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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 53




— Claire ? Claire ? Réveille-toi, Claire !

La jeune fille cligna faiblement des yeux. Erika était penchée sur elle et affichait une mine inquiète. Les récents évènements lui revinrent en mémoire et elle sursauta en regardant tout autour d’elle de manière paniquée.

— Ça va, c’est bon ! La rassura Erika en posant une main chaleureuse sur son épaule. Ils ne sont plus là. On est en lieu sûr.

— Où … où sont-ils ? Qu’est-ce qui s’est passé ?

Son regard parcourut les environs à la recherche d’éléments pouvant lui indiquer où elles se trouvaient. L’endroit ressemblait à un bureau. Il y avait un secrétaire délabré, une vieille chaise, des vitres casées faisaient office de paroi, un homme attaché à un radiateur, quelques livres déchirés jonchant le … Elle se leva subitement en prenant conscience de la présence de l’inconnu. Elle le reconnut immédiatement : c’était l’un de leurs poursuivants.

— Aah ! Cria-t-elle de peur. Mais qu’est-ce qu’il fout ici, lui ?

— Relax, Claire, il est attaché.

— Mais … comment … qu’est-ce que … tu … ?

— Essaie de te calmer, je vais t’expliquer.

La jeune fille s’assit sur le bureau et contempla, abasourdie, l’homme qui lui faisait face. Il possédait une tête plutôt ronde et une barbe de trois jours lui mangeait les joues. Son regard, tirant entre le brun et le gris, se voulait méprisant mais il ne parvenait pas à dissimuler une légère appréhension. Il avait l’air plutôt baraqué sous ses habits militaires.

— Bon, déjà, quels sont tes derniers souvenirs ? Demanda Erika.

— Heu … je … nous nous sommes enfuies dans le bâtiment en ruine mais ils nous ont suivies. Ensuite, il y en a un qui m’a plaqué au sol, je me suis débattue mais il était bien plus fort que moi. Et après … plus rien.

Erika acquiesça.

— Si tu ne te rappelles de rien, c’est à cause de moi, avoua-t-elle, la mine basse. J’ai lâché mon pouvoir mais je … enfin … j’étais tellement en colère que … bref, il était trop fort. Je ne l’ai pas fait exprès, j’étais si furieuse que … que … je t’ai touché, toi aussi. Les hommes qui nous poursuivaient se sont immédiatement effondrés et vous vous êtes tous mis à vous contorsionner sur le sol. Tu étais prise de spasmes, Claire, c’était terrifiant. Surtout que je ne savais pas du tout quoi faire.

Claire vint s’asseoir à côté de sa grande sur et la prit par les épaules tout en la frictionnant affectueusement.

— Que s’est-il passé ensuite ? Demanda-t-elle.

— Je t’ai prise sur mon dos et je t’ai emmenée ici. C’est une usine désaffectée. Il y a bien l’un ou l’autre clodo mais ils ne m’ont pas vu entrer. Je t’ai déposée ici, et, comme j’ai vu que tu étais juste assoupie et que tu allais bien, je suis retournée à la maison en ruine. Les six hommes étaient toujours endormis. J’en ai traîné un jusqu’ici en faisant attention à ce que personne ne me voie et je l’ai attaché avec ses menottes.

Le silence s’installa. Claire lorgnait l’homme avec dégoût et mépris. Elle se tourna vers sa sur :

— Merci, dit-elle simplement.

Erika sourit.

— Et … poursuivit Claire en baissant honteusement les yeux, je suis désolée d’avoir perdu mon sang-froid. Je sais que je n’aurais pas dû appeler Morgane tout à l’heure mais … enfin je ne voulais pas que … qu’ils … qu’ils la prennent … je voulais pas …

Des sanglots secouèrent son corps et des larmes se mirent à rouler douloureusement sur ses joues.

— Je voulais que Morgane sache … qu’on était là … je voulais pas … Je suis désolée …

— Hey, ça fait rien, Claire, tenta de la calmer l’aînée en la prenant dans ses bras. Je sais bien que tu ne voulais pas nous attirer d’ennuis. Et je pense que tu as bien fait, ça nous a permis d’en capturer un …

— Oui, c’est vrai, approuva la jeune fille en séchant ses pleurs. Qu’est-ce qu’on va faire de lui ?

