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Marie est une effrontée ! – Chapitre 1




Bonjour à tous,

Votre petite Clémentine est de retour ! Je pensais pouvoir vous consacrer plus de temps depuis que j?ai pris ma retraite, mais l?écriture de mon roman monopolise l?essentiel de mes journées. Toutefois, j?ai réussi à penser à vous et à vous composer un petit récit pas piqué des vers.

J?espère que vous aimerez l?histoire de Marie (le personnage appelle peut-être une suite?), même si, la plupart d?entre vous, préféreraient que je me transpose dans le récit : je ne peux tout le temps parler de moi !

À travers Marie, certains d?entre vous verront peut-être une manière d?exprimer mes fantasmes, mais en attendant votre avis, je vous embrasse tous très fort, car vous êtes tous très adorables !

EPISODE 1 :

La journée avait plutôt mal commencé pour Marie, et rien que ces deux heures de trajet en train commençait déjà à la décourager. Mais elle ne pouvait plus reculer, une promesse était une promesse et la jeune fille s?était engagée auprès de sa mère pour passer quelques jours auprès de sa tantine : l?absence d?un professeur précédent le samedi avait rendu possible des engagements plus ou moins lancés en l?air.

En ce mois de juin, les débuts d?après-midi commençaient à être caniculaires et sur le quai de la gare, la température demeurait encore supportable, mais qu?allait-il en être à l?intérieur des voitures ? Certes, elles étaient climatisées, mais il arrivait trop souvent (et Marie le savait par expérience) que l?air conditionné souffle en position néant.

Malgré toutes ses inquiétudes, l?étudiante était satisfaite, l?express à destination de Lyon était annoncé sur le quai et il allait mettre fin à pas mal de contrariétés. Marie ne s’agaçait pas du léger retard de son train, non, elle avait l?habitude ; mais c?était plutôt de ses minutes d?attentes qu?il avait fallu supporter, sans rien faire et qui avait rendu pendant un instant sa vie trop futile.

Depuis bientôt trente minutes, à la faveur des aller et venue sur le quai, elle avait appris à nuancer son agacement, vis-à-vis du regard des gens. ?a lui arrivait souvent de croiser des personnes marquant intérêts pour ses tenues ou plus fréquemment, pour son corps plutôt bien fait.

Elle ne cessait d?essuyer des regards masculins pour une toilette qu?un temps ensoleillé avait rendue très légère, permettant ainsi à toutes ses formes d?être mise en valeur : Et quelles formes ! Le contrôleur faillit bien en avaler son sifflet !

Bref ! Les voitures cheminaient paisiblement devant Marie, il était temps de se presser aux portes… Avec enthousiasme, elle se baissait pour saisir son sac de sport dans lequel, elle avait rangé de quoi séjourner jusqu?à dimanche.

Ses sens furent mis soudainement en alerte par un déodorant bon marché qui agressait ses sens plus qu?il ne les flattait : Marie se retournait et son regard se posait sur un homme d?affaire, un peu gros et qui venait franchement de se rincer l?oeil à la faveur d?un cambré. Le visage du monstre s?illuminait et il était inutile de dire qu?il avait apprécié tous les détails des fesses de la voyageuse ! Ce matin, la jeune fille n?avait pas eu le choix : Marie portait une petite robe d?été de couleur beige et parsemée de petits motifs blancs mis en relief. La longueur – aurait pu – confondre la lisière d?hypothétique Dim? up. La robe tenait par de très fines bretelles qui venaient s?ancrer deux doigts au-dessus du point culminant de sa poitrine : elle ne portait pas de soutien-gorge! La petite brune était sportive, mais déjà très bien formée : Marie possédait une très belle paire de seins, plutôt voluptueuse et admirablement suspendue ; ce qui lui valait beaucoup d?intérêt de la part des gentes masculines et… féminines.

