Venom 4
Marcella
Les choses avaient beaucoup évolué dans l’hôpital depuis la visite d’Eddy, tout comme Peggy, ses collègues, Marcella et Chloé avaient senti la larve dans leur vagin grandir et à force de faire la pute pour Eddy et de se faire baiser et enculer par les patients, elles sentirent, elles aussi, cette chose prendre possession de leurs culs.
Leur vie professionnelle était essentiellement dévouée au sexe, elles étaient partagées entre les moments de baise avec les patients et les autres moments où elles se faisaient défoncer le cul par les docteurs.
Elles avaient plus souvent une bite dans le cul et/ou la chatte, qu’elles ne s’occupaient véritablement de leurs taches d’infirmières.
Elles permirent à Eddy d’accumuler un joli pactole.
Mais c’était leur vie privée qu’elles avaient de plus en plus de mal à gérer.
Marcella était une jeune femme de 22 ans, de 1,65m pour 58 kilos, cheveux blonds, mi-longs, et des yeux bleus clair, habituellement une poitrine de 90C, mais depuis que Venom l’avait inséminé, elle était passée au 95D et maintenant au 100 E, elle avait un cul bien rond et bien ferme, elle vivait encore chez ses parents et lorsqu’elle n’était pas de garde pour se faire remplir la chatte et le cul, elle avait de plus en plus de mal à refréner ses pulsions.
Alors qu’un jour où elle était de repos, pensant qu’elle était seule chez ses parents, elle s’était levée, uniquement vêtue d’une petite nuisette transparente et d’un string assorti.
Elle fut surprise de trouver ses deux grands frères, Collin et David sur le canapé du salon en train de jouer à la console, ils ne l’avaient pas encore vue, et elle s’apprêtait à retourner dans sa chambre pour se changer, quand elle sentit la chose dans sa chatte et dans son cul se mettre à coulisser dans ses orifices, la faisant gémir de plaisir.
Elle n’écouta plus que ses pulsions et oubliant toute pudeur, elle les rejoignit dans le salon, et s’assit dans un fauteuil à côté du canapé où se trouvaient ses frères.
David fut le premier à remarquer la présence de sa sur, il fut un peu troublé par sa tenue, il pouvait voir ses énormes seins sous sa nuisette et sans qu’il ne puisse s’en empêcher, il se mit à bander dans son short.
Il donna un coup de coude à Collin, qui perdit la partie et lui demanda :
Quoi, qu’est-ce qu’il y a encore ?
David lui fit signe de la tête et il découvrit à son tour, leur sur dans sa tenue hypersexy.
Collin déglutit difficilement, et dit à Marcella :
Qu’est-ce qu’il te prend de te balader comme ça, Lala.
Ses frères et ses parents avaient l’habitude de l’appeler Lala, qui était plus court que Marcella.
Elle lui répondit :
Qu’est-ce qu’il y a, il y a quelque chose qui te dérange ?
Eh bien rien, mis à part que tu es pratiquement à poil.
Et alors, ils ne te plaisent pas mes seins, en plus, j’ai l’impression qu’ils ont grossi, leur dit-elle en les prenant dans ses mains pour les soupeser.
David ne dit rien, mais il commençait à être très à l’étroit dans son short, et Collin n’était pas mieux en regardant les deux énormes seins que sa sur faisait ballotter.
Collin et David ne purent qu’admettre qu’ils avaient également remarqué que les seins de leur sur avaient gonflé depuis quelques semaines, mais aucun d’eux n’avait jamais osé lui faire la remarque.
Marcella se leva du canapé et tortilla du cul pour aller jusqu’à la cuisine, ses frères étaient totalement hypnotisés par le balancement de ses superbes petites fesses, au milieu desquelles passait la ficelle d’un tout petit string.
Dès qu’elle fût hors de vue, David prit la parole :
Qu’est-ce qu’il lui prend, depuis quand elle se promène à poil dans la maison ?
Mais Collin sentait encore sa bite palpiter dans son short et sans s’en rendre compte, répondit :
N’empêche, t’as vu sa paire de nibars, elle a des seins énormes, la frangine.
David se lâcha complètement et lui dit :
Oui, et son cul avec son petit string, elle est trop bandante.
Ils firent des commentaires de plus en plus salaces sur Marcella, sans se rendre compte que c’était de leur sur dont ils parlaient.
Ils se chauffèrent et lorsque Marcella réapparut dans sa petite nuisette transparente, elle crut qu’ils allaient lui sauter dessus et cela l’excita énormément.
Elle leur demanda de lui faire une place entre eux, et ils se poussèrent sans quitter ses énormes seins des yeux, alors elle leur dit :
Vous voulez que j’enlève ma nuisette pour que vous puissiez mieux voir mes seins ?
Sans réfléchir, ils répondirent en chur :
Oui, ce serait mieux.
Tout excitée, Marcella détacha la ficelle de sa nuisette et la retira, se retrouvant pratiquement nue entre ses frères, uniquement vêtue de son petit string qui était déjà bien trempé.
Pendant de longues minutes, elle laissa ses frères baver devant ses énormes seins, dont les tétons pointaient fièrement, et finit par leur dire :
Vous voulez les toucher ?
Sans même lui répondre, elle les vit prendre possession de ses énormes obus et commencer à les malaxer.
Elle posa ses mains derrière leurs cous et les attira sur ses seins en leur disant :
Allez-y, mes salauds, bouffez-moi les seins.
Elle sentit leurs langues jouer avec ses tétons durs, et elle se mit à gémir de plaisir.
David et Collin n’étaient plus en état de réfléchir, leur excitation était trop forte, alors dès qu’ils commencèrent à lécher les gros seins de leur sur, ils posèrent rapidement une main sur chacune de ses douces cuisses et sentirent que Lala les écartait autant qu’elle put pour poser ses jambes sur eux.