— On va l’interroger, bien sûr.

— Ouais, c’est ça ! Intervint l’homme pour la première fois. Vous pouvez toujours courir pour que je vous dise quoi que ce soit ! Et si vous comptez me frapper, c’est pas avec votre poids plume à toutes les deux que vous allez pouvoir faire grand-chose.

Les deux surs se tournèrent lentement vers lui et le toisèrent avec arrogance. Erika s’agenouilla à ses côtés et plongea son regard dans le sien.

— Qui t’a envoyé ?

L’homme partit d’un rire méprisant.

— C’est ça votre technique ? Me regarder et me poser une question ? Va chier ! Tu m’entends ? Va chier !

Erika jeta un regard de biais à se sur un et sourire cruel étira très légèrement la commissure de ses lèvres. Étrangement, cela parut faire plus d’effet à l’homme attaché parce que son rictus s’évanouit derrière un masque d’incertitude. Il se demandait toujours comment une fille avait pu mettre K. O. lui et ses collègues en un laps de temps aussi court et cette zone d’ombre le glaçait d’effroi.

— Tu sais, j’ai lu récemment sur internet qu’un homme était mort après s’être masturbé près de 40 fois en une journée.

— Hein ? Fit l’homme, pas certain de bien avoir compris.

— Maintenant, j’ignore complètement si c’est vrai. Je pense que c’est le moment de savoir …

— T’es cinglée ou qu … OoooOoh ! Gémit-il en se pliant en deux.

— Ça fait un, sourit Claire en venant se placer de l’autre côté de l’homme. Profite du plaisir parce que ça ne va pas durer …

Elle lui tira son pantalon et son caleçon jusqu’aux genoux, libérant ainsi un sexe poisseux de sperme. L’homme haletait.

— Attendez, qu’est-ce que vous … Mmmh aaah putain !

Son membre viril cracha un petit jet de foutre qui se perdit sur le parquet du bureau.

— Et de deux ! S’exclama joyeusement Claire. Attends un peu, Erika. Je sais pas pourquoi mais ça m’excite …

Elle se pencha en avant et engouffra entièrement la queue à moitié en érection dans sa bouche. Elle déglutit avec volupté et fit courir sa langue sur la longueur du sexe pour en récolter toute la semence.

— Comment vous faites ça ?! S’écria l’homme.

— Dis-nous plutôt comment tu t’appelles.

— Non ! Aller vous faire … Ooooh la puuuute, geignit-il, les yeux révulsés et le visage tout rouge.

Claire reçut le foutre juste sous son il droit. Celui-ci dégoulina onctueusement sur sa joue avant dêtre récolté par sa langue.

— Trois. Dis donc, tu as encore du sperme après trois orgasmes, pas mal du tout !

— Mouais, avoua Erika, c’est pas mal pour un homme. Mais bon, tu ne me battras jamais. Moi, j’avais encore du sperme après mon 17ème orgasme.

— Quoi ? Mais ça n’a aucun putain de sens ! Vous êtes cinglées bande de salo … AaaAaaah meeeerde !

Claire se prépara à recevoir une nouvelle salve mais seule une timide goutte sortit du sexe de l’homme.

— Hihi on dirait qu’il est à sec, s’esclaffa Claire en donnant un coup de langue pour récolter ladite goutte. C’est même plus du sperme, on dirait de l’eau. Peut-être qu’en fouillant un peu plus je peux trouver quelque chose …

Elle enfonça le chibre tout au fond de sa gorge et se mit à aspirer comme une démente. Elle effectua de grands allers-retours avec sa bouche, espérant arracher les ultimes gouttes de sève du pauvre homme.

— Alors, tu ne veux toujours pas nous dire ton petit nom ? S’enquit Erika.

— Ah putain … Je … Ben … Benjamin ! Je m’appelle Benjamin.

— Eh bien voilà, on progresse ! Tu vois que quand tu veux, tu peux.