Marie fut irritée quand elle sentie le gros homme se précipiter dans son dos, juste derrière elle, à portée de mains. Elle montait sur le marche pieds et ne pouvait que trop sentir ce regard vorace, comme deux mains tremblantes sur ses cuisses, ses fesses fraîches et virginales : quelle indécence !!!

Dans le couloir du wagon, Marie était un peu inquiète, il n?y avait pas beaucoup de voyageurs et elle espérait bien que l?obsédé bedonnant ne décide pas d?avoir la mauvaise idée de la suivre pour s?installer à ses côtés. C?est ainsi qu?elle se dirigeait dans un autre compartiment, une cabine où Marie se retrouvait seule.

Le voyage avait commencé, une demi-heure venait de s?écouler et la jeune fille pouvait définitivement respirer en se sachant délivré de son porc. Livrée à elle-même, Marie avait pris ses aises et allongeait ses jambes sur la banquette voisine : le contrôleur tardait à passé, elle se disait qu?elle n?aurait aucun mal à le convaincre de ne pas lui chercher querelle, même si ses talons hauts avaient déjà fait une petite marque provisoire sur le faux cuir de la banquette. Un large sourire et se serait réparé !

La demoiselle était bien, la climatisation fonctionnait et son esprit faisait déjà le débriefing de la journée. Mais ce qui la contrariait le plus, c?était sa journée d?hier et le désistement d?une ancienne copine de lycée exilée à Lyon et qui ne pouvait passer le week-end avec elle, soi-disant à cause d?un nouveau petit copain. Comme quoi, il y a un âge pour les copines jusqu?au jour où elle se tourne vers les garçons !

Marie était affectée et ses yeux se posaient sur ses jambes et sa robe, au fond de lui-même, elle n?aimait pas cette couleur et l?âme en peine, elle tirait sur les pans de sa petite tenue pour afficher un peu plus de pudeur.

La petite espagnole était plus que bien dans ce compartiment, de tant en temps, quelques voyageurs, des personnes âgées, passaient devant sa cabine et ne manquaient pas de la saluer comme si elles l?avaient toujours connues ; mais personnes ne voulaient la déranger ! Marie aurait quand même aimé avoir un compagnon pour le voyage ! Juste pour discuter, bien entendu !

Encore trois demi-heures à patienter ! Marie se baissait et fouillait son sac de sport pour quérir son baladeur : il allait meubler son esprit, afin de ne pas penser à Jérémie : son ex-petit copain qui l?avait plaqué mardi ! Elle ne voulait surtout pas penser à lui ! Le cordon du casque filait sur sa poitrine et plus précisément sur la pointe d?un de ses tétons, cette douce sensation prodiguée par le flottement du train éveillait ses sens ; ses deux tétines durcissaient et commençaient à déformer sa robe. Il ne fallait surtout pas qu?elle pense à mal, au sexe, pas ici et surtout pas à cette vidéo que Barbara lui avait passée et qui montrait les exploits buccaux d?une blonde avec deux hommes : il y avait vraiment des porcs se disait-elle ! La lycéenne donnait un coup d?oeil dans l?allée : personne ! Elle était prise entre deux feux, elle aimait cette sensation, ce plaisir sur son corps à travers la robe, mais elle ne voulait pas tomber sur l?homme d?affaire : un frisson la parcourait, sa poitrine frémissait et Marie replaçait sur le côté le cordon de son casque CD.

Cet instant de plaisir ne suffisait pas à lui rendre le sourire, ce qui l?éprouvait le plus, c?était Jérémie : elle avait profondément été déçue par son comportement. Marie ne voulait plus y penser ! La petite brune aux gros seins baissait la tête et ne pouvait pas s?empêcher de repenser à ses dernières paroles et plus précisément, à celle qui avait mis le feu aux poudres :

— Un quart d?heure !!! Si tu n?arrives pas me sucer et à me faire jouir, je préfère me finir à la main !

