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Les animaux de Priape – Chapitre 2




De retour chez nous, je questionnai évidemment ma femme sur ce qu’elle avait ressenti.

Elle me dit que, tant que les deux hommes l’avait sautée, elle n’avait éprouvée rien que de très normal encore qu’ils fussent tous les  deux d’excellents coups et que la belle taille de leurs bites respectives l’avaient bien régalée.

A la vue du chien cependant, elle avait senti une sorte de dégout et de panique, bien que l’air affable de l’animal la rassurât. Puis il avait commencé à lui lécher la raie et elle avait basculé dans un autre monde.

La langue du clebs, était très longue, très forte, très agile. Elle était très lisse d’un côté, comme du satin, et très rapeuse de l’autre et procurait une sensation complètement inconnue. L’orgasme vint rapidement et, dès lors, elle ne s’appartint plus. Il lui sembla alors que le chien lui parlait intérieurement et qu’elle devait obéir à tout ce qu’elle devait faire. Elle me décrivit ses sensations répétées d’orgasmes, les frissons nouveaux, les délices inconnus encore, que l’animal avait provoqués en elle… une succession de pieds énormes dont on n’avait pas idée.

Je décidai donc de la saillir sur le champ pour qu’elle me dise si elle ressentirait les mêmes choses. Je la montai en missionnaire pour mieux observer sur son visage ce qu’elle éprouvait. Je la défonçai sans aucune retenue. Il me sembla effectivement qu’elle s’éclatait plus que d’habitude malgré l’avalanche d’orgasmes qu’elle avait connue depuis quelques heures.

Quand j’eus joui à mon tour, elle confessa que c’était plutôt mieux que d’habitude mais sans aucune mesure avec l’empreinte de jouissance laissée par la grosse bite du chien dans sa chatte.

La nuit, ma femme eut mal aux seins et au sexe. Il fallut convenir que, comme on nous l’avait dit, leur aspect avait changé. La vulve était plus épaisse et formait un relief légèrement prononcé sous la culotte de dentelle. Les seins étaient, de fait, beaucoup plus gros au bout de 48 heures. Ils débordaient du soutien-gorge.

Nous décidâmes donc de retourner au temple de Priape.

Comme la première fois, Pacôme vint nous chercher avec le même cérémonial de bandage sur les yeux.

Mais, on nous sépara. Je me déshabillai et entrai le premier dans la chapelle où Pacôme, déjà revêtu de sa cape, m’attendait. Il me fit remonter sur le même siège et m’attacha. Je vis alors qu’on avait placé un gigantesque écran sous la voûte, sur le côté droit de l’alcôve dans laquelle se trouvait la statue de Priape.

Puis la pièce fut plongée dans l’obscurité. Seuls des projecteurs envoyaient sur le matelas central une lumière très vive qui m’empêchait de voir tout ce qui se passait autour. Mais j’entendis comme des frôlements, des froufroutements qui indiquaient clairement que des personnes étaient en train de rentrer dans la pièce.

Enfin Pacôme et Aldéric apparurent escortant ma femme. Il était évident que Pacôme bandait déjà sous sa cape. Il se recula légèrement, laissant Aldéric et Clara sous les projecteurs. Ils se tournèrent vers la statue de Priape, donc en me tournant le dos, et Aldéric vint se placer derrière ma femme. Il dénoua le lacet qui maintenait les deux pans de la cape qui glissa des épaules jusqu’au sol dévoilant la nudité rousse dans tout sa splendeur.

Puis il la prit par la main et lui fit faire le tour du tapis. De murmures sur les côtés me confirmèrent la présence de spectateurs.

Puis il revinrent sur le milieu du tapis où Pacôme les rejoignit. La lumière se fit moins vive,  des ombres apparurent ainsi, silhouettes nombreuses d’hommes portant capes.

D’un même mouvement, les deux prêtres de Priape, firent tomber leur vêtement, exhibant leur virilité triomphante. Aldéric se plaça face à ma femme, lui mit la main entre les cuisses, fléchit ses jambes et, tenant son sexe bien en main le guida vers les lèvres gonflées qu’une caméra discrète filmait sans arrêt, projetant l’image en gros plan sur l’écran pour que personne n’en perdît le moindre détail.

