Salut c’est votre folle de lycra
À ma grande surprise, Marilyne tout comme moi, habitait à côté de la piscine, je ne sais pas ce qui m’a pris d’accepter son invitation à aller déjeuner chez elle. Nous marchâmes dix minutes avant d’arriver chez elle, cela me faisait tout drôle, car c’était elle qui avait le rôle de l’homme et moi celui de la femme soumise et offerte. Quand nous sommes arrivées chez elle, elle m’a débarrassée de ma veste ainsi que de mon sac à main, qu’elle a accroché dans l’entrée. Une fois de plus, je n’ai rien vu venir, quand elle m’a plaquée contre le mur de l’entrée, qu’elle m’a levé les bras et qu’elle s’est mise à m’embrasser. De ses pieds, elle était en train de m’écarter les jambes, je sentais maintenant son genou venir se frotter contre mon intimité. Elle m’a gardé les bras en l’air un bon moment, avant de redescendre les siens, une de ses mains m’a saisi la tête pour m’embrasser avec plus de pression, pendant que l’autre main partait exciter mon corps.
Il n’y a pas à dire, Maryline avait envie de moi et elle s’occupait vraiment avec passion de mon corps. Sa main droite était maintenant passée sous ma jupe et elle était en train de caresser sa culotte toute poisseuse de ma mouille. Je sursautais à chaque fois que ses doigts effleuraient mon clitoris, pendant ce temps sa langue fouillait ma bouche, j’aimais beaucoup son odeur intime. Mais que voulait-elle vraiment dire à chaque fois qu’elle interrompait son baiser, pour me dire qu’elle allait faire de moi une soumise, sa petite pute. Voilà quelques instants que j’avais redescendu mes bras, maintenant je l’avais enlacée ; j’étais consentante et j’en redemandais.
J’étais en train de réaliser que je mouillais comme une folle, c’est la première fois que je produisais autant de cyprine. Quand Maryline a glissé un doigt à l’intérieur de ma culotte pour être en contact direct avec mon clitoris, j’ai failli tourner de l’il tellement mon plaisir était intense. J’étais en train de craquer pour cette femme, alors j’avais plus tendance à mater les maîtres nageurs à la piscine. De son autre main, elle alternait entre mes deux tétons, qu’elle pinçait plus ou moins fort ; je découvrais un plaisir inconnu à ce jour. J’ai honte de le dire, mais j’en voulais toujours plus désormais, Maryline était experte pour ce qui est de donner du plaisir une femme. Maintenant j’en étais arrivée à avoir envie, moi aussi, de caresser sa poitrine, mais elle ne m’en laissait pas l’accès.
Par moments, il lui arrivait de me mordre les lèvres et même la langue, sans doute était-ce pour marquer son territoire. Au bout d’un certain temps, elle m’a emmenée dans le séjour où elle s’est assise sur le canapé, quand j’étais sur le point de faire de même, elle m’a invité à venir me mettre à genoux devant elle. Je savais que sous sa robe elle n’avait pas de culotte et que ma culotte était dans son sac à main. J’avais déjà donné une érection à un homme, mais jamais je n’avais eu l’occasion de faire de fellation, voilà que dans quelques instants j’allais me retrouver sous la robe d’une femme qui m’invitait fermement à venir lui grignoter sa friandise. Ma nouvelle amie dominatrice dans ces gestes et il n’était pas question que je fasse autre chose que ce qu’elle voulait, en l’occurrence il fallait que je prenne la direction de sous sa robe.
Depuis que nous avions pris notre douche ensemble, elle ne cessait de me dire qu’elle allait faire de moi une superbe pute, soumise et offerte. Quand je me suis retrouvée sous sa robe, bien que Maryline ait pris sa douche voilà peu, cela sentait déjà très fort la femme désireuse. C’est la pointe de mon nez qui a touché ses premiers poils pubiens, manifestement ces derniers étaient bien mouillés. Cela a été plus fort que moi, il a fallu que je me dépêche de poser ma langue pour en découvrir le goût. L’odeur de son entrejambe était assez forte, mais pas repoussante tout comme son goût, voilà comment j’ai rapidement pris goût à y promener ma langue. Elle avait une toison longue et dense et il m’a fallu plusieurs minutes pour défricher tout cela avec ma langue et enfin accéder à son clito. Au fond de moi, j’étais un peu gênée car je faisais tout de mon plein gré et Maryline ne faisait que subir.
À l’entendre soupirer, il n’y avait pas de doute, je m’y prenais bien, en même temps, dans le cadre de mon travail, je connaissais bien le corps d’une femme. Au début quand je suis arrivé entre ses jambes, elles étaient bien écartées, mais maintenant elle avait envie de les resserrer. Finalement c’était très agréable et surtout très facile, de donner du plaisir à une femme avec sa langue, quand on est une femme. Mes mains qui étaient posées sur le haut de ses cuisses, je sentais ces dernières par moments se contracter. J’étais complètement recouverte par la robe de Maryline, mais maintenant elle appuyait sur ma tête, comme si elle voulait que je lui fasse encore plus de bien. Tout mon visage était recouvert de mouille, il y en avait même dans mon nez. J’étais assez fière de moi, car pour une première, j’avais l’air de vraiment bien m’y prendre, surtout face à une experte comme devait l’être ma partenaire.