Benjamin transpirait fortement et haletait aussi fort que s’il venait de faire le sprint de sa vie. La jolie brunette s’échinait toujours sur son sexe avec frénésie. Elle le pompait comme si elle voulait le vider de toute sa substance. C’était douloureux. Il avait l’impression d’avoir du sable à la place des couilles et du verre dans la queue.

— Laisse-moi te dire, mon cher Ben, que tu as très bon goût. Bon, tu n’es pas aussi bon que ma sur, il faut pas déconner hein, mais jaime bien.

— Hein ? Mais bordel vous êtes deux putains de barjos ! Vous … Ooooh stooop ! Mmmh putain !

— Ah Ah, pas de gros mots, s’il te plaît, l’arrêta Erika.

— Et de cinq ! Décidément, il n’y a vraiment plus rien. C’est dommage, j’en avais encore envie …

Erika sourit intérieurement. À peine quelques minutes auparavant, sa petite sur avait le moral dans les chaussures et semblait complètement désespérée et il a suffi de lui présenter une queue pour que tout aille beaucoup mieux. C’était comme donner une sucette à une enfant.

— T’inquiète, frangine, il y en a toujours ici.

Erika baissa son legging et sortit sa verge. Claire sauta de joie et goba aussitôt l’appétissant sexe luisant.

Benjamin observa la scène avec des yeux ronds d’incompréhension. Il contempla la fille aux cheveux noirs caresser la tête de l’autre folle pendant que celle-ci lui faisait … une pipe ! Une pipe, putain ! A sa propre sur ! Mais comment est-ce qu’il en était arrivé là ? Pourquoi il avait fallu que ça soit pour sa pomme ? Il ne devait y avoir sur terre que deux putains de gonzesses incestueuses et complètement givrées du ciboulot comme elles et il fallait que ça tombe sur lui !

Erika jeta un coup d’il à l’homme.

— On ne dévisage pas les gens comme ça voyons.

— Non ne … AAaaAhh Puuutaiiiiiin ! Arrête-ça bordel !

— Et pas de gros mots !

— Mmmh Ooooooh Stop, stop, je t’en … supplie …

Claire sortit la queue de sa bouche et s’écria joyeusement :

— Et deux pour le prix d’un. Déjà sept orgasmes !

Et elle ravala promptement la queue de sa grande sur, calant celle-ci le plus profondément possible en elle…

— Aah ça fait mal, gémit l’homme en se tordant de douleur. Arrête, je t’en supplie, arrête.

— Je t’avoue que ça m’excite de te voir souffrir comme ça, lança Erika. Regarde ça, je suis toute dure. Demande à Claire, tu me donnes une de ces triques !

— Vous êtes folles, putain ! Vous êtes complètement folles !

— Tu es prêt à coopérer ?

— Plutôt crever !

— Si ce n’est que ça …

— OOOoooohhh ça fait maaaaal ! Mmmh j’en peux plus ! Ça brûûûûûle !

— Ne t’en fais pas. Comme je te l’ai dit, tu peux encore tenir au moins 30 fois ! Regarde.

— Aah non ! AaaAaaahhhh.

Erika projeta son pouvoir pendant une longue minute. Benjamin se contorsionna en hurlant sans retenue contre le radiateur comme s’il était plongé dans un bac d’acide. Lorsque l’aînée mit fin à son pouvoir, il s’écroula sur le sol, son corps uniquement retenu par les liens. Il haletait et donnait l’impression d’être évanoui.

— Alors, questionna Erika, pourquoi tu t’en es pris à nous ?

Une larme de douleur roula sur la joue du pauvre homme attaché. Il semblait hébété, incapable de formuler quoi que ce soit. Un filet de bave coula de sa bouche

— P … parce que … vous …

— Oui ? L’encouragea Claire qui venait de lâcher la verge de sa sur pour écouter la réponse.

— Parce que … vous … vous n’êtes qu’une bande de salopes en manque de baise. Espèce de cinglées congénitales bonne qu’à sucer des queues ! Garage à bite ! Allez vous faire foutre, putain !

Erika soupira de frustration et Claire lui lança un coup d’il interrogatif.

— Bon, tu l’auras voulu.

