait plu de pouvoir la féconder moi-même et lui faire des petits. J’aurais alors pu la baiser, pendant qu’elle leur aurait donné la tétée. Joignant ainsi, l’utile à l’agréable.

Puis quelques minutes plus tard, je recommençai l’opération. Je savais bien qu’elle se sentait vulnérable dans cette position, mais ma chienne se montrait tolérante et se laissait faire. Se remettant totalement aux mains de son maître. J’essayais alors de compenser le désagrément, par de nombreuses caresses qui semblaient faire leur effet.

Quand nous sommes parvenus à trouver l’équilibre dans cette façon de nous accoupler, j’ai décidé de varier un peu, en prenant la chienne contre moi. Je m’adossais à un mur, pour que ma femelle se retrouve, elle aussi, à la verticale et s’empale de tout son poids sur mon pieu. Je trouvais cela très intense et là aussi, je ne tardais pas à lui céder ma semence. Le nez dans sa fourrure, je m’imprégnais de son odeur et appréciais la douceur de son pelage contre ma peau. Je ne relâchais mon étreinte, que lorsque mon pénis avait émis son dernier soubresaut de plaisir.

Et peu à peu elle s’habitua à se soumettre en toute confiance dans cette position, les pattes arrière de chaque côté de mon bassin et celles de devant sur mes épaules. En la gardant contre moi, je pouvais commencer par la baiser à même le sol, avant de l’emporter sur le bureau, pour parfois même terminer au lit. Je l’appuyais alors de tout mon poids, ne lui laissant d’autre choix que d’accueillir mon foutre en elle, telle une insémination forcée. Qui était l’humain, qui était la bête ? La frontière entre les espèces devenait floue dans ces moments-là. Et l’ivresse de l’accouplement interespèce, me faisait tourner la tête.

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Mais une position convenait très bien aux deux amants improbables que nous étions. En effet, allongés tous les deux sur le flanc l’un derrière l’autre, on pouvait s’aimer pendant de longues minutes ainsi sans se lasser. Bien logé au fond de l’animal, je pouvais ressentir la moindre contraction de l’anneau vaginal, stimulant ainsi mon pénis de manière continue. J’y allais très lentement et profondément, caressant les mamelles de ma chienne à ma guise. Là encore je ne pouvais m’empêcher d’imaginer cette femelle en train d’allaiter "nos petits", alors qu’elle aurait déjà été occupée à satisfaire son mâle, ne sachant plus où donner de la tête car submergée par la sensation.

Pendant que je la travaillais, il m’arrivait de repenser à la première fois où je l’avais vue, toute maigre, toute faible et qui semblait attendre la mort. Je me disais alors que la place d’une si gentille chienne n’était certainement pas dans la rue. Mais dans un doux foyer, à recevoir de la tendresse et de l’amour. Et quel amour ! C’était aussi ce que cette femelle aurait pensé, si elle en avait été capable. Mais elle me le rendait bien, j’étais donc heureux de l’avoir sauvée.

Ma chienne s’habitua bien vite à cette position, car n’ayant aucun effort à fournir, elle n’avait qu’à se détendre et à se laisser aimer, comme personne d’autre n’aurait pu le faire. Elle raffolait de mes caresses sur ses flancs. Et les mouvements lents de son mâle semblaient la bercer. Dans cet état, j’avais l’impression que je pouvais disposer de son corps comme je le voulais.

De par mes pratiques, j’ai pu constater qu’une chienne était tout à fait capable d’avoir des orgasmes et donc un plaisir intense. Ce n’était pas quelque chose d’audible, mais les contractions de l’anneau vaginal, ainsi que les spasmes musculaires ne laissaient aucun doute. Quand cela se produisait, la chienne pouvait se montrer agitée, surtout lorsque l’orgasme était puissant. Je prenais alors le temps de l’apaiser, avant de reprendre mes va-et-vient. Cela devenait parfois même nécessaire, tant les muscles de son vagin étaient contractés sur ma queue. Rendant ainsi impossible tout mouvement, ou me faisant éjaculer de force. On pouvait alors dire à ce moment-là que son plaisir était vraiment communicatif… Mais quand ce n’était pas aussi intense et qu’elle se relâchait, je reprenais mes mouvements, profitant des contractions aléatoires et stimulantes de l’anneau vaginal. Et lorsque moi-même je me sentais venir, j’accélérais un peu plus le rythme, faisant sortir lentement ma femelle de sa léthargie, avant de l’emplir abondamment de mon plaisir.

La chienne avait appris à rester ainsi, jusqu’à ce que je ne relâche mon étreinte. Epuisé, je pouvais m’assoupir pour reprendre lentement mes esprits. Pendant ce temps, l’animal s’adonnait à sa pratique favorite. Après chaque accouplement, elle se mettait à lécher mon sexe. Elle appréciait peut-être le goût du sperme. Mais j’ai su plus tard que dans le langage canin, cela signifiait que l’accouplement était terminé. Ce qui ne l’empêchait pas de répondre à l’appel, dès que j’arborais une nouvelle érection. Elle revenait alors se placer gentiment, bien au chaud contre moi, pour recevoir à nouveau de l’amour.

