mon père3 Mais quest-ce quil ma pris moi encore ! Mais que je suis con, je vous jure ! Jaurais dû refuser de lembrasser, ça sentait le piège, mais gros comme une maison !!!

Jai pété un plomb, je crois.

Et quand je pense quelle craignait de mal embrasser, un véritable supplice de tentation, ses baisers, et sa petite langue folle

Le pire, ça a encore été son minou rasé. Je navais jamais touché un minou entièrement glabre comme le sien. Elle doit sépiler la chatte, cest sûr. En même temps, elle est jeune et elle na, peut-être, pas de poils encore à cet endroit-là.

Mais quest-ce quil me prend de penser à tout ça moi, ça va pas bien ? Je suis en train de penser à la chatte de ma fille putain !!!!

Allez, allez, on se calme, on se calme

Mais je pense à ça et ma queue ne débande pas. Il faut que je me soulage, ce nest pas possible autrement.

Je me fous à poil et me glisse dans mon lit. Une branlette et hop ! Dodo !

Et voilà : cest à ma fille que je pense en me masturbant. Gagné ! Je pense à sa langue dans ma bouche et que je verrais bien ailleurs. Je pense à ses deux gros seins, comme ceux de sa mère, avec ses aréoles larges aux pointes presque violettes, turgescentes. Je pense à ses magnifiques fesses, nues tout à lheure, à ses deux globes laiteux et appétissants. Je pense à sa chatte sans un poil, luisante de ses sécrétions. Je pense à son regard pendant que je lembrassais et quelle croyait mes yeux fermés. Je pense à ses longues jambes, à ses belles cuisses musclées, à ses jolis pieds, à son visage dange lubrique

Et ma main secoue ma queue, toutes ces images en tête, quand, tout à coup, jentends toquer à la porte de la chambre.

Je rabats les draps en catastrophe et dis à ma fille dentrer.

Ce quelle fait.

Oh, elle a retiré sa jupe plissée, bien sûr, ses bas-résille et son top moulant, mais, cest encore pire maintenant !!! Elle porte sa nuisette noire, transparente presque partout. Heureusement pour moi, elle a remis une culotte. Son string de tout à lheure plutôt. En revanche, ses deux seins mapparaissent clairement. Ils sont vraiment magnifiques ! Je disais comme ceux de sa mère tout à lheure, mais ils sont bien plus beaux. De beaux gros seins de 18 ans, qui tiennent tous seuls, fièrement dressés sur son buste.

« Je peux venir me coucher à côté de toi, mon papounet chéri ?

Allez, sil te plaît, je me sens pas très bien, tu sais !

À cause de ce quil sest passé tout à lheure, tu veux dire ?

Oui, oui et non, en fait, jai adoré ce que tu mas fait, toi, tu as aimé ma façon dembrasser ?

Oui ! Non ! Oh, mais ce nest pas le problème, ça, tu membrouilles la tête. Alexia. Là !

Ben quoi ? Jembrasse bien ou pas, cest tout ce que je veux savoir !

Oui, tu embrasses bien, ma chérie, voilà, tu es rassurée ?

Hummm, voui, un peu, merci papa ! »

Et elle sallonge à côté de moi, sous le drap léger. Après sêtre pudiquement tournée pour descendre son string le long de ses jambes, en se penchant bien en avant Jespère au moins quelle na pas remarqué la grosse bosse qui déforme le lit.

Oui, parce quil faut que je vous dise que ma queue est assez impressionnante. Oh, je vous dis ça sans vantardise, hein : cest juste vrai. Elle est assez longue, mais ce quelle a de plus notable, cest son épaisseur. Elle est vraiment très épaisse, toute veinée et mon gland est extrêmement large. Toutes mes partenaires, même si je nen ai pas eu énormément, mont vanté cette épaisseur qui leur permettait à la fois dêtre bien remplies, mais également de se faire limer le clitoris pendant la pénétration. Je mépile le sexe et les couilles.

Enfin bref, mon érection, qui navait pas disparu, loin de là, se voyait bien, mais jespérais malgré tout que ma petite Alexia ne lavait pas remarquée au moment où elle se glissait sous les draps.

