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De l'initiation à la finalité – Chapitre 22




Le mercredi soir, après m’être habillé d’un tailleur, je partis rejoindre Didier, cette fois il me reconnut et après m’avoir longuement embrassé me demanda ’Comment vas-tu ma biche ?

– Bien mon amour, et toi ?

– Très bien depuis que je t’ai vu.

– Flatteur.

– Pas du tout, ces derniers jours ont été longs sans toi.

– Pour moi aussi, mais ça m’a permis de réfléchir.

– Ah bon, et avec quel résultats ?

– Il faut que je fasse le point, c’est pourquoi j’ai décidé

    de partir seul pendant une semaine.

– Je pense que c’est une bonne solution, et quand comptes-tu

    partir ?

– La semaine prochaine, par contre je vais te dire quelque

    chose qui ne va pas te plaire.

– Qu’est-ce que c’est ?

– Nous ne nous verrons pas samedi.

– Pourquoi ?

– Nous sommes en période d’inventaire et en échange de ma

    semaine de congés, mon patron m’a demandé de travailler

    samedi, ça risque de se prolonger tard le soir.

– Je vois, c’est logique, mais te verrais-je dimanche ?

– Bien sur, tu ne crois pas que je passerai le dernier jour

    avant ces vacances avec quelqu’un d’autre que toi.

– Merci, tu es gentille.

– Non, je crois que c’est normal, en plus j’ai envie d’être

    près de toi ce jour là.

– Bien, où dînons nous ?

– Je vais t’emmener dans un petit restaurant de spécialités

    d’Auvergne, tu m’en diras des nouvelles’.

Le dîner fut exquis, après le restaurant nous allâmes boire un verre à Saint Germain, puis vers 1 heure du matin Didier me déposa chez moi, je l’invitai à prendre le dernier verre, puis il partit une fois de plus déçu de n’avoir pu me faire fléchir pour que nous passions la nuit ensemble.

Le dimanche à 10 heures, je me réveillai et un heure plus tard j’arrivai chez Didier, celui-ci m’accueillît avec un grand sourire et m’embrassa tendrement, après nous être mis d’accord sur le programme de la journée, je lui dis ’Je suis une grosse cochonne, je ne me suis pas encore lavée, à peine réveillée j’ai couru ici.

– Eh bien tu connais la salle de bains.

– Oui j’y vais’

Après avoir pris une longue douche, j’allai dans la chambre pour me changer, nous allions voir le salon de l’auto, je m’habillai d’une mini robe à fleurs et de dessous de dentelle blanche et après avoir mis ma perruque et m’être maquillé, je chaussai des escarpins et rejoignis mon amant qui m’attendait dans le salon, nous prîmes la voiture pour aller manger et vers 2 heures nous étions Porte de Versailles.

L’après-midi se passa agréablement, les nouveautés étaient splendides, vers 20 heures nous partîmes pour aller dîner dans un joli restaurant sur les bord de la Marne, le repas fut exquis et vers 22 heures nous rentrâmes à la maison.

Après nous avoir servi à boire Didier me dit ’Alors, toujours

    décidé à ta semaine de retraite ?

– Oui plus que jamais, il faut à tout prix que je fasse le

    point, je pars demain et je reviens dimanche, nous ne nous

    verrons pas non plus la semaine d’après car j’aurai des

    choses à faire mais lundi en quinze, tu auras une réponse

    de ma part, il va te falloir être patient pendant deux

    semaines.

– Je le serai, ce sera long mais j’attendrai en espérant une

    bonne nouvelle, mais je voudrais te demander..

– Oui ?

– La réponse que tu me donneras. Sera-t-elle définitive ?

– Oui, tout à fait.

– Bien, dans le cas d’une réponse négative, je crois que le

    mieux serait qu’on arrête de se voir.

– Si tu veux.

– Oui je le veux car si je n’ai aucun espoir, je préfère

    rompre de suite, ça fera mal d’un coup mais ce sera mieux.