Benjamin gémit de peur et se recroquevilla contre le radiateur dans l’attente du terrible orgasme … qui ne vint jamais. Il jeta un coup d’il par-dessus son épaule et vit que la jeune fille aux cheveux noirs affichait un air incompréhensif.

— Qu’est-ce qu’il y a ? S’enquit Claire.

— Je … je ne sais pas … je crois que je suis vide …

— Vide ? Comment c’est possible ?

— Je n’en sais rien. C’est comme si je n’avais plus de pouvoir.

— Plus de pouvoir ? S’inquiéta Claire. Mais …

— Ne t’en fais pas, je sens qu’il est toujours là mais il est simplement épuisé …

— Oh, je vois. Je ne savais pas qu’il pouvait s’épuiser …

— Moi non plus …

Erika se tapota songeusement le menton. Elle posa ses yeux sur leur prisonnier et vit que ce dernier adoptait une expression pleine d’espoir et laissait même germer sur ses lèvres un sourire narquois.

— Ne t’en fais pas, mon beau. On va trouver une solution pour te faire parler.

Il maugréa quelques insultes indistinctes mais Erika crut discerner les mots : « folle » et « pute en manque de … ». Elle baissa les yeux et se mit à réfléchir.

La main de sa sur était toujours enserrée autour de son sexe et le branlait doucement. La peau couvrait et découvrait le gland rougeâtre qui laissait s’échapper un peu de miellat transparent. Les lèvres d’Erika formèrent lentement un sourire cruel et son regard dénué de la moindre once de compassion se posa sur Benjamin.

Sans rien savoir des plans tordus qui avaient pu naître dans l’esprit de cette folle, il se mit à blêmir et à trembler. Il crevait de mal au sexe, il en avait marre et voulait rentrer chez lui …

— Quoi ? S’impatienta Claire. Tu as une idée ? Dis-moi !

— Oui, j’ai une idée …

— Vas-y, crache le morceau !

— Je crois que ça va te plaire …

— C’est quoi ? Allez, dis-moi !

— On va … l’enculer.

Claire ouvrit de grands yeux surpris

— Quoi ? Mais … heu … Tu es sérieuse là ?

— Tout à fait.

— Je ne sais pas … Et si jamais il prenait du plaisir à ça ?

Elles tournèrent toutes les deux leur regard vers Benjamin. Ce dernier était devenu encore plus blanc. Une profonde terreur se lisait sur son visage et il semblait que son esprit avait momentanément quitté son corps. Il n’en revenait tout simplement pas que de tels mots aient pu être prononcés, et par une fille de surcroît !

— Tu as raison, admit Erika avec une moue pensive. Ce serait contrariant qu’il prenne son pied … On a qu’à l’enculer toutes les deux !

— Oh ouiii ! S’exclama la brunette en sautant de joie.

Elle se leva et baissa son pantalon avant de s’en débarrasser d’un coup de pied désinvolte. Ses deux hampes en érection jaillirent de sa culotte comme deux beaux diables prêts à commettre une mauvaise blague.

Benjamin se retrouva face à deux folles et trois queues qui le lorgnaient sans aucune pitié.

Il hurla à s’en déchirer les cordes vocales.

— Aaah non ! Arrêtez ! C’est bon, je vais tout vous dire ! Je vous en supplie, ne faites pas çaaaaa !

Il se mit à pleurer à chaudes larmes en serrant son radiateur comme un condamné à mort s’accrocherait aux barreaux de sa cellule.

— Je crois qu’il faudrait quand même le sodomiser, réfléchit Erika tout haut. Au cas où il ne nous dirait pas la vérité …

— Je vous dirai la vérité, sanglota Benjamin. Je vous dirai tout … tout ce que vous voudrez savoir mais, s’il vous plaît, ne faites pas ça … ne me faites pas ça, je vous en conjure …

— Qui êtes-vous ? La police ? L’armée ? Questionna Claire.

— Rien … rien de tout ça, se dépêcha-t-il de répondre de peur que les deux malades ne le croient pas. Nous sommes des mercenaires, on nous a demandé de nous faire passer pour des policiers.

-« On » ? Qui vous l’a ordonné ? Martela Erika.

— Je n’en sais rien. Il ne nous a pas montré son visage.

— OK, Claire, on l’encule.