ALEXIA

Oh, sa queue sa queue !!!! Comme elle tend le drap !!! Mais elle a lair énorme !!!!

Je vois bien les efforts que fait papa pour dissimuler son érection, cest trop craquant, oh comme je laime, mon petit papounet.

Mais ce soir, je veux être sa femelle, celle quil va saillir et faire jouir dans son propre lit.

Alors je mets toutes les chances de mon côté. Javais déjà commencé en enlevant mon string avant de me glisser sous les draps. Sous prétexte de me montrer pudique, je lui ai tourné le dos quelques instants, mais jen ai évidemment profité pour me pencher le plus possible, au moment de ramasser mon string et de le jeter sur le fauteuil le plus proche.

Et je continue le jeu.

« Pfffffff, je crève de chaud moi ! Je sais, cest un grand classique des films pornos.

.. Ne regarde pas, hein, je retire la nuisette, ne regarde pas, hein, promis ?

Promis ! »

Je ne peux même pas vérifier sil la tient, sa promesse et puis, de toute façon, je men tape, je fais ça pour lexciter plus encore, alors !

Jôte la nuisette et me glisse à nouveau sous les draps.

Ma chatte est trempée de désir. Je sais que mon papa est nu tout à côté de moi, la bite raide et je sais que si elle est raide, cest pour moi. Je passe ma main discrètement sur mon minou, jai limpression quil peut le sentir tellement ma mouille est odorante.

En tout cas, sil sent ma chatte, il nen laisse rien paraître.

Jai un peu peur de commencer, mais lui ne fera rien, alors il va falloir que jy aille.

« Je suis un peu triste papa, je peux me serrer contre toi, comme quand jétais toute ptite ?

Euh, oui, mais à cette époque-là, euh

Quoi ? Je nétais pas formée, cest ça ?

Ben, disons que cétait moins malsain !

Malsain ??? Tu trouves ça malsain quune fille se serre contre son papa ?

Quand le papa en question bande, oui cest »

Silence. Gêné. Il a parlé un peu vite et doit regretter ses mots. Tant pis, jenfonce le clou, impitoyablement.

« Tu bandes, là ?

Oui, enfin non, enfin si, mais voilà quoi, ça doit être sanguin, comme quand on se réveille le matin, tu vois ? Cest une sorte de réflexe masculin !

Hein ? Mais pour tous les hommes, cest comme ça ?

Ben oui, oui !

Ah, je croyais que cétait moi qui te faisais bander !

Ouhla, comment tu veux que je réponde à ça, ma chérie, je suis ton papa et franchement, jai déjà honte de mes pensées, alors !

Mais faut pas avoir honte, mon papounet, ça fait tellement longtemps que tu nas pas fait venir de femme ici, tu dois être trop en manque !

Ce nest pas à toi de combler ce manque, ma chérie, dailleurs, il vaudrait mieux que tu retournes dans ton lit, maintenant !

Oh non, sil te plaît !!! »

Et sans attendre la réponse à ma question de tout à lheure, je me colle contre lui. La pointe de mes seins sécrase contre son bras. Je sens presque physiquement son trouble. Il nose plus faire un seul mouvement. Lambiance est électrique.

Puisquil ne fera, décidément rien, une fois encore, je prends les devants.

Penchée sur le côté, je fais glisser ma main sur son bras, sur son torse, puis je descends peu à peu vers lobjet de mon désir, de tous mes désirs. Mon père pose sa main sur la mienne et me dit mollement :

« Non, chérie, ce nest pas bien !

Chhhhut, personne ne le saura !

Moi, je le saurai !

Laisse-toi faire, papounet, laisse-moi te donner du plaisir comme tu men as donné tout à lheure ! »

Peu à peu, sa prise se relâche et il enlève totalement sa main.

La mienne poursuit donc sa descente infernale et enfin, enfin, atteint sa belle queue. Cest son gland que je touche en premier. Hummmm, il est remonté bien haut, plus haut que son nombril.

Je sens une crispation de sa part, mais je ne marrête pas à ça.

Je griffe son gland tout en continuant ma descente. Puis, je prends son bâton de chair à pleine main.

À suivre (molose)

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