Petite présentation :
Bonjour, je m’appelle Anne D. Châtain, les cheveux longs, les yeux noisette, 1m68, 55 kilos, j’aurai 48 ans cette année. Je suis maman de deux garçons âgés de 20 et 22 ans et cela va faire 25 ans que je suis en couple, pacsée mais non mariée, je suis femme au foyer. Mon conjoint, Laurent a 54 ans. Cadre supérieur dans une grande enseigne européenne, il me suggéra assez vite de rester à la maison afin de nous occuper de la maison et de notre future famille, en tout cas à l’époque de celle dont nous rêvions et j’ai alors arrêté mes études avec une Maîtrise de Lettres en poche.
Durant ces 25 années, j’ai toujours eu une sexualité épanouie et nous avons dès le départ mis les règles en place. Laurent m’a donné son point de vue sur la vie en couple, la façon dont il voyait les choses pour éviter la monotonie et la routine et nous nous sommes mis assez vite d’accord sur le fait que je pouvais m’habiller comme cela me plaisait mais que je ne porterais que de la lingerie sexy voire coquine et ce, quelle que soit la période de l’année.
Nous étions d’accord sur le fait que la vie était courte et que tant qu’à faire, il valait mieux en profiter.
D’autre part, Laurent adorait me voir prendre mon pied et pour dire vrai, ça l’excitait beaucoup.
Il m’avait assez rapidement offert un godemichet de 21 centimètres qu’il avait glissé dans le tiroir dans mon chevet afin que je puisse me donner du plaisir et avec le temps et l’arrivée des nouvelles technologies, il m’avait même expliqué qu’il n’était absolument pas dérangé par le fait que j’aille sur des sites coquins et qu’il se demandait parfois s’il n’était pas candauliste car ça l’excitait beaucoup même lorsqu’il était en déplacement professionnel de savoir que je pouvais me faire du bien en discutant de façon intime avec des inconnus avec ma webcam car il ne voyait pas ça comme de linfidélité mais juste comme un plaisir personnel.
Il adorait jouer avec les a priori et les préjugés des gens et comme il me le disait parfois en riant : «Imagine-toi aller à une réunion parents-profs plus tard quand nos enfants seront au Collège. Officiellement tu seras la maman de tel élève, classique, BCBG, respectueuse et respectée et officieusement, je serai le seul à savoir que sous ta jupe, tu n’as qu’un porte-jarretelles et de très beaux bas noirs…»
Alors il est vrai qu’avec du recul, j’aurais pu avoir ce mode de vie classique où je me réveille tous les matins à la même heure, j’éteins mon réveil, je me dépêche de prendre une douche, de me laver les dents, de m’habiller, d’allumer la cafetière tout en préparant les petits-déjeuners des enfants dans le stress de ne pas arriver en retard pour un travail qui ne me plaisait pas forcément mais j’avais beaucoup de chance et le mode de vie que me proposait mon ami me convenait parfaitement.
Cette façon de vivre aurait pu se faire avec un métier me direz-vous mais là, j’avais l’opportunité de pouvoir rentrer chez moi après avoir accompagné les enfants à l’école, de boire un café, de lire, d’écrire, d’aller au ciné, de prendre soin de mon chez moi et de mon bien-être…
Bref, j’avais l’opportunité de pouvoir profiter pleinement de la vie et de me sentir complètement libre tout en ayant une vie de famille et sexuelle harmonieuse et épanouie. Cela me convenait parfaitement.
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La première fois.
Il y a huit ans, l’été de mes 40 ans pour être plus précise, un couple d’amis nous avait proposé leur résidence secondaire pour 1 mois. Située à Antona en Italie, non loin de la Marina di Masa, nous avions la possibilité d’occuper leur maison à titre gratuit et de profiter de tout le confort disponible avec entre autres une magnifique piscine.
Ils partaient pour 1 mois en amoureux pour la Martinique et ils nous avaient laissé leur villa avec leur fils de 18 ans qui venait de rater son Bac et le seul service que m’avait demandé Sophie notre amie était de donner quelques cours de rattrapage à leur fils Christophe afin qu’il reprenne l’école sur de bonnes bases.
Avec tous les avantages que ça pouvait nous apporter, nous avions accepté leur proposition sans aucun problème d’autant plus que nos deux fils étaient chez leurs cousins dans le sud de la France à ce moment-là…
La propriété était composée de deux bâtisses dont la résidence principale qui contenait un grand salon-salle à manger avec cuisine ouverte ainsi que deux grandes chambres. Christophe, le fils, dormait dans l’autre bâtiment qui était une ancienne grange qui avait été entièrement rénovée et réaménagée. On pouvait y garer jusqu’à trois véhicules et on pouvait y voir une grande échelle en bois qui menait sur une grande mezzanine sur laquelle avait été aménagée une grande pièce qui servait à la fois de bureau, de bibliothèque et de chambre pour le fiston.
Entre les deux maisons se trouvait la piscine ainsi qu’une immense terrasse. C’était une très belle demeure et dès le matin, c’était un véritable plaisir de pouvoir prendre son petit-déjeuner avec une vue sur la mer.