— Ah enfin ! Se réjouit l’interpellée en caressant ses verges.

— Non, non, non ! S’écria Benjamin, pris de panique. Je vous dis la vérité. Aucun d’entre nous ne l’a jamais vu.

— Il n’a pas un nom ?

— Heu … bah … je … entre nous, on l’appelle « plein aux as » mais …

— Pourquoi ?

— C’est stupide … c’est juste qu’on est beaucoup de mercenaires et on coûte quand même cher …

— Combien êtes-vous ?

— Plus ou moins trente.

— Quelle était votre mission ?

Il se lécha les lèvres, tremblant de trahir ainsi tous ses engagements.

— Nous devions capturer une femme du nom de Morgane et un homme prénommé Simon. On nous avait donné leur description exacte pour les reconnaître.

Claire et Erika échangèrent un long regard inquiet.

— Vous a-t-il dit pourquoi ?

— Non.

— Et nous dans tout ça ?

— Vous ? Heu …

— Oui, quelles étaient les instructions nous concernant, ma sur et moi ?

— Heu … nous … enfin … il ne devait pas y avoir de… heu … témoin …

— Vous deviez nous tuer ? S’ébahit Claire.

Le mercenaire hocha la tête avec anxiété. Il appréhendait des représailles de la part des deux folles en manque de bites … enfin pas tant que ça en manque de bites vu comme elles étaient pourvues … Comment pouvaient-elles être mieux montées que lui, d’ailleurs. Et comment la brunette pouvait-elle avoir deux queues ? C’était insensé. Lui qui se vantait déjà pas mal auprès de ses amis de la taille de son engin mais elles … C’était impressionnant et terrifiant à la fois. Surtout quand elles avaient envisagé la possibilité de mettre ces trois mastodontes dans son anus. Rien que d’y penser, il en frissonnait d’effroi.

— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?

— Viens, allons réfléchir ailleurs.

Erika emmena sa sur dans une pièce adjacente où elle savait qu’elles seraient au calme. Une fois la porte refermée, elles se regardèrent. Pour la première fois, elles prenaient conscience de la situation réelle dans laquelle elles se trouvaient.

— J … j’ai peur, émit Claire.

Erik ouvrit ses bras et sa petite sur vint s’y blottir avec soulagement.

— Moi aussi, Claire. Moi aussi … En plus je ne sais pas quoi faire et ça me terrifie encore plus. J’espère seulement que Morgane et Simon vont bien.

— Erika, fit Claire en se dégageant, il faut qu’on les récupère !

— Mais comment ? Tu l’as entendu comme moi, ils sont une trentaine. On est que nous deux …

— Je sais mais il faut quand même essayer !

— Claire, on ne peut pas risquer de se faire tuer. Benjamin parlait de nous éliminer ! Ils voulaient nous tuer, pour l’amour du ciel.

— Mais on est encore là ! Ils s’attendront à tout sauf à ce qu’on revienne. Et tu as des pouvoirs !

— Ils ne sont plus là, pour l’instant.

Erika se cacha le visage dans ses mains. Depuis quand ça sur était aussi courageuse ? Son sang se glaçait dans ses veines à la seule pensée de recroiser ces mercenaires. Et, sans son pouvoir, elle se sentait complètement désarmée. Cependant, elle ne pouvait pas laisser Morgane et Simon dans cette situation.

— Je crois qu’il faut que je dorme, annonça-t-elle. Je n’arrive pas à réfléchir correctement …

— D’accord mais … heu …

— Oui ?

— Je suis toujours excitée, moi …

Erika contempla sa sur de façon dubitative. Son regard descendit ensuite sur ses sexes dressés qui semblaient attendre sa réponse. Elle finit par hausser négligemment les épaules.

— Pourquoi pas ? Mais faisons ça devant Benjamin. J’aimerais conserver la peur qu’il ressent et en plus ça m’excite d’avoir un spectateur.

Un sourire ravi illumina la face de Claire qui se dépêcha d’ôter tous ses vêtements. Erika en fit de même et retourna dans la salle où était attaché le mercenaire. Celui-ci tourna la tête quand il les entendit rentrer et l’appréhension apparut aussitôt sur ses traits.