Elle gémissait de plaisir, sous les coups de langue vicieux de ses frères sur ses gros seins, elle leur avait ouvert ses cuisses et sentit leurs mains remonter doucement vers sa chatte en feu.
Quand elle sentit leurs doigts se glisser sous son petit string et venir lui caresser le clito, elle leur dit en gémissant :
Ouiiii, allez-yyyy, bande de salauds, fouillez bien la chatte de votre petite sur.
Alors que David et Collin enfonçaient leurs doigts dans la chatte brûlante de Marcella, ils réagirent à la phrase de leur sur, ils relevèrent la tête, se rendant enfin compte de ce qu’ils étaient en train de faire, pourtant aucun d’eux ne retira ses doigts de la chatte brûlante de celle-ci, et lorsqu’ils sentirent les mains de leur sur se glisser dans leur short et prendre possession de leur bite bien dure, ils reposèrent leur langue sur ses énormes seins et l’aidèrent à faire sortir leur queue.
Elle les branla un petit moment, mais sa chatte et son cul mourraient d’envie de se faire remplir. Alors elle se redressa, se leva et retira son string pour se retrouver complètement nue devant ses frères, elle leur dit :
Mettez-vous à poil, je veux vos bites en moi.
David et Collin obéirent, Marcella poussa David sur le canapé pour qu’il s’allonge et lui grimpa dessus comme lorsqu’ils étaient enfants et chahutaient, mais cette fois, elle s’empala la chatte sur sa belle bite, sans même avoir besoin de la guider.
Elle s’enfonça la queue de son frère au fond de la chatte et se pencha en avant en cambrant bien ses reins pour dire à son autre frère :
Mets-la-moi dans le cul, Collin, j’adore me faire enculer.
Collin ne se fit pas prier, c’était la première fois qu’il allait enfoncer sa queue dans le cul d’une fille, que cette fille soit sa propre sur ne le dérangeait pas le moins du monde.
Il fut impressionné de voir l’anus de sa sur s’ouvrir de lui-même lorsqu’il approcha sa queue, il l’enfonça jusqu’au fond de son cul, en l’entendant gémir de plaisir.
Mais il sentait quelque chose lui masser la bite, et cela lui procurait un plaisir dingue, c’était pareil pour David qui faisait coulisser sa queue dans la chatte de sa sur en lui pétrissant ses gros nichons.
Ils la baisèrent et l’enculèrent toute la matinée, même quand ils lui éjaculèrent leur sperme, ils n’arrêtaient pas, ils changeaient de position et fourraient de nouveau les orifices de leur sur, la faisant crier de plaisir.
Ils durent s’arrêter pour manger le midi, même si leurs bites étaient toujours bien raides, ils étaient, tous les trois, épuisés et les garçons avaient les couilles complètement vides, ils avaient besoin de récupérer.
Alors, après avoir repris leur souffle et leur esprit, ils se rendirent enfin compte de ce qu’ils venaient de faire.
Mais aucun d’eux ne semblait avoir le moindre remords, ce fut Marcella, qui après avoir un peu récupéré, leur dit :
Eh bien qu’est-ce que vous m’avez fait jouir mes salauds !
On a pris notre pied, nous aussi, ma belle salope, lui dit David.
Oui, par contre, tu nous as vidé les couilles un paquet de fois, j’ai jamais baisé aussi longtemps et joui aussi souvent, lui dit Collin.
Contente que ça vous ait plu, on remet ça après manger ?
Tu n’en as jamais assez, dis donc.
Non, mais si vous voulez, on commande des pizzas et si le livreur est mignon, je le paierais avec mon cul.
Quelle salope, tu fais, ma parole.
Il va falloir quand même se calmer quand les parents seront là, lui dit David.
Pourquoi, j’aimerais bien me prendre la queue de papa dans le cul, j’ai déjà entendu maman lui demander de l’enculer, il doit avoir l’habitude.
Mais quelle salope, tu n’as vraiment aucune limite, tu baises avec tes frères et tu veux la bite de ton père, en plus.
Ne me faites pas le coup de la fausse pudeur, vous venez tout juste de me défoncer le cul et la chatte, alors je suis sûre que si maman vous ouvrait ses cuisses et ses fesses, vous seriez prêts à la baiser et à l’enculer.
Ni Collin ni David ne la contredit, s’imaginant déjà avec leurs bites plantées dans le cul de leur mère.
Toute cette petite bande incestueuse commanda une grande pizza, et lorsque le livreur arriva, il fut accueilli par Marcella complètement nue, il resta figé devant l’entrée sans savoir quoi dire, alors elle lui dit :
Tu préfères que je te paie en nature ou en dollars ?
Les énormes seins de Marcella lui faisaient tellement envie, qu’il posa la pizza sur le meuble de l’entrée et posa ses mains sur ses énormes obus bien fermes, ses mains n’étaient pas assez grandes pour prendre entièrement ses fabuleuses masses laiteuses, alors sans demander l’autorisation, il posa sa langue sur un de ses tétons bien durs.
Marcella lui tenait la tête contre ses seins et le laissa lui sucer les tétons en gémissant de plaisir, le livreur s’enhardit et lui glissa une main entre les cuisses, elle écarta les jambes et le laissa lui enfoncer deux doigts dans la chatte en lui disant :
Mmmmm, ouiiii, vas-y, continue, c’est boooonnnn.
Sans même avoir pris le temps de refermer la porte d’entrée, elle s’assit sur le meuble et écarta les cuisses autant qu’elle put et lui dit :
Allez, viens mon salaud, viens me fourrer la chatte avec ta queue.
Le livreur sortit sa bite bien raide et s’enfonça d’un puissant coup de reins au fond de la chatte trempée de cette salope.
