C’est bien ma jolie, ton dressage quotidien commence à donner de bons résultats.

Il est parfois un peu sévère mais tu sais que c’est pour ton bien.

Aujourd’hui, vendredi je rentre un peu plus tôt que prévu et trouve notre appartement soigneusement rangé.

Des bruits d’eau proviennent de la salle de bain et, comme il fait un peu chaud, je me déshabille, en dispersant négligemment dans le salon vêtements et chaussures, pour ensuite aller te rejoindre.

Dans ton bain chaud et parfumé, et non sans une certaine frayeur, tu es surprise de me voir entrer sans prévenir.

Tandis que je regarde avec plaisir tes petits seins pointus parsemés de gouttes d’eau, nous discutons affablement de nos journées respectives, de nos boulots, de ta patronne qui te drague toujours

Je remarque cependant la poire de lavement anal qui traine sur le lavabo et je te complimente sur le fait d’être toujours prête à subir tout ce que je désire, quand je le désire et sans tergiverser. En rougissant un peu tu acquiesces docilement. Oui tu es très obéissante.

Puis je t’ordonne de sortir maintenant de ton bain et tu t’exécutes aussitôt. Sur ton corps charmant l’eau chaude coule encore, jusqu’à ton pubis, pour se disperser finalement à travers une douce toison bouclée.

Je t’enveloppe alors dans une grande serviette et te frotte vigoureusement, tes seins tressautent tandis que tu souris les yeux mi-clos.  

Pendant ce temps, ta petite main chaude et mouillée descend jusqu’à mon sexe qui a déjà commencé à grossir d’une façon très prometteuse, tu me branle langoureusement, la bouche entrouverte ton visage prends un air sérieux.

La serviette de bain tombe par terre et je pose fermement mes mains sur tes épaules, dans un geste explicite auquel tu obéis immédiatement pour t’agenouiller devant moi, à ta place.

Tout en me caressant la queue d’une main et les couilles de l’autre tu léchouilles mon gland bien gonflé avant d’ouvrir grand la bouche et d’avaler le plus de chair possible. Tes joues sont déjà pleines mais je force encore, mes mains sur ta tête, en t’enjoignant de bien t’appliquer. C’est bien, tu es une gentille fille, ton cou menu ondule dans un mouvement de va et vient plein de gourmandise, tu as bien appris à humidifier tes lèvres qui glisse avec douceur le long de mon sexe.

Maintenant lève-toi, mets toi contre le mur. Tu obéis promptement et colle tes mains contre le carrelage pour m’offrir ton adorable cul. Je te demande avec une grande fermeté de bien te cambrer pendant que je te caresse les épaules, les hanches et les seins comme l’objet que tu es et qui m’appartient. Ma main glisse entre tes fesses et titille un instant ton minou frémissant, aux lèvres gonflées. Tu laisse échapper un bref gémissement mais je remonte plus haut et touche ton anus car c’est par là que je vais m’introduire. Tu es bien dressée maintenant, et tu devines ce qui t’attend, alors comme il se doit de la part d’une femelle subordonnée tu écartes les fesses avec tes mains pour m’offrir le passage.

Je tends mon bras pour attraper le tube de gel lubrifiant et commence à t’enduire doucement, introduis un doigt, puis deux, en forçant un peu, rajoutant du gel, en te disant d’être bien sage.

Enfin je pose mon gland sur le seuil encore bien serré, malgré les nombreuses fois où je t’ai déjà vigoureusement enculée.

Je vois sur ta peau tendue, gracieuses estafilades, les marques de ta dernière punition, et je donne un bon coup de rein, en te tenant si fermement que tu ne pourras pas t’échapper de cette solide étreinte avant d’avoir satisfait mon désir.

Je m’enfonce de plus en plus profondément en toi, ton visage alterne entre grimaces de souffrance et de plaisir, je continue sans me soucier de tes sentiments. Maintenant ma queue a pris entièrement possession de ton ventre, bordée par ton anus très dilaté, elle rentre et sort dans un rythme brutal, animal.

Tu es bel et bien complètement possédée, ton corps est l’ornement de mon sexe, un objet charnel utilisé pour ma jouissance.

Tu te trémousses et pousses des cris incontrôlables, ta bouche grande ouverte est légèrement tordue, quelques larmes coulent de tes yeux, on dirait que tu cherche à t’échapper, tais toi, c’est moi qui décide, je resserre mon étreinte de plus belle et tu te prends tout, tout au fond de toi, plusieurs grandes giclées de foutre chaud, bien gluant

Un long moment je reste collé à toi, le temps de me vider pleinement dans ta chair résignée.

Puis je me retire lentement de ton cul, poisseux de gel et de sperme, tandis que tu halètes en attendant mes directives.

J’essuie ma queue sur tes fesses et t’autorise à aller te rincer.

Pendant que tu t’assois sur le rebord de la baignoire pour te nettoyer avec la douche, je me campe tout près de toi et pisse dans le lavabo.

Ce faisant je te demande d’aller chercher la cravache en précisant que tu vas avoir droit à dix coups.

Tu prends un air surpris en me demandant pourquoi cette punition. Alors je t’informe que c’est le bazar dans le salon et que des vêtements trainent partout. Tu me parles d’injustice que tout était en ordre avant mon arrivée.

Mais tu as oublié que tu n’as rien à me demander, et que tu ne dois jamais me contredire, que je fais tout ça pour ton éducation, bien compris ?

Pour la peine je porte la punition à vingt coups.

Un frisson incontrôlable parcourt ton corps, je vois tes yeux briller et un léger sourire éclairer ton visage.

Puis tu baisses la tête et me réponds : oui, bien compris, merci !

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