Le sexe entra lentement, presque cérémonieusement. Quand il fut au fond, Pacôme s’approcha par derrière, enfonça son chibre dans le cul jusqu’aux couilles avec la même lenteur calculée. Il passa ensuite ses bras sous les jambes et, à deux ils la soulevèrent pour la sauter en sandwich. La puissance des deux hommes leur assurait une belle assise. Ma femme avait penché sa tête en arrière sur l’épaule de Pacôme. Ses mains labouraient les tétons d’Aldéric. Ils restèrent ainsi quelques minutes le temps qu’elle se mit à gicler.

Alors, ils l’ exposèrent au sol et, en l’encadrant, ils se dirigèrent vers la statue de Priape. Il la laissèrent passer entre les sexes de pierre de Méfistophallos et du faune. Quand elle fut devant l’énorme biroute de la statue, plusieurs hommes, très costauds, vinrent les rejoindre. Une fois à poil autour d’elle,  Aldéric saisit un gode énorme. Les mecs  se mirent à genoux, les bras levés vers le Dieu du sexe.

Aldéric prit la parole : "Ô Dieu Priape, Phallus des Phallus, virilité des virilité, accepte le ctéis de cette femme que nous t’offrons pour que tu lui accorde fécondité". Puis, il s’agenouilla et plongea l’énorme olisbos dans le vagin que sa pine avait déjà bien contribué à lubrifier. Ma femme se pencha en avant pour saisir le monstre (qui avait l’air d’être sculpté dans le bois le plus dur) par sa base c’est à dire une grosse paire de couilles, et elle l’aida ainsi à entrer.

Quand elle y fut bien accoutumée, elle se mit accroupie pour aller et venir sur la grosse colonne qui lui écartait la chatte.  Aldéric se faisait lécher les boules pendant ce temps là. Les mecs autour bandaient comme des ânes.

Alors elle atteint un premier orgasme. Et à ce moment, on entendit une espèce de hurlement venu de nulle parle. Les mecs s’immobilisèrent, se tournèrent vers la statue de Priape et dans un cri d’invocation, Aldéric prononça : "Simia priapi".

J’avais assez de restes de latin pour comprendre qu’il s’agissait d’un singe. Ma stupeur était à son comble mais je me dis que j’avais mal compris.

Alors, le socle qui soutenait Priape s’enfonça un peu dans le sol de façon à ce que l’énorme zob fut à hauteur du sexe détrempé de mon épouse. Pacôme se mit à lubrifier le phallus de pierre et, quand cela fut fait, six mecs soulevèrent ma femme du sol, l’inclinèrent à l’horizontale et vinrent l’empaler sur  la grosse bite figée qui entra comme dans du beurre malgré son énorme diamètre.

Toujours portée par les types en érection, Clara se souleva pour attraper à deux mains le chibre qui la déchirait et ainsi mieux s’aider à glisser dessus. J’étais excité. Ma verge était dure à me faire mal et suintait abondamment. Je me dis que j’allais finir par jouir sans me toucher.

L’écran me montrait en détail  ce qui se passait pour mon épouse et je la vis devenir femme fontaine, sa chatte éclaboussant la statue alors qu’elle hurlait littéralement de plaisir. A ces cris répondirent d’autres hurlements animaux qui me parurent plus proches.

Ma femme fut alors amenée sur le tapis central où tous les mecs vinrent la sauter. Ils étaient au moins une trentaine, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Je sus après qu’ils avaient été sélectionné en fonction de la dimension de leur sexe en érection (et il y avait de fort beaux morceaux) ou par rapport à la quantité de sperme qu’ils pouvaient répandre en une éjaculation.

Aldéric distribuait les rôles. Cependant, un géant se détachait du lot, une marmule dont les mensurations me furent communiquées ensuite. Il mesurait 2,11 mètres pour 161 kilos et une queue de 20 cm. Ma femme paraissait minuscule à côté de ce monstre qui la monta en missionnaire. Les caméras avaient été coupées car elles ne donnaient rien d’autres que des vues de cuisses, de fesses, des fragments de corps de la foule de mecs en rut qui se pressaient sur le tapis. Néanmoins le cercle  se fit autour du couple et, de ma hauteur, je pus assister à toute la saillie. Le corps de ma femme avait entièrement disparu sous la montagne de sexe qui la grimpait et je ne pouvais voir que ses jambes écartées allongées sur le sol et ses mains ouvertes à la recherche de biroutes turgescentes.

Le gars y allait avec une belle ardeur arrachant à chaque fois que son nud percutait au fond du trou, un cri de jouissance. Autour on se pignolait ferme.

