Ils sont sur la route depuis vingt minutes, et traversent une forêt. Charles et Anne. Elle conduit. Trésorière de lassociation t lui le secrétaire, ils vont à un rendez-vous. Femme de médecin, presque grande bourgeoise de naissance, belle, élancée, on murmure entre les réunions quelle a été mannequin un temps alors quelle était étudiante. Il nest pas du même monde même si sa situation professionnelle nest pas mauvaise, bien payée en tout cas. Un temps assez bon sportif il na plus lâge, mais continue davoir assez dactivité pour être en forme. Le jour se lève, un matin de printemps particulièrement doux et sec. Ils parlent de leur rendez-vous, ils se vouvoient, sorte de vouvoiement amical de gens bien élevés qui ne sont pas du même monde.
Ce vouvoiement le surprend toujours un peu, il joue le jeu cependant. Pourtant ces derniers temps elle a eu des initiatives qui lont "ébloui". Comme cest souvent le cas lors de réunions, les adhérents de lassociation on prit des habitudes et se mettent souvent aux même places, de réunion en réunion. Elle est souvent en face de lui. Il y a quelques temps alors quil laissait son regard errer plein dennui il sattarde un peu sur les genoux dAnne qui porte souvent des jupes un peu courtes et à sa grande surprise cest le moment quelle choisit pour écarter les cuisses, dévoilant un aperçu sur un tissu blanc entre ses cuisses. Il a détourné les yeux, plus troublé que gêné. Il avait oublié lorsque pendant la réunion du bureau la semaine dernière la même scène sest reproduite, à deux reprises et la deuxième fois, alors quelle sétait absentée quelques minutes, il avait porté ses yeux sur ces genoux intentionnellement "pour voir" elle a de nouveau écarté les jambes, lentement.., et elle ne portait plus de culotte, elle a ainsi offert une vue, dans lombre, sur une fente à peine masquée par une légère toison dorée. Il a lentement levé les yeux vers elle, croisant son regard qui semblait absolument indifférent.
Elle a mis le clignotant et se prépare à entrer sur un de ces parkings pour ramasseurs de champignons, randonneurs, et accessoirement camionnettes blanches aux bougies. « Je dois marrêter, excusez-moi ». Tandis quelle séloigne vers la forêt et disparait dans le chemin qui commence derrière les panneaux destinés aux touristes, il sort respirer lair du matin. Elle revient lentement, le regarde « Vous mavez suivie ? Je vous soupçonne dêtre un peu voyeur. ». Silence abasourdi « Comme vous le savez je suis un peu exhibitionniste ». Elle le regarde dans les yeux, un peu provocante « Je trouve ça excitant. Je crois Ça maurait plus de savoir que vous mobserviez pendant que jurinais le ventre à lair ». Malgré lui, il imagine, excité, vaguement agressé. Il la regarde : « Next time » langlais lui a échappé, un petit manque daudace. « Yes ! On the way back ». Elle la tenté et la ferré. Propre et net.
Et plus tard en fin de matinée, alors quil bande depuis quils sont remontés dans la voiture, au premier parking de la forêt au retour, elle met le clignotant : « Il faut que je marrête, excusez-moi ». Il descend, elle ferme la voiture qui cligne des phares. Il la suit à distance, comme un peu intimidé à lidée de ce qui va arriver, excité. Elle quitte le sentier pour sengager entre deux buissons de houx épais et sarrête, se tourne vers lui, remonte sa jupe assez haut pour dégager complètement son ventre, elle ne porte plus de culotte doucement elle saccroupit en écartant les cuisses il cherche une position pour voir saccroupit aussi, les yeux rivés sur la fente qui sentrouvre révélant des liserés roses le jet jaillit, elle le regarde espérant croiser son regard, il lève les yeux à ce moment là. Elle soffre cest du moins ainsi quil interprète léchange de regards il bande comme rarement, percevant dans la racine de son membre une force quil nimagine pas pouvoir laisser sans usage. Il regarde entre les cuisses, le clitoris apparait nettement, la fente semble ouverte. Elle se relève, hésite, un peu durine est tombée sur ses cuisses comme elle se relevait. Il ouvre son pantalon, sort son membre, lexhibe : »regarde aussi toi ! regarde comme tu me fais bander elle reste, interdite, et comme elle semble attendre il lattrape, la retourne et la pousse contre un arbre, elle proteste « Non, non, pas ça ! » il lui écarte les jambes, se colle contre elle le sexe raide glisse entre les lèvres, elle est trempée, il la prend brutal, la pénètre, pilonne son con, cogne ses fesses bruyamment, grogne, il sent son gland cogner au fond, elle jette sa croup vers lui quand il jette ses reins vers elle, ils grognent tous les deux, elle crie, ils explose dun coup et la giclée interminable qui linonde déclenche un orgasme incontrôlable, elle crie son plaisir, il essaie de la bâillonner de la main pour quelle nalerte personne sur ce qui est en train de se passer derrière le houx. Il vide ses couilles, elle se cambre pour mieux le garder le retient. Il se retire, remet son pantalon, la queue couverte dun mélange visqueux. Elle reste, la jupe remontée sur les hanches, de son sexe béant coule le même mélange.Il lui tend un kleenex, elle sessuie de la façon la plus impudique qui soit. « wooow tu es une bête cest exactement ce dont javais besoin brutal et animal Jen reprendrai bien une deuxième ration un peu plus loin »
Cest ainsi que tout a commencé. Un quart dheure plus tard, juste avant de sortir de la forêt elle mit à nouveau le clignotant. « Excusez-moi, mais je dois marrêter de nouveau ».
