Assise devant une pinte de bière dans le seul pub de la ville et de l’île, Huguette est de méchante humeur, cela fait maintenant deux jours que Louis, son mari, l’a débarquée sur le port de Craighouse. Une sévère altercation les a opposés. Tout ça pour une différence d’appréciation sur la manoeuvre d’accostage de leur voilier dans le port. Deux jours ! Louis n’est toujours pas revenu la chercher et Huguette est persuadée que son imbécile de mari continue seul la croisière. Depuis huit jours ils faisaient du cabotage dans l’archipel des îles Hébrides. Craighouse est le seul village de l’île Jura, heureusement que le pub où elle se trouve fait aussi office d’hôtel !
Huguette a décidé de rentrer en France et de regagner Nantes où ils habitent. Pour cela il lui faut regagner Glasgow pour prendre l’avion. Le patron du pub lui signalera si un de ses clients peut l’emmener à Feolin Ferry pour qu’elle puisse prendre le bateau qui va à Kennacraig en Ecosse. Une fois là-bas, elle trouvera bien un moyen pour rejoindre l’aéroport de Glasgow.
Ses réflexions sont interrompues par l’arrivée de deux hommes qui vont s’accouder au bar. Elle n’ose espérer que l’un d’entre eux puisse l’accompagner au quai d’embarquement.
? On va enfin pouvoir boire ! On est dans le pays du whisky et pas moyen de se rincer le gosier, c’est quand même un comble ! ? dit tout haut le plus jeune des compères.
? On va prendre deux bières car je crains que le whisky nous coûte la peau du cul ! ? ajoute l’autre.
Un léger sourire réapparut sur le visage d’Huguette. Des français, deux jeunes français dans ce trou perdu ; avec un peu de chance ils vont peut-être pouvoir la tirer de ce mauvais pas.
Excusez- moi messieurs, accepteriez-vous qu’une compatriote vous offre un verre ?
Les deux interpellés se retournent et regardent incrédules cette petite bonne femme assise devant une bière : la cinquantaine bien avancée, elle est mignonne avec son chemisier blanc mais son petit sourire cache mal un profond désarroi.
Vous êtes française ?
Oui ! De Nantes !
Mais que faites-vous dans le trou du cul du monde ?
Venez prendre vos consommations à ma table, je vous expliquerai.
Arès avoir commandé deux whisky de Jura ’from the cask’, elle leur raconta l’histoire de son abandon sur cette île. Les deux jeunes gens n’écoutaient que distraitement, leurs regards surtout attirés par le profond sillon que formait les deux seins plantureux – et lourds sûrement se dirent-ils. Le décolleté du corsage blanc mettait en valeur la peau bronzée.
Mais vous, messieurs, que faites-vous à Craighouse ?
Huguette apprit qu’ils se prénommaient Daniel (Dany pour les intimes) et Patrick. Agés respectivement de 30 et 28 ans, ils sont depuis peu à leur compte. Ils ont achetés en commun un camion et travaillent comme transporteurs, c’est leur premier voyage hors de l’hexagone. Ils viennent déménager un anglais divorcé d’une écossaise ; celui-ci laisse la maison à son ex épouse mais emmène le mobilier en France où il possède une propriété, dans la baie du mont Saint-Michel.
Messieurs, si vous pouviez m’emmener jusqu’à Kennacraig en Ecosse, après je m’arrangerai pour rejoindre l’aéroport de Glasgow…
Mais ma petite dame – Huguette c’est ça ? Vous permettez qu’on vous appelle Huguette ? – mignonne comme vous êtes on vous emmène jusqu’à Glasgow !
C’est vrai ? Ce n’est pas une plaisanterie ? Je vous dédommagerai pour le trajet.
Hors de question ! Pas d’argent entre nous, la présence d’un joli petit lot comme vous dans notre camion nous suffit, pas vrai Patrick ?
Pour sur, ça changera de ta tronche !
Jeunes et beaux comme vous êtes, une femme de mon âge n’est d’aucun intérêt !
Hé ! Hé ! On ne sait jamais… !!!
Taisez-vous, vous allez dire des bêtises !