Le mec ne changea rien à la position et, avec une remarquable endurance il pilonna ma femme pendant une vingtaine de minutes, trop pour moi. Mon excitation étant à son comble, je jouis sans me toucher en longue saccades qui s’élancèrent pour me retomber sur le pubis ou les cuisses.

Cependant, le type arrivait au bout et il se retira pour se cambrer de toute sa hauteur et lâcher des jets puissants. Il y eu un nouvel hurlement, au loin, répercuté par l’écho des voûtes. Les mecs en chur applaudirent en criant comme des possédés : "Simia priapi, simia, priapi". Toujours ce singe de Priape… Mais je doutais qu’il s’agit d’un vrai singe.

Ma femme était désormais à califourchon sur un zob monstrueux, avec un autre dans la bouche et un dans chaque main. Pacôme s’essayait à lui forcer l’anus. Il y parvint sans trop de mal.

Les uns après les autres, les mecs déchargeaient, dans les mains, la bouche, entre les seins, dans le trou de balle, partout sauf dans le vagin. Quand chacun avait arrosé ma femme, il ramassait sa cape au sol et disparaissait. Il ne resta plus que Pacôme et Aldéric, qui secouèrent leur chibre en cadence au dessus de ma femme, bouche ouverte et langue tendue pour recueillir dévotement le précieux liquide. Leurs couilles se vidèrent quasiment simultanément et leur semence se mélangea dans la gorge affamée de foutre.

Pendant qu’ils éjaculaient les hurlements ne cessèrent pas, plus proches, toujours plus proches et très aigus. Quand ils se furent fait décrassé le nud, ils s’écartèrent.

Un cri animal, très puissant sembla venir de la chapelle de Priape, alors dans la pénombre. Ma femme se releva, et vint s’allonger sur l’autel. Les caméras, filmèrent en gros plan.

Subjugué par l’image, je ne vis arriver la bête qu’au dernier moment.

C’était effectivement une sorte de singe. Son visage était quasiment celui d’un babouin, mais avec les yeux plus écartés. Sa tête était très peu poilue comme le reste de son corps, à l’exception du dos, et de l’entre-jambes au contraire hyper velu; mais l’appareil génital était glabre. Il arriva  à quatre pattes mais, quand il fut auprès de l’autel, il se redressa. Debout, il était plus grand qu’un gorille. Ses bras et cuisses étaient très musclés et son cul ne ressemblait pas du tout à l’énorme bulbe rouge de ses congénères mais bien à des fesses d’homme, bien rondes, fermes, musclés quoique plus petites.

Son torse était noir, sculptural, les tétons proéminents. Les abdos ressortaient comme ceux d’un bodybuildeur avec un nombril saillant. Il se tenait presque comme un être humain mais les jambes plus fléchies et plus écartées.

Ses mains et pieds comportaient cinq doigts qui me parurent très longs et fins.

Il contemplait le corps allongé de Clara et la moule rouge qui apparaissait nettement offerte sous la très légère touffe de poils roux.

La bite du singe, qui n’appartenait à aucune espèce que je connusse, m’apparut minuscule à l’inverse des couilles énormes qui avaient l’exacte forme de grosse poires, très enflées vers le bas, frappant les cuisses de leur masse et plus étroites vers la base du pénis. Celui-ci ressemblait à un petit tuyau rouge qui ne devait pas être beaucoup plus grand que mon pouce. Je me demandais bien ce qu’il pourrait faire avec un zizi pareil.

Mais, le singe s’approcha et mit ses naseaux au dessus du sexe humide de ma femme frémissante. Il huma fortement. Alors son zob se métamorphosa. Il s’allongea en durcissant vers le bas d’abord puis se mit à prendre de l’épaisseur. Il commença alors à dessiner un arc qui commençait une belle ascension vers le ciel désormais. Le gland était tout petit, beaucoup plus étroit que la hampe mais le trou de pine était gros.

Au fur et à mesure que le diamètre augmentait, de petites excroissances, comme de minuscules boutons, apparurent sur toute la tige. La queue dressée, d’où s’écoulait un épais filet blanc, faisait au moins 25 cm et une circonférence de 18 à 19 ainsi que je pus en juger plus tard quand je fus plus près.

Le singe glissa ses bras sous les genoux de Clara, et l’attira à lui en forçant les jambes à plier et en amenant ainsi la chatte au bord de l’autel, puis, d’un coup sec, il la pénétra.