Il se mit aussitôt à lui ramoner le vagin, en continuant à bouffer ses énormes seins.
Tout en gémissant de plaisir, à se faire défoncer la chatte par le livreur, elle vit un voisin passer sur le trottoir, celui-ci l’entendit jouir sous les coups de bite du livreur, et s’arrêta pour essayer de savoir d’où venaient ses gémissements.
Il remarqua d’abord le scooter du livreur, il leva un peu plus la tête et vit la fille de ses voisins, complètement nue, en train de se faire sauvagement baiser par le livreur de pizza.
Elle paraissait plus que consentante, alors il n’osa pas intervenir, se contentant de regarder ce spectacle particulièrement lubrique, en sentant sa queue se redresser dans son caleçon.
Mais il croisa le regard de Marcella, qui passa sa langue sur ses lèvres de façon plus que provocante, et tandis que le livreur lui giclait dans la chatte, elle fit signe à son vieux voisin d’approcher.
Le livreur remballa rapidement sa bite, se dépêcha de partir, afin de rattraper son retard, il eut très peur lorsqu’il croisa le voisin, pensant que c’était le père de la salope qu’il venait de baiser, mais lorsqu’il le vit sortir sa bite, il fut presque soulagé, et lui dit :
Vous pouvez y aller, cette salope a le feu au cul.
Marcella était restée sur le meuble de l’entrée, complètement nue, et les cuisses grandes ouvertes, son voisin lui pelota ses gros seins, et tout comme le livreur, juste avant lui, enfonça sa bite dans la chatte si accueillante de sa jeune voisine.
Il commença à la baiser, lorsqu’il vit ses frères, complètement nus aux aussi, s’approcher d’eux, il prit un peu peur, mais lorsqu’ils lui dirent :
Amenez cette salope dans le salon, vous pourrez continuer à la baiser pendant qu’on mange.
Marcella s’accrocha au cou et aux hanches de son vieux voisin et le laissa l’emmener dans le salon en gardant sa bite bien au fond de sa chatte.
David referma la porte d’entrée avant d’avoir d’autres visiteurs, qui auraient voulu fourrer la chatte de sa sur, son voisin emmena Marcella dans le salon, en gardant sa bite plantée au fond de sa chatte, et une fois arrivé, elle lui dit :
Assis-toi, je vais m’asseoir sur ta bite, en mangeant.
Le vieux obéit et s’assit sur le canapé, tandis que Marcella se retourna, et lui présenta ses superbes petites fesses, et lui dit :
Mets-la-moi dans le cul, j’adore ça.
Le vieux tenait sa queue bien droite, et vit l’anus de cette jeune salope s’ouvrir et lui avaler entièrement la bite, elle poussa un long gémissement et prit un morceau de pizza en commençant à monter et descendre son cul sur la queue de son voisin.
Le vieux était si bien dans son cul, qu’il ne dit rien lorsque Collin s’installa entre ses cuisses et vint enfoncer sa bite dans la chatte de sa sur, ils continuaient à manger de la pizza en baisant cette salope.
Ce fut plus difficile lorsque David monta sur le canapé et donna sa bite à sucer à sa sur, elle avalait tantôt la queue de son frère, tantôt un morceau de pizza.
La sauce tomate lui coulait sur les seins, mais ils furent vite nettoyés par la langue vicieuse de son frère.
Ils jouirent tous les trois en même temps, lui remplissant tous ses orifices avec du sperme bien chaud.
Les deux frères se dégagèrent de sa chatte et de sa bouche vorace, et dirent :
Allez, on mange, cette fois, faut vraiment faire une pause.
Marcella se releva, faisant sortir la queue encore bien dure de son voisin de son cul, celui-ci fut surpris de voir sa bite toujours en état de fourrer la chatte de sa voisine, alors il l’attrapa par les hanches et lui dit :
Ne te sauve pas, salope, je n’en ai pas fini avec toi.
OK, vieux salaud, mets-la-moi où tu veux.
Alors sans vraiment y avoir réfléchi, il sentit sa queue se faire aspirer par la chatte brûlante de sa jeune voisine.
Il la fit monter et descendre sur sa queue, alors que celle-ci gémissait entre deux morceaux de pizza.
Il était si bien dans sa chatte, il sentait sa queue se faire masser à l’intérieur, c’était une sensation fabuleuse, et bien qu’il vient tout juste de lui jouir dans le cul, il sentit une nouvelle éjaculation approcher.
Il continua à la baiser devant ses frères, qui mangeaient tranquillement, et finit par lui jouir dans la chatte.
Mais encore une fois, sa queue ne débandait pas, il n’arrivait pas à y croire, alors il continua de baiser cette salope.
Lorsque ses frères eurent repris un peu de force, ils se joignirent à lui, et défoncèrent Marcella par tous les trous, ils se vidèrent les couilles plusieurs fois en elle, avant de s’écrouler tous les 4, complètement épuisés.
Le vieux voisin finit par se rhabiller, et partit avant que les trois autres se réveillent, il avait tellement joui, qu’il en avait mal aux couilles, il n’arrivait pas à croire que cette jeune salope puisse se prendre autant de sperme dans le cul et dans la chatte sans qu’aucune goutte n’en ressorte.
C’est comme si elle se nourrissait de leur sperme, plus ils lui giclaient dedans, et plus elle en redemandait, et le plus impressionnant, c’était que leurs bites ne débandaient pas, et étaient toujours prêtes à fourrer cette chienne en chaleur.
Alors il préféra s’enfuir avant d’y laisser sa peau, il n’avait plus l’endurance des frères de cette salope, et en sortant de la maison, il se demanda si les parents étaient au courant de leur relation incestueuse.
Mais il fut vite fixé sur le sujet, car il se rendit compte qu’il était déjà tard, ils avaient baisé toute l’après-midi, il croisa les parents de la jeune salope, en passant la barrière du jardin.