Putain, il est fameux ce whisky fit Dany en finissant son verre.
Huguette leur expliqua que le ’from the cask’ est un whisky de Jura de 12 ans de tonneau. Il est distillé ici depuis près de 200 ans, ils ont du apercevoir la distillerie dans le village, c’est un bâtiment à la façade verte et blanche, mais l’établissement est fermé au mois de Juillet. On peut en trouver à l’épicerie d’à coté. Hormis ici, il est difficile de trouver ce breuvage.
Dites Huguette, ce n’est pas pour vous bousculer, mais il va falloir penser à partir, sinon on va louper le bateau. Enfin, si vous vous voulez qu’on vous dépose à Glasgow.
Je rassemble mes affaires et je suis à vous Messieurs !
Attention à ce que vous dites, Patrick et moi on pourrait vous prendre au mot.
C’était une façon de parler ! Je me dépêche.
Dany et Patrick se dirigèrent vers le comptoir en attendant le retour d’Huguette. Le patron du lieu tout en essuyant des verres leur lança une plaisanterie sur les seins de la française. Apparemment sa comparaison entre ? les Paps of Jura ?, trois montagnes aux sommets arrondis qui dominent le village et les seins d’Huguette le fait sourire.
? C’est vrai qu’à son âge, elle a encore de beaux nichons ? dit Dany
? Attends ! Ils commencent quand même à tomber sérieusement ? estima Patrick.
Et alors ! Si t’en avais l’occasion, t’y mettrais pas la main ?
Et le reste ! On fait avec ce qu’on a !
? On va voir ce qu’on peut en tirer ! ? rajouta Dany.
A ce moment, Huguette réapparaît dans le pub avec son sac de voyage, elle règle la note au patron et se tourne vers ses nouveaux compagnons de voyage.
Voilà, je suis prête.
Allez ! En voiture Simone ! Enfin non, en camion Huguette !
Le trio quitte le pub en s’esclaffant, le voyage s’annonce sous le signe de la gaieté. Arrivés près du véhicule, Huguette complimente les deux garçons sur la propreté de l’engin, rouge et blanc, qui brille sous le soleil. Patrick se dirige coté chauffeur tandis que Dany après avoir ouvert la porte coté passager monte le sac d’Huguette.
? Il va falloir m’aider, avec ma jupe je ne vais jamais arriver à grimper là-haut ?
Une fois la première marche enjambée, Dany lui prend l’arrière-train à pleines mains et la pousse pour accéder à la seconde. Huguette attrape la barre de maintien et essaye de monter dans la cabine.
? Je n’y arrive pas ! ? souffla t’elle, découragée.
Dany vient à son secours, une seconde fois, bien décidé à profiter de la situation. Il glisse ses deux mains sous la jupe et attrape les deux cuisses - ? encore fermes ? se dit il. Huguette surprise frétille du popotin pour échapper à ce contact, mais Dany ne l’entend pas de cette oreille, il continue de palper toute cette chair, en remontant. Ses doigts s’infiltrent même légèrement entre la culotte et les fesses.
— ? Aidez-moi au lieu d’abuser de la situation ! ? gémit Huguette.
Une dernière poussée et Huguette peut s’installer sur la banquette où Dany vient la rejoindre.
Vous alors !
? C’était juste pour t’aider ma belle ! La preuve tu es montée? dit-il en la tutoyant.
Quand même, vous êtes un profiteur.
Huguette a gardé son sourire, elle examine la cabine et est surprise du confort et du volume, de plus c’est d’une propreté impeccable.
? C’est parti !? fit Patrick.
Ils avalent vite fait les six kilomètres de bord de côte qui les séparent de l’embarcadère. A bord ils rejoignent joyeusement le bar et goûtent les boissons de la région. La traversée dure plus d’une heure et demie et, l’alcool aidant, les plaisanteries deviennent plus grivoises. Seul Patrick reste sobre face à sa pinte de bière, Huguette rigole de bon coeur aux blagues Dany.