Clara cria et il me parut qu’elle s’évanouit. J’étais inquiet. Le singe allait et venait en elle avec lenteur, serrant fortement ses jambes et basculant sa tête en arrière en poussant des cris qui devaient correspondre à l’orgasme; puis il accéléra et l’écran afficha en gros plan le balancement de ses couilles comme deux gigantesques poids d’horloge.

Ma femme bougeait la tête de droite et de gauche. Elle reprenait ses esprits. Elle allongea ses bras derrière sa tête. Ses seins étaient très durs et dressés comme des obus. Il ballotaient en une danse obscène dont le métronome était la bite qui luisait en sortant à chaque fois de la chatte.

Puis le singe se mit à pincer les tétons. Il se pencha pour les bouffer et embrasser ensuite ma femme à pleine bouche.

Son agilité lui permit de remonter ses deux jambes sur l’autel en donnant un grand coup de rein qui repoussa le corps de Clara au milieu de la table.

Elle ramena ses genoux vers ses seins, soulevant ainsi sa croupe.

Le singe humecta ses doigts et en planta deux dans le trou du cul. Il sortit alors son sexe de la chatte pour enculer cette fraîche rondelle.

 Puis, toujours penché sur elle, il se mit à aller et venir du cul à la chatte. Elle s’agrippait maintenant à son cou.

Au bout de dix minutes il se retira et, la saisissant à pleines mains, il la retourna d’un coup pour la mettre sur le ventre. Puis il la prit par les hanches et releva ses fesses en arrière pour la monter en levrette. Elle avait les jambes pliées à 90° et tout le haut du corps posé le plus à plat possible pour bien tendre son cul à la bête.

C’est là que s’exprima toute la souplesse de l’animal. De ses bras, il se cramponna solidement au bord de la table, puis, il ramena ses pattes vers l’avant, les passant sous le corps de ma femme et, en bon quadrumane qu’il était, il put ainsi lui agripper les nichons, de sorte qu’il était littéralement plié sur elle, son sguègue profondément planté en elle, captive entre son corps qui lui couvrait le dos et ses pattes qui lui comprimaient la poitrine.

La scène était surréaliste, je me remis à bander.

Le singe se déchainait; il la bourrait sauvagement et elle gémissait de plaisir. Grâce aux caméras et à l’écran, je ne perdais aucun détail de cette vigoureuse saillie et quand le singe éjacula, je vis la jute dégouliner abondamment de la chatte.

Puisqu’il avait joui, le singe se retira. Sa quéquette avait déjà retrouvé sa taille minuscule.

Alors il mit ma femme sur le sol, à genoux, et il fit disparaître sa petite tringle rose entre les deux nibards.

Très vite, je revis s’épanouir la défonceuse dont la croissance entre les mamelles étaient une féérie. Quand le pieu eut retrouvé sa taille maximale, il saisit la tête de ma femme et plongea l’outil au plus profond qu’il put.

Les énormes couilles caressaient le haut de la poitrine et ma femme massait les petites fesses vigoureuses du singe frénétiquement.

Il criait comme font les singes en promenant violemment la tête de Clara d’avant en arrière pour qu’elle suce au mieux le gourdin. A nouveau il éjacula en se retirant. Je n’avais jamais vu un tel jet de foutre. La première giclée, très épaisse, partit très haut , à tel point que les gouttes retombèrent sur le nez et le torse du singe et sur le visage béat de la gourmande. Puis la fontaine se déversa en jets moins puissants mais il y en eu au moins une trentaine.

Clara dut s’essuyer les yeux pour débarrasser le sperme qui couvrait ses paupières afin de les ouvrir. Elle dut décrasser l’asperge avant de lécher les gouttes de semences qui luisaient sur la poitrine du singe. A nouveau il lui roula une pelle.

Elle était debout. Il la retourna pour qu’elle lui présente le dos. Il farfouilla son anus avec les doigts puis il la sodomisa. Il la souleva et fit reposer les cuisses de la belle sur ses avant-bras. Elle passa les siens derrière la nuque du singe. Ainsi il pouvait la faire sauter et coulisser de bas en haut sur son sexe. Les testicules dansaient lourdement.

Il émit un grognement qu’ Aldéric comprit. Il vint se mettre face à ma femme et l’enfila par devant. Entre la poutre du singe qui lui ramonait le cul et le dard du mec qui lui décapait le vagin, ma femme ne se retint plus. Elle qui ne parle jamais pendant l’amour, elle se mit à dire les pires saloperies : "Allez-y, déglinguer moi, pétez-moi le cul, remplissez-moi comme une outre…"etc.