Située à flanc de montagne, le terrain était en pente et, partant de la piscine, un petit escalier traversant un grand jardin et quelques oliviers amenait sur une autre terrasse couverte avec un grand salon de jardin, des petites tables rondes, des poufs et quelques transats. C’était l’idéal pour qui voulait se retirer au calme et lire ou faire la sieste selon les envies du moment.
Lorsque nous avions pris la décision de venir passer nos vacances ici, Laurent avait été clair :
— Ma puce, si je puis me permettre, si nous avons cette propriété à disposition pour 1 mois, j’adorerais que tu n’amènes qu’un seul maillot de bain et que tu laisses ta lingerie ici…
— ̶ Tu veux dire que je ne mette rien sous mes jupes ou sous mes robes ?…
— ̶ Exactement, ça ne t’ennuie pas ?…
— ̶ Pas du tout et nous ne serons que les deux… Leur fils ne se doutera de rien et nous pourrons nous amuser un peu…
— ̶ Et on pourra s’amuser lorsque nous serons seuls en toute tranquillité…
C’était ma foi un lieu fort agréable à cette saison. Cela faisait quatre ou cinq jours que nous étions là et ce qui était prévu avec Christophe se passait très bien. C’était un jeune garçon d’un peu plus de 18 ans, sympathique, intelligent et très mignon. Assez grand, environ 1m85, mince, brun aux yeux verts, je devais le réveiller chaque matin à 8h30 afin de pouvoir lui faire quelques cours et lui donner quelques exercices à partir de 9h30.
Nous lui laissions sa liberté chaque après-midi mais ce jour-là fut une journée que je ne suis pas près d’oublier.
Nous venions de terminer le repas et en étions au café lorsque Christophe pendant la conversation me demanda si ça ne me dérangeait pas de passer rapidement dans sa chambre rapidement afin que je lui explique de nouveau un exercice qu’il n’avait pas tout à fait compris. Laurent me regarda et me dit à ce moment-là :
— Je te propose un truc mon amour, vu comme il fait chaud aujourd’hui, tu aides Christophe pour ses cours et j’en profite pour aller faire quelques courses ?…
— ̶ Si tu veux et si vraiment il fait trop chaud, je pourrais toujours profiter de la piscine…
— ̶ De toute façon, tu n’en as pas pour longtemps ?…
Il regarda sa montre dans un moment de silence puis dit :
— Il est 13 heures, en admettant que je parte dans 15 minutes, je serai de retour vers 16 h, 16h15 maxi…
— ̶ OK… et ça me laisse le temps d’expliquer à Christophe les cours sur lesquels il a des difficultés et faire un peu de ménage…
— ̶ Comme ça, je reviens, je prends une douche et si Christophe n’a rien de prévu, on part tous à 18 h au restaurant, ça te va Christophe ?…
— ̶ Pas de soucis, ce sera avec plaisir, je n’ai rien de prévu pour ce soir…
— ̶ Alors on fait comme ça…
Laurent se leva alors en terminant son café et se dirigea assez vite vers la voiture afin de ne pas trop perdre de temps. J’en profitai à ce moment-là pour débarrasser la table, Christophe se dirigea vers le coin bureau de la pièce où il dormait et après avoir fait rapidement mon petit ménage et un tour rapide de la maison, je le rejoignis afin de voir avec lui ce qu’il n’avait pas compris.
J’étais vêtue ce jour-là d’une robe courte en lin blanc et j’avais aux pieds des escarpins ouverts de couleur beige à talons. Christophe quant à lui, ne portait qu’un simple maillot de bain.