Kennacraig est en vue et notre fine équipe se réinstalle dans le camion. Cette fois, pour l’aider à grimper, Dany a carrément passés ses mains sous la culotte d’Huguette mais elle ne fait rien pour échapper à l’intrusion. Dany a même senti le corps d’Huguette s’appesantir et il en a profité pour vicieusement lui peloter le cul.
? Vous êtes un drôle de polisson ? se contenta-t-elle de dire.
? Toi, tu es bandante? dit-il en lançant un clin d’oeil à Patrick.
Pendant plus de cent bornes, on va longer le Loch Fyne, la vue est magnifique, malheureusement ici on roule a gauche alors Huguette vous allez devoir vous pencher vers Dany pour admirer le paysage, méfiez-vous cette crapule pourrait en profiter.
? Je saurai me défendre, mordre s’il le fallait ? dit-elle en riant.
? Eh ! Je n’ai rien fait, pourquoi on m’accuse ? se défendit Dany.
Après avoir traversé Tarbert la vue sur le loch correspond à la description qu’en a fait Patrick. Huguette pour profiter du paysage est obligée de se presser contre Dany. Par moment, pratiquement couchée sur ses genoux, elle a le nez collé à la vitre latérale. Dany malgré les timides dénégations d’Huguette, en profite pour lui peloter les seins. Les trémoussements d’Huguette ne lui permettent pas d’échapper au contact des mains de Dany.
? Cessez donc voyons ! ?
Mais le pelotage continue, les mains massent les seins à travers le tissu ; Huguette ne se défend que mollement. Dany en profite pour mettre une main dans le décolleté et attraper un des nichons qu’il presse nonchalamment. Puis il glisse ses doigts dans le balconnet et commence à pincer le téton, avant de faire gicler cette mamelle hors de sa cage.
Vous êtes un voyou, abuser d’une femme de mon âge ! ? Se contenta-t-elle de dire.
Laisse-toi faire, je veux juste te faire du bien.
Dany entreprend maintenant de sortir entièrement les seins des bonnets mais leurs volumes ne rend pas la chose facile. Il défait deux boutons du chemisier et une fois arrivé à ses fins, une fois les gros nichons d’Huguette à l’air, il fait rouler les tétons entre ses doigts. Plus ils les pince plus la dame ronronne. D’une main il dégrafe l’attache du soutien-gorge mais les bretelles l’empêchent de l’ôter complètement.
? Il y a des attaches sur les bonnets, pour le réglage, sinon ils descendent trop ? précise Huguette.
Après quelques tâtonnements, Dany réussit à défaire les attaches, deux petits crochets en forme de ? S ?. Il peut enfin retirer le soutif.
Vise un peu Patrick avec des trucs comme ça on pourrait se faire deux ? bobs ? pour se protéger du soleil !
Méchants, vous vous moquez, je vais regretter de vous avoir laissé faire.
On plaisante ! Allez assieds-toi un peu pour que Patrick puisse admirer tes nichons.
Malgré les plaisanteries, Huguette se redresse, le chemisier largement ouvert. Dany défait pourtant les derniers boutons du chemisier et lui met complètement les seins à l’air. Ils sont lourds et tombants mais gardent de l’allure. Patrick d’une seule main vient lui pincer un téton, Huguette sourit et laisse faire, Dany a pris l’autre téton entre ses doigts et le maltraite.
? Ils vous plaisent quand même ? ? dit-elle quémandeuse de compliments.
? Un peu qu’ils nous plaisent, ils sont pas de toute première jeunesse mais crois-moi on va leur faire la fête ? précise Patrick.
? En attendant ma belle, viens mater le paysage ? lui dit goulûment Dany.
Dany avait profité de cet intermède pour dégrafer son pantalon. De sa braguette pointe une bite qui n’attend que des familiarités. Huguette se rendant compte de la situation n’a pas le temps d’émettre un ? Oh ! Non ? que, déjà, Dany lui prend la tête et s’introduit de toute sa longueur dans la cavité buccale. Au contact du gland sur la luette, Huguette a un haut-le-coeur mais Dany lui imprime la cadence, il lui tient la tête des deux mains et incite la belle à s’appliquer.
Allez ! Suce ma jolie, suce ! Bien… Ouais comme ça… Allez vas-y… Joue avec la langue… Putain toi on peut dire que tu sais y faire !