Quand Aldéric fut sur le point de jouir, le singe se retira, il mit ma femme à genoux et, avec les mains lui écarta l’il de bronze pour qu’ Aldéric puisse décharger dedans. Quand ce fut fait le singe s’y plongea et il la remplit de sa crème.

Il s’allongea, à nouveau mou, mais en quelques coups de langues elle réveilla à nouveau le polard.

Face au singe, elle vint s’empaler le minou sur la colonne rouge. Elle se mit à aller et venir le long du chibre et à se comporter sans aucune retenue.

Elle écrasait sa grosse poitrine sur les pectoraux de l’animal qui, semblant avoir augmenté de volume, paraissaient beaucoup plus larges et puissants que ceux d’un homme. Elle frottait ses tétons contre ceux du singe qui étaient aussi gros et dardés que des capuchons de stylo bic.

Au bout de deux ou trois minutes la chatte se mit à suinter un épais liquide blanc qui ruisselait sur la hampe de la pine et sur les grosses couilles posées sur les cuisses de l’animal.. Celles-ci étaient agitées de petits mouvements semblables à ceux d’un gonfleur qui se remplit et se vide. Il éjaculait à n’en plus finir.

De temps en temps le mâle étendait ses énormes bras derrière sa tête faisant saillir ses biceps que la femelle caressait. Elle bouffait les aisselles et recherchait la langue simiesque qui alors lui entrait entièrement dans la bouche pour des pelles très baveuses. De toute évidence, elle rafolait de ce coït bestial.

Parfois, le singe la redressait pour lui peloter les nichons et les sucer. Il lui arrivait de les mordiller ce que je le voyais faire avec appréhension, ses dents étant pointues.

Cette baise frénétique durait depuis longtemps, le singe étant insatiable et ma femme, me paraissant d’une endurance hors du commun, réclamai à grands cris que ce rut continue.

Tout à coup, le singe émit une sorte de chanson qui n’était qu’un appel.

Le chien de Priape apparut alors, le même que précédemment. Le singe replia ses jambes vers les fesses de ma femme tout en continuant de la sauter. De ses mains, il écarta le trou de balle. Le chien n’eut qu’à venir directement y enfoncer sa bite. Et ainsi, il la pilonnèrent. Les caméras, en gros plan, ne pouvaient rien montrer d’autre que les testicules du chien qui pendaient jusque sur ceux du singe et qui pataugeaient dans la sauce. A peine apercevait-on les cuisses de ma femme dissimulées par les puissants membres de ses deux amants.

Le chien se mit à pisser également tout son foutre sans relâcher son va et vient. Ses coups de piston faisaient pression sur le liquide comprimé dans les chairs et qui s’échappait par giclées comme s’il se fût échappé d’un pulvérisateur. Les poils des animaux, les fesses, le dos de mon épouse et le sol alentour étaient inondés. L’odeur puissante du rut envahissait la pièce.

Le chien se retira. Mais avant qu’il parte, Clara se coucha sous lui pour lécher le pénis encore tendu et suçoter les couilles. Pendant ce temps, cuisses entre-ouvertes, elle offrait son con au museau de l’espèce de babouin dont la langue disparaissait bien profond dans l’habitacle à orgasmes.

A nouveau seul, le singe reprit possession du corps de ma femme en la sautant en missionnaire. Il se mit ensuite à genoux toujours maintenant son pieu planté bien à fond, la bloquant par une épaule et de l’autre main, lui caressant les seins ou le clitoris. Il bavait et sa salive se déversait sur le pubis dont la légère toison disparaissait sous un agrégat de boulettes de sperme plus ou moins figé. Il sortit son chibre et se masturba. Le visage et les seins de l’heureuse victime reçurent une nouvelle couche de jus. Alors le singe se fit sucer.

Placée en levrette, les mains branlant l’énorme zob dont l’extrémité disparaissait dans la bouche, Clara m’offrit ainsi sa croupe. Le singe cria, mes liens se défirent et je reçus l’ordre, comme si on m’avait parlé de l’intérieur, de venir faire mon travail.

Je m’approchais du couple. Le singe me parut ainsi plus imposant. De nouveau je reçus un ordre et  me précipitai vers la vulve. Elle était hypertrophiée, rouge vif, comme les fesses après avoir été si maltraitées. L’odeur de foutre était prégnante, écurante même et je dus pourtant lécher l’antre poisseux et goûter à la semence qui recouvrait et emplissait encore le sexe, sans que ma volonté y put faire quelque chose.