Ils furent surpris de le voir sortir de chez eux, et le saluèrent, il les laissa rentrer et se demandant si toute la famille entretenait des relations incestueuses, il attendit que les parents rentrent dans la maison, pour se faufiler dans le jardin et regarder à travers la baie vitrée ce qui allait se passer lorsqu’ils verraient leurs enfants complètement nus dans le salon.
Peter et Suzan rentrèrent chez eux, légèrement déconcertés de voir leur vieux voisin sortir de chez eux, dès qu’ils furent rentrés, ils cherchèrent leurs enfants pour connaître la raison de la présence du voisin.
Lorsqu’ils les découvrirent tous les trois, assoupis, complètement nus dans le salon, ils restèrent sans voix.
Peter ne put s’empêcher de mater les énormes seins de sa fille, il avait remarqué depuis peu que ses seins avaient pris du volume, mais les voir à l’air libre, lui donna envie de les caresser, mais il était son père et la morale lui interdisait ce genre d’attouchements, pourtant il sentit sa queue se gonfler dans son caleçon, lorsque ses yeux se posèrent sur les fesses et sur la chatte si appétissants de sa fille.
Suzan n’était pas mieux, lorsqu’elle découvrit ses fils, complètement nus sur le canapé, avec leur bite toujours bien raide, elle sentit sa chatte frétiller d’envie. Heureusement pour elle, la présence de son mari l’empêcha de se jeter sur la bite de ses fils.
Ils restèrent ainsi sans dire un mot, pendant quelques minutes, à mater leurs enfants dans la nudité la plus totale.
Peter se rendit compte qu’il bandait comme un fou, alors ne voulant pas que sa femme s’en rende compte, il lui dit :
Qu’est-ce qui s’est passé ici, ils n’ont quand même pas couché ensemble ?
Suzan imagina aussitôt sa fille se faire sauvagement baiser par ses frères et par le vieux voisin, et sentit sa chatte mouiller d’envie, pour essayer de calmer ses désirs immoraux, elle dit à son mari :
Il faut s’occuper d’eux, et les mettre dans leurs chambres, on aura une explication avec eux, quand ils seront réveillés.
Très bien, faisons ça.
Ils soulevèrent d’abord les garçons, les emmenèrent dans leur chambre et les posèrent chacun sur leur lit.
Suzan faisait un effort colossal pour éviter de regarder la bite bien raide de ses fils, ils déposèrent d’abord David, et s’occupèrent ensuite de Collin.
Lorsqu’ils le déposèrent sur son lit, Suzan était à bout de souffle, mais la cause était uniquement l’effort qu’elle avait fourni pour soulever ses fils, c’était surtout son combat intérieur pour lutter contre ses pulsions qui l’essoufflait.
Voyant que sa femme était à bout de souffle, et avec une idée perverse en tête, il lui dit :
Repose-toi, je vais m’occuper de Marcella, je devrais y arriver seul.
Peter sortit de la chambre, laissant sa femme tourmentée, avec ses deux fils complètement nus, et leur bite toujours aussi raide.
Ses yeux passaient d’une bite à une autre, et sa volonté fondait comme neige au soleil, elle finit par ne plus se demander si elle avait le droit d’y toucher, non la question qui la taraudait, c’était laquelle lui ferait le plus de bien.
Alors comme elle n’arrivait pas à se décider, elle poussa le lit de David afin de le coller à celui de son frère, elle monta ensuite dessus et s’agenouilla entre ses fils.
Elle prit ensuite leur bite dans chacune de ses mains et commença à les branler, elle les sentait palpiter sous ses doigts, elle avait de plus en plus chaud, sa chatte coulait à flots, alors pour essayer de se rafraîchir, elle retira son chemisier pour se trouver en soutien-gorge et en jupe, elle reprit ensuite la bite de ses fils entre ses doigts, et reprit ses branlettes.
Sa chaleur ne diminuait pas, alors elle finit par retirer sa jupe pour se retrouver en string et soutien-gorge entre ses fils nus, en train de leur branler la queue.
Elle avait de plus en plus envie de goûter à leur queue, alors elle se pencha sur la bite de David et se mit à la sucer, puis passa à celle de Collin, et en fit autant.
Elle passa de bite en bite pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce qu’elle sente des mains dans son dos, venir lui dégrafer son soutien-gorge.
Elle les laissa faire et leva les yeux vers ses fils, elle les vit qui la regardaient leur sucer la bite, son soutien-gorge tomba sur ses coudes, et libéra sa belle poitrine, elle sentit les mains de ses fils prendre possession de ses seins, et commencer à la peloter.
Elle continua de les sucer, en les entendant lui dire :
Continue, maman, pompe-nous bien la bite, c’est trop bon ce que tu fais avec ta langue.
Ils se rapprochèrent pour permettre à leur mère de passer d’une bite à l’autre plus rapidement, elle tenta même d’avaler leurs deux bites en même temps, ce qui excita énormément ses fils, elle réussit à prendre les deux glands dans sa bouche, et les lécha en faisant tourner sa langue autour.
David n’en pouvait plus, après avoir baisé et enculé sa sur, et même s’il avait les couilles à sec, il fallait qu’il baise sa mère, alors il se redressa et se plaça derrière elle.
Suzan sentit qu’il lui retirait son string, et elle l’aida dans sa tâche en soulevant les genoux pour qu’il fasse glisser son string jusqu’à ses pieds et lui retire complètement.
Cette fois, elle était totalement nue avec ses deux fils, en train d’en sucer un, tandis qu’elle sentait l’autre se placer derrière elle, elle se cambra pour offrir sa croupe à David et lui dit :
Vas-y, mon chéri, enfonce ta queue dans la chatte à maman, baise-moi bien fort.
