Un soleil brûlant, des tenues légères et des cocktails plus que de raison. On y est, c’est les vacances d’été. Cette année avec Karine, ma femme, nous avons décidé de partir en Espagne, proche de Barcelone. Nous sommes donc partis avec Juliette, une copine de ma femme. C’est une jolie célibataire de vingt-sept ans, toujours à la recherche de nouvelles sensations.
Elle m’a toujours beaucoup excitée. J’avoue m’être souvent masturbé en pensant à ses petits seins fermes et à ses fesses charnues et bien formées. Nous avons loué une petite villa bien sympathique. Un peu à l’écart du centre-ville et avec une piscine à notre disposition.
Cela fait maintenant deux jours que nous sommes arrivés. Les filles sont au bord de la piscine en train de bronzer. Je suis moi, en train de nous préparer un petit cocktail pour nous rafraîchir. Depuis la fenêtre de la cuisine, je peux les voir sur leur transat.
Elles sont, tous les deux, allongées, seins nus et lunette de soleil sur le visage. Leurs corps brillent sous l’effet du soleil sur leur fine couche de monoï. Je profite de cet instant pour les observer un peu. Elles sont vraiment belles toutes les deux.
Ma femme a des seins un peu plus gros que ceux de Juliette. Les petits seins de sa copine semblent être bien fermes et je peux voir ses tétons pointant légèrement. Une légère érection envahit mon maillot de bain maintenant.
J’essaye de me calmer avant d’aller leur amener leurs boissons.
Je prends donc les cocktails et vais leur apporter.
« – Voilà pour vous les filles ! » Je tends un verre à chacune d’elle.
Je reçois en retour, un merci de leur part accompagné d’un grand sourire.
« – Dis-moi mon chérie, peux-tu aller faire une ou deux courses s’il te plait ? On a fait une liste que nous avons laissée sur la table. »
Cela ne m’enchante pas vraiment, mais j’accepte en lui faisant un signe de la tête. Je prends donc la liste, j’enfile un tee-shirt et je pars faire les emplettes. Je mets environ une heure, il y avait beaucoup de monde. Je rentre dans la maison et pose les courses à la cuisine.
Je jette un coup d’il sur la terrasse, et là, j’écarquille les yeux. Ma femme et Juliette en train de s’embrasser. Pas un baiser que les filles font en soirée, mais un baiser langoureux, à pleine bouche.
La bouche de Karine, qui est assez épaisse et bien dessinée, entoure les lèvres de Juliette. Leurs langues sont en train de se mélanger, elles s’arrêtent de temps en temps et se regardent avant de reprendre de plus belle.
Je ne veux pas perdre une miette de ce spectacle. Elles ont rapproché leur transat. Laura est un peu de côté et je peux voir sa main courir lentement sur les cuisses de sa copine.
Ses mains remontent sur ses hanches et encore un peu plus. Elles atteignent maintenant le contour des seins de Juliette, pour en faire le tour, délicatement. L’érection que j’ai eue tout à l’heure n’est rien à côté de celle que j’ai à ce moment-là. Je commence même à me caresser par-dessus mon maillot de bain.
Karine redescend ses mains et en passe une dans le bas de maillot de Juliette. Elle caresse maintenant son entre-jambe, doucement et délicatement. La coquine écarte un peu les cuisses pour encore mieux sentir les caresses de sa copine. De ma position, je peux voir qu’elle est en train de lui caresser le clitoris.
Son mouvement s’accélère et leur embrassade devient de plus en plus torride. Juliette fait des petits mouvements de bassin sous l’excitation. Elle descend sa main et fait glisser son bas de maillot de bain sur ses cuisses, puis l’enlève entièrement. Sa chatte est maintenant bien à ma vue.
Son sexe est entièrement lisse et ses lèvres sont petites et fines. Mon maillot va exploser, je suis obligé de le retirer pour laisser sortir ma queue. Elle est tendue comme jamais et je la branle maintenant plus rapidement.
Leurs ébats prennent une nouvelle tournure quand ma femme décide de se lever. Elle retire à son tour son bas de maillot de bain. Quelle vision pour moi.