Mmmmm ! Mmmmm !
Tais-toi et suces !
Mmmm ! Mmmm !
Ah la vache, elle va me faire partir, ça vient, allez avale tout ma belle !
Pour être sur d’être écouté, Dany lui tient la tête bien au fond, et lui asperge les amygdales. Huguette ne peut se retirer et avale tout pour ne pas s’étouffer. Les jets cessent et enfin elle peut se redresser.
T’es une sacrée suceuse ! Patrick, c’est la reine de la pipe !
Ne vous moquez pas de moi, je n’ai presque jamais fait çà.
Il faut que tu fasses une démonstration à Patrick, il faut qu’il voit ça !
Ah Non ! Pas deux de suite, j’ai failli m’étrangler avec votre semence.
Sois gentille, il faut que Patrick connaisse ça.
Bon je veux bien, mais Patrick vous me promettez de vous retirer avant de conclure, d’accord ?
C’est promis, mais il vous faudra un mouchoir pour éviter tout débordement.
A demi allongée sur le siège passager, Huguette entreprend de libérer l’objet. Après avoir ouvert la braguette de Patrick, elle extirpe du pantalon un membre tout à fait honorable.
? Oh ! La votre aussi est belle ? dit-elle en la prenant bien en main. ? Elle est longue, chaude, et qu’est-ce qu’elle est dure ! ?
? Tu le suces ou tu téléphones ? ? demande Dany.
Patrick, ne pouvant plus se retenir, enfourne sa bite au fond de la gorge d’Huguette, l’obligeant à cesser ses commentaires. Elle reporte son attention sur la tâche à accomplir, elle ne veut pas décevoir ses compagnons, et surtout elle veut que le qualificatif de ? Reine de la pipe ?, dont l’a gratifié Dany, ne soit pas usurpé. Pour cela, elle suce, pompe, tète, et va même jusqu’à malaxer les couilles de Patrick en les sortant elles aussi du pantalon. Le bénéficiaire ne sait plus ou donner de la tête car il doit, malgré tout, piloter le camion. Sentant le plaisir monter et comme promis, Patrick prévient la fellatrice :
Retires-toi, je vais tout lâcher .
Rapidement Huguette essaie de battre en retraite mais sa tête se trouve bloquée par le volant. De nouveau sa bouche est inondée et elle n’a d’autre solution que de déglutir cette nouvelle rasade de sperme.
? Pour quelqu’un qui ne veut pas avaler la fumée, chapeau ? raille Patrick.
? J’avais la tête coincée par le volant !! ?
? Alors, quel parfum tu préfères ?
? Vous êtes un peu plus salé que votre ami ? lui répond elle en riant aux éclats.
Après avoir remis un peu d’ordre dans leurs tenues, les membres de cette fine équipe prirent un moment de repos. Dany repensait à ce qu’avait dit d’Huguette.
Tu dis que tu n’as presque jamais sucé d’autres hommes, c’est donc que tu l’as déjà fait… Avec qui ?
Je ne vais pas vous raconter ma vie quand même !
Allez ! Sois sympa, dis-nous !
Avec mon mari, mais il n’aime pas ça, il dit que ce sont les prostituées qui s’adonnent à de telles pratiques.
C’est vraiment un con ton mec ! Et avec qui d’autres ?
Ben, c’est à dire, c’est un peu délicat, euh, avec son frère !!! ? dit elle en rougissant
T’es une sacrée chaude ! Avec ton beau-frère ! il aimait ça, lui ?
Oui ! Mais juste deux coups de langue et hop c’était fini !
En deux coups de langue il a craché son foutre ?
? Oui ! j’en avais plein le chemisier. ? Cette remémoration la fit rire.
Pire qu’un lapin ton beauf, et puis, c’est tout ?
Non, avec un livreur qui s’était trompé d’adresse, il était jeune et beau, comme vous. Après en me quittant, il m’a dit que j’étais un bon coup, c’était un gentil garçon.
Patrick et Dany sont d’accord, Huguette a l’air un bon coup et ils veulent en profiter au maximum et même en abuser, dommage que Glasgow ne soit plus très loin. Dany veut d’ailleurs continuer à s’amuser avec elle.