Des pendeloques de foutre s’accrochèrent à ma fine barbe et à mon menton, ma bouche était graisseuse comme si j’avais avalé une sorte d l’huile au goût salé.

Ainsi préparé, j’enfilai ma verge tendue dans le vagin dont la lubrification n’était plus à faire. Ayant déjà joui une fois, je fus plus longtemps à atteindre l’orgasme. Au fur et à mesure que mon plaisir se développait et que je me rapprochais du paroxysme, les effluves de foutre me devinrent agréable comme un parfum enivrant, un nectar dont je pouvais humer toutes les nuances et qui décuplait ma force, mon assurance et mon désir.

Quand, enfin mes couilles se vidèrent dans les entrailles de ma chérie, le singe, libérant sa queue au dessus de la tête de Clara éjacula une dernière fois. Comme il était face à moi, je reçus tout sur mon corps. Mon cou, mon torse et mes bras furent frappés d’une vague puissante et chaude qui comme un torrent se déversa sur mon nombril, recouvrit ma toison pubienne d’un napage onctueux qui la fit disparaitre et qui, enfin, s’accumula dans la raie du cul,  enduisant mon zob encore dur que je retirai et enfonçai encore une dizaine de fois, mêlant la jute de l’animal à la mienne dans le creux chaud et mouillé où ma bite avait exulté.

Le singe me fixa au plus profond de mon regard. J’y sentis comme une invitation et une promesse.

J’étais debout, pantelant. Ma femme gisait au sol, exténuée. Le singe me prit par les épaules et me fit une accolade des plus viriles. Il m’écrasa de sa force. Je sentis sa chaleur et son odeur et son sexe encore gros et trempé, mais qui diminuait rapidement, contre le mien. Puis il s’en alla.

Je m’ écroulai à mon tour à côté de ma femme. Nous restâmes sur place pendant des heures dans un profond sommeil.

Au réveil, nous étions secs et propres. Nous sortîmes de la chapelle.

Dans son bureau, sur son ordinateur, Aldéric classait des photos où un sexe énorme pénétrait une moule en écartant les lèvres qui adhéraient au membre rouge dans une succion magnifique. Je reconnus une scène dont j’avais été témoin. Tout avait été enregistré.

Je le regardai: "Alors"?

— Vous n’avez aucun souci à vous faire. Priape vous a donné des marques de son intérêt. Vous aurez une descendance.

— Quand le saurons nous ?

— S’il faut revenir, car Priape veut encore se réjouir en vous, vous le saurez. D’ici 24 heures, tous les deux, vous perdrez tous vos poils pubiens. Il n’en restera pas un seul. Ils repousseront plus denses que jamais dans les 24 heures qui suivront et il faudra revenir pour la troisième étape.

— Sinon ?

— Sinon ? Faites l’amour tous les jours et d’en moins d’un mois Clara sera enceinte.

Une fois les yeux bandés, Pacôme nous reconduit chez nous. Plus d’un jour s’était écoulé depuis notre départ. Il était plus d’une heure du matin. Je demandai à ma femme de me faire le récit de son expérience. Elle me dit qu’elle avait été comme hypnotisée mais consciente de tout et que jamais elle n’avait subi un si merveilleux traitement. Elle avait hâte et espoir de recommencer si cette fois elle ne tombait pas enceinte.

Nous fûmes nous coucher. Lorsque j’ôtais mon slip, tout mes poils  restèrent à l’intérieur. Mon pubis, ma verge, mes couilles, mon entre-jambes étaient lisses. J’interpellai Clara pour lui montrer :  "Regarde" !

Alors elle baissa sa culotte. Sa fine toison rousse  s’y était entièrement déposée.

Dans les vingt-quatre heures nos poils repoussèrent. Pendant mes heures de travail, j’allai plusieurs fois aux chiottes pour regarder mon sexe qui disparaissait d’heure en heure sous une toison brune tellement épaisse et bouclée qu’elle avait la douceur d’un tapis. Jamais je n’avais eu autant de poils. Quand je retrouvai Clara le soir, sa toison recouvrait entièrement son sexe. Elle était douce comme de la soie et d’un roux tirant vers l’or. Je ne pus faire autrement que de la bouffer. L’odeur en était parfumée d’une fragrance inconnue. Nous copulâmes deux heures durant. A la suite de quoi, je téléphonai à Pacôme pour fixer le prochain rendez-vous.

A suivre.

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