Qu’est-ce que ces malades mentales avaient encore prévu de lui faire subir ? Et qu’est-ce qu’elles étaient bonnes, putain ! Pourquoi il fallait toujours que les plus belles filles soient les plus timbrées ? Non mais regardez-moi ça ! Des seins impeccablement calibrés, pas un gramme de graisse, une taille toute fine pour un cul époustouflant ! Il adressa une prière silencieuse à un Dieu auquel il n’avait jamais adressé la parole auparavant et attendit, le cur battant la chamade.

— Ça va ? S’enquit Erika. Tu es tout blanc …

— Je … ou … oui, oui, ça va … bafouilla-t-il en déglutissant péniblement.

Maintenant, en plus des couilles, il avait la bouche sèche.

— Tu peux te coucher sur le dos, s’il te plaît ?

Sans réfléchir au pourquoi du comment, il s’exécuta avec une rapidité étonnante. Erika lança un sourire satisfait à sa sur qui le lui rendit avec complicité. Qu’est-ce qu’elles pouvaient bien tramer ces deux-là … ?

Sans crier gare, Erika s’avança et s’assit sur le visage de Benjamin.

— Qu’est-ce que tu … mmMmmh …

— Sshhht, lui enjoignit-elle. Lààà, lààà … voilà, mets ta langue … allez, plus loin. Voiiiilààà. C’est bon, hein ? Tu peux aspirer, tu sais. Oh … Mmh … Eh bien voilà, c’est parfait ça, mon grand.

Claire se mit à califourchon sur le corps de l’homme et tendit ses queues en direction de l’anus de sa sur. Elle le caressa langoureusement, mélangeant son propre liquide lubrifiant avec celui de la rondelle d’Erika.

— Mmh … Non Claire, pas les deux dans un trou. Je n’ai pas la force aujourd’hui …

— Mais ton autre petit trou est occupé …

— T’inquiète, Ben va te faire un peu de place. Pas vrai ? Tu es gourmand mais tu veux bien partager, hein ?

L’intéressé hocha vivement la tête de peur de subir quelque chose d’encore plus dur …

— Oui, hein, sourit Erika comme si elle s’adressait à un enfant. Ben va retirer sa langue de mon petit minou et il va bien me lécher le petit bouton. Voilààà … Mmh … Ah, qu’est-ce que j’ai dit, Ben ? J’ai dit : juste le petit bouton. Voilàà. Il faut faire de la place pour la grosse bite de ma petite sur, pas vrai ?

— Eh bien, justement, quand on parle du loup, lança joyeusement Claire, on en voit la queue …

Elle vint placer son chibre tout humide juste au-dessus du menton de Benjamin, contre le minou d’Erika. Le mercenaire eut un mouvement de recul lorsque le sexe entra en contact avec son visage.

— Ah, Ben ! Le gronda Erika. Reprends mon petit bouton dans ta bouche ! Il ne faut pas avoir peur de la queue de Claire, elle ne mord pas, sais-tu.

Rien de ce qu’Erika pouvait dire ne semblait rassurer le pauvre homme. Ses yeux roulaient dans leur orbite, s’arrêtant par moments avec effroi sur l’énorme sexe d’Erika qui se balançait devant son visage et y laissant des traces humides.

Claire s’engouffra dans sa grande sur en poussant un râle, un sexe chaudement enfoui dans chaque cavité.

— Aah qu’est-ce que c’est bon ! S’écria Erika. Continue, Ben. Tu fais ça très bien, mon grand.

— Mmh, je sens son souffle terrifié sur mes queues, c’est trop cool !

— Il n’a pas peur, Ben. Pas vrai que tu n’as pas peur, petit chat ?

Les yeux de l’intéressé s’écarquillèrent. Il n’avait pas envie d’avouer qu’il était absolument épouvanté mais il ne voulait pas non plus mentir par peur des représailles. Il ne répondit donc rien et s’échina avec plus de vigueur sur le bouton gonflé et trempée de sa tortionnaire pour démontrer son enthousiasme.

— Tu vois, s’exclama Erika en jetant un sourire ironique à sa sur, il respire fort parce qu’il aime bien.