Ces paroles étaient douloureuses ! Vexantes! Il avait ramené un acte amoureux, des minutes particulières à une course contre la montre !!! Marie n?avait pas une très longue expérience sexuelle, elle avait déjà fait quelques gâteries, mais cette dernière fois, il y avait eu une sorte de problème !!! Qui en était la cause ? Marie s?obstinait à penser qu?il venait de Jérémie, mais elle ne pouvait pas s?empêcher de réaliser qu?elle pouvait être à l?origine du problème. Sa forte poitrine était, certes, un atout vis-à-vis des garçons, mais aucuns ne l?avaient encore regardé avec les yeux de l?amour, les mecs n?en voulaient qu?à ses gros seins, à son côté coquin et le reste, ils n?en avaient que faire ! ?tait-elle belle ? Un physique en somme ordinaire, longs cheveux noirs, un visage un peu rond… des origines franchement espagnoles ! Marie savait qu?emmitouflé dans une grosse doudoune, elle n?aurait aucune chance et qu?elle passerait inaperçue!

Les pieds toujours posés sur la banquette, elle croisait les jambes et tendait la tête vers le paysage qui défilait? Elle regardait l?heure sur son portable : encore un peu plus d?une heure à patienter ! Un filet d?air frais, celui de la clim. s?engouffrait sous sa robe et venait rafraîchir ses cuisses : soudain, plongée dans l?écoute d?un CD…

La porte du compartiment s?ouvrait durement, un jeune homme au crâne presque rasé, bientôt suivi par trois autres, dont des militaires s?avançaient vers la belle brune aux gros seins.

Marie ôtait ses jambes de sur la banquette, esquissait un sourire de politesse aux… quatre bidasses et elle croisait en particulier les yeux verts du dernier ; Marie l?avait surpris entrain de se délecter de ses jambes : gêné, il lui esquissait un large sourire.

— Pouvons-nous vous importuner ?

Confuse, la jeune Marie mimait un ? oui ? de la tête, croisait les jambes, se recalait dans son siège et regardait par la fenêtre pendant que le groupe de jeune prenait place autour de la passagère. Aucun ne s?était assis à ses côtés et Marie appréciait cela ! Ils n?étaient pas si agités que ça, contrairement à ce qu?elle avait pu entendre de la part de ses copines du lycée. À la faveur d?une politesse, Marie les dévisageait tous rapidement : dans le groupe, elle les avait tous trouvés moyen : celui qui était en face d?elle, était en bermuda et son crâne presque chauve ne lui plaisait pas. Son voisin avait conservé sa tenue militaire, il avait un côté brusque et sa cicatrice au front ne prouvait pas le contraire. Le troisième près du couloir était un noir, bien battis, il faisait fasse à son préféré, le plus élégant, car hormis ses yeux verts, il portait un superbe… pantalon à pinces.

Marie ne cessait d?être étonnée par leur modération, dix minutes et rien n?avait fusé : il faut dire qu?avec ses écouteurs, la jeune fille n?entendait pas grand-chose de leurs conversations !

Bien que respectueux, les quatre garçons n?avaient pas omis de constater la légèreté de la tenue de la voyageuse et si les jambes de la belle brune attiraient la douceur des yeux, c?était surtout son décolleté et son excessive poitrine qui faisait (encore) l?unanimité.

À un instant, Marie compris que l?un des quatre jeunes sortait de son sac un pack de bière et son attention fut comblée quand elle vit une main tendue vers elle et, une sollicitation de rafraîchissement à peine audible à travers les écouteurs : La jeune fille baissait le volume, vérifiait le tombé de sa robe et en un coup d?oeil, elle vit à son grand damne, la pointe de ses tétons mettrent en relief la fine épaisseur de sa tenue.

— Tenez Mademoiselle !

— Non, merci ! je ne bois pas d?alcool !

— Vos parents sont dans le train ?

— Non, je voyage seule ! je vous remercie bien, mais je ne peux accepter !