Comme elle remontait sa jupe pour découvrir son ventre, et ses cuisses sur lesquelles il pouvait voir quelques taches de son sperme, elle commence à se baisser pour uriner il sort son sexe pas encore raide et commence à uriner devant elle pas trop près pour quelle ne risque pas den recevoir et il a la surprise de la voir tendre la main puis lécher ses doigts. Quand il a fini duriner il avance, lui propose sa queue quelle prend sans hésiter, elle pompe, comme pour boire ce qui restait durine, puis pour le rendre aussi dur quelle le souhaite. Elle se redresse alors, se retourne se cambre écarte ses cuisses avec ses mains pour quil voie la fente béante « ENCORE ! ENCORE ! » Et la même scène se reproduit, dune baise bestiale, brutale, presque violente, elle est pilonnée comme elle ne lavait jamais été, son corps est violemment secoué à chaque contact, les peux claquent bruyamment, elle entend ses seins qui ballottent sous elle « PLUS FORT ! COGNE ! BAISE-MOI MMMMMMMMMMMMMMM elle explose, elle crie, irrépressible orgasme quil na pas le temps détouffer avec sa main, ou trop tard, surement on les entend. Il vide ses couilles à nouveau elle le retient à nouveau, et quand il se retire elle tombe à genoux pour prendre sa queue dans la bouche encore, elle tête sa queue ultra sensible, elle avale ce qui restait, et lèche, nettoiequand il remet sa queue dans son caleçon il est presque propre. Elle se lève et dépose un léger baiser sur ses lèvres, baiser collant quil napprécie quà moitié.
Lorsquils rejoignent la voiture, ils tombent sur un petit groupe de randonneurs qui les regarde avec attention et en souriant. En riant même quimporte. La voiture repart.
Sarrêt dans le village suivant. Anne entre dans les toilettes publiques.
Revenue dans la voiture, elle attend un moment. « jespère que nous recommencerons, mais jai un mari et un amant tu me donnes un plaisir inouï, dont je rêve depuis des années bestial mon côté animal je suis comme une femelle soumise au mâle pour une saillie et je mabandonne, je renonce à tout contrôle je crie ». . Silence Charles na pas moins envie quelle de reproduire ces moments il veut tout « Oui je comprends, cest un peu pareil pour moi je veux tout je prendrai tout tu comprends ? Je veux tout ton corps, tu ne me refuses rien la prochaine fois je veux tout ta bouche ton con ton cul à partir de maintenant je te prendrai comme une chienne ». Elle lembrasse légèrement, elle sest rincé la bouche ses lèvres sont fraiches. Il réalise quelle sest donnée, quelle la sucé, léché, nettoyé, pompé ils navaient pas échangé le moindre baiser « Cest exactement ça, je suis ta chienne, tu siffles et je viens pour la saillie. ». Elle réfléchit : « mais je te siffle et tu viens me couvrir, comme une bête ». « Parfait, on a de bons moments devant nous.
La voiture repart. Charles continue sans avoir lair « Vous navez pas trouvé que notre interlocuteur nous a quelque peu mené en bateau ? »