– D’accord, je respecterai ta décision dans ce cas.

– Merci, et maintenant j’aimerai beaucoup que tu me prennes

    dans ta bouche’.

Je lui tournai le dos et je me dévêtis en ondulant.

Une fois nu, je fis face à Didier et je vis qu’il avait ôté ses vêtements, son formidable phallus pointait vers le plafond.

Je m’agenouillai devant lui, pris la grosse verge dans les mains et me mis à couvrir le gland de baisers.

Mon amant soupira sous cette caresse, glissant ma tête sous le pénis érigé, je lui léchai les testicules et embrassai l’intérieur de ses cuisses.

Après l’avoir bien excité, je revins à l’objet de ma dévotion.

Je commençai à porter des petits coups de langue sur son bout durci, le priape gorgé de sang se dressa un peu plus.

Je continuai à m’occuper de ce formidable membre sans toutefois le prendre dans ma bouche, à chaque contact mon amant gémissait et se cambrait pour s’offrir plus.

Prenant la pine à deux mains, je me mis à le lécher comme une glace, son gland vermillon avait doublé de volume depuis le début, il était gros comme un champignon.

Trouvant que le prémices avaient assez duré, mon homme prit ma tête dans ses mains et me força à engloutir sa hampe tuméfiée.

Une fois au fond de ma bouche il rythma le tempo auquel il voulait être sucé.

J’entamai une lente fellation en enroulant ma langue autour de la bite et en la mordillant faisant râler mon mec, au bout de quelques instant de ce traitement Didier ma bloqua la tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres vivement.

Il utilisait ma bouche comme un cul.

Je ne sais combien de temps dura ce pompier, soudain mon amant plaquant mon visage contre son pubis explosa en feulant, une formidable giclée de sperme fusa au fond de ma gorge et je l’avalai avec délice tout en continuant à cajoler la virilité qui continuait à couler sur ma langue.

Quand mon homme se retira, je vis que le phallus n’avait pas perdu sa vigueur, fasciné par lui je le voulais tout de suite dans mon cul.

Je salivais déjà à l’image de cette formidable verge écartant ma pastille pour se loger au fond de moi.

Didier me prit dans ses bras et me déposa à plat ventre sur le lit, puis il prit mes jambes et les plia sous mon corps de telle sorte que je me retrouvais le cul en l’air reposant sur les coudes.

Puis se postant derrière moi il se mit à me caresser la raie de son gland turgescent, des frémissements parcoururent mon corps.

Cette caresse m’électrisait, le désir montait en moi par vagues, la bouche de mon mec remplaça son pénis et il commença à me lécher.

Sous ce baiser lingué mon oeillet s’ouvrit, je gémis puis un doigt investit mon anus et se mit à aller et venir, un deuxième puis un troisième et enfin un quatrième vinrent se joindre à lui, mon cul était bien ouvert et je planais littéralement.

Au bout de quelques instants alors que je râlais sous ses attouchements manuels, la main de mon homme se retira et fut remplacée par une chose dure chaude mais aussi énorme, je reconnus le gland de Didier.

Je ne l’avais jamais senti aussi gros, me maintenant solidement aux hanches, mon amant commença à peser sur ma corolle.

Quand la formidable tête de phallus érigé écarta les chairs de mon sphincter, un hurlement de souffrance jaillit du fond de ma gorge, j’avais l’impression qu’il m’ouvrait le cul en deux tant j’étais écartelé.

Il fallut un certain temps avant que le bout passe entièrement, quand il fut en moi j’avais les larmes aux yeux.

Didier s’immobilisa pour me laisser m’habituer à la monstrueuse présence qui m’obstruait le fondement, puis il se mit à bouger lentement pour m’assouplir la pastille.

Chaque fois que le gland entrait ou sortait je criai, puis peu à peu mon anus se détendit et le passage s’effectua à peu près sans douleur.