Marie venait de se rendre compte qu?elle avait violé l?une des règles essentielles édictées par sa mère : Dans un train, ne jamais dire à un inconnu que l?on voyage seul, de plus, surtout quand ils sont quatre !

Le Black coupait la gamberge de son esprit et la torture de ce dernier :

— Mais Mademoiselle, c?est une bière sans alcool ou si peu ! Jérémie ne peut pas se permettre : il ne tient pas l?alcool ! ça lui est même interdit !

Jérémie était son voisin d?en face, il avait rougi à la déclinaison de son problème et ennuyé, elle baissait les yeux :

— À chacun ses problèmes ! Toi, tu es con !

Le black le prenait à la rigolade ; Marie souriait très brièvement, mais elle ne pouvait avoir d?affection pour la sobriété de ce garçon. Pourquoi ? Il portait le même prénom que son ex-copain ! Embarrassée, Marie saisissait malgré tout la canette et remerciait l?assemblé.

Bientôt plus qu?une grosse demi-heure avant l?arrivée en gare, Marie avait terminé sa bière, mais la boisson, l?absence de musique ou la chaleur avaient rendu la jeune fille un peu patraque, la tête lui tournait légèrement et il lui semblait être dans un état second. La lycéenne regardait rapidement ses voisins, deux d?entre eux dormait, un lisait et celui d?en face regardait le paysage.

Marie décroisait les jambes ; ses cuisses lui faisaient mal et une certaine humidité dut au contact pendant plusieurs quarts d?heures lui procurait une désagréable sensation. Marie écartait légèrement les cuisses pour permettre à l?air de sécher sa peau et en deux secondes, elle avait joint ses jambes. Personne n?avait rien vue et la petite brune calait la tête contre la vitre en se demandant si elle allait se pencher une seconde fois en avant pour récupérer dans son sac un autre CD.

— Kévin : elle n?a pas de culotte !!! Regarde !

Il fallut deux secondes à Marie pour réaliser que Jérémie parlait d?elle avec son voisin Kévin ! Son CD s?était déjà terminé depuis cinq minutes et ils devaient penser que la petite brune n?avait rien entendu avec cette faible intonation. Marie n?osait plus lâcher du regard ses paysages qui défilaient à cent à l?heure : elle était pétrifiée !

— C?est pas possible ! Tu es certains ?

Marie sentait les regards sur elle, sur ses cuisses, sa poitrine et les jeux de regard entre les deux protagonistes. La petite brune se sentait comme dans un mauvais rêve, un cauchemar et elle plaidait coupable : oui, ce matin, Marie n?avait pas mise de culotte ! Il y avait tellement d?histoires qui circulaient sur les trains, l?érotisme et l?amour sur rail, qu?elle avait voulu se prouver quelques choses et pouvoir dire : ? Moi aussi, j?ai voyagé en train sans culotte ! ? C?était plutôt primaire comme réflexion, mais elle aimait le challenge ! Mais jamais au grand jamais, Marie n?avait eu l?intention d?avoir un quelconque rapport dans un wagon : elle était encore vierge et elle ne se donnerait qu?à l?homme de ses rêves !

— Si elle me cherche, je la baise sur le champs et devant vous les gars, je m?en fous!

— Tu m?avais dit que tu n?avais plus de préservatif !

— Je n?en ai plus, mais une bonne pipe, c?est vite fait et ça soulage bien !

Marie avait tout entendu ! La petite espagnole n?osait pas les regarder, ce qui aurait été le signe de sa décadence et malheureusement, elle ne pu s?empêcher… de les regarder avec un léger sourire !

Marie se sentait rougir, elle avait l?impression que ses seins se soulevaient et que la pointe de ses tétons allait transpercer sa petite robe. Tout ça l?excitait au plus haut point ! Elle commençait à ressentir une douce chaleur, une savoureuse ardeur dans son bas-ventre et elle essayait de se persuader de sa naïveté. Elle luttait contre le démon qui sommeillait en elle, mais elle ne pu s?empêcher d?entrouvrir les cuisses très légèrement, suffisamment pour donner confirmation de son libertinage.