Elle savait pertinemment que c’était faux mais se plaisait à prendre la défense du mercenaire. Les deux hampes de Claire coulissaient en elle en écartant ses trous à chaque passage. Elle prenait réellement son pied. C’était la première fois qu’elle se faisait prendre en double pénétration tout en subissant un délicieux cunnilingus et ce n’était pas pour lui déplaire …

— Mmh … tu fais ça bien, Ben. Oh ! Mh oui … j’aime bien quand tu me mordilles comme ça …

Les mains de l’aînée se glissèrent dans la tignasse de son amant et elle pressa sa tête contre son entrejambe.

— Vas-y ! Pète-moi la rondelle surette !

Claire ne se le fit pas prier. Elle accéléra tout en s’accrochant aux hanches d’Erika. Elle était fascinée par le spectacle de ses queues se faisant aspirer dans le derrière de celle-ci.

— Mmh oui c’est bon, ça ! Continue Claire … Aah !

Elle gémissait à chaque fois que le bassin de la jolie brunette venait percuter son derrière. Tous ses trous étaient limés dans les règles de l’art par deux énormes piliers de chaire.

— Oooh … Qu’est-ce que c’est bon, putain ! Mmmh … ouiiii …

— Oh ton cul, Erika ! Ton cul est si dingue … Oh ! Qu’est-ce que … Ben ?!

— Quoi ? S’écria l’aînée en se retournant vivement. Qu’est-ce qu’il y a ?

— Il … il me lèche ! Il me lèche la queue ! Mmh … c’est divin !

— Oh c’est bien, Ben ! Le félicita Erika en lui prodiguant quelques caresses. Mais c’est qu’il y prend goût ! Tu aimes bien donner du plaisir à tes deux maîtresses, pas vrai ? Hein que tu kiffes ça ? C’est bon, hein ?

Le mercenaire approuva joyeusement. Son regard avait changé, trouva Erika. Il semblait moins terrifié et plus … adorateur ? Prise d’un pressentiment, elle tourna la tête derrière elle et qu’elle ne fut pas sa surprise de voir le sexe de Benjamin en parfaite érection et remuant gaiement sous les coups de boutoir de Claire.

— Mais … tu bandes encore, Ben ! Dis donc, qu’est-ce qu’elle est belle, ta bite ! Ça me donne envie de la mettre en bouche …

Elle fit signe à Claire de se retirer pendant qu’elle changeait de sens.

— N … non, gémit le mercenaire. S’il te plaît … j … j’ai mal … je … je t’en prie, ne fais pas ça …

— Ssht ! Laisse-moi faire, j’en ai envie !

Et elle colla son minou trempé sur la bouche du pauvre homme. Maintenant que son visage se trouvait face au service trois pièces de ce dernier, elle adressa un sourire gourmand à sa petite sur :

— C’est bon, tu peux me baiser, maintenant. Attention à ne pas traumatiser le petit Ben, hein !

— Avec plaisir ! Répliqua la brunette en posant ses fesses sur le front du mercenaire.

Erika se cambra, étirant son petit anus avec régal. Claire s’y enfonça comme dans du beurre pendant que son autre verge perforait le vagin tout ouvert de sa grande sur.

— Aaah … gémit cette dernière en se sentant à nouveau pleine. À ton tour …

Elle posa son regard sur le sexe de Benjamin, miraculeusement au garde-à-vous après pas moins de neuf orgasmes en à peine une demi-heure. Du bout de la langue, elle vint taquiner le gland encore caché sous la peau tendue. À peine l’eut-elle effleuré que le corps du mercenaire se tendit sous le coup de la douleur.

Erika sourit. Les hommes étaient si facilement contrôlables. Elle allait bien s’amuser … Mais alors qu’elle s’apprêtait à fondre sur l’appétissant morceau qui lui faisait face, une idée la percuta. Bien qu’elle se fît toujours prendre par les deux trous, elle se figea, réfléchissant à tout ce que cette idée impliquait de faire. En effet, ça allait lui prendre du temps mais … ça pouvait marcher !

Fière d’avoir peut-être résolu le problème qui leur faisait face à elle et sa sur, elle retourna à ses moutons et enfouit l’entièreté de la queue dans le fond de sa gorge.