Elle sentit la bite de son fils s’enfoncer dans sa chatte, elle poussa un long râle de plaisir avant de reprendre la queue de Collin en bouche.
David commença à baiser sa mère, faisant claquer ses superbes fesses à chacun de ses coups de bites dans sa chatte en feu.
Suzan se déchaînait sur la queue de Collin, allant jusqu’à l’avaler entièrement et enfoncer son gland jusque dans sa gorge. Celui-ci lui tenait la tête et lui envoyait des coups de queue dans la bouche, se mettant à lui baiser la bouche.
David se cramponnait aux hanches fines de sa mère, et lui défonçait la chatte à grands coups de queue. Sans comprendre ce qu’il lui prenait, il se mit à lui donner de violentes claques sur ses fesses de salope, en lui criant :
Tu aimes ça, salope, tu aimes la bite, sale pute, tu aimes les bites de tes fils, sale chienne, tu es vraiment aussi salope que ta fille.
Suzan jouissait comme une folle avec leurs queues en elle, ils la baisaient comme une salope, et elle adorait ça, elle était leur jouet, et cela lui procurait d’intenses orgasmes.
Mais malheureusement pour elle, sa fille leur avait vidé les couilles toute la journée, et ils n’avaient pas eu le temps de refaire les réserves, et après l’avoir défoncée en bon et due forme, pendant 2 bonnes heures, ils finirent par s’écrouler de fatigue, tous les trois.
Suzan n’avait jamais autant joui de sa vie, ses fils avaient échangé leur place, et elle s’était fait baiser pendant plus de deux heures, avant qu’ils ne s’effondrent.
Elle s’assoupit entre eux, complètement nue, et s’endormit, ses désirs incestueux assouvis, à aucun moment elle n’avait pensé à son mari, qui était parti s’occuper de leur fille.
Il faut dire que Peter avait été content que sa femme le laisse seul avec Marcella, il l’avait pris dans ses bras, et en marchant jusqu’à sa chambre, il ne put détacher ses yeux de ses énormes nichons, qui le faisaient bander bien dur dans son caleçon.
Il la posa sur son lit, complètement nue, il alla ensuite à la porte de la chambre pour vérifier que sa femme ne l’avait pas suivi.
Il ferma ensuite la porte de la chambre et la verrouilla, il s’approcha du lit de sa fille, et s’agenouilla à côté, il posa délicatement une main sur un de ses gros seins.
Il le trouva parfait, ferme et doux à la fois, son téton pointait bien dur, il joua un peu avec, faisant gémir sa fille dans son sommeil.
Il posa son autre main sur l’autre sein et commença à peloter sa fille, il bandait bien dur dans son caleçon, et ses deux énormes seins lui donnaient envie de faire quelque chose de totalement immoral, il tendit l’oreille pour savoir si sa femme le cherchait.
Pas un bruit à l’horizon, alors il se releva et retira son pantalon et son caleçon, il se trouva la bite bien raide à côté de sa fille, il lui écarta les bras, monta sur son lit, pour l’enjamber et s’accroupir sur son ventre.
Il plaça sa queue entre les énormes seins de Marcella et les comprima sur sa bite, il commença à la faire coulisser et gémit de plaisir.
Il prenait un pied énorme à se branler entre les deux gros nichons de sa fille, il ferma les yeux et continua à faire coulisser sa queue.
Après quelques allers-retours, il fut surpris de sentir quelque chose d’humide sur son gland, il ouvrit les yeux, et vit sa fille qui tirait la langue, et lui léchait le gland lorsqu’il était à portée.
Elle posa ses mains sur ses seins et comprima la bite de son père entre ses deux énormes nichons, en lui disant :
Vas-y, papa, baise-moi les seins, après tu me la mettras où tu veux.
Cela faisait tellement longtemps qu’il n’avait pas baisé avec sa femme, qu’il faillit lui éjaculer dans la bouche, lorsque Marcella lui suça le gland.
Il était si bien entre les deux gros seins de sa fille, qu’il mit un moment à se redresser et à lui mettre toute la queue dans la bouche.
Même si cela faisait un moment qu’elle ne lui avait pas sucé la queue, il avait l’habitude que sa femme lui avale toute la bite, alors il attrapa la tête de Marcella et lui enfonça toute la queue dans la bouche.
C’était la première fois qu’elle avalait une bite toute entière, elle sentit la bite de son père s’enfoncer jusque dans sa gorge, mais grâce à la larve de Venom qui s’agita dans son cul et dans sa chatte, elle supporta aisément les haut-le-cur et laissa son père lui baiser la bouche en l’entendant lui dire :
Tu es une bonne salope, ma fille, tu aimes la bite autant que ta salope de mère.
Il continua de lui baiser la bouche pendant plusieurs minutes, il s’amusait de temps en temps à ressortir complètement sa queue et à donner des coups de queue sur les joues de sa fille.
Marcella gardait sa bouche grande ouverte, attendant que son père lui enfonce de nouveau sa bite, elle avait le visage couvert de bave, que son père s’amusait à l’étaler avant de replonger sa queue au fond de sa gorge.
Peter était fou d’excitation, il ne pensait plus qu’à une chose : baiser cette jeune pute.
Alors il se glissa entre les cuisses de sa fille et s’apprêtait à lui enfoncer sa queue dans la chatte, lorsqu’elle lui dit :
Ouiii, vas-yyyy, papa, défonce-moi la chatte.
Il enfonça sa queue au fond de sa chatte d’un puissant coup de reins, la faisant crier de plaisir et il lui dit :
Tu n’es vraiment qu’une salope, ma fille, et ton papa va bien te baiser.
Ouiii, vas-yy, défonce-moi papa, baise-moi comme une pute.