— Alors ?! qu?est-ce que tu fais, tu te l?as fait ?

Jérémie hésitait, tout était si clair, mais trop logique pour la jeune expérience de se militaire. Soudainement, Marie tournait la tête vers le black et elle ne pouvait pas s?empêcher de lorgner à l?endroit précis de la bosse qui déformait son treillis. Elle restait deux trois secondes à l?imaginer, alors que tout le monde la regardait.

Froidement, la petite brune baissait les écouteurs de son casque vers son cou.

— Je vous ai tous entendu !

Les jeunes étaient stupéfaits et impressionnés, ils ne savaient plus où se mettre, mais l?un d?entre eux, Kévin, le balafré sorti du lot :

— Et qu?est-ce que l?on fait ?

Marie reprit toute la confiance qu?elle avait en elle, même celle qu?elle n?avait pas !

— Je suis disposée à être gentille avec vous !

Tous les quatre esquissèrent un très large sourire, mais deux d?entre eux avançait des points d?interrogations dans le regard, il était semble – t?il pas intéressés ou alors… encore vierge !

— Seul Denis (le black) à un préservatif !

— Non !!! Pas de pénétration ! Je suis disposée à vous gâter, tour à tour, mais je ne vous avalerai pas ! Alors ?

Les quatre militaires n?en emmenaient pas très large, cette jeune fille de deux ou trois ans leur cadette en imposait au point qu?il y eût un flottement jusqu?à ce que le noir, Denis, ferme les rideaux du compartiment, ne laissant que le jour du paysage pour éclairer la cabine.

Deux garçons commençaient à dégrafer leur braguette, puis à se branler, pendant que Marie gardait le contrôle de ses émotions où plutôt, tentait de garder le contrôle en restant sérieuse et le visage fermé. Bientôt, tous les garçons s?activaient sur une seule et même cadence ! Marie ne pouvait déjà plus détacher son regard de leurs quatre queues dressées, rien que pour ELLE ! Sa lucidité avait dû mal à réaliser l?aventure qui se tramait devant elle!

La lycéenne se disait que si sa mère venait à apprendre ses libertinages, elle était bonne pour? une sacrée correction, mais d?un autre côté, mardi prochain, au lycée, Marie allait passer pour une ? star ? et rivaliser sans blêmir aux regards de Barbara et ses copines !

Mais pour le moment, face à ces quatre sexes maintenus en vigueur par des mains entreprenantes, Marie devenait de plus en plus écarlate et elle ne pouvait s?empêcher de câliner ses tétons à travers le tissu de sa petite robe, sans dévoiler quoi que ce soit de sa voluptueuse poitrine. Ses mains en appréciaient toutes les subtilités et les rondeurs, les imperfections, mais par-dessus tout, elle prenait plaisir à flatter la lourdeur de ses seins.

L?un des garçons se levait sans assurance, Kévin se frayait un chemin dans l?étroite cabine, le sexe tenu et plein d?audace, il se posait devant la jeune fille, hésitante et subissant les regards timides de ses futurs amants. Le jeune homme prenait sa pine en main et la présentait en offrande à Marie. Jérémie relevait la tablette pour permettre plus de place. Kévin se branlait sur la brunette, jambes croisées, elle avançait sa bouche près du sexe et la petite espagnole entrouvrit les lèvres pour sortir sa langue toute timide, elle lui donnait quelques coups de lèche sur le bout du gland.

À un instant, Marie lui fit comprendre d?arrêter de s?astiquer et qu?elle était suffisamment grande pour le faire elle-même! Sa prestance en étonnait plus d?un : elle engouffrait dans sa petite bouche l?intégralité du sexe de taille standard et croisant le regard de Kévin, Marie commençait à le sucer avec délicatesse et application. Alors que l?un des garçons voulait la peloter, elle s?énervait et refusait ses doigts qui commençaient à courir sur ses cuisses et sous sa robe.