— OoOOooohhh … Geignit Benjamin en se pliant en deux.

Erika n’eut qu’à appuyer sur son visage avec son bassin pour le faire taire. Elle frotta son minou en train de se faire fourrer sur sa bouche pour lui faire comprendre qu’elle n’appréciait pas de l’entendre se plaindre. Il reprit rapidement son cunnilingus forcé sans pour autant cesser de trembler de mal.

L’aînée se mit à pomper avec entrain, se régalant des terribles spasmes qui secouaient le corps du pauvre homme. Par moments, elle s’arrêtait pour permettre à sa langue de s’insinuer dans tous les interstices du gland avant de reprendre son rythme de plus belle.

— Ooh c’est si bon, Erika ! Il lèche ma bite pendant que je te prends, c’est incroyable !

— Oui, je le sens … Mmh … Claire ! Je vais … Ooh ouiii … pas tarder à venir … Accélère !

Elle retourna aussitôt à son occupation, massant par la même occasion les couilles en feu de Benjamin. Elle prenait un plaisir fou à voir tout son corps tressaillir à chaque fois que sa bouche descendait le long de sa tige. Les muscles de ses cuisses se tendaient violemment avant de se décontracter pour un court instant.

— Ah … Arrête ! Haleta Benjamin. Ça … Mmh… Ça fait … Oouuh ! Ça fait maaaal … MmmMMmhhh …

Erika le refit taire d’un coup de reins et se démena sur sa hampe pour lui faire saisir qu’elle ne voulait plus l’entendre. Elle pompa comme une forcenée, aspirant goulûment les dernières gouttes de nectar qui auraient pu subsister en lui. Cette fois, tout son corps était continuellement contracté.

La douleur doit être atroce, songea Erika avec délice. Mais comment sa queue peut-elle être aussi dure après tant d’orgasmes ?

Elle vint gober ses couilles tout en le branlant avant de revenir sucer son dard. Des gémissements plaintifs s’échappaient de temps à autre de ses lèvres pour le plus grand plaisir de la jeune fille. Les coups de bites mélangés à ces plaintes la firent grimper au septième ciel.

— Aah je viens, Claire ! Mmmh Je vieeeeens !

— Oh … moi aussi ! Aaaah !

Claire martyrisa les cavités de sa sur en y mettant toute sa force tandis que Benjamin continuait de faire courir sa langue sur sa queue et le trou d’Erika.

— Oh encore, Ben ! Encore ! S’exclama Claire. Je viens ! OooOhh Je jouiiiiis !

Erika se sentit tout à coup assaillir de jet de foutre. Elle eut littéralement l’impression de gonfler tandis que sa sur se déversait en elle sans discontinue.

— AaaAAaAaaah ! Hurla-t-elle quand, soudain, son plaisir atteignit le paroxysme et explosa.

Son vagin et son anus se contractèrent autour des deux pines et libérèrent une quantité époustouflante de cyprine qui vint se répandre sur la face du pauvre mercenaire. Celui-ci avala tout bruyamment, la bouche collée contre le con d’Erika.

— Mmmh … Aspire tout, Ben. Bois-moi ! Aaah oui, comme ça, c’est booooon … Mmmmh …

C’est alors qu’elle se rendit compte d’une chose qui la fit sourire … Elle prononça ce que Benjamin redoutait le plus à l’heure actuelle.

— Mmmh … miaula-t-elle sous le coup de son orgasme, je sens que mon pouvoir est revenu …

Le mercenaire se figea en pleine dégustation de jus de moule. Il coula un regard suppliant en direction de sa tortionnaire et vit que celle-ci le lorgnait avec espièglerie.

— N … Non, non ! Ne… Eut-il le temps de bafouiller de sa bouche barbouillée de mouille avant qu’Erika ne plonge sur son sexe sans défense. AaaAaaaahhhhh !

Quelques instants plus tard, les deux filles dormaient à poings fermés sur son torse, leurs seins et leurs sexes reposant lourdement sur lui. C’est à peine s’il osait respirer de peur de les réveiller.

Il ne ferma pas l’il de la nuit.

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