Et alors que sa femme se faisait défoncer par ses fils, Peter se déchaîna dans la chatte de sa fille, faisant claquer ses couilles contre ses fesses, à chaque coup de bite, la faisant crier de plaisir.
Sans qu’ils s’en rendent compte, et comme les chambres de leurs enfants donnaient sur le jardin, leur voisin les vit baiser avec leurs enfants, et se branla, en se disant qu’il avait trouvé une famille de débauchés, mais la petite lui avait tellement vidé les couilles, qu’il allait mettre un moment à récupérer.
Alors il regarda le père baiser sa fille, puis il le vit la mettre à 4 pattes sur le lit et il devina facilement qu’il était en train de l’enculer, il n’avait jamais vu une salope aimer autant se prendre une bite dans le cul, mais Marcella adorait vraiment ça.
Peter se déchaînait maintenant dans le cul de sa fille, il venait de lui jouir dans la chatte, et comme sa queue était toujours bien dure, il avait mis Marcella à 4 pattes et lui avait enfoncé sa queue dans le cul, ce qu’il faisait rarement avec sa femme, mais le cul de sa fille s’était ouvert de lui-même et il était tellement bien à l’intérieur, qu’il n’avait pas cherché à comprendre, et s’était rapidement mis à lui envoyer de puissants coups de queue entre les fesses.
Elle hurlait de plaisir :
OUIIIII, ENCOOOREEEE, PLUUUSSS FOOORRTTTT, OUIIII, ENCUULLLLEEE MOIIII BIENNN FOORRRTTTT, DEFONNNNCCEEEEE MOIIIII LLEEEEE CUUULLLL, PAPAAAAA.
Elle avait déjà eu plusieurs orgasmes lorsqu’elle sentit son père se cramponner à ses superbes fesses et s’immobiliser avec sa bite au fond de son cul, elle sentait qu’il lui remplissait le cul avec son sperme.
Elle sentait la larve de Venom aspirer le sperme de son père, celui-ci finit par s’écrouler à côté d’elle, pour reprendre son souffle et c’est à ce moment précis qu’elle sentit que la larve qu’elle avait dans le cul et dans la chatte évoluait de nouveau.
Elle la sentit se glisser sur son clitoris et le transformer, la sensation était étrange, mais extrêmement jouissive, elle avait des frissons dans tout le corps, mais la larve continua de s’insinuer en elle.
Marcella sentait comme deux longs rubans lui glisser sur la peau, et remonter jusqu’à ses seins, elle les sentit grossir encore et passer à du 105F, ses tétons se mirent à pointer en permanence, les longs rubans remontèrent jusque dans sa gorge, et s’installèrent à l’intérieur, elle comprit que cette chose voulait récupérer le sperme que ses amants pouvaient lui gicler par n’importe quel orifice.
Elle mit un moment à reprendre ses esprits de cette puissante transformation, et lorsqu’elle baissa la tête pour voir ce qui s’était passé sur son clitoris, elle découvrit qu’elle possédait à présent une bite.
La sensation était étrange, elle regarda sa bite, qui ne faisait que 10 centimètres au repos, elle se demanda quelle sensation pouvait avoir les garçons en se branlant, alors elle toucha sa queue et commença à la caresser.
Elle découvrit une sensation complètement nouvelle, c’était tellement agréable et excitant, qu’elle se mit à se branler comme elle le faisait avec ses amants, elle sentit sa queue gonfler et grossir doucement, elle eut rapidement une énorme bite entre ses doigts, elle devait faire 25 centimètres de long sur 6 centimètres de diamètre, elle jouit en se branlant, elle sentait la larve qu’elle avait dans la chatte et dans le cul se mettre en mouvement, et lui défoncer ses orifices.
Elle gémit de plaisir en branlant sa bite, et sentit une toute nouvelle sensation monter en elle, et elle vit de longs jets de sperme sortir de sa bite, pour atterrir sur la raie des fesses de son père.
Elle eut une idée particulièrement vicieuse, il avait encore les yeux fermés et n’avait pas vu la transformation de sa fille, il n’avait même pas réagi lorsqu’elle lui avait éjaculé sur les fesses, il reprenait encore son souffle, alors Marcella se plaça sur son père, à hauteur de ses fesses.
Soupçonnant que son père n’était pas un adepte de la sodomie, elle se pencha sur ses fesses et les lui écarta pour commencer à lui lécher l’anus, celui-ci se mit à gémir de plaisir en lui disant :
Mmmm, oui, continue ma puce, bouffe bien le cul à papa, ma petite salope.
Il sentit qu’elle enfonçait sa langue dans son cul, ce qui lui procurait un intense plaisir, elle alla jusqu’à lui enfoncer un doigt dans le cul, tout en continuant de lui lécher l’anus.
Il lui dit :
Doucement ma puce, papa n’est pas aussi souple du cul que toi.
Elle remonta sa langue dans la raie de son cul et continua dans son dos, elle sentait qu’elle pouvait contrôler la taille de sa nouvelle bite, alors elle la rendit assez fine un peu plus gros que son doigt et lorsqu’elle la glissa entre les fesses de son père, elle lui dit à l’oreille :
Détends-toi, papa, je vais te faire découvrir un nouveau plaisir.
Peter sentit que sa fille lui enfonçait quelque chose de chaud et humide dans le cul, c’était une sensation nouvelle pour lui, pas du tout désagréable.
Il sentait cette chose s’enfoncer doucement dans son cul, il crut que ça n’allait jamais s’arrêter, jusqu’à ce qu’il sente le pubis de sa fille contre ses fesses, et alors elle lui dit :
A moi de t’enculer, mon petit papounet.
doucement, ma puce.
Marcella commença à ressortir sa queue du cul de son père, et lorsqu’elle s’enfonça à nouveau à l’intérieur, elle fit grossir légèrement sa bite, Peter sentait sa bite vibrer légèrement, elle était toujours bien raide, et la chose qui s’enfonçait à nouveau dans son cul lui procurait un plaisir nouveau.