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La morphologie de sa gueule, rendait inapte la chienne à la fellation. Mais j’avais trouvé le moyen d’éprouver du plaisir malgré cela. En effet, logeant mon pénis entre les crocs de l’animal, je lui faisais lentement refermer sa gueule, avant d’y exercer un léger va-et-vient. Le palais rugueux de l’animal était inconfortable, mais en y allant doucement, le frottement devenait stimulant. Et comme sa langue restait très mobile, mes bourses en bénéficiaient souvent.

Dans ces moments-là, j’étais à la merci de la chienne qui, si elle refermait trop sa gueule, pouvait m’infliger de graves blessures, voire l’amputation ! Mais heureusement, il n’y eut jamais d’accident. La sensation de cette prison maxillaire demeurait stimulante, car mon gland butait contre les crocs de l’animal et ne pouvait en ressortir qu’en ayant versé un tribut pour se libérer. Ou plutôt, déverser…

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(C’est ici que le récit devient fantaisiste, plus trash et triste. Essayons alors de repousser les limites de notre imagination, d’avoir le cur bien accroché et de rester optimistes, car il ne s’agit là que d’une histoire fictive. ;)

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Tout se passait bien entre nous, jusqu’à ce qu’un jour la chienne n’entre en gestation. J’avais vu qu’il existait à travers le monde, de rares cas où l’accouplement humain/animal avait donné naissance à des êtres hybrides non viables. Cela pouvait s’expliquer, par des rapports sexuels fréquents entre deux individus mâle/femelle et qui auraient amené leurs corps à entrer en "adaptation". Autrement dit, le plaisir qui accompagnait ces rapports était tellement fort que leurs organes sexuels créaient des gamètes dites compatibles. Les corps, croyant répondre à un besoin vital de se reproduire, les cellules sexuelles tentaient alors de réunir la moindre information génétique commune aux deux espèces, pour former un hybride.

Mais par chance, il était malgré tout impossible que l’être issu de cet accouplement ne soit viable. Ce qui me rassurait d’un côté, mais de l’autre, le fait que cela arrive était assez déstabilisant. Je pouvais alors voir, semaine après semaine, le ventre de ma chienne s’arrondir et s’alourdir. Pourtant, cela ne semblait pas stresser l’animal. Au contraire, je la voyais souvent se lécher le ventre, que j’aurais pu qualifier de manière affectueuse. Et je préférais laisser les choses se faire. Après tout, j’avais défié la nature par mon comportement. Peut-être voulait-elle se venger ?!

Cela ne me dissuada pas pour autant, d’avoir des rapports avec ma chienne. Je n’y allais plus aussi fort, mais les sensations restaient tout de même agréables. Et dès que je sentais que ma chienne se fatiguait, je la laissais se reposer. Sur la fin, nous ne pouvions plus que nous accoupler en "cuillère", ou dans notre cas, en "chien de fusil". Et quand la pénétration vaginale devint impossible, je me suis mis à enculer l’animal. A travers la paroi anale, je pouvais parfois ressentir notre petit qui bougeait dans son ventre.

Ma pauvre chienne avait du mal à se mouvoir avec ce ventre énorme. J’ai dû alors lui fabriquer un déambulateur, qui se révéla assez efficace. Mais elle me faisait quand même de la peine à voir. Et dire que j’étais responsable de cette situation. Heureusement que la gestation ne dura que deux mois. Sa délivrance était alors proche.

Le jour de la mise bas, j’ai dû assurer moi-même l’assistance. A qui aurais-je pu dire ce qu’il se passait ?

Alors que la chienne avait commencé le travail, je lui maintenais une patte vers le haut pour faciliter le passage et la soutenais dans l’effort avec l’autre main. Elle était adossée à moi et je l’aidais comme je le pouvais, l’accompagnant dans son effort pour pousser. Je l’encourageais, en lui parlant et la caressant. Certes, elle était incapable de comprendre ce que je lui disais, mais je sentais que cela l’aidait à se concentrer. Et au bout d’un effort intense, ma chienne parvint à se dilater suffisamment pour laisser passer la tête de notre "bébé". Puis le corps suivit quelques minutes plus tard.

Epuisée, la pauvre bête ne put se lever pour finir le travail. J’ai donc pris délicatement le petit, pour l’emmener aux mamelles de sa mère, qu’il téta avec beaucoup d’appétit. Comme je m’y attendais, le nouveau-né n’était ni un chien ni un humain. Mais bien une chimère qui ne vivrait que quelques minutes tout au plus. La chienne avait elle-même perdu beaucoup de sang et d’énergie. Elle n’allait donc pas non plus survivre à cette mise bas. Par ma faute, j’allais perdre celle qui était passée du statut d’animal de compagnie, à ma compagne.

Alors que je les serrais tous les deux dans mes bras, la chienne lécha ma joue une dernière fois, avant de s’endormir définitivement. Comme pour me remercier de lui avoir accordé mon amour, de lui avoir accordé un dernier petit. Je n’ai plus renouvelé cette expérience par la suite et me suis retourné vers mes semblables.

Mais aujourd’hui quand j’y pense, aussi contradictoire que cela puisse être, ce fut grâce à un homme que cette chienne avait pu renouer avec la maternité. Et aussi contradictoire que cela puisse être, ce fut grâce à un animal, que j’ai pu renouer avec mon humanité.

A toutes celles et ceux qui auront su apprécier cette histoire.

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