Alors mon amant commença à me pénétrer à petit coups de reins, l’intromission fut longue et pénible, à chaque centimètre je croyais que mes fesses bouillantes allaient se détacher.

Quand enfin je sentis les poils follets de son pubis contre mon cul je me sentais totalement rempli par cette énorme pine roide.

Mon homme me prit par les épaules et se mit à me besogner lentement, sous ses coups de boutoir répétés, je sentis mon anus céder complètement.

Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir.

Je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives.

Les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi.

Mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.

Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu’il me donnait était tel que je voulais qu’il me bourre indéfiniment.

J’avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique priape qui me forait les reins.

J’avais les fesses en fusion et l’anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m’ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui m’enfessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.

Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure.

Le plaisir m’envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.

Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m’offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge ’aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh’ et je perdis connaissance.

Quand je revins à moi, Didier était toujours en train de me sodomiser en de lents va et vient, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu.

Tout mon être brûlait littéralement j’avais joui mais il me manquait sa semence qui seule pouvait éteindre l’incendie qui me ravageait l’intérieur.

Soudain Didier me décula et me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon oeillet ressorte, puis d’un violent coup de reins il s’enfonça entièrement en moi me faisant gémir.

Prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l’arrière-train avec des ’HAN’ de bûcheron.

Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul.

Je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j’avais l’anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s’insinuer en moi sourdement.

Ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m’assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins.

Je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible.

J’avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m’alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu’un ’ahhhhhhhhhhhhhhhh’ continu.

Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu’il continue.

Je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés

Les grimaces que faisait mon mec chaque fois qu’il m’enfessait montraient le pied qu’il prenait était intense, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés.

J’avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.

S’enfonçant au plus profond de mon rectum, Didier explosa en feulant, son flot de foutre crémeux m’inondant le fondement m’électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi.

Mon corps s’arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l’air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge ’aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhh’ puis je retombai lourdement sur le matelas yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance, Didier se retira de sur moi.

Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés en train de fumer, il me sourit et me dit ’C’est chaque fois meilleur avec toi.

– Merci, c’est vrai ce fut super bon, j’ai pris un pied du

    tonnerre.

- ?a je l’ai vu et entendu, ça n’avait pas l’air de te

    déplaire.

– Bien au contraire, c’est plutôt que j’en redemanderai.

– Mais tu vas en avoir encore.

– J’y compte bien car j’ai très envie.

– T’inquiètes pas, je vais t’en donner encore du plaisir’.

Après avoir pris une douche, nous entrâmes dans la chambre où nous fîmes l’amour dans toutes les positions jusqu’au petit matin et à chaque fois je jouis superbement.

Le lendemain je partis pour la campagne, j’avais absolument besoin de réfléchir, tout s’était passé si vite depuis que je connaissais Didier.

J’arrivai à Florac en Lozère, une petite ville d’environ 2.000 habitants.

C’était un coin calme, juste ce qu’il me fallait pour réfléchir loin de toute agitation.

A passai ma semaine à effectuer de longues ballades dans la campagne avoisinante.

Pendant tous ces jours je repassai en revue l’histoire de ces dernières années et j’arrivai à un premier constat.

Je ne voulais plus me vendre comme je l’avais fait ces derniers temps, il était temps pour moi de me poser et d’avoir une vie normal.

Le deuxième point à examiner était si je tentais une expérience de vie commune avec Didier ou si j’attendais encore, en tous les cas il fallait prendre une décision car je ne pouvais pas laisser Didier attendre indéfiniment surtout si c’était pour lui donner une réponse négative.

Après avoir longuement pesé le pour et le contre, je me décidai le vendredi après-midi, j’allai dire à Didier que j’acceptai de vivre avec lui.

Le soir même je téléphonai à didier, il devint fou de joie, je le quittai en lui disant que je serai chez lui le lendemain matin.

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