Ma langue descendait maintenant sur son vagin ce dernier était tout aussi sensible que son clito c’était un plaisir de s’y promener. Marilyne était vraiment une grosse productrice de sécrétions intimes, j’étais vraiment en train de me désaltérer à une source. Pendant qu’elle prenait du plaisir, elle me traitait de tous les noms et elle me disait que j’allais devenir une experte en broutage de minou, tout comme j’allais rendre de nombreuses femmes heureuses. Manifestement elle avait de beaux projets pour moi, au fond de moi je savais que je me limiterais à ne brouter que son minou. Pendant que je me délectais à cette fontaine, en même temps j’étais en train de découvrir combien il était agréable de caresser les cuisses d’une femme, d’autant plus quand cette dernière était très réceptive.
Alors que j’étais en train de m’aventurer avec ma langue un peu plus loin que son vagin, Maryline s’est mise à jouir comme jamais je n’avais entendu une femme jouir ; et oui comme beaucoup de personnes célibataires, il m’arrive de regarder des films X. Je venais de réussir mon examen de passage, premier minou brouté, première jouissance offerte. Bien que ma partenaire ait joui, elle continuait à me maintenir la tête appliquée contre son entrejambe et je continuais mon travail de succion. Finalement elle a fini par me relâcher, j’ai pu me redresser et venir m’asseoir à côté d’elle. Là, elle m’a informée qu’elle aimerait que je reste passer l’après-midi et qui sait peut-être la nuit avec elle, mais à mon grand regret je lui ai dit qu’il fallait que j’aille travailler. Sans vraiment me demander mon avis, elle s’est retournée vers moi, puis m’a saisi le visage pour m’embrasser avec passion et gourmandise. Je ne sais pas si c’est elle qui tombait amoureuse de moi, ou le contraire et qui sait peut-être les deux, mais il y avait quelque chose qui était en train de naître entre nous.
Je ne sais vraiment pas si je courais après cette relation, mais aujourd’hui je ne faisais que subir, mais surtout je n’oubliais pas que j’étais une femme qui ne détestait pas les maîtres nageurs. Maintenant que nous étions en train de reprendre nos esprits, j’admirais un peu décoration de la maison, j’étais un peu étonnée par le contraste entre le standing de cette dernière et le look de ma partenaire. Marilyn m’a fait relever devant elle, puis m’a aidée à retirer sa culotte que je portais. Sa culotte qui sentait fort son intimité quand je l’ai enfilée, était maintenant odorante de deux parfums différents. En effet cette séquence de dégustation de friandise m’avait beaucoup excitée, moi aussi j’avais une petite tendance à beaucoup mouiller. C’est avec un regard provocant et satisfait qu’elle a porté sa culotte à son nez pour en humer les fragrances.
Moi qui suis à cheval sur l’hygiène au travail, voilà que je découvrais une autre notion de l’hygiène. Ensuite Maryline s’est mise à se caresser ou plutôt nettoyer le minou avec sa culotte, elle avait l’air très optimiste quant à la capacité d’absorption de son morceau de tissu, d’autant qu’il était en lycra. De nouveau elle a reporté la culotte à ses narines, pour en savourer ce mélange d’odeurs. Là où je me suis sentie humiliée, c’est quand elle m’a invitée à me rapprocher d’elle et qu’elle m’a barbouillé le visage de toutes les sécrétions qui étaient déposées sur sa culotte. À vrai dire ce n’était pas trop grave car j’en avais déjà une couche, c’était juste un deuxième passage, disons que cela pouvait peut-être servir de masque de beauté à la place de rondelles de concombre et de tout autre légume… Une fois ce cérémonial très particulier terminé, Maryline m’a aidé à remettre sa culotte, je me suis exécutée telle une automate.
Je réalisai que j’allais sentir très fort la femme désireuse en sortant d’ici, qu’il n’allait pas falloir que je traîne dans les rues. De toute évidence, par gourmandise, Maryline n’a pas pu se retenir d’aller déposer un petit baiser, ainsi qu’un très agréable coup de langue entre mes jambes avant de me libérer. Entre cette drague à la piscine et ce moment très intime entre femmes chez elle, j’étais très contente de la matinée et mon début d’après-midi. Quand elle s’est relevée, je me suis sentie petite à côté d’elle et pourtant nous étions de la même taille. J’étais surtout consciente qu’elle était dominatrice et moi dominée, mais en même temps je savais que c’était une aventure ponctuelle, je ne pensais vraiment pas qu’il y aurait une suite, à vrai dire je n’en avais pas projet.
Je lui ai demandé si je pouvais aller faire un petit tour à la salle de bain, histoire de me rafraîchir le visage, elle m’y a accompagnée. Pendant que j’étais en train de me passer le visage sous l’eau elle n’a pas pu se retenir de me caresser des fesses, mais surtout d’aller me mettre deux doigts dans le minou. Il n’y a pas à dire cette femme ne pensait qu’au sexe, je n’ai pas rouspété car finalement c’était très agréable, je crois que j’y prenais goût. Une fois de nouveau présentable, j’ai pris la direction de la porte d’entrée, Maryline n’a pas pu se retenir de me rouler une pelle d’anthologie avant que nous nous quittions. En guise d’au revoir final, j’ai eu le droit à une magistrale main au cul, alors que nous étions sur le palier, ainsi qu’un " À bientôt ma chérie, merci pour tout"
Pour les personnes qui ont l’habitude de me lire, je vais essayer de faire mes textes un peu plus courts, car il m’a semblé comprendre que les correcteurs préféraient.
J’espère quand même que le second chapitre de cette histoire vous plaira.
Bisous à vous.