Il sentit à nouveau le pubis de sa fille contre ses fesses, sans savoir pourquoi, il se mit à cambrer ses reins et lui dit :
Encore ma puce, continue, c’est bon ce que tu me fais.
Marcella ressortit de nouveau du cul de son père et fit grossir encore sa bite, cette fois elle devait faire la taille de deux doigts, elle s’enfonça, de nouveau, au fond du cul de son père, qui gémit de plaisir et lui demanda de continuer, encore et encore.
Si bien qu’après quelques allers-retours dans le cul de son père, celui-ci se prenait désormais une bite de 20 centimètres de long et 4 centimètres de diamètre dans le cul, il ne faisait plus que gémir de plaisir, continuant à tendre ses fesses vers sa fille.
Marcella accéléra les enculages, et continua à faire grossir sa bite, Peter se mit à crier de plaisir, son cul se fit bientôt enculer par une énorme queue, de 25 centimètres de long sur 6 centimètres de diamètre.
Mais il prenait un plaisir inouï à se faire défoncer le cul, il était dans un état second, ses fesses claquaient à chaque coup de queue que sa fille lui envoyait dans le cul.
Lorsqu’il sentit qu’elle lui éjaculait dans le cul, il n’était plus en état de raisonner correctement et sentit son cul se faire remplir par du sperme chaud, sans qu’il puisse comprendre comment c’était possible.
Il sentit que sa queue voulait éjaculer à son tour, mais rien ne sortit, c’était comme si son sperme était bloqué à l’intérieur, du moins jusqu’à ce que sa fille ne sorte de son cul et ne le retourne sur le dos pour avaler sa bite et lui vider une nouvelle fois les couilles avec sa bouche.
Il avait l’impression qu’elle lui aspirait le sperme jusqu’au fin fond de ses couilles, et il lui jouit une quantité phénoménale au fond de la gorge, elle avala tout ce qu’il gicla.
Peter était à bout de force, et s’endormit dans le lit de sa fille, le cul endolori et les couilles complètement vides.
Le voisin était rentré chez lui avant d’avoir pu voir Marcella se transformer et s’équiper d’une bite étrange.
Marcella s’endormit avec son père, et passa une nuit calme et reposante.
Lorsque Peter se réveilla dans le lit de sa fille, il avait le cul un peu sensible, il se demanda d’abord si sa femme l’avait cherché, il se leva d’un bond, et se glissa discrètement hors de la chambre de sa fille, il ne vit personne, mais lorsqu’il vit l’heure, il ne prit pas le temps de chercher sa femme, et partit prendre des affaires propres dans son dressing, et s’habilla rapidement avant de partir au bureau.
Marcella se leva peu après que son père soit parti travailler, elle mit un fin peignoir et s’en alla vers la chambre de ses frères, elle découvrit sa mère nue entre eux, et devina facilement ce qu’ils avaient fait ensemble.
Elle se mit à branler sa nouvelle bite, en regardant les fesses de sa mère et se dit qu’elle s’occuperait bien de son petit cul, comme elle l’avait fait avec celui de son père.
Suzan se réveilla au moment où sa fille commençait à bander en lui matant les fesses.
Elle avait dormi profondément, après la baise intensive qu’elle avait eue avec ses fils, elle se rappela que son mari l’avait sans doute cherché, alors elle se leva d’un bond, et vit sa fille à l’entrée de la chambre.
Il faisait encore assez sombre et même si Marcella bandait bien dur, Suzan ne vit pas la bite que sa fille possédait désormais.
Elle eut honte de s’être fait surprendre et se rapprocha de sa fille, en lui disant :
Ne dis rien à ton père, ma puce.
Ne t’inquiète pas, maman, David et Collin m’ont baisée hier, et papa aussi hier soir.
Suzan n’en crut pas ses oreilles, toute sa famille avait plongé dans l’inceste, elle passa à côté de sa fille sans remarquer l’énorme queue qui dépassait de son peignoir.
En marchant vers sa chambre, elle essaya de réaliser que sa famille devenait complètement immorale, elle partit chercher machinalement un peignoir, et l’enfila avant d’aller dans la cuisine pour se préparer un café, et essayer de s’éclaircir les idées.
Marcella l’avait suivie dans la cuisine, et alors que sa mère attendait que son café coule, elle se colla à son dos en passant ses bras sur le ventre de sa mère et lui dit :
Détends-toi, maman, ce n’est que du plaisir.
Suzan avait encore du mal à réaliser, elle ne fit pas attention à la chose chaude et dure qui se glissait entre ses cuisses, mais comme par automatisme, elle écarta les cuisses, et laissa cette chose venir lui ouvrir la chatte.
Marcella défit le peignoir de sa mère et empoigna ses seins, en enfonçant sa queue dans la chatte de sa mère.
Suzan sentit sa chatte se faire remplir comme jamais, une bite énorme lui écartait les parois de son vagin, elle se mit aussitôt à gémir de plaisir, elle tourna la tête pour savoir lequel de ses fils avait une bite aussi grosse, elle fut stupéfaite de découvrir sa fille derrière elle.
Marcella commença à faire coulisser sa queue dans la chatte de sa mère, en lui disant :
Laisse-toi aller maman, je vais te faire jouir.
Suzan était partagée entre le plaisir que lui procurait cette énorme queue, qui lui ramonait doucement la chatte et l’incompréhension totale de savoir comment sa fille pouvait lui baiser la chatte.
Mais Marcella se mit à lui pincer ses tétons qui pointaient bien dur, la faisant jouir intensément, alors en bonne salope, Suzan cambra ses reins et se pencha en avant pour offrir sa croupe à sa fille, en lui disant :
Vas-y, ma puce, fais du bien à ta maman, continue, c’est trop bon ce que tu me fais.