Ces deux beautés son entièrement nues, à quelques mètres de moi. Juliette s’installe sur le dos sur le transat et Laura vient mettre son visage à la hauteur de son sexe déjà un peu humide.
Sa langue sort de sa bouche et vient lécher entièrement et goulument la petite chatte de sa copine. Elle a les jambes écartées et se caresse les seins en lâchant quelques gémissements. Ça y est, elle s’occupe de son clitoris, qui parait déjà bien gonflé. Elle le suce, le lèche énergiquement, ce qui excite sa copine encore plus.
Elle vient insérer un doigt dans sa chatte, ce qui lui fait lâcher un gémissement un peu plus fort que les autres. Leur rapport devient un peu plus virulent, de même que les mouvements sur ma bite.
Un deuxième doigt vient entrer dans sa cavité, le bassin de Juliette décolle du transat sous chaque aller-retour. Elle prend vraiment son pied et est dans un état d’excitation encore plus fort.
Je jette un coup d’il aux alentours, nous sommes tout de même dans un quartier résidentiel. Et là, nouvelle surprise. Le voisin de la villa à ma gauche est dans le jardin, au bord de la clôture, à peine caché derrière un petit buisson. Il a sa bite à la main.
Une bite d’une telle taille, qu’il ferait passer la mienne pour celle d’un enfant de dix ans. Il m’entrevoit par la baie vitrée que j’ai également le membre en main, mais il n’a pas l’air gêné par la situation, et me sourit tout en continuant de s’astiquer la verge. Le lui rend le sourire, mais je suis beaucoup moins à l’aise que lui.
Je continue de regarder les filles se faire du bien et je jette quelques regards de temps à autre sur mon nouveau copain de branle.
J’ai discrètement entre ouvert la vitre de la cuisine, pour entendre encore mieux leurs gémissements et leur conversation.
« – Tu as vraiment l’air d’aimer ça ma Juju hein !
— Oh oui Regarde comment je suis déjà toute trempée. Viens poser ta petite chatte sur ma bouche aussi que je te fasse du bien à mon tour. »
Laura pivote et enjambe sa copine. Elles sont en position soixante-neuf. Juliette n’attend pas une seconde et commence à lécher ma femme pendant que cette dernière reprend de plus belle son travail.
Chacune d’elles insèrent des doigts à l’autre, les gémissements grandissent et s’intensifient. Elles gesticulent dans tous les sens.
Ma branlette s’accélère aussi et celle du voisin également. Je pense que je ne vais plus tenir bien longtemps.
« – Vas y Karine, tu vas me faire jouir ! » Lui dit-elle avec trois doigts au fond de sa chatte trempée.
« – Oh oui, on va jouir en même temps, continue ! »
Les gémissements se sont transformés en petits cris, ce qui fait monter un peu plus mon jus en moi. Ma tête est toute retournée également.
Je me dis que je vais les voir, jouir, les voir, avec la bouche pleine de cyprine.
« – Oh c’est maintenant Ça vient. Oui ! » Juliette est en train d’avoir un orgasme. Ses ongles se plantent dans les fesses de ma femme et elle crie encore plus fort, des cris étouffés par la chatte de ma femme qui se colle à sa bouche.
« Je vais venir aussi, mets-moi un autre doigt Profond Vas-y !!! » Juliette s’exécute et un orgasme simultané envahit les deux copines.
Des petits jets de mouille viennent sur le visage de Juliette accompagné de petit tremblement. Les souffles ralentissent, et les cris redeviennent des petits gémissements.
Elles continuent de se lécher, doucement et plus délicatement, pour ne pas perdre une goutte de leurs liquides respectifs.
C’est à ce moment que ma queue décide d’expulser puissamment tout mon jus. Je ne peux m’empêcher de lâcher un râle de plaisir.
Un peu trop fort apparemment, puisque les filles se retournent simultanément vers moi. Je ne sais pas quoi dire ni quoi faire.
Je reste immobile, elles me font un grand sourire complice, auquel je réponds timidement en jetant un coup d’il au voisin qui m’accompagner dans ma masturbation.
Sa queue immense était encore tendue comme un arc, je pense qu’il n’a pas encore éjaculé. Les regards de Juliette et Karine suivent le mien et viennent à la rencontre de celui du voyeur.