Les doigts de son présent amant s?engouffraient dans ses longs cheveux, ses râles montaient en volume et Marie s?appliquait à l?aspirer à fond et à l?envelopper moelleusement avec sa langue, quand soudain, il se retirait rapidement et recommençait à se branler frénétiquement : Marie était brièvement effrayée, elle ne comprenait pas, mais quand un long jet épais atterrissait sur son visage, la jeune fille détournait la tête sur le côté pour ne pas être arrosé, mais la puissance de la seconde éjaculation s?abattait fatalement dans ses cheveux et une troisième sur le devant de son épaule. L?épaisseur de la semence trempait la bretelle de la robe, mais ne coulait pas et restait statique, bien épaisse.

— Je ne veux pas être arrosée par votre foutre !!! Regardez comme je suis maintenant !!!

Marie passait la main sur son épaule et ne sachant quoi faire de ce gel humain, elle décidait de l?étaler sur son bras et sa cuisse. Un deuxième garçon, l?élégant aux yeux verts se levait avec promptitude et venait encastrer sa pine dans la gueule de Marie comme pour la faire taire : étais-ce une réelle intention ?

Sans même attendre ses gâteries, il avait déjà commencé à aller et venir sur la langue juvénile, alors que les deux insatisfaits pouvaient se régaler de deux spectacles : le foutre du premier militaire qui coulait tout doucement depuis les cheveux en direction du large décolleté de la robe de Marie et, cette dernière qui avait décidé de décroiser les cuisses pour dévoiler une toison brune et un sexe encore… vierge !

L?homme poussait un cri de victoire en profanant bien le fond de la gorge de la petite brune, Marie manquait s?étouffer, le violeur poussait plusieurs grognements en s?appuyant contre le mur du compartiment, mais la jeune fille réussissait à le repousser énergiquement, avant de recracher un épais jus blanc et visqueux sur sa robe. Deux ou trois jets s?abattaient sur ses cheveux et sa poitrine. Une nouvelle traînée de foutre venait de donner un peu plus de relief à sa coiffure, comme des mèches, alors qu?en se redressant, Marie ne pouvait dissimuler ce qui coulait depuis son menton ; elle y passait le dos de sa main, mais une bonne dose venait de s?abattre sur sa belle petite robe.

C?était le tour de Jérémie, il s?avançait pour imposer son tour à Denis, Marie regardait le jeune noir et savait avec une certaine satisfaction dans le regard, qu?il allait être son dessert !

Comme excitée par un challenge, Marie attrapait le sexe de Jérémie et le suçait comme cette fille sur la cassette, à la manière d?une esclave qui n?aurait pas vu de sexe bandé depuis des années ! Marie l?avalait, l?aspirait et le lustrait avec sa bouche, sous tous les angles, excitant la jalousie des autres qui n?avaient pas eu droit à un tel traitement. Marie voulait prouver qu?elle était une bonne suceuse : elle avait déjà remarqué la monté en intensité de Jérémie, Marie savait qu?il allait bientôt jouir, alors elle le retirait de sa bouche, de sur sa langue qui commençait à fatiguer et la jeune fille achevait de le branler en le regardant :

— Vas-y, fait plaisir à ta Marie, balance ta purée, allez !!!! Jouie Jérémie !

Marie en eut pour ses labeurs et ce fut un vrai feu d?artifice : un jet de foutre s?abattait sur sa robe au niveau des seins, il propulsait deux autres lignes énergiques de purées entre les deux grosses mamelles que la petite coquine continuait à dissimuler derrière sa petite robe déjà bien souillée. Jérémie tombait de tout son poids sur la banquette : il n?en revenait pas !