Marcella accéléra les pénétrations, faisant gémir sa mère de plaisir.
Elle s’agrippa à ses fines hanches et continua d’accélérer encore et encore, sa mère se mit rapidement à crier de plaisir, ses fesses claquaient à chaque coup de queue que sa fille lui envoyait dans la chatte.
Un puissant orgasme lui traversa tout le corps, Marcella sentit le vagin de sa mère se contracter autour de sa bite, et elle eut une idée vicieuse.
Elle sortit sa grosse bite de la chatte de sa mère, et la fit glisser entre ses fesses, comme elle l’avait fait avec son père, elle réduisit la taille de sa bite, pour atteindre la taille d’un doigt.
Suzan reprenait doucement ses esprits après son orgasme, et sentait cette chose chaude et humide glisser dans la raie de ses fesses.
Lorsqu’elle sentit cette chose tenter de lui ouvrir l’anus, elle tourna le visage vers sa fille et lui dit :
Non, pas par-là, ma chérie, tu vas me faire mal.
Détends-toi, maman, j’ai enculé papa hier, et il a adoré ça, alors laisse-toi faire, tu vas voir, tu vas jouir comme une bonne salope.
Suzan imagina son mari se prendre une bite dans le cul, et elle sentit cette chose s’enfoncer doucement entre ses fesses.
Elle ne trouva pas la sensation désagréable, mais pas non plus très excitante, lorsque sa fille se colla contre ses fesses, elle sut qu’elle avait tout pris dans le cul, Marcella sentit que sa mère était encore un peu crispée, alors elle lui dit :
Tu en veux une autre dans la chatte, maman ?
Avant même qu’elle eût le temps de répondre, la larve que Marcella avait dans la chatte envoya un long tentacule dans la chatte de Suzan, qui se mit à gémir en sentant ses deux orifices se faire remplir.
Suzan gémit :
Ouh, ouiii, c’est bon ce que tu me fais, ma puce, vas-y, continuuueee.
Marcella commença à faire coulisser doucement sa bite dans le cul de sa mère, tandis que le tentacule suivait le mouvement dans la chatte, comme elle l’avait fait avec son père, la veille, elle fit grossir sa bite un peu plus à chaque poussée.
Suzan sentait son cul s’ouvrir de plus en plus, et la sensation était de plus en plus jouissive, elle se faisait prendre des deux côtés, et ça la rendait folle de plaisir.
Après quelques allers-retours, la bite de Marcella atteint 20 centimètres de long pour 4 centimètres de diamètre, elle continuait d’enculer sa mère, alors que celle-ci était à plat ventre sur le plan de travail de la cuisine et hurlait de plaisir en sentant deux bites lui ramoner le cul et la chatte.
Elle se rendit compte qu’elle adorait se prendre une bite dans le cul, ça la rendait folle de plaisir, elle sentait les bites qu’elle avait dans le cul et dans la chatte continuer à grossir.
Bientôt, elle eut deux énormes queues qui lui défonçaient les orifices, ses fesses claquaient à chaque coup de queue qui lui envoyait sa fille.
Suzan hurlait de jouissance, elle sentait son cul et sa chatte écartelés par les deux énormes mandrins qui la défonçaient, elle se mit à avoir orgasme sur orgasme à chacun des coups de bite qu’elle recevait.
Elle était en transe, une poupée de vice dans laquelle se déchaînait sa fille.
Lorsqu’elle sentit l’énorme queue qu’elle avait dans le cul lui gicler dans les intestins, elle poussa un long cri de jouissance, et s’effondra sur le plan de travail.
Marcella se pencha sur sa mère et lui dit à l’oreille :
Je vais te présenter quelqu’un qui va faire de toi une belle pute, maman, et je suis certaine que tu vas adorer ça.
Suzan n’était plus en état de répondre quoi que ce soit, elle sentait les deux énormes bites sortir de son cul et de sa chatte, et elle entendit sa fille appeler un dénommé Eddy.
Celui-ci fut un peu surpris de se faire réveiller de si bonne heure, il avait commencé à prendre un rythme plutôt nocturne et son activité principale était de récolter l’argent que ses putes lui rapportaient, de temps à autre, il allait s’occuper d’un mécréant, et en priorité, ceux tentaient qui de saboter son nouveau business.
Il était devenu en quelques semaines un des plus gros proxénètes de la ville, il avait sous sa coupe, une cinquantaine de femmes, et contrairement à ses concurrents, ses putes étaient essentiellement composées de femmes actives, aucune d’elles ne faisait le tapin sur le trottoir, ou pas encore.
Non, elles offraient leurs corps à leurs patients, leurs clients, leurs voisins, leurs amis, Eddy avait réussi en quelques semaines à se faire un superbe pactole grâce à ses prostituées.
Il s’était même acheté une voiture de sport, et attendait d’avoir encore amassé assez de dollars, pour aller voir Anne, son ex-femme et tenter de la reconquérir ou de faire d’elle une de ses putes.
Il répondit à Marcella et lui donna rendez-vous dans 30 min, celle-ci aida sa mère à s’allonger sur le canapé en attendant l’arrivée d’Eddy.
30 min après, elle entendit un vrombissement de moteur de voiture devant la maison, et vit une superbe voiture rouge se garer dans l’allée de leur garage.
Eddy en sortit et elle le fit entrer à l’intérieur de la maison, sans qu’il n’ait à lui demander, elle lui donna l’argent qu’elle avait gagné pour lui.
Il lui retira son peignoir pour constater que la larve s’était bien développée, Venom dit à Eddy :
Elle a atteint la phase 3, il faut que je le récupère avant la fin de la semaine, sinon ça risque d’être plus diffi