— Viens devant moi, et appuies toi sur le tableau de bord, j’ai envie de te peloter le cul.
Vous allez me dévergonder ! Vous n’en avez jamais assez, vous êtes un vrai obsédé.
Mais le ton est plus taquin que méchant et puis… la manière rustre avec laquelle ils lui ont fait sucer leurs queues l’a, malgré elle, plutôt émoustillée.
Huguette s’exécute donc. Appuyée sur le tableau de bord, ses fesses sont à portée de mains de celles de Dany. Celui-ci retrousse la jupe et admire le postérieur emprisonné par une petite culotte noire qu’il descend à mi-cuisses. Ses lèvres partent à l’assaut du joufflu, il est un peu flasque mais on devine un reste de fermeté. Il mord d’abord à pleines dents, sans trop de violence puis lèche la raie jusqu’au coccyx ce qui fait frémir Huguette.
Vous alors, vous avez vraiment de drôles d’idées, arrêtez, c’est sale !
Pourquoi tu n’aimes pas ? Ton cul a plutôt bon goût. Enlèves ta culotte, ce sera mieux !
? Vous êtes complètement fou ? dit-elle en ôtant le vêtement.
Ecartes un peu les jambes et penche toi. Patrick, regarde moi un peu ce cul, il est pas bandant ?
Dany part à l’assaut de ce cul offert. De deux doigts il branle la chatte béante, puis astique le bouton de la dame. Plaçant ses doigts en fourchette il continue à titiller le clitoris de l’index pendant que de son pouce, enduit de cyprine, il viole l’anus de la belle.
Oh ! Voulez-vous retirer votre doigt de là. Ooooh ! Vous êtes un sale pervers ! ?
Elle n’en pense pas une miette, car elle commence à tortiller du cul en se penchant davantage afin de bien sentir ce que ces doigts lui font subir.
Dany continue son manège : joignant le majeur à l’index, il pénètre profondément le sexe baveux pendant que le pouce, entre ses fesses, continue son office. Huguette ne sait plus trop ou elle en est, elle gémit, affolée par ces attouchements. Elle lance maintenant son bassin à la rencontre des doigts qui la transpercent, le plaisir arrive, elle grimace, il monte encore et…. Huguette prend son pied, il y a longtemps que cela ne lui est plus arrivé. Après ce plaisir un peu brutal une langueur l’envahie, elle reste accoudée au tableau de bord le cul obscénement offert.
Assieds-toi sur mes genoux, on dirait que cela ne t’a pas déplu ?
Huguette s’abaisse et Dany en profite pour ajuster son sexe a celui de cette femme qu’il ne connaissait ni d’adam, ni d’eve il y a 3 heures encore et l’enfile jusqu’à la garde. Il maintient sa prise en la tenant par les épaules, mais Huguette n’a aucune envie de s’échapper, elle sent ce membre qui palpite en elle et cela ravive son désir.
Oui, oh oui ! Il y a si longtemps ! J’avais oublié la sensation !
Ecoutes ma belle, je te montre comment faire, et après à toi de jouer.
Dany sort son membre enduit de cyprine et va le presser contre le clitoris puis il balaye l’entrecuisses d’Huguette. Au passage il pénètre le minou quémandeur mais ne s’attarde pas il continu jusqu’au sphincter qu’il sollicite d’une légère pression et il recommence plusieurs fois ce manège. Huguette a l’air d’apprécier le traitement.
C’est merveilleux, vous êtes le diable, mais pas derrière, c’est dégoûtant !
Faut pas avoir peur, je vais pas renter, c’est juste pour le plaisir. Allez maintenant débrouilles-toi !
Huguette prend les choses en mains, au propre comme au figuré, elle attrape le sexe de Dany par derrière tout en remuant ses fesses. Dany la laisse faire, mais accompagne les mouvements de la main d’Huguette par des coups de reins. Cette dernière apprécie les pressions de plus en plus fortes sur son anus. Ca lui provoque des frissons dans tout le corps, mais ce qu’elle préfère c’est la lente progression de ce phallus dans son anus, c’est divin. Petit à petit elle arrive à maîtriser l’élasticité de son anus et continue, de sa main, à enfoncer la queue de Dany entre ses fesses. Les frissons redoublent d’intensité.