Alors que nous discutions du sujet de philosophie que je lui avais donné, j’eus rapidement l’impression qu’il me regardait sans réellement m’écouter et je ne pus m’empêcher de lui faire la remarque :
« Tu m’écoutes là ?…
– Oui, oui, pas de soucis mais tu sais, entre toi et la chaleur…
– Pardon ?…
– Heu… désolé, je voulais juste dire qu’il fait vraiment chaud aujourd’hui et que ce n’est pas évident de se concentrer avec une jolie femme qui me parle philo…
– Je te remercie pour ton compliment mais revenons à Platon si tu le veux bien ?…
– Bien entendu mais vu qu’on se voit tous les jours et qu’on discute pas mal ensemble, je pourrais te poser une question indiscrète ?…
– Indiscrète ?… A ce point-là ?…
– Tu jures de ne rien dire à Laurent, ça reste entre nous ?…
– Ben disons que ça dépend de la question mais vas-y, tu peux la poser…
– Tu ne le prends pas mal hein ?…
– Non, vas-y !…
– Laurent et mes parents n’en sauront rien, on est d’accord ?…
– Pas de soucis, je te l’ai dit…
– Bon, ça ne va pas être simple…
– Allez, nous ne sommes que les deux, il n’y a que toi et moi, vas-y !…
– Tu sais que tu es une très jolie femme…
– Merci, tu me l’as déjà dit mais c’est quoi ta question ?…
– OK, je me lâche… Ne sois pas choquée mais…
– Mais quoi ?…
– Bon… Tu es super jolie, je n’ai qu’un peu plus de 18 ans, tu as 40 ans et…
– Tu n’envisages pas de me faire des propositions quand même ?…
– Non, t’inquiète mais… si je m’engage à ne pas te toucher… en fait, j’adorerais que tu te mettes dans le canapé, à quatre pattes face au dossier et que tu soulèves ta robe… Je regarde mais je ne touche pas, promis !…»
Je dois avouer qu’à ce moment-là, un silence s’installa et l’ambiance était assez étrange, un mélange de gêne, de surprise et c’était aussi assez excitant d’autant plus que ce que ne savait pas Christophe, c’est que je ne portais absolument rien sous ma robe…
C’est donc un peu gênée que je lui répondis :
— En admettant que je sois d’accord, je ne dis rien, tu ne dis rien et ça reste vraiment entre nous ?…
Je vis alors Christophe à son tour rougir, entre un mélange de honte et d’excitation vu la bosse qui déformait son maillot de bain et qui après un court instant de silence me répondit :
— C’est promis… tu te mets dans la banquette face au dossier, tu soulèves ta robe, tu me laisses regarder le temps que je veux et je ne te touche pas…
— ̶ Ce sera notre secret ?…
— ̶ Bien entendu, je ne dirai rien, ce sera notre secret…
— ̶ OK…
Je me suis alors levée et dirigée vers le canapé. En posant mes coudes sur le dossier, je me suis mise à quatre pattes en cambrant bien mon dos et j’ai alors soulevé ma robe.
Je me rappellerai toujours du moment où il a lancé un « Waouh… Quel cul !… Et tu n’as pas de culotte en plus ?… Génial !…»
Je me suis juste retournée pour lui faire un sourire et lui répondre : « Vas-y, profites-en bien !…».
J’eus juste le temps de m’apercevoir qu’il avait déjà sorti son sexe bien raide et qu’il me regardait en se branlant. A ma grande surprise, j’étais très excitée aussi et sous prétexte de l’exciter un peu plus, je pus m’apercevoir en glissant rapidement un doigt que j’étais trempée… Je me mis alors aussi à me caresser le clito et à me doigter afin qu’il ne perde rien du spectacle que je lui offrais.
Très rapidement, je me suis retournée puis j’ai avancé mon intimité vers le bord de l’assise de la banquette. J’ai bien écarté les jambes que j’ai relevées vers moi afin de lui présenter ma chatte bien ouverte. Je lui ai d’abord demandé de se rapprocher de moi puis j’ai pris son membre en main afin de me caresser le clito avec son gland. Puis je lui ai fait signe de se baisser :
— Allez viens va !… Lèche-moi bien la chatte !… T’en crèves d’envie hein ?…
Sentir sa langue s’immiscer et aller et venir en moi me faisait littéralement dégouliner. Je sentais ma cyprine couler sur mon petit trou et c’est là que je fus encore plus surprise quand je m’aperçus qu’il me léchait le cul avec plaisir et application sans que j’aie eu besoin de le lui demander. Bien que très ouverte sur le sexe, je n’avais jamais rien ressenti de tel.
Arrivant assez vite à un orgasme phénoménal, je l’ai alors prise en bouche.
Tout en repensant à notre petit-déjeuner, jamais je ne me serais imaginé que quelques instants après, j’allais lui pomper la queue avec autant de plaisir et de vice.
Je prenais un plaisir fou à bien lui lécher le gland et aller et venir afin qu’il se vide dans ma bouche.
D’une main, il dirigeait son sexe prêt à exploser vers ma bouche tandis qu’il avait posé l’autre derrière ma tête afin de me faire aller et venir sur sa bite prête à exploser.
J’entendis ensuite un râle de plaisir qui me fit mouiller de plus belle et c’était plus que plaisant d’avaler sa semence qui arrivait par saccades dans ma bouche.
Je lui fis alors un clin d’il et nous nous mîmes d’accord, ce serait désormais notre secret et notre façon de commencer les cours.
Ce mois de vacances fut pour moi une véritable révolution en plus d’être très hot. Je ne pouvais rien cacher à mon conjoint et ça l’excitait énormément car nous avions toujours beaucoup fantasmé sur ce genre de situations lorsque nous faisions l’amour.
Chaque soir, après lui avoir taillé une bonne pipe, je devais me mettre à quatre pattes et pendant qu’il me ramonait la chatte en me tenant par les cheveux, je me devais de lui raconter ma journée et ces moments d’isolement que je vivais avec Christophe.
Il jouissait en général assez vite et me suggérait de nouvelles idées pour le lendemain. Des idées de tenue, des idées de situations… Pour la petite parenthèse, Christophe eut son Bac cette année-là avec mention et je ne pus m’empêcher de sourire intérieurement quand sa mère me dit au téléphone :
— Tu sais Anne, je ne sais pas comment tu as fait ou ce que tu lui as dit mais il a fait une excellente année, il a beaucoup plus d’assurance et surtout, il a eu enfin son Bac avec mention Bien quand même !… Vous revenez quand vous voulez !…