Le jeune Denis faisait un peu peur à Marie, il était à la hauteur des bruits qui courraient sur les hommes de couleurs : le gland tenait à peine dans sa petite main, celle qui venait de l?accueillir et qui commençait à le branler. Sa queue était épaisse et bien raide, ses coups de reins forçaient les doigts de Marie. Elle le regardait et l?amenait doucement devant sa bouche, sur ses lèvres et sur sa langue… Marie se disait qu?il fallait être plutôt solide de l?arrière-train pour subir l?assaut de ce membre à la vigueur enthousiaste !

Pour le moment, elle l?avait accueilli dans sa bouche et au fond de sa gorge, elle se régalait de sa vigueur et de son côté soyeux. Elle le mordillait timidement et Marie sentait à ses réflexes qu?il aimait ça, alors elle se montrait encore plus coquine.

Lorsque trop épuisée par ses coups de langue, Marie le reprenait dans sa main, la belle espagnole le branlait en serrant fermement ses doigts sur le mandrin, si fort que ses bagues faisaient un quart de tour sous l?assaut du morceau de chair couleur ébène. Kévin se rapprochait subitement du noir, elle se rendait bien compte qu?il avait déjà joui, mais à voir la rugosité de son sexe et la fermeté avec laquelle il l?astiquait, Marie se doutait avec plaisir (?) qu?elle allait avoir droit à une seconde tournée. Violant la priorité à Denis, il s?engouffrait dans la petite bouche de la suceuse qui ne tardait pas à le faire cracher une seconde fois, conservant son sexe sur la langue, elle recueillait son jus pour le baver de suite sur le décolleté de sa robe.

Le Black était surexcité, les veines de ses bras prêtes à exploser, ses muscles bandés et sa raison ailleurs :

— Je veux ton cul de vierge ! Donne- moi le ! Donne-moi ton gros-cul de vierge !

— Non !!!

— Allez petite salope !

— Je suis bien trop jeune pour ça !

Le Black était trop proche de l?orgasme, il ne pouvait plus reculer et giclait, il éclaboussait le visage de Marie et ses joues, ses lèvres se marquaient de grosses taches, un jet s?abattait sur son oeil, un autre sur son nez. Cette fois-ci, Marie n?avait pas cherché à éviter les jets de foutre bien salissant, la raison toute simple était qu?elle aimait ça ! Être arrosée par ce jus et surtout, ressentir cette odeur caractéristique ! Elle aimait sentir ce sirop couler le long de son visage, sur ses lèvres, puis ce dire de ne pas y toucher. Vicieusement pour ravir son amant, passer sa langue et laper une goutte de sperme ou deux pour découvrir son goût ! Le Black n?en pouvait plus de s?épancher, plusieurs jets s?étaient abattu dans le profond décolleté ! Denis n?en pouvait décidément plus, il enfouissait carrément son sexe dans le décolleté et entre les gros seins de Marie.

Soudain, la jeune fille saisissait la pine et le suçait encore plus fort, le Black poussait un cri, suppliait et il giclait une dernière goutte au fond de la gorge de Marie qui décidait d?avaler se présent qu?elle était allée jusqu?au plus profond des testicules du militaire !

Toute salopée, dégueulasse comme une cochonne ; avec que trop peu de chose pour se nettoyer, les quatre jeunes eurent l?amabilité de la nettoyer avec les moyens du bord et après s?être changée et faites plus ou moins belle, Marie les abandonnait au moment de l?entrée du train en gare.

En passant devant ses militaires et en quittant la cabine, Marie laissait flotter derrière elle, d?étranges odeurs, mélanges d?eau de toilette, de parfums et de déodorant masculin … féminin sur fond de… sperme.

Sur le quai de la gare, une fille en jean s?éloignait… Marie était heureuse, car elle venait de tailler cinq pipes en à peine 30 minutes.

Maintenant, elle en était certaine : son mec était un impuissant !

À SUIVRE ???

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