Eh ! Tu disais que tu ne voulais pas que je joue avec ton trou du cul !
Oui, mais non ! Ne craignez rien !
Ce n’est pas moi qui ai quelque chose à craindre, fais ce que tu veux ma belle !
A chaque pression, l’anus se dilate un peu plus et, bientôt, la quasi totalité du gland disparaît entres les fesses d’Huguette qui ne contrôle plus la situation, ses sens ayant pris le dessus. Patrick observe la scène et a du mal à rester attentionné sur la conduite. Glasgow approche, ils sont désormais sur le périphérique de la ville, d’ailleurs un panneau indicateur annonce la bretelle ? Glasgow City – Glasgow Airport ?.
Patrick d’un signe de tête indique à Dany que c’est là qu’il doivent sortir.
Non, vas-y continue tout droit.
Cette phrase tire Huguette de ses occupations, elle aperçoit le panneau au dernier moment. Stupéfaite elle lève un bras pour le montrer au conducteur.
? Oh non ! Non ! ? gémit elle
En levant le bras, Huguette a perdu son appui, et s’est empalée en totalité, d’un coup, sur la bite de Dany. Surpris, celui-ci n’en revient pas de l’aubaine et la maintient fermement pour éviter une retraite trop rapide.
Lâchez-moi ! Retirez-vous ! Ca brûle, j’ai le derrière en feu !
Ne bouge pas, si tu te retires trop vite ça va être bien pire !
Vous êtes sur ? Ca brûle !!!
Attends un peu, attends que cela ce calme un peu, reste tranquille !
Oh la la ! Qu’est ce que ça brûle !
Dany passe ses mains autour de la taille d’une Huguette gémissante et doucement se met à lui titiller le clitoris.
Doucement ma belle, laisse-moi faire, quand tu n’auras plus mal tu pourras te relever.
Dany joue avec les grandes lèvres, introduit une phalange puis deux, Huguette semble apprécier ce type de calmant, la douleur s’estompe, son ventre frémit de nouveau.
Vous êtes gentil, continuez, ça fait du bien…
D’un doigt Dany astique le bouton, les plaintes d’Huguette reprennent mais cette fois ce sont des gémissements de plaisirs. Doucement elle se soulève pour échapper au pieu fiché entre ses fesses. A mi-course elle s’immobilise et après une brève hésitation, redescend pour s’empaler à nouveau.
? Tu as encore mal ? lui dit Dany.
Oui un peu, mais ça va… ça fait bizarre de vous sentir entre mes fesses.
Cette fois Huguette joue avec son bassin pour faire aller et venir le sexe dans son ventre, Prenant à nouveau appui sur le tableau de bord, ses mouvements prennent de l’ampleur, son cul monte et descend.
? Je deviens folle ! Je vais jouir par les fesses ! C’est honteux ! ? songe t’elle intérieurement
Dany continu à lui branler le clito à un rythme effréné, il sent que lui aussi va jouir, les plaintes d’Huguette s’intensifient. Elle prend son pied, pendant que Dany lui lubrifie les boyaux.
Eh bien ma petite dame on aime la bite au cul ?
Taisez-vous, j’ai honte, vous allez me faire rougir.
C’est ton cul qui a rougi, qu’elle idée aussi de s’emmancher comme ça !
Mais c’est de votre faute, quand j’ai vu qu’il avait loupé la bretelle, j’ai lâché prise, et là ! Catastrophe.
On ne l’a pas loupé ! On a décidé de t’emmener jusqu’en France, chaude comme tu es, on ne te lâche pas.
Vous êtes super sympa. Comme ça on aura le temps de recommencer par derrière ? demande t’elle avec une moue presque enfantine.
? T’inquiètes pas, au déjeuner je prends le volant et Patrick se fera un plaisir de te défoncer la rondelle ? répondit Dany, un sourire lubrique dans le